Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Ishumi est la pensionnaire d’un établissement pour jeunes filles. Cette institution est très « spéciale », et dispense une éducation très sexuelle, et très sévère.
Ishumi écrit son journal le plus souvent possible. En voici un extrait.
Oh, si tu savais mon cher journal, comme la journée « portes ouvertes » a été dure pour moi ! J’ai les seins meurtris d’avoir été sucés, tétés, aspirés, suçotés, mâchouillés, triturés toute la journée par ces messieurs en costumes gris, aux regards lubriques et aux mains baladeuses.
En me tétant, ils aimaient fouiller mon sexe avec leurs doigts et, même si je ne voulais pas, la vigueur experte de leurs gestes sur mon bouton d’amour et dans la profondeur de mon vagin me faisait mouiller. J’ai joui pendant que j’étais traite comme une vache, et les soubresauts de mon corps saisi par les orgasmes faisait jaillir mon lait sur le visage lubrique des hommes accrochés à mon énorme poitrine.
Malgré l’humiliation d’être ainsi exposée, je mouillais, et mon corps entravé jouissait violement, m’arrachant des larmes et des gémissements. Quand les hommes affairés autour de moi avaient la main poisseuse de mes jus, ils l’essuyaient sur mes seins douloureux. J’étais honteuse d’avoir ce plaisir, surtout en voyant la souffrance sur le visage de ma douce Mina accrochée sur la croix pendant que des hommes lui fouettaient les seins et se branlaient pour éjaculer leur sale foutre brulant sur la poitrine rougie par les coups de fouets de mon amie Mina.
Ce matin, Mme Vanlaer m’a convoquée dans son bureau. J’avais peur qu’elle me punisse ou qu’elle m’annonce que j’allais participer à de nouvelles expériences.
En arrivant dans son bureau, il y avait Inna, qui m’a prise dans ses bras et m’a embrassée. J’étais sur la défensive, et cet accueil ma surprit, je me suis raidie, mes muscles se sont contractés, mais quand la langue d’Inna s’est glissée entre mes lèvres, je me suis abandonnée.
Mme Vanlaer nous a interrompues avec son rire grinçant. En décollant ses lèvres de ma bouche, Inna ma dit tout bas : «Ffélicitations », en me faisant un clin d’œil.
« Ma petite Ishumi, je vois que tu t’adaptes très bien à notre école. Nos visiteurs ont tous étaient élogieux à ton égard. Il parait que ton lait est encore plus succulent quand tu jouis, et qu’il est mélangé à la mouille de tes orgasmes. En tout cas, tous se sont régalés et grâce à toi l’école obtiendra de belles subventions. Je te félicite, tu mérite, bien une petite récompense. »
Mme Vanlaer a aussi félicité Inna de m’avoir aidée à m’adapter aussi vite. J’avoue que j’étais gênée parce que je ne cautionne pas ce que l’école fait endurer aux jeunes filles, mais en même temps, j’ai éprouvé une certaine fierté. Alors dans la confusion je n’ai su que bredouiller un petit : « merci ».
« Ishumi, je sais que tu es passionnée d’équitation, je vais donc t’offrir donc le privilège d’une sortie chez Monsieur Raymond un de nos plus fidèles visiteurs. Il possède un très bel étalon, et il te donnera une leçon particulière d’équitation. Avant de parti,r passe par l’infirmerie. Ensuite va attendre devant le grand hall, une voiture viendra te chercher. »
En quittant le bureau j’essayer d’imager qui pouvait être ce monsieur Raymond, je l’avais forcément vu eu entrain de me téter les seins, mais mes souvenirs était flous. Et puis Inna m’a prise par la taille, et m’a conduite à l’infirmerie. Le contact de sa main fine sur ma large hanche a fait s’évaporer mes pensées. Malheureusement elle m’a laissée seule avec l’infirmière qui m’a donné le tire-lait. Je n’avais pas été traite depuis la veille au soir et mes seins trop lourds me faisaient mal. La succion violente du tire-lait me soulageait, mais me faisait mal et en même temps.
J’étais assise dans un coin de la pièce et pendant que mon opulente poitrine se vidait de mon abondant lait tiède, j’ai assisté aux visites de Mina venu soigner ses seins encore en sang, et de l’élève qui avait subi les assauts vicieux du verra libidineux. Après, j’ai mis de la crème sur les deux grosses tétines roses que sont devenus mes seins, et je suis sortie attendre la voiture.
L’idée qu’aujourd’hui, j’allais échapper aux mains de l’affreux Arturo me donnait le sourire. Mais quand j’ai vu dans la cour de l’école une grosse voiture noire s’avancer, les images des visiteurs pervers jouant avec le corps des jeunes filles offertes à eux me sont revenues en tête, et je me suis mise à trembler. Mais Mme Vanlaer m’avait ordonnée d’être une bonne élève. J’ai donc essayé d’enfouir ma peur en moi.
La voiture s’est arrêtée devant moi, et c’est une femme qui en est descendue.
« Tu dois être Ishumi ? »
- Oui madame »
- Je suis la femme de monsieur Raymond, viens avec moi je t’amène dans notre propriété. »
La voix de la femme, comme les traits de son visage, exprimaient la douceur, ma peur s’est estompée et je suis monté dans la voiture. La femme était assise à l’arrière à coté de moi, elle semblait jeune et très calme. La voiture a démarré et nous sommes partis.
Pendant que nous roulions la femme s’est présentée, elle s’appelle Sonia, elle a 33 ans et elle m’a expliqué qu’il y a quelques années, elle aussi avait fait la même école que moi, et que c’est là qu’elle a rencontré son mari, Monsieur Raymond. Elle m’a dit que si j’étais une bonne élève comme lui avait dit Mme Vanlaer, alors, moi aussi, je trouverai vite une belle situation. Sa voix douce me rassurait. J’ai senti la voiture s’arrêter, elle m’a regardée et m’a dit que l’on devait faire la vidange. Le chauffeur est descendu, Sonia a baissé la fenêtre de mon coté et le chauffeur est arrivé devant moi.
« Tu vois, Ishumi on s’arrête pour faire la vidange du chauffeur. Monsieur Raymond n’accepterai pas que je le fasse, mais toi tu peux le faire pour moi n’est
ce pas ? »
Pendant qu’elle me disait cela le chauffeur avait ouvert sa braguette et sorti sa grosse verge poilue et déjà dure qu’il tenait sous mon nez.
« Allez Ishumi nous n’avons pas beaucoup de temps, vidange-le ! »
La voix de Sonia était devenue dure et directive. Mettant sa main sur ma nuque, Sonia me força à approcher la bouche de la grosse bite que le chauffeur branlait d’une main pour la décalotter, et faire saillir son énorme gland pourpre.
De sa main libre, le chauffeur m’attrapa les cheveux avec bien moins de douceur que Sonia, et força ma tête à se rapprocher de son membre. Il colla son sexe en érection contre mes lèvres et voulu pénétrer ma bouche que je gardais fermée. Alors il se mit à tirer mes cheveux, ce qui me fit lâcher un petit cri, profitant de mes lèvres entre-ouvertes, il enfourna sa grosse queue dans ma bouche d’un coup.
La bite énorme m’étouffait et cognait le fond de ma gorge. J’avais le nez dans son pubis qui sentait fort la sueur et l’urine. En tenant toujours fermement ma tête, il se mit à faire des vat et vient dans ma bouche qui dégoulinait de bave.
« Voilà, c’est bien Ishumi, c’est comme ça qu’il aime sa vidange…» La voix de Sonia était redevenue douce.
Le membre mâle me faisait mal à la mâchoire, quand je toussais, je bavais, et plus je bavais, plus le membre de chaire dure glissait facilement dans ma bouche.
En plus, je crois que les cris et les gémissements que j’essayer de pousser, faisaient faire à ma langue des mouvements qui excitaient le chauffeur. J’ai senti le membre viril se gonfler encore contre ma langue et faire des sursauts. Quelques secondes plus tard, j’ai senti de grands jets chauds et gluants jaillir dans ma bouche.
Le chauffeur éjaculait en grognant, Sonia me félicitait et le sperme chaud remplissait ma gorge. J’ai failli tout recracher, mais j’ai eu peur de me faire punir, alors je me suis forcée à tout avaler cette semence poisseuse et amère. Le chauffeur a lâché mes cheveux, et j’ai pu me reculer. Je me suis appliquée à bien avaler sans grimacer, et la voiture est repartie. Dans la bouche, j’avais le goût du sperme et quelques poiles pubiens coincés entre les dents.
Sonia m’a sourit en me recoiffant et en me disant que j’étais vraiment une bonne élève, elle-même m’a avouée que pour sa première année, elle ne savait pas avaler le sperme comme moi. Le voyage a continué sans rien dire, je regardais par la fenêtre ces paysages qui me rappelait mon enfance.
Nous sommes arrivés devant une grande grille qui s’est ouverte automatiquement, et la voiture a pénétré dans la propriété. Elle roulait au pas, Sonia me montra au loin les écuries, le verger, tout était très beau, très bien entretenu, l’herbe bien verte et les arbres bien taillés.
Monsieur Raymond nous attendait en souriant sur le perron de la maison. Sa tête ne me revenait pas, je ne me souvenais pas du moment où il avait dû me téter les seins. Il était bien plus vieux que sa femme, je dirai au moins soixante ans, avec un regard vicieux aux yeux verts entourés de rides.
« Bienvenue Ishumi. Oh que tes seins sont énormes ! Ma pauvre petite, tu dois souffrir avec tout ce lait, regarde, tu es entrain de mouiller ton chemisier. Quel gâchis ! Entre vite je vais te soulager. »
Le vieux pervers avait raison, mes seins me faisaient très mal, et le lait suintait de mes tétons douloureux. Il me conduisit dans un immense salon très beau, avec de beaux rideaux au tissu lourd, de grands canapés en cuir, des lustres magnifiques sur lesquels la lumière du soleil se reflétait, et me fit assoir dans un grand canapé. Monsieur Raymond s’est assis à coté de moi en m’ordonnant de sortir mes seins.
« Quand j’aurai bien tété ton délicieux lait, on ira faire du cheval, alors ne traine pas ! »
Timidement j’ai défait les boutons de mon chemisier et j’ai dégrafé mon soutien-gorge sous les yeux de Monsieur Raymond. « Mon Dieu que tes deux énormes mamelles sont appétissantes. Tu dois être bien gorgée de lait, ma petite vache … » et monsieur Raymond se jeta sur mes seins avec avidité. J’ai basculé en arrière contre le dos du canapé, offrant mes seins à la bouche un peu flasque qui aspirait avec avidité tout le lait de mon mamelon droit.
Monsieur Raymond se mit à me palper violement le sein avec ses mains pour me traire. J’avais mal, je me suis mise à sangloter, mais il continua de plus belle à pétrir mes seins douloureux pour faire jaillir le lait dans sa bouche. Plus il buvait le lait de mes seins, et plus son regard de vieux pervers brillait.
Je l’entendais marmonner : « slupppp ohhh que c’est bon ! Slipshh, petite salope, ton lait est divin, shhhaaaalp tiède, slurp chaud, hurmmph tes mamelles sont hummm délicieuses !!!»
A un moment, il s’est redressé, m’a regardée dans les yeux : « Ishumi, tu dois gouter ton lait pour comprendre »
Il a plongé la tête entre mes seins, et s’est remis à me téter goulument, puis s’est relevé et a approché son visage du mien, sa bouche de la mienne. Il s’est collé à moi et a enfoncé sa vieille langue dans ma bouche, c’est mon lait tiède qui a coulé dans ma bouche. Beurk ! Je ne voulais pas ça, j’ai voulu cracher, mais il enfonçait sa langue plus profond en moi.
Soudain, j’ai entendu des pas et la voix douce de Sonia dire : « Chéri, pour déguster ce bon lait, je vous ai apporté des cookies. »
Sonia s’avançait dans le salon en tenant un petit plateau avec des cookies, elle s’est assise à coté de moi, et nous a tendu les petits gâteaux. Monsieur Raymond en a pris un, puis il a attrapé un de mes seins et l’a serré vraiment très fort pour arroser son biscuit de mon lait avant de dévorer son gâteau, sans rien dire. Sonia m’a proposé un cookie, mais je n’avais vraiment pas faim, Jai refusé en faisant non de la tête.
Et pendant que Monsieur Raymond malaxait mon sein vigoureusement pour arroser un nouveau cookie, Sonia lui dit : « Chéri, notre invitée ne veut pas goûter à mes cookies, je pense qu’elle les aimerait mieux avec de la crème, qu’en penses-tu ? »
Monsieur Raymond se leva et se planta devant elle. Sonia défit le pantalon de son mari, puis baissa son slip faisait jaillir son sexe noueux, bandé et tordu, qu’elle se mit à branler doucement. L’érection prenait une taille impressionnante, Sonia utilisait maintenant ses deux mains pour faire bander l’énorme verge bien vigoureuse du vieil homme.
Quand l’érection eue atteint sa taille maximum (enfin, j’espérai), Monsieur Raymond la prise dans ses mains et se mit à me flageller le buste en riant.
Les coups de son énorme verge déformait mes seins pleins de lait sous l’impact, et je sentais même quelques gouttes sortir à chaque choc, comme si ma poitrine pleurait.
En se tenant bien devant moi, monsieur Raymond agrippa énergiquement mes deux seins, et fit glisser son membre entre eux. Il les serrait, les triturait, les tordait dans tous les sens pour que le lait coule et lubrifie sa grosse queue qu’il branlait entre mes gorges rougies et douloureuses. Il pinçait vigoureusement mes tétons en riant quand je me suis mise à crier de douleur, alors que Sonia l’encourageait à continuer. Il a brusquement lâché ma poitrine, attrapé son sexe et l’a secoué au dessus du plateau jusqu’à ce que de son gros gland jaillisse un torrent gluant de sperme blanchâtre, et arrose les cookies de Sonia.
« Voilà Ishumi de la bonne crème pour tes cookies, maintenant mange ! » m’ordonna Sonia. Le son de sa voix brisait en moi toute velléité de refus. J’ai donc attrapé un cookie dégoulinant de sperme encore chaud et je l’ai porté à la bouche.
L’odeur de la semence masculine me dégoutait, mais j’ai quand même croqué dans le biscuit. Dans mon œsophage le sperme se mélangeait aux miettes de cookie et aux pépites de chocolats en m’étouffant. J’ai réussi à finir mon biscuit, mais Sonia m’a forcée à en prendre un second, puis un troisième. Je ne sentais plus que le goût amer de la semence de monsieur Raymond irradier sur ma langue engluée.
« C’est bien Ishumi, tu dois bien prendre des forces si tu veux monter à cheval. »
Ces mots me donnaient du courage, car j’ai toujours rêvé de monter à cheval et ce Monsieur Raymond me promettait de réaliser mon rêve.
« Oui mais avant d’aller voir l’étalon, je voudrais que notre charmante invitée allaite notre plus jeune fille. Ishumi, ma petite vache à lait, je veux que tu donnes le sein à notre jeune fille. Mlle Aoki, ton jus de nichon lacté va l’aider à devenir une fille grande et robuste comme toi. Sonia va chercher notre petite Aoki. »
Sur ces mots, Sonia sorti, me laissant avec le vieux pervers qui s’était rassis à coté de moi, son sexe flasque et baveux de sperme pendouillant sur le canapé. Je n’osai pas bouger, à peine je me suis permis d’essuyer les miettes sur ma bouche. Je ne sais pas ce qu’il y avait dans les cookies, mais je commençais à me sentir détendue, et, bizarrement, le temps me semblait suspendu. Sonia est revenue en tenant par la main une jeune fille d’un mètre cinquante environ, des jolis yeux noisette légèrement en amande, des beaux cheveux noirs coupés court et une belle paire de seins que je devinais sous ses vêtements de petite fille. Elle avait aussi une sucette, un bavoir rose avec des fleurs et une couche culotte.
Je m’attendais à voir un bébé et me voilà face à face avec une fille qui devait avoir mon âge, dans un accoutrement de bébé. « Ishumi, je te présente notre petite fille Aoki, elle a 18 ans, mais elle a besoin de boire le bon lait de tes mamelles pour devenir une fille comme toi robuste et solide. Son frère est devenu un bel étalon et elle, elle deviendra bientôt une belle pouliche.»
Aoki s’est assise à coté de moi, elle a regardé son vieux père qui a prit ma poitrine dans ses mains et a fait gicler du lait en pressant mes seins vigoureusement. Aoki a eu un petit rire cristallin, puis elle s’est jetée dans mon décolleté pour téter bruyamment mes tétons crevassés.
Le contact de ses mains douces et fraiches sur mes seins m’a fait frissonner, sa petite bouche aspirait avec vigueur mon lait. Je me sentais peu à peu en communion avec elle, une impression étrange qu’à travers mon jus de mamelle, on entrait en liaison charnelle, comme une mère et sa fille.
Sonia qui nous regardait, dit alors : « Tu sais Raymond, Mme Vanlaer m’a dit que le lait d’Ishumi est encore meilleur quand elle jouit. Je crois que tu devrais lui fourrer ta langue dans le vagin pour que notre petite fille déguste un bien meilleur lait. »
Aoki, entendant cela, leva la tête vers moi, plongea ses yeux dans les miens et me demanda : « c’est vrai Ishumi que tes orgasmes donnent à ton lait un
gout de miel ? »
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai dis oui, sûrement la drogue dans les biscuits. Alors, elle continua de sa voie douce et légère comme le gazouillis d’un rossignol : « papa, fait jouir Ishumi, s’il te plait. »
Monsieur Raymond passa sa main sous ma jupe, et se mit à tâter mon sexe à travers ma petite culotte. Il appuyait fort et ma culotte s’enfonçait dans mon vagin pendant qu’Aoki suçait toujours mes tétons.
Je crois que c’est à partir de ce moment que je me suis mise à mouiller, mes seins étaient douloureux mais sous ma jupe mon petit minou trempé me procurait d’intenses sensations.
Je me suis mise à gémir. Monsieur Raymond a déchiré ma culotte, et s’est mis à fourrer deux de ses doigts dans mon vagin poisseux. La pénétration me faisait mouiller et j’ai bougé le bassin pour qu’il puisse mieux s’enfoncer en moi. Alors, il a mis quatre de ses doigts dans ma petite minette. Je n’ai pas pu m’empêcher de cirer. J’avais la sensation d’être déchirée du dedans.
« Oh, Ishumi ! Ton lait commence à être plus sucré » me dit Aoki.
Sonia s’était levée et avait fait le tour du canapé. Elle c’est penchée sur moi et a enfourné sa langue dans ma bouche, je ne pouvais plus crier. Raymond a alors introduit toute sa main dans mon vagin. J’ai voulu hurler, me débattre, mais avec la langue de Sonia dans la bouche, je ne pouvais plus. Et en me débattant, je sautillais sur la main de Monsieur Raymond ,me remplissant de sensations contradictoires, une douleur soutenue et un intense plaisir.
Aoki c’est mise à rire en donnant de petites claques sur mes seins : « Ouuiiiiii son lait à un gout de miel ! Bravo papa, tu l’as faite jouir ! »
Alors, toute la petite famille s’est mise à me téter, en même temps. Je pleurais, je sanglotais, j’avais les seins explosés et la chatte défoncée. J’ai quand même entendu Aoki geindre : « Papa, j’ai fait caca dans ma couche … », Monsieur Raymond lui a donné une claque impressionnante et a ordonné à Sonia d’aller changer la petite souillon.
« Tu es une bonne élève, Ishumi. Tes professeurs peuvent être fiers de leur travail. Rhabille toi nous allons faire du cheval maintenant. »
J’ai pu remettre ma poitrine dans son soutien-gorge, remettre mon chemisier, par contre pour ma culotte déchirée, c’était perdu, j’ai rajusté ma jupe et je me suis levée, chancelante.
Monsieur Raymond m’a prise par la main, et nous sommes sortis en direction des écuries. L’air frais me faisait du bien, on marchait doucement dans l’herbe verte et nous sommes arrivés à l’écurie. Monsieur Raymond nous a conduit vers le manège en me disant que j’allais être heureuse de pouvoir monter son étalon.
« Ishumi, je te présente mon fils Daéon, mon étalon, il est encore jeune et fougueux, tu verras, c’est une monture docile bien dressée. »
Devant moi, un jeune homme immense, au moins deux mètres, avec un masque en cuir, un mors, une longe et une selle sur le dos. Le jeune homme était nu et je pouvais voir son sexe dressé. « Viens là, Daéon, je te présente ta cavalière. Elle s’appelle Ishumi, si tu la laisses te monter docilement, elle te fera une petite gâterie. ».
Le jeune homme s’est approché de nous et s’est accroupi. « Viens là, Ishumi, et enfourche mon bel étalon ! » J
Je me suis approchée, encore sous le choc de cette rencontre et j’ai enfourché la selle. J’ai mis les pieds dans les étriers, et j’ai attendu. Rien ne se passait.
Monsieur Raymond a pris le fouet et l’a fait claquer sur les fesses de Daéon, qui s’est mis à courir. Je tressautais sur son dos, ma poitrine remuait, mes cheveux volaient, j’étais dans un état second.
J’ai manqué de tomber, alors, par reflexe, je suis accrochée aux cheveux longs qui dépassaient du masque. Le cheval Daéon s’est redressé violement, et moi je suis tombée en arrière. J’ai entendu le rire de Monsieur Raymond quand j’ai voulu me relever. J’étais à quatre pattes par terre, le cul à l’air et j’ai senti s’abattre sur moi le corps lourd de Daéon, qui n’a pas attendu une seconde pour me fourrer la queue dans le vagin.
J’ai hurlé, et il a crié, je me suis débattue. Il s’est mis à faire de violents vas et vient dans mon vagin, ses couilles frappaient mes fesses, j’avais la tête écrasée par terre, j’avais les seins comprimés par terre. Ils suintaient encore de lait, ce qui faisait une petite flaque de boue.
Daéon criait ses hennissements en me fourrant sans ménagement. Mes genoux frottaient par terre, j’avais mal partout, le rire de Monsieur Raymond me faisait peur, j’avais la tête qui tournait. Dans un ultime coup de rein qui m’a défoncé les entrailles, j’ai senti Daéon éjaculer dans mon vagin rendu hypersensible par le fist de monsieur Raymond.
J’ai crié et j’ai perdu connaissance. Quand je suis revenue à moi, j’étais dans la voiture sur la route de retour vers l’école.
A mon arrivée, Mme Vanlaer était là, à m’attendre, elle m’a félicitée et m’a envoyée dans ma chambre. J’ai juste le temps de prendre une douche, panser mes blessures et t’écrire, mon cher journal. Cette année me fait mal, cette année me fait peur.
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