Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Sophie, rêve ou réalité ?
J'étais en train de rentrer chez moi. Je n'avais qu'une envie ; me mettre à l'aise et prendre une bonne douche.
La chaleur avait été plus pénible que les autres jours, mais cette journée m'avait fait entrevoir tout plein de corps de femmes qui se dénudaient toujours un peu plus au fur et à mesure que le thermomètre indiquait une température de plus en plus chaude.
Après avoir ouvert la porte de mon appartement, j'ôtais rapidement les habits moites que j'avais du supporter toute la journée. J'étais enfin à l'aise.
Un coup d'œil rapide dans le miroir de la chambre laissait apparaître un début d'érection, je souriais...
J'ouvrais à fond le robinet de la douche, le bruit de l'eau remplissait me tête et je fermais les yeux...
Bien rafraîchi, je décidais de m'allonger quelques instants sur le lit.
Je repensais à ces jambes nues, ces seins tout tendus, ces lèvres moites que j'avais croisés tout au long de la journée.
Je me remémorais plus particulièrement un téton que j'avais senti durcir lorsque j'avais effleuré par mégarde le chemisier de ma voisine dans l'ascenseur.
Je n'avais pas envie de retenir cette sensation toute chaude qui grandissait en bas de mon ventre et je laissais mes pensées vagabonder sur ce téton et ces seins que j'imaginais bien fermes.
Mon sexe était du même avis car sans me demander quoique ce soit, il pointait déjà tout dur vers mon nombril. Je gardais les yeux fermés et mes pensées étaient de plus en plus troublantes, quand soudain, j'entendis la porte de l'appartement s'ouvrir.
Je me rappelais que la sœur de mon colocataire devait passer lui apporter des affaires avant la fin de la journée. Je ne prêtais donc que peu d'attention à cette intrusion qui m'avait juste un peu perturbé. Afin de réaffirmer mon excitation, je me replongeais dans mes rêves érotiques. Alors que je commençais à attraper mon sexe bien dur, la porte de ma chambre s'ouvrit d'un coup. Je me retrouvais face à face avec Sophie qui, malgré la gêne occasionnée par la situation, fixait mon sexe avec insistance.
Plutôt que de se sauver, elle rentra et referma rapidement la porte derrière elle.
« Je n'avais jamais eu l'occasion de te voir comme ça ! », me dit-elle en souria,t…
- Non... ... ..., lui répondis-je.
J'étais tellement gêné que je ne savais pas quoi lui répondre.
Je n'avais jamais fait attention à Sophie en tant que femme depuis le temps que je la connaissais. Elle avait maintenant tout juste 19 ans, et la nature lui avait effectivement fait don de quelques avantages non négligeables. Elle avait la bouche entrouverte et respirait profondément. Sa poitrine se soulevait à chaque fois et je voyais ses tétons tout durs pointer sous son T-Shirt.
« Ferme les yeux », me dit-elle.
Troublé, j'obéissais. J'entendais son corps bouger dans la chambre et je sentais qu'elle s'approchait de moi. Je sentis qu'avec deux de ses doigts elle faisait pointer mon sexe vers le plafond de la chambre. Avec deux autres doigts, elle découvrit bien mon gland. Je frémissais... de désir, d'envies... ma tête allait exploser. Tout doucement elle commença à faire glisser ses doigts sur toute la surface de mon gland. Elle salivait dessus et ses doigts repartaient de plus belle. Ses doigts frottaient cette partie de chair qui n'était pas habituée à un tel traitement. Je ne pouvais plus m'empêcher de gémir en continu.
Elle le frottait tout autour, dessus : il était tout rouge tellement il était gonflé. Ses doux mouvements étaient en train de m'emporter trop loin. Je tentais de bouger mon bassin afin de me dégager de cette étreinte, mais ses doigts se voulaient encore plus tendres et caressant et ne voulaient vraiment pas me lâcher.
Je décidais de céder à son étreinte et écartais les jambes afin de mieux ressentir ses caresses.
« C'est bien, tu en veux plus... », me dit-elle.
Je n'en pouvais plus, il fallait faire quelque chose. Comme par miracle, elle s'arrêta.
« Garde les yeux fermés... ».
Je l'entendais à nouveau bouger et entendais ses vêtements tomber sur le sol de la chambre. Je sentais alors Sophie monter sur le lit. Tout doucement elle approcha sa chatte tout près de mon visage alors qu'avec le reste de son corps elle épousait le mien.
« Lèche moi bien... », me dit-elle.
J'avais terriblement envie de la goûter. J'ouvrais les yeux pour mieux profiter du spectacle. Elle était totalement bien cambrée au dessus de mon visage et ses seins s'appuyaient contre mon bas-ventre.
D'une main elle tenait à nouveau mon sexe.
Je décidais d'explorer ses chairs. J'approchais doucement ma bouche. Mes lèvres chaudes se posèrent juste entre ses deux orifices.
A cet instant, je sentis une chaleur intense envelopper mon sexe entièrement. Sa bouche s'était ouverte et avait glissée vers le bas en l'engloutissant presque totalement : j'étais emprisonné.
Depuis le début, j'avais vraiment l'impression de ne rien contrôler du tout. Il fallait qu'elle gémisse autant que moi.
J'écartais son sexe en tirant bien de chaque côté. Ses lèvres étaient toutes rouges et brillaient de désir. Plus je les écartais, plus je voyais l'anneau de son anus se resserrer par petits spasmes.
Sa bouche me tenait encore et elle essuyait de doux petits va-et-vient.
Maintenant que sa chatte était bien ouverte, je déposais délicatement ma langue sur le côté de son orifice. Je léchais le moindre repli. Je mouillais toute la surface qu'elle m'offrait. Je me gardais bien de toucher son sexe, je voulais qu'elle ne désire que cela...
Sa chatte s'ouvrait et se refermait, son bassin insinuait de brefs mouvements. Son corps réclamait autre chose.
Mon sexe était inondé, elle me suçait bruyamment en dégageant totalement mon gland. Sa salive se mêlait à mon excitation. Au moment ou elle m'avala en entier, j'écartais encore davantage sa chatte, et ma langue appuya un peu fortement sur son clito qui n'en pouvait plus de se faire délaisser. Je l'aspirais et le sentais tout dur sous ma langue.
« mmmmhhhhh.... mhhh.... Ha !!!!!!!!!!...... », gémissait-elle.
Elle plaqua un peu plus sa chatte sur mon visage et se releva. Mon sexe était enfin libéré de sa bouche mais sa main restait bien serrée autour.
En gardant ses lèvres bien écartées, je commençais à fouiller l'intérieur de son trou avec ma langue. Sa réaction se fit sentir immédiatement : elle cambra comme jamais je n'avais vu une croupe se cambrer...
Cela eut pour effet de pousser un peu plus au fond ma langue au fond d'elle, mais mes doigts glissèrent et se trouvèrent juste à l'entrée de son petit trou. Je décidais de masser délicatement son deuxième trésor.
Elle gémit de plus en plus et me branla le sexe avec vigueur.
Je devais faire preuve d'énormément de concentration pour ne pas exploser de plaisir.
Nos gémissements se mélangeaient et on ne pouvait plus distinguer de quel corps tout ces bruits sortaient.
Sophie se releva d'un coup et me fit face. Elle était debout au dessus de moi et me regardait comme une proie. Elle regarda mon sexe.
« Je te veux en moi », dit-elle.
Tandis que son corps s'abaissait, elle me fixait du regard. Ses yeux exprimaient l'envie, le désir, la luxure. Son visage arriva près du mien, et au même moment ou sa langue pénétra ma bouche, elle s'empala d'un coup sur mon sexe.
- « Haaaaaaaaa....... », fit-elle.
Ma queue venait de la pourfendre d'un seul coup. J'étais à fond en elle. Sa langue s'activait dans ma bouche et ses fesses ne faisaient que monter et descendre le long de ma tige. Son rythme était insoutenable, je sentais la fin proche. Nos bouches se touchaient, se léchaient, parlaient un langage sensuel que eux seules pouvaient comprendre. Il n'y avait plus que bruits de bêtes, de corps et gémissements.
D'un mouvement, elle releva son buste et j'eus l'impression que je la pénétrais encore plus loin. J'avais devant mes yeux un spectacle merveilleux. Elle avait une poitrine parfaite. Elle ouvrit la bouche encore plus grand, serra ses tétons avec ses doigts.
Je sentis son vagin me serrer incroyablement et sentis mon liquide monter petit à petit le long de ma verge. Je me sentais tout raide. Dans un dernier râle, Sophie se cambra encore un peu plus sur ma queue, et nos deux corps explosèrent ensemble.
Nous hurlions tous les deux notre plaisir. Je touchais et pressais ses seins avec mes mains, j'essayais de lui attraper les tétons avec ma langue pendant qu'elle se frottait à moi. Nous étions bien et la chaleur commençait à redescendre tout doucement.
Je regardais alors Sophie dans les yeux et lui dit :
« Je n'aurais jamais imaginé tout ça...
- Je sais », me répondit-elle.
Je la regardais étonné, mais la sonnerie de la porte d'entrée me fit sursauter. J'ouvrais les yeux, Sophie avait disparue ! Je m'étais assoupi sur mon lit.
Je regardais mon sexe, il était dur.
Je me dépêchais car la sonnerie était de plus en plus insistante. Je me demandais depuis combien de temps je dormais...
J'enfilais rapidement un caleçon, en m'assurant bien que mon érection était redescendue. J'ouvrais précipitamment ma porte.
« Bonjour !!! », me dit Sophie.
Je la regardais comme jamais je ne l'avais regardée.
« Entre... »
Signé Zeffir : zeffir.psy@gmail.com