Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Nicolas, je l'ai rencontré grâce à ce blog. Nous avons écrit ce texte ensemble...
Nous avons rendez-vous dans un bar, près de la plage. De loin, je sais que c’est toi, tes cheveux blonds éclatent de lumière sous le soleil brûlant de midi. Il n’y a personne, le serveur vaque à ses occupations. Nous sommes seuls dans ce coin reculé de la salle.
Je m’assieds près de toi, et je te vois écarter tes cuisses, tu ne
portes pas de culotte, comme tu me l’avais promis. Ta belle toison est claire et épilée. Je vois très bien une jolie fente rose. Ta main droite s'y pose et tu commences à te caresser
l'entrecuisse !
Je suis subjugué par cette vision. Tu te masturbes
carrément maintenant.
Pendant quelques instants, nos regards se sont croisés et tu as lu mon envie dans mes yeux. Je m'approche, et lentement, ma main est remontée le long de ta cuisse, sans lâcher mon regard.
Je te caresse une cuisse, t'embrasse sur la bouche. Tes jolies lèvres sont chaudes et douces. Tu sens très bon, j’adore ton parfum.
Puis mes doigts ont repoussé les tiens, et se sont insinués entre les lèvres de ta chatte. Ce fut sans surprise que je la trouve trempée de son jus. Je baisse les yeux, et je te vois encore écarter les lèvres, ta chatte rose, ton clito gonflé est bien visible. Je suis trop attiré par cette belle fente humide. Mon doigt trouva ton clitoris et le branla doucement. La chaleur monte en toi et des éclairs de plaisir jaillissent de ton ventre.
Alors, je me penche, et j’y pose ma bouche tout de suite, c'est doux, parfumé. Je te lèche avec délectation, et très vite tu te mets à gémir, ondulant du bassin. Je vois que tu te caresses les seins pendant que j'écarte ta fente en grand.
Je te lèche comme un fou, et tu pousses des cris de plaisir ! Je ne pensais plus qu'à boire à cette source féminine dont j'avais si souvent rêvé la nuit Tu coules telle une fontaine de plaisir… Je suis au paradis avec toi, ma belle femelle en chaleur !
Tu t’allonges sur la banquette, les jambes écartées et je viens sur toi. Tout de suite, tu guides mon sexe dans ta chatte. C’est doux, chaud, et très mouillé, j’aime ça ! Je m'enfonce en toi comme dans un rêve, je te suce les tétons, t'embrasse à pleine bouche. Tu soulèves ton bassin pour mieux me sentir. Je ne peux plus me retenir d'autant que tu me serres avec tes jambes et soudain on se met à jouir à l'unisson. Tu pousses un long cri aigu, et je me vide en toi. Quel régal ! Tu es superbe et tu baises comme une salope !
Le serveur a fini par arriver, attiré par nos cris. Il est là, pétrifié par la vision torride que nous lui offrons. Tu lui souries d’un air engageant… Je sais que tu aimes être vue quand tu fais l’amour.
Il s‘approcha de nous, et tu lui dis : « Ca te plait ? Tu veux rester avec nous ? J’ai aussi envie de te voir là… »
Il hoche la tête, et bafouille : « Je vais fermer le bar, comme ça, on sera tranquille ! »
Il revient quelques secondes après. Entre-temps, je suis descendu entre tes cuisses, et je tête avec avidité ton clito toujours aussi gonflé. Tu gémis, te tords sous ma langue impatiente. Jules, le serveur, n’en peut plus. Je lui fais signe d’approcher : « Viens voir de près, tu le mérites bien... Elle est belle, cette chatte, non ? Tu en as envie ? Alors, viens, et suce ! »
Il ne se fait pas prier longtemps, et se jette sur toi comme un lion sur sa proie. Il te mange la chatte comme si sa vie en dépendait. Il agite sa tête en tous sens, te lape à grands coups de langue, l’enfourne entre tes lèvres blanches de mon sperme. Tu ne résistes pas longtemps à ce traitement, et tu jouis une nouvelle fois, en criant fort…
Les nageurs de la plage doivent en prendre plein les oreilles ! Je vois ta liqueur couler sur son visage, sur sa bouche. Il se relève, il bande tellement que sa queue dépasse de son pantalon. C’est un beau black, il n’a sans doute pas vingt ans. Il est encore ahuri de vivre une telle expérience…
Tu lui dis de baisser son pantalon. Il obéit, et laisse apparaitre une bite monstrueuse, longue et épaisse. Sans doute au moins de 25 centimètres, pour un diamètre proche d’une canette de bière ! Tu pousses un cri d’admiration, mais tu protestes aussi :
« Sa bite est splendide, mais elle est trop grosse pour moi… Viens m’aider à lui faire plaisir. »
Là, c’est moi qui proteste : pas question de toucher une bite, aussi belle soit-elle !
« Nico, tu sais que j’aime trop voir deux hommes ensemble. Alors, si tu veux qu’on se revoie, tu vas le sucer avec moi ! Sinon, dégage de là ! »
J’ai trop envie de la revoir, de la baiser tant et plus. Alors, après tout pourquoi pas... Tant qu’elle ne me demande pas de me faire enculer…
Elle s’assied sur la banquette, je me mets près d’elle. Jules s’approche, un peu intimidé :
« Je ne sais pas trop si j’ai envie qu’un homme me suce… »
Tu lui réponds d’un ton plutôt sec :
« C’est comme tu veux, mais comme je viens de dire à mon ami, si tu ne veux pas, tu bouges de là. On continuera sans toi ! »
Visiblement, l’envie de baiser est la plus forte chez lui !
Sa queue est dressée vers le plafond, et touche son ventre. Il est juste devant nous. Je vois ce gourdin immense, qui me donne des complexes.
Tu commences à emboucher son gland, mais il rentre à peine dans ta petite bouche. Alors, tu fais glisser ta langue contre cette énorme colonne de chair noire.
« Fais comme moi », m’ordonnes-tu, les yeux brillants d’excitation.
Je saisis les couilles énormes du serveur. Elles sont plus grandes que ma main ! Je commence à sucer ce membre raide. En fait, ce n’est pas désagréable... C’est doux et lisse sous ma langue. Il vibre sous nos caresses combinées. Sa bite tressaute, comme dotée d’une vie autonome. Il pousse des soupirs, marmonne des sons incompréhensibles, il s’agite de plus en plus.
Je sais qu’il va jouir, mais je n’ose pas me retirer. Tu te délectes toujours de ce chibre monstrueux. Tu le lèches de plus en plus vite, tu le branles aussi énergiquement. Pas étonnant qu’il ait envie de jouir ! Un spasme secoue sa verge, un jet puissant en sort. Un jet se sperme comme je n’en n’ai jamais vu de ma vie !
Son foutre épais va s’écraser sur le miroir qui est derrière nous. Il éclabousse la glace, et rejaillit sur nous. Une éjaculation pareille, c’est phénoménal ! Le sperme continue de sortir par saccades de son sexe toujours aussi bandé. Ca semble ne jamais vouloir d’arrêter. Tu es hypnotisée par ce torrent de foutre, dont la blancheur contraste fortement avec le noir de sa peau d’ébène.
Il recule, et tombe comme une masse sur une chaise.
Tu ris aux éclats :
« Tu as vu comme il a joui ! C’est super, j’adore voir ça ! Mais ca m’excite, j’ai encore envie de toi… »
Moi aussi, sucer ce sexe majestueux m’avait donné de nouvelles envies de toi… Je crevais d'envie de te pénétrer. Tu t’étendis sur moi tête-bêche et je tendis les lèvres vers ta grotte inondée d'une liqueur au parfum suave. Ma langue glissa entre les lèvres de ta chatte pour y laper, à nouveau, toute la liqueur féminine qu'elle pouvait y trouver, tandis que ta langue s'enroulait autour de mon sexe, durcit par cette nouvelle expérience. Tu me suces goulument, tu m’aspires, m’agace de tes dents. J’en fais autant, et je te sens mouiller de plus en plus. Tu as un nouvel orgasme, fort, car tu m’inondes aussi le visage. Tes cris sont étouffés par mon vit qui te remplit la bouche. Jules est tout prés de nous. Il n’a pas débandé, et se branle avec énergie. Sa main monte et descend inlassablement sur sa queue énorme.
Tu recraches ma queue, et me supplie presque :
« Nico, bourre-moi avec ta queue, fais-moi jouir encore, baise-moi à fond ! »
Comment résister à une telle invitation ? Je me relève, et viens enfoncer ma bite dégoulinante de ta salive tout au fond de ta moule béante…
Je vais et viens de plus en plus vite et tout à coup, sans que nos yeux se quittent, ton corps se tend comme un arc et tu cries encore de plaisir. Je sens ta chatte qui mouille de ta jouissance et ton jus coule le long de ma queue. Mon plaisir monte et sentant ma jouissance toute proche, tu te retires pour porter ta bouche près de ma queue. Tu me branles, et j’enfonce mon gland entre tes lèves ouvertes. C'en est trop et je décharge tout mon jus au fond de ta gorge. Tu pompes tout, jusqu'à la dernière goutte.
Presque en même temps, Jules jouit aussi, son foutre jaillit et explose sur tes seins.
Tu lui dis alors :
« Tu es un vilain garçon, tu m’as salie... Viens me laver maintenant… »
Ne comprenant pas, il fait mine d’aller vers le bar.
Tu le rappelles :
« Non, je veux que tu me laves de ton sperme avec ta langue ! »
Il a une moue de dégout, mais vu le regard d’acier que tu lui lances, il sait qu’il n’a pas le choix…
Il s’agenouille près de toi, et avec sa langue, à la dimension de son sexe, impressionnante, suce tes seins avec application. Leurs pointes est dure, érigée. Il n’en laisse pas une goutte… et je le vois quémander des yeux une dernière faveur…
Tu hoches la tête, il te bascule sur la banquette, et de nouveau, te dévore la chatte remplie de cyprine et de mon sperme. Il ne débande pas, et pour le stimuler je ne peux m’empêcher de le branler... Mais que m’arrive-t-il ? Tu me rends fou ! Jamais je n’aurais imaginé avant ce jour avoir envie de branler un homme ! Il est à angle droit avec toi, tu tournes la tête, et tu me vois le masturber. Visiblement tu aimes cette vision !
Sa langue est tellement longue qu’il arrive à te pénétrer comme il le ferait avec un sexe. Mes yeux sont fixés sur cet organe qui te baise profondément.
Pour la dernière fois, tu jouis un hurlant encore plus fort qu’avant. Jules ne résiste pas, et éjacule encore, inondant mes doigts de son foutre chaud. Je suis un peu dégouté, et vais me laver les mains au bar. Je te vois, allongée, pantelante, épanouie, heureuse... Tu me plais encore plus, si c'est possible...
Je reviens vers toi, et tu me dis :
« Merci pour cet après-midi inoubliable... C’était géant, tu es un bon amant, et je veux que nous recommencions à baiser comme ça… »
Elle ajoute, en regardant Jules :
« Si tu as aimé, je t’inviterai, pour baiser vraiment. J’ai des amies qui adoreront ta splendide queue noire ! »
Il dit oui, bien sur, et griffonne son numéro de téléphone sur un papier. Tu te rhabilles comme si de rien n’était, déposes un baiser léger sur mes lèvres, et tu files vers la sortie. Jules t’ouvre la porte, et tu disparais dans la chaleur moite de ce jour magique.
Je crois que je vais de plus en plus me tourner vers l'initiation des jeunes hommes vigoureux, pour leur apprendre ce que les femmes aiment vraiment...
Ce fut une belle experience, mais qui a près de deux ans maiontenant... je DOIS recommencer !
Et moi donc ! qui sait, arriverai-je peut etre un jour à venir te voir...
Ce fut une très belle experience, je l'avoue...
Dès que j'en ai le temps... Cette année est pire que les autres !
Tout n'est pas rose, surtout en ce moment où il est à Paris avec une uatre... Mais elle, elle ne sait pas que j'existe ! bisouxxx à toi