Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Pour ce soir, juste une petite anecdote, quelques lignes pour vous raconter ce qu’il s’est passé il y a quelques jours, lors d'une belle soirée d’été.
Certains des textes. Certains textes suscitent aps mal de commentaires... L'un deux m’avait vraiment plu, et j’ai contacté son auteur, Pascal.
Après quelques échanges de mails, nous nous rendons compte que nous sommes voisins. Divine surprise !
Sans plus attendre, il me propose de nous voir dans les minutes qui suivent. J’hésite un peu, après tout, c’est peut-être un satyre, un pervers avec de mauvaises intentions…
Et c soir-là, j’avais des envies très égoïstes : je veux juste me faire bien lécher, caresser, doigter, mais pas de me faire prendre.
Je lui dis ce dont j’ai envie, en précisant que je refuse une pénétration si on se voit le soir même. Il me jure qu’il fera uniquement ce que je veux. Je me décide à prendre le risque.
Dix minutes plus tard, nous nous retrouvons dans le chemin, vous savez, celui où personne ne passe…. Il est là, dans son grand 4x4. C’est la pleine lune. On y voit comme en plein jour.
Beau gars, air gentil, œil très allumé. Je suis à peine arrivée, qu’il a déjà la main sur son pantalon. Il se masse le sexe à travers la toile. Il me dit qu’il bande depuis un bon moment déjà. Je lui demande de me le prouver… ;-)
Aussitôt dit, aussitôt fait, il déboutonne son jean, et une belle bite de bonne taille surgit par la braguette. Voir cette flamberge au vent renforce immédiatement mon envie de sexe…
Il abaisse la porte de son coffre, il y a une couverture déjà prête. Je m’allonge dessus, la jupe relevée. J’ai négligé de porter une culotte, ca me semblait tout à fait superflu, vu les circonstances…. Me voilà allongée sur le dos, les jambes écartées au maximum. L’alizé vient agréablement chatouiller mon clito bien dressé. Pascal n’attend pas très longtemps, et se jette sur ma chatte offerte. Il a une langue d’enfer !
Elle passe partout, me mouille, me détrempe, elle est chaude, ferme, dure et douce. Il va du clito à mon petit trou, ne néglige aucun endroit. Ses doigts viennent aussi me fouiller bien profond, m’écarter au maximum, de façon totalement impudique. C’est vraiment ce que je préfère ! A mon grand regret, je ne tarde pas à jouir assez fort. Regret, car j’aurais voulu en profiter plus encore. Pascal semble avoir compris, et ne lâche pas mes lèvres inondées. Mais après la jouissance, je suis hyper-sensible. Chaque mouvement de langue m’arrache un cri de plaisir. Je n’en peux plus, et finis par lui demander grâce. Il s’arrête, mais pour mieux se branler.
Je m’assieds, il a son pieu dans la main, juste sous mes yeux. Je ne rate pas une miette de superbe spectacle : une bonne branlette au clair de lune ! Je regarde sa grosse queue, à quelques centimètres de moi. Je ne peux m’empêcher de porter ma main sur ma chatte toujours dégoulinante. Il se branle fort, de plus en plus vite, il halète, fixe mon con tout ouvert pour lui. Il finit par lâcher un long jet de foutre, qui va se perdre dans l’herbe. Ca m’a excité de nouveau, j’ai toujours autant envie de sexe brut, comme ça.
Je le dis à Pascal, et bien sur, trop gentil, il se rue à nouveau sur ma fente baveuse. Il ne lui faut que quelques trop brèves minutes pour me faire avoir un super orgasme.
J’ai la tête qui tourne, je suis complètement molle et vidée… Je dois rentrer, on m’attend à la maison. Je peux à peine marcher, tant le plaisir a été fort et violent…
Bien sur, nous avons recommencé plusieurs fois. C’est trop bon, d’avoir un voisin discret, mais toujours prêt à baiser !!!
Sophie, ma jolie libertine, il y a des moments comme ça où j'aimerai être ton voisin. J'ai la langue bien pendue,tu sais!!!
Oh que oui ! je reve de t'avoir comme voisin. D'autant que tous les deux, vous vous entendriez très bien, car lui aussi est bi...
Eh oui, peut-etre que tu n'as pas assez ouvert les yeux, mon chéri....
En privé, si tu veux....
Tu me fais ce plaisir, douce Sophie ? je meurs d'envie de deguster ta belle chatte mure...