Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
C'est la fin de vacances, et moi, Alain, jeune homme de vingt deux ans, quitte à regret les spots de surf pour rejoindre, comme chaque année, la grand’messe de rentrée de ma société. C’est mon premier job, et mon premier séminaire. J’en suis tout excité, tout le gratin de la boite va être là, et les meilleurs spécialistes de la Bourse aussi.
Nous sommes tous logés dans des chambres doubles d'un grand hôtel très luxueux de Paris. Lorsque j'arrive le soir à l'hôtel, je passe à la réception prendre ma clé,
puis monte au 29ème étage. Arrivé devant la porte de la chambre 969, j'introduis la clé dans la serrure, mais la porte s'ouvre subitement… C'est la personne qui s'est vue attribuer la même
chambre que moi. J'ai l'heureuse surprise de découvrir une magnifique femme brune d'environ quarante ans. Divine surprise, car un collègue m’avait dit que nous étions mis pas personnes du même
sexe dans les chambres. Elle m'accueille en me disant :
« Bonjour monsieur, je crois qu'on va loger dans la même chambre durant ces prochains jours ! Il ne devait plus y avoir le compte pour des chambres « unisexes. »
J'ai énormément de chance de me retrouver dans la même chambre que cette très belle femme. Je rentre et je pose mon sac sur le lit qui reste libre. On discute un moment pour faire un peu
connaissance, on parle Bourse, de nos services respectifs.
C'est alors qu'elle me dit quelle souhaite prendre une douche avant d'aller à la réunion d'accueil qui a lieu dès ce soir. Elle va dans la salle de bain pour la prendre. Pendant ce temps, je range mes affaires. Elle me demande alors si je veux bien lui apporter une serviette car elle l'a oubliée sur son lit.
Je pénètre donc dans la salle de bain, l'air est très chaud et humide, tous les miroirs sont recouverts de buée.
Et là quelle n’est pas ma surprise de la voir se passer le pommeau de douche sur les seins. Elle a une poitrine très, très avantageuse. Elle laisse le jet d'eau caresser ses mamelons, puis couler jusqu'à son entrejambe. Je suis d'ailleurs étonné de voir sa chatte parfaitement lisse et attirante.
J'entrebâille à peine le rideau de douche pour lui donner la serviette. Elle pousse un petit cri, car elle ne m'avait pas entendu arriver. Elle prend la serviette un peu gênée, car elle doit se douter que je l'ai vue se donner du plaisir sous la douche. Après s'être séchée, elle sort de la salle de bain et je dois dire que, juste recouverte de sa serviette, elle est vraiment très belle et très attirante.
Elle me dit alors :
« C'est à votre tour d'y aller, mon cher, profitez bien de cette douche, elle est vraiment très agréable ! »
Je rentre dans la salle de bain, je me déshabille et je vois qu'elle a laissé ses affaires sur le petit placard. Je suis tout de suite attiré par l'odeur très agréable de sa culotte. Je la repose
aussitôt de peur qu'elle rentre à ce moment-là, et qu'elle ne me voit à moitié nu, sa culotte à la main.
Je rentre donc dans la douche. Toutes ces visions m'ont tellement excité que je bande sous la douche comme jamais auparavant. Sous l'effet de l'excitation, je commence à me masturber, mais je m'interromps, car j'entends la porte s'ouvrir.
La belle brune, source de mon excitation, rentre dans la pièce et c'est alors à mon tour de me sentir terriblement gêné. Elle me dit :
« Je vous apporte votre serviette, vous l'aviez tout ,comme moi, oubliée. »
Je la remercie d'une toute petite voix, compte tenu de ma gêne, elle me tance alors :
« Ne soyez pas gêné parce que je vous vois tout nu. Vous savez j'ai quarante et un ans, alors même si vous êtes jeune, vous devez vous douter que j'ai déjà vu beaucoup d'hommes nus... Et ne
soyez pas non plus embarrassé parce que vous étiez en train de vous masturber, car quand vous êtes entré tout à l'heure, je me caressais moi aussi, c'est normal de se donner du plaisir...
Et tiens, ne me dis plus madame, je m'appelle Margot, je ne suis pas assez vieille pour que tu me dises « madame. »
J'ai à peine le temps de lui répondre qu'elle ouvre d'un coup le rideau de la douche, laisse tomber à terre sa serviette, et me rejoint.
« Alors, tu vois t'as plus aucune raison d'être gêné, nous sommes tous les deux complètement nus. As-tu déjà eu des expériences avec une femme expérimentée de plus de quarante ans, comme moi
ou bien n'as-tu connu que des filles de ton âge ?
- Non heu, c'est vrai vous êtes la première vraie femme que je vois comme ça, nue, en face de moi.
- Quoi qu'il en soit, je vois que je te plais, ta bite est dure et bien dressée. Qu'est-ce que t'attends, profites-en, caresse-moi. »
Je suis scié, il y a à peine une heure, je ne connaissais même pas cette femme et maintenant, je me retrouve nu, en train de bander devant elle dans une baignoire. Nos deux corps se retrouvent
vite en sueur. J'approche alors ma main de son gros sein, et je le touche à peine qu'il pointe. Cela m'excite de penser à toutes les choses que cette femme expérimentée peut m'apprendre sur le
sexe. Après lui avoir bien malaxé les seins, j'approche mes lèvres de sa nuque. Je l’entends gémir de plaisir lorsque je l'embrasse avant de la lécher dans le cou. Pendant que je lui donne du
plaisir avec ma bouche, elle ne perd pas son temps et j'apprécie assez qu'elle parcourt mon corps avec ses mains avant de s'en prendre à mon sexe. Elle vient se positionner derrière moi et me dit
:
« Tu vois, moi aussi je peux te branler, mais n'éjacule pas trop vite, on commence à peine. Tu vas voir ce que tu vas voir. Les jeunes filles que t'as baisées jusqu'à présent ne
connaissaient rien au sexe, je vais te faire découvrir la vraie jouissance au cours de ces jours à venir... »
Elle me demande de m'allonger dans la baignoire, me met un préservatif et s'empale sur ma grosse bite qui n'attendait que ça. Pendant qu'elle va et vient, s'enfonçant sur mon sexe de plus en plus
profondément, je lui tripote les seins, les tire, les tord, ça les fait durcir et grossir. C'est assez obscène de les voir se balancer comme ça, de haut en bas comme des élastiques. Puis
j'approche ma main de ses fesses et, après les avoir caressées, je lui fourre un doigt dans l'anus, puis deux, ce qui me permet de me rendre compte qu'elle n'a pas le trou du cul étroit.
Je ne m'attendais pas à ce que le mouvement de mes doigts dans son cul lui donne autant de plaisir. À chaque fois que j'essaye de l'enfoncer encore plus
profondément, elle pousse des petits cris de jouissance. Lorsqu'elle n'en peut plus de faire des va-et-vient sur mon sexe, elle se retire pour me finir à la main et m'implore de lui exploser sur
la poitrine. J'éjacule donc sur ses seins et je dois dire que je n'avais jamais fait sortir autant de sperme d'un seul coup. Pourtant, je ne débande pas car ça m'excite de la voir prendre plaisir
à se toucher les seins, maintenant recouverts de tout mon sperme.
Après avoir repris nos esprits, nous prenons vite une douche pour nous débarrasser du sperme et nous rafraîchir, afin de ne pas arriver en retard à la réunion d'ouverture du séminaire.
Nous assistons de concert à cette réunion, plutôt ennuyeuse. Je pense tout fait à autre chose !!! Pour mon plus grand plaisir, pendant une pause, elle m'entraîne aux toilettes. À peine ai-je fermé la porte qu'elle enlève sa culotte, afin que je lui lèche la chatte. Je n'avais jamais fait ça auparavant et ça m'effrayait un peu car je ne savais pas si je saurais m’y prendre, face à une telle femme…
Malgré mon appréhension, j'approche ma bouche de cette grosse chatte, et j'introduis ma langue dans son vagin, je la remue, je la lèche vigoureusement. Avec plaisir, je m’aperçois en sentant sa mouille ruisseler, qu’elle aime ce que je lui fait…
Je ne connaissais pas cette sensation mais je dois bien avouer que c'est vraiment très agréable de lui lécher la chatte et de remuer ma langue dans sa vulve chaude et gluante.
Après l'avoir fait encore bien jouir, je me relève afin de me nettoyer le visage, je ne peux plus ressortir des toilettes comme ça, j'ai de la mouille sur tout le
visage et ça commence à me couler sous le menton. Pendant que je me lave le visage au lavabo, je peux la voir dans la glace assise sur la cuvette, la jupe remontée et deux doigts dans la chatte.
Quel incroyable appétit sexuel ! Nous ressortons des toilettes pour retourner à la salle de conférence mais au lieu de remettre sa culotte, elle l'a fourre dans son sac. Sans aucune gêne, elle se
promène donc au milieu de la foule, complètement nue sous la jupe de son tailleur. Cette femme commence à me plaire de plus en plus, pas juste parce qu'elle me fait découvrir les plaisirs du
sexe, mais surtout parce que j'aime l'audace dont elle fait preuve.
Mais en fait, je l'avais mal jugée. Non seulement elle se comporte durant toute la cérémonie d'ouverture comme une vraie femme de la haute, mais elle connaît tout le gratin de la Bourse mondiale.
Je suis très heureux d'être présenté à toutes ces personnalités, ça pourra peut-être me servir plus tard. Quand elle voit mon étonnement, elle me rassure en me disant :
« Tu sais, je n'ai couché avec aucune de toutes ces personnes. Si je connais tout le monde, c'est tout simplement parce que je suis la directrice d'une des meilleures entreprises du genre et
que ma famille est très connue dans ce milieu. Je dois te dire en fait que tu es le premier homme depuis longtemps avec qui je me laisse aller comme ça. Avant j'étais très timide, mais depuis
peu, j'ai décidé de me lâcher et de faire plein de choses peu conformes avec mon milieu social. J'en ai juste assez de respecter les règles établies. »
Sur ces paroles, elle nous entraîne au sous-sol, à la buanderie. C'est une pièce assez grande avec du linge blanc partout, des draps et des serviettes. Il y règne une atmosphère chaude et moite,
ma foi, plutôt excitante…
Nous nous cachons derrière une pile de draps, au cas où quelqu'un entrerait. Margot baisse mon pantalon et mon boxer d'un seul geste. Elle enfourne immédiatement mon sexe encore tout mou. Le mouvement rapide de sa langue, enrobant mon gland, déclenche immédiatement une érection. Elle me suce et me lèche jusqu'aux testicules, elle me pompe la bite tellement fort que j'ai l'impression qu'elle va me faire sortir le sperme, comme quand on aspire un liquide avec une paille. Je suis tout d'un coup très déçu, car elle se décide d'arrêter la pipe avant que j'ai pu lui éjaculer au visage. Mais à mon plus grand bonheur, elle m’ enfile un préservatif, elle me lubrifie la bite pour que je la pénètre plus facilement. Elle quitte carrément son tailleur et se met à quatre pattes, le cul bien dressé, l’abricot rouge et insolent…
Je trouve cela un peu obscène mais tout de même très excitant. Ses gros seins pendent et touchent presque le sol, son anus s'écarte pour que j'y pénètre. Je m’enfonce d’un coup dans la chatte ouverte, non sans glisser un doigt dans ce trou qui me parait bien accueillant, lui aussi… Je sais qu’elle aime ça. Elle pousse un cri, mais malgré ça, elle en redemande.
Je vais donc d'avant en arrière, je la bourre violemment, elle a les seins qui balancent fort. Je continue à la défoncer tant que je peux, jusqu'à ce que je sente le jus arriver. Je me retire alors, arrachant la capote et la retournant pour lui éjaculer au visage. C'est à ce moment là, qu'une jeune femme entre dans la blanchisserie et nous aperçoit, dans cette position plus que gênante. Sur le coup, elle a un peu peur, mais surtout elle prend la couleur d'une tomate. D’un regard presque dur, Margot l'oblige à venir près d'elle. Elle avance, réticente… Mais son regard ne tolère aucun refus. Je vois là encore la femme habituée à se faire obéir…
Elle lui enlève délicatement son uniforme. Elle s'appelle Noémie, elle est un peu timide mais Margot fini par la décoincer à force de l'embrasser...
Elle ne se fait pas prier pour lui tripoter les seins et les lui pincer. Les aréoles gonflent de plaisir et Noémie a l'air heureuse, elle n'a jamais été aussi excitée, nous confiera-t-elle plus
tard.
Après que Margot l'ai encore plus chauffée en lui caressant les fesses, elle la fait s'allonger et lui dit de se laisser faire. Je tente de refaire avec Noémie ce que j'ai déjà fait avec Margot, en lui léchant la chatte, mais à peine ai-je approché ma langue que je me rends compte qu'elle n'a pas la vulve aussi humide, elle ne mouille pas assez pour que ce soit suffisamment agréable. Je crache un jet de salive dans son con encore trop sec… Je commence alors par la pénétrer avec mes doigts, et je remue à l'intérieur doucement, j'enfonce jusqu'à la faire crier, mais elle me dit de ne surtout pas arrêter.
Pourtant, dès que j'aperçois son chaud liquide au bord de ses lèvres, je me précipite pour plonger ma langue au plus profond de son vagin.
Pendant que je la lèche, Margot me caresse les fesses et me lèche un peu partout jusqu'à ce que je sois presque entièrement recouvert de salive.
Quand Noémie atteint l'orgasme tant attendu, Margot lui intime de me tailler une pipe tandis que nous nous livrons à la plus mouillée des séances de baisers. Nous mélangeons nos deux langues avec une telle passion que la salive coule partout le long de notre cou. Une fois nos péripéties terminées, nous nous rhabillons tous, puis nous repartons en laissant Noémie seule, tout en lui promettant de remettre ça.
Chaque soir, après les diners de gala, nous nous retrouvions tous les trois, dans la chambre 969, qui portait si bien son nom… Nous avons pratiqué tout ce que l’on peut faire à trois. J’ai adoré les prendre l’une après l’autre, et pendant que j’en bourrais une bien à fond, l’autre me léchait les couilles et la chatte ou le cul de celle que je baisais… Elles m’ont pompé bien à fond, enroulant leurs langues sur ma queue qui n’a jamais connu un tel festival.
Mon meilleur souvenir : elles m’ont offert un splendide 69, se gouinant tant et plus, jouissant sous la langue de l’autre. Puis, celle qui était sur le dessus, Margot, leva son beau visage rougi par les orgasmes multiples, me demanda de venir la sodomiser.
Je ne me fis pas prier : elle était déjà bien ouverte par la langue experte de Noémie, devenue très douée à ce petit jeu-là… Deux de ses doigts m’avaient déjà bien ouvert le passage. Je me positionnais à genoux derrière elle, les yeux fixés sur cette rondelle brune, ouverte et luisante. Je la léchais un peu, histoire de mieux la lubrifier. Et sans forcer, mais d’une seule poussée, je m’enfonçais entièrement dans le conduit chaud et accueillant. Un pur bonheur. Noémie gobait mes couilles en rythme, Margot écartait un peu son visage pour que j’aie une vue plongeante dans la chatte de sa complice.
Ce fut un moment inoubliable, de plaisir pur et brut. Nous avons tous joui quasiment en même temps, dans un de tels cris, que les voisins ont tapé au mur…. Ma semence s’écoulait du cul de Margot, et Noémie s’empressa de la lécher, de l’avaler. Elle semblait adorer ça. Et moi aussi !!!
Vivement le séminaire de l’an prochain….
J'en suis sure et certaine.. je le repete souvent, on ne regarde pas assez autour de nous...
Ouvre plus les yeux.. Parfois, nous ne sommes pas assez observateurs !
L'appel est lancé.. Mesdames, à vos claviers !
imposssible de laisser passer une elle occasion, moi qui aie besoin d'au moins trois orgasmes par jour !
On a baise comme des malades dès qu'on pouvait !!! jamais seminaire n'a ete aussi agréable !
Si tu as envie de la raconter plus en detail, ca plaira sans doute à beaucoup de personnes !
Oh que oui, et je suis bien placée pour le savoir !