Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Les années passant, je commence à assumer ce qui, auparavant, me paraissait impossible. Je suis devenue une petite salope, j'aime la baise. Je vais lire des histoires pornos sur le net, et maintenant j'en écris.
En plus, ça m'excite énormément de savoir que vous, les hommes, et les femmes, que je ne connais pas, se masturbent en lisant le récit de mes débauches sexuelles.
J'ai souvent envie de deux hommes, c’est trop bon !!!
L’autre soir, je me suis retrouvée entre vous, Tom et Peter, mes vieux copains avec qui je n’aurais jamais imaginé que... Mais ce soir-là, en pleine foret, la chaleur aidant, nous nous sommes retrouvés nus, à parler de sexe. Vous avez fait un pari : je devais déterminer lequel d’entre vous faisait le mieux l’amour…
Le résultat ne s’est pas fait attendre, et je me suis retrouvée là, devant vous deux, voulant me séduire à qui mieux-mieux, balançant vos queues sous mon nez et ma bouche.
Je ne pouvais pas choisir, alors, une queue dans chaque main, j'ai branlé vos sexes raides, longs et durs, qui sont un appel à la baise.
Puis, je vous ai sucé, à tour de rôle, aussi longtemps l'un que l'autre (je ne veux pas de jaloux), tournant ma langue sur vos glands sombres et vibrants, suçant la pointe et descendant pour gober les couilles. Et quand vous avez commencé à gémir de plaisir Tom m'a couchée et a écarté les cuisses. Là, vous m'avez léchée chacun votre tour. Bande de salauds, que vous êtes bons... Si j’avais su cela avant… ;-)
C'était trop bandant. La règle était de savoir lequel des deux m'excitait le plus et lequel des deux faisait mieux l'amour.
A ce jeu-là vous vous êtes donnés du mal. Me mangeant chacun les seins, aspirant les pointes, les tirants, laissant aller vos mains sur mon corps, librement.
Mettant vos doigts dans ma chatte détrempée, je mouillais tellement que je me croyais dans le fleuve avec le clapotis sur la berge.
Puis, vos doigts dans mon cul, qui rentraient et sortaient, en tournant, vous m’avez bien dilatée. Je savais que je serais enfilée des deux cotés.
Je jouissais par saccades, sans répit… Mais il n’y avait pas de gagnants. Il m’ne fallait plus !
Entre les « ma petite cochonne et ma petite salope », je ne savais plus à qui répondre, alors je vous ai attrapé tout les deux par le cou et vous ai dis : « Baisez-moi, sautez-moi,
défoncez-moi, j'ai envie de vous deux en même temps, dans la chatte, dans le cul, dans la bouche, où vous voulez, mais sautez moi ! J'ai trop envie. »
Je veux de la queue, de la baise, du foutre, plein partout !!!
Alors, Peter s'est allongé sur le dos me mettant sur lui, de face et me plantant sa grosse queue, raide, dans le ventre.
Les mains en avant, il agaçait mes seins, en tirant bien sur les pointes, et en me forçant à me courber vers lui. L'autre derrière moi, me voyant bien penchée, me remit un doigt, puis deux dans
le cul pour recommencer à m'élargir le passage.
Je me sentais bien, je me sentais salope, je me sentais baiseuse en voyant dans ma tête le spectacle que nous devions donner.
J’étais couchée sur Peter, le cul en l'air, sentant sa grosse bite me ramoner la chatte, et les doigts
de Tom venir s'enfoncer, toucher le sexe de Peter dans mon vagin de petite pute.
Prenant du jus venant de ma chatte, Tom me lubrifie encore plus l'anus et, avant que j'aie réalisé, je sens son gland dur et chaud s'appuyer sur ma rosette, et commencer à s'enfoncer doucement. Je me retrouvais entre vous deux avec l'impossibilité de partir, possédée par deux queutasses en folie et en fusion. La verge dans mon cul rentrait d'une seule poussée lente et inexorable, s'enfonçant progressivement, me remplissant d'un plaisir salace et lubrique.
Ca y est. J’étais prise par deux salauds qui avaient promis de me faire jouir comme une malade. Je sentais dans mon ventre les deux bites se synchroniser, l'une rentrant pendant que l'autre
sortait. J’avais l'impression d'être coupée en deux et cette partie de mon corps vivait comme indépendante de moi. Les grosses couilles de Tom venaient battre sur mes cuisses dans un bruit sec et
orgasmique.
De l'orgasme, du stupre, de la jouissance c'est ce que je sentais.
J'avais des mains qui me pétrissaient les seins en les faisant grossir, pendant que d'autres mains me tenaient fermement la croupe pour bien me faire m'emmancher.
Laissant toujours promener vos mains partout, je les sens dans la bouche, dans mon dos, sur mes seins, entre ma chatte et mon cul, titillant un clito en pleine excitation.
Puis, tout change, je suis toujours entre vous deux, mais les queues changent de place, mon cul et ma chatte font la différence, mais ça reste toujours extrêmement bon, agréable et salaud.
Dans une lointaine présence j'entends : « Ah., t'aime ça, te faire défoncer ma petite cochonne! Alors, hein, tu ne voulais pas te faire prendre par deux mecs ma petite salope, avoue que maintenant tu aimes ça ! Hein que tu aimes ça ? Ca te faisait drôle au début, mais maintenant tu sens que c'est le pied. Deux queues dans ton ventre. Pour que tu jouisses. Deux salauds, plantés dans toi, qui te liment comme des malades, finalement tu ne regrettes rien, hein ? »
Je suis dans une demi-consciente, et j’articule péniblement : « j'aime ça, videz-vous sur moi, je veux votre sperme sur les seins et sur le ventre. Vous êtes deux salauds exceptionnels. Je me sens comme une pute qui se livre à la débauche la plus salope. Je suis avide de queues, de foutre, de baise, de membres.»
Alors, toujours synchronisés, vous accélérez vos pénétrations, me faisant décoller dans l’extase. Quel spectacle dois-je donner ?
Emmanchée entre deux bites qui me pilonnent en me faisant hurler de plaisir, je jouis la bouche ouverte, les tempes mouillées par la sueur…
J'hurle brutalement, tant la décharge est forte. Elle part de mon ventre bourré à bloc par vos membres.
Vous vous retirez de moi, et vous vous mettez à vous branler, moi au milieu et vous de chaque côté. Puis dans des râles de plus en plus forts et puissants je me retrouve noyée dans un flot de foutre. J’astique mon clito en feu, et je jouis encore, je crie, je bouge en tous sens.
Je sens une langue dans la bouche et l'autre entre mes jambes et je tombe dans une transe déchaînée où, à la fin, je n’arrive plus à respirer. Je vous supplie d’arrêter… « Arrêtez-vous, je n'en peux plus… »
Mais sans pitié, vous continuez à me sucer les seins et la chatte, à me branler à tour de rôle, à me rentrer vos sexes dans la bouche pour que je vous suce complètement, pour que je redonne de la
vigueur à vos grosses bites,
Paradoxalement, je sens que j'en veux encore. C’est trop bon de s'être fait baiser comme ça, d'avoir
pris deux queues par tous les cotés, avec cette sensation, salace, d'avoir servie à faire copieusement jouir deux baiseurs de première, qui sont encore en train de se préparer à me bourrer de
nouveau.
Alors, vous vous allongez à côté de moi, trempés de sueur, prêts à l’action, une nouvelle fois. Mes mains partent à la rencontre de vos bites qui se mettent à gonfler et à vibrer en
suintant doucement du bout.
Je me tourne vers Tom, et passe sa queue entre mes seins dont les pointes sont toujours grosses et dures. Derrière, Peter, sans me prévenir, me saisit aux hanches et d'un coup brutal me défonce
le cul.
« Ah, enfant de salaud, n'arrête pas, continue, ah que j'aime ça maintenant, me faire prendre comme une chienne en chaleur par ta grosse queue. » Je crie mon plaisir en crachant ces mots orduriers.
Comme j'ai la bouche ouverte pour laisser crier ma jouissance, Tom en profite pour y enfoncer son membre épais.
De nouveau les coups de queues me mettent le cul en chaleur, et cette fois j'ai envie de sentir du
foutre venir gicler en moi. Alors, je donne des violents coups de hanches d'avant en arrière, pour bien me faire limer, défoncer, mettre, baiser.
Dans un râle animal, je sens partir, depuis la bite de Peter qui s'est encore raidie, de puissantes giclées de sperme qui me remplissent le ventre. Cette décharge me fait encore partir en vrille et je me remets à hurler que c'est bon, que je suis salope…
Sortant de ma bouche, Tom que je suçais, me fait retourner en poussant Peter, qui me sodomisait en poussant un grand râle. Il me défonce à son tour, en s'enfonçant comme un pieu à la place de
l'autre, Je jouis tant et plus, je me sens baiseuse et pute. C'est moi qui fais ça ? Je baise comme une vraie salope, je prends du chibre de tous les cotés, je suce deux mecs bien montés qui
me rendent folle de sexe !!!
Je ne me reconnais pas… Moi, la sage bourgeoise, si bien élevée dans l’ignorance totale du sexe…
D'un coup, une chaleur liquide m'envahit le ventre, en même temps qu'une grosse giclée de foutre arrive sur mon visage. J'en ai plein les yeux et les cheveux et le reste part de nouveau sur ma poitrine gonflée.
Jamais je ne pourrais dire qui est le meilleur baiseur des deux !
Nous nous abattons tous les trois, épuisés, sur le sol dur du carbet. La nuit amazonienne a tout entendu de nos folies sexuelles, de nos dérives lubriques. Mais elle n’en dira rien. Le secret sera bien gardé.
Enfin, jusqu’à ce jour, où je vous raconte tout…
Mais ce jour-là, nous avons juste suivi la crique*, et le carbet est en bord de rivière. Alors, on ne risque pas de se perdre !
* Crique : petite rivière qui alimentent les grands fleuves amazoniens.
Je ne manque pas une occasion de me faire plaisir... en fait, c'est très égoïste !