Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Au bout de dix ans de séjour dans cette île de la Caraïbe, je peux vous dire que son principal intérêt réside dans la perpétuelle séduction qui se joue entre les hommes et les femmes d’ici.

On dirait qu’ils sont toujours prêts à se laisser aller à leurs désirs les plus lubriques... comme en Guyane ! 

 

Il y a cinq ou six ans, j’avais alors une quarantaine d’années, mais on m’en donnait en général bien moins… Sans doute grâce à mes rondeurs, qui empêchent les rides de s’installer...

 

Cet été-là, une amie m’a demandé de garder sa maison, pour éviter les cambriolages de plus en plus fréquents. Elle a une maison splendide, qui donne sur la mer turquoise, une très belle piscine orne le jardin, plein de fleurs magnifiques… Je passe des vacances de rêves,  seule à la maison. Je passe une bonne partie la journée nue, au bord de la piscine à l'ombre d'un arbre du voyageur. Bien sur je m'octroie des plaisirs coquins avec des hommes de passage dans l'ile...

 

Pour le service de la maison, mon amie dispose de deux serviteurs. Une jeune femme qui s'occupe du ménage et de la cuisine, et un gardien qui est assis sur une chaise à la grille d'entrée. Ceci me donne l’impression d’être à l’hôtel !

 

Etant seule, j'ai l'habitude de circuler nue dans la maison et dans le jardin sans me soucier des deux serviteurs, lesquels trouvent cela parfaitement naturel et sont infiniment moins complexés que nous autres, européens.

 

Chaque jour, je passe une heure ou deux, allongée sur une chaise longue, non pas au soleil bien sûr, mais à mi-ombre. Mais il faut néanmoins se protéger des rayons dardants, et c'est ce qui m'a donné l'occasion de mieux connaître mon personnel. C'est venu tout naturellement.

Je voulais m'enduire de crème solaire et dans ce but, j'appelai Philomène. Vingt ans, jolie poitrine, longues jambes fuselées et un adorable petit derrière qu'elle balançait continuellement…

 

J'étais étendue sur le ventre, et Philomène vint s'agenouiller au bord de la chaise pour commencer à étaler la crème sur mes épaules. Elle ne disait rien et faisait son travail doucement, consciencieusement, en répandant un parfum troublant de vanille et de monoï. Je fermais les yeux et appuyais mon front sur mes avants bras pour suivre, avec ma sensibilité en éveil, les mouvements de ses doigts. Elle ne se contentait pas d'étaler le produit, elle en profitait pour faire une sorte de massage.

 

Je suivais avec beaucoup d'attention les trajets qu'elle empruntait avec ses mains expertes, trajets qui semblaient avoir un but précis. Elles allaient du haut vers le bas.

Après avoir terminé avec mes épaules, elle descendit sur mes hanches, et passa à plusieurs reprises sur le bord de mes seins. Etait-ce une idée ? Elle sembla s'attarder plus que nécessaire sur ceux-ci.


Puis elle arriva à mes reins qu'elle enduisit, mais de là, alors que j'attendai avec une certaine impatience qu'elle s'occupe de mes fesses, elle alla directement à mes mollets. Je l'attendai à la remontée maintenant : il faudrait bien qu'elle y vienne.

Elle y vint. Philomène m'enduisait les fesses délicieusement en les massant fermement mais délicatement, avec une certaine tendresse, dirais-je.

 

J'écartais mes cuisses comme pour l'inviter à n'oublier aucun recoin. Elle n'oublia rien et passa dans ma raie à plusieurs reprises. J'avais le sentiment qu'elle prenait plaisir à son travail, et moi aussi. Elle termina par mon petit trou, quand je me retournais sur le dos pour lui présenter l'autre face. C'est ce côté là qui m'intéressait le plus. C'était là que j'allai pouvoir vérifier la véracité de mon impression…

 

Je gardai ostensiblement les jambes ouvertes, mais elle commença aussi par le haut, par mes épaules et mes seins. Mais cette fois, elle s'attardait beaucoup plus que nécessaire sur eux.

Mon impression se confirmait. Son massage devenait une véritable caresse qui avait une autre finalité que d'étaler de la crème. Elle fit durcir les pointes de mes seins sous ses doigts. Je laissais échapper quelques gémissements de bien-être pour lui faire comprendre combien j'appréciais son massage.

 

Elle descendit sur mon estomac, et fut bientôt sur la racine de mes cuisses. Elle resta en bordure de mon pubis, contournant ma fente pour masser mes cuisses, remontant vers le pubis, qu'elle effleurait au passage.

Visiblement, elle n'avait pas assez d'audace pour caresser mon abricot.


J'ai vu le moment où elle allait se relever et retourner à la maison, son travail terminé. C'est moi qui aie alors pris sa main poisseuse de crème pour la conduire à ma chatte. Elle ne résista pas à l'invitation, et entreprit de me la branler avec douceur.

 

Elle avait des doigts merveilleusement agiles, souples et savants.

De ces doigts qui ont une longue expérience des chattes. Elle était en train de me faire gonfler le clitoris quand j'eus mon premier orgasme. Je crie quand je jouis...

Je ne sais pas jouir silencieusement, il faut que je crie. J'ai crié mon plaisir en me cabrant comm une jument. La jeune servante coninua sa deli cieuse caresse, et se pencha poue lecher du bout de sa langue mon clito bien érigé.

 

Le veilleur avait entendu depuis son portail. Il était venu assister à toute la scène, en silence. Philomène avait abandonné toute mission de protection solaire pour se consacrer à la jouissance de sa patronne. Edmond s'approcha et semblait hypnotisé par la langue de sa collègue aui titillait ma vuvle hypertrophiée de desir. Presque mécaniquement, il se caressait l'entre-jambe, je voyais une bosse fort prometteuse se formser sous le fin tissu de l'uniforme.  J'étais fascinée par sa grand main noire qui caressait le sexe invisible. Subitement, il defit son pantalon et saisit sa bite longue et épaisse. Lentement, il commença à se masturber. Philomène accéléra sas mouvements de langue, et je ne pus me retenir de jouir uen seuxième fois, en criant encore plus fort... 

 

Bien qu'ayant joui, j'avais encoe plein de serir, surtout en matant la grosse queue noir et brillante du gardien. Aussi, je mouillai tant et plus. Voyant cela, Philomène s'en retourna à la maison et revint aussitôt avec dans les mains une banane plantain. Elle l’enduisit d’huile, et essaya de me l'enfiler dans la chatte, pour mon plus grand plaisir. Malheureusement le fruit, trop mûr, se cassait, s'écrasait à l'entrée de mes petites lèvres, et ne remplissait pas du tout sa nouvelle fonction.

 

Philomène se leva à nouveau, et se diriger vers Edmond. C’était un grand gaillard musclé et torse nu. Elle tira son pantalon vers le bas, laissant apparaitre l'épieu dans tout son entier et toute sa splendeur. Elle me le présenta, comme elle l'aurait fait d'un fruit, une queue raide et énorme qu'elle prépara en décalottant d'un coup de langue le gland du gardien.

 

Puis elle le fit s'installer entre mes cuisses ouvertes et le conduisit à l'entrée de ma chatte. La scène était assez cocasse, car Philomène se comportait comme une assistante de dentiste, toujours technique, seulement technique.

 

Jamais de ma vie je n'avais été investie par une si grosse queue. Une énorme queue noire, raide, incroyablement horizontale, luisante, pointée vers moi, prête au service. Le double, largement, tant en longueur qu'en épaisseur, du membre de mes amants habituels.

C'est au point que le gland du gardien coinça au bout d'à peine un ou deux centimètres. La scène était drôle. J'étais là, ouverte en deux, attendant la saillie, devant mes deux serviteurs, un peu comme une jument à laquelle on présente un étalon…

 

Philomène donnait des conseils avec un naturel désarmant, comme si elle était en cuisine à préparer un repas. Elle me demandait de m'ouvrir encore plus. Elle élargissait ma fente avec ses doigts. Rien n'y fit, le gardien ne pouvait pas me pénétrer. Philomène s'est alors mise derrière le gardien et, employant les grands moyens, a appuyé de tout son poids sur les fesses de l'homme, dont le sexe se fraya un passage de force dans mon vagin.

 

J'avais les doigts crispés sur le bord de la chaise et souffrais de sa pénétration comme lors d'un accouchement. Mais une fois entrée, cette énorme bite, fut un régal pour mes sens. Il n'avait pas besoin de bouger pour me faire jouir, sa queue n'avait pas besoin de chercher à frotter mon clitoris, elle me remplissait de partout, et je ne suis pas certaine qu'il ait pu tout faire entrer.

 

Quand il se mit à bouger, je fus obligée de m'agripper à ses fesses. J'avais entouré ses cuisses avec mes mollets, tandis qu'il s'était mis en appui sur ses mains pour soulever son buste. S'il arrivait à Edmond de faiblir, Philomène reprenait alors ses efforts sur les fesses de mon étalon pour que sa queue reprenne son service.

Tout pour mon plaisir !!!


Il me baisa ainsi, longtemps, bien, fort , sans me laisser de répit. Il me lima, me laboura la chatte.

Philomène regardait, debout, attentive, encourageant le gardien, lui donnant des ordres, comptant mes orgasmes jusqu'à ce que Edmond se vide totalement en moi.

Comme ses couilles étaient proportionnées à sa queue, il était couru qu'il aurait beaucoup de semence à déverser.


Effectivement, il mit beaucoup de temps à se vider entièrement dans ma chatte. Je fus littéralement inondée de son foutre, tandis que lui, parcouru par un frisson sans fin, s’effondrait sur moi. Pourtant, il n'en finissait plus de jouir, de se purger ses énormae couilles...


Inutile de vous préciser que la fin des vacances fut torride, au point que Philomène se joignit tous les jours à nos ébats, et me fit découvrir les délices de Lesbos…

Ven 7 fév 2014 11 commentaires
Quelle chance d'avoir des serviteurs aussi dévoués ! ca me donne envie de recruter de suite un beau mec qui pourrait garder ma maison et me baiser quand j'en ai envie... On pourrait peut etre reduire le chomage comme ça...
Janine - le 11/10/2009 à 21h10
Tu as tout à fait raison.. Reste à trouver les hommes qui seraient ok ! Moi, je crois que je vais en faire tautnat, mais je ne payerai pas cet homme à plein temps, je n'en n'ai helas pas les moyens... A moins qu'il ne me fasse un prix... ;-)
Sophie de R.
Si vous le voulez, mesdames, je suis votre homme.. je viens garder votre maison, et on fait des méga parties sexe à fond... Je suis endurant, et j'adore honorer une ou plusieurs femmes... Ecrivez-moi !
Harold - le 13/10/2009 à 22h58
Harold, tu es serieux ? Si c'est oui, jhe te recrute. je meurs d'envie d'avoir un homme toujours pret à me baiser, dès que possible, avec ou sans mon mari. Alors, fais-moi signe sur le blog ! Je t'avertis, je suis une hypersexuelle, alors, il faudra assumer !
Sylvia - le 19/10/2009 à 19h54

Wahou ! je te retrouve bien là ma chère Sophie...

si tu voyais dans quel etat je suis !

Allan - le 07/02/2014 à 14h01

Mhummm j'aimerai bien voir, justement !

Sophie de R.

Tiens, the retour, et quel retour. Super

Je te reconnais bien là chère Sophie. Encore.

L'amoureux - le 08/02/2014 à 23h41

Mais c'est grace à toi, tu le sais bien...

Sophie de R.

Le coup de patte est toujours là, comme les coups de qu....

 

Cachotier - le 08/02/2014 à 23h45

Coquin !!! je te reconnais bien là !

Sophie de R.

Super récit.

J'envoie un cv au cas ou Philomène serai virée.

Bisous Sophie.

Candy34 - le 09/02/2014 à 09h43

Tu trouverai sans problème ce genre  de job, du coté de Saint Martin ou de Saint Barth !

Bisous, ma belle.

Sophie de R.

.....merci Sophie pour ce délicieux récit

Bises

jean-louis - le 11/02/2014 à 16h46

Merci Jean-Louis, ca me fait plaisir de te lire à nouveau !

Sophie de R.

Ma belle Sophie, plus rien ne m'etonne. tu es une femme fabuleuse ! "la" femme !

Michel de Lyon - le 11/02/2014 à 19h52

Tu es trop gentil avec moi.... je n'en mérite pas tant !

Sophie de R.

je me suis régalé, Sophie chérie.

Voilà longtemps que tu ne nous avais pas donné à lire une de tes aventures. Avec ce style qui n'appartient qu'à toi, je me voyais assis sur un transat te regardant recevoir du plaisir. Tu me faisais bander.

Merci encore d'éveiller en nous quelques désirs supplémentaires. Tels que participer à tes ébats.

Brunobi - le 14/02/2014 à 16h42