Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Attention, ce texte peut choquer certains d’entre vous.
En efet, il s’agit d’une histoire zoophile.
Nous sommes en pleine saison des pluies. Et ici, quand il pleut, il pleut ! De vrais murs de pluie, qui empêchent de sortir, tant les averses sont violentes.
Nous étions donc là, à regarder vaguement la télé. Virginie était à moitié allongée sur le canapé du salon. Au bout de quelques instants, Lobo, son labrador, vint placer sa tête sur ses
cuisses en la regardant d’un air triste.
Virginie commença par lui caresser la tête puis, me regardant droit dans les yeux, elle me dit dans un petit rire :
« Avec un tel après-midi de chien, ce serait vraiment dommage de ne pas en profiter et je me sens d’humeur joyeuse tout à coup !!! »
Quelques instants après, Virginie souleva son derrière du fauteuil et s’appliqua à faire glisser son string le long de ses longues jambes fuselées...
Elle se réinstalla dans le fauteuil, tout en prenant bien soin de placer au préalable une serviette sur l’assise. Je me demandais bien pourquoi elle prenait cette précaution...Après avoir bien
remonté sa minijupe, elle s’installa en plaçant ses pied sur l’assise, et en écartant bien ses genoux au maximum, dévoilant ainsi toute son anatomie au museau et à la langue de Lobo.
J’étais quelque peu étonné ! Virginie avait donc des relations avec son chien ! Jamais je n’avais vu une femme se faire baiser par un chien !
Le brave chien comprit aussitôt les attentes de sa très chère maîtresse et commença à lécher allégrement la chatte de Virginie de haut en bas en n’oubliant pas le moindre repli. Il faisait
pénétrer sa langue au plus profond qu’il le pouvait. Virginie gémissait déjà, et elle commençait déjà à être détrempée de sa liqueur de plaisir et de la bave de Lobo. L’animal la léchait dans un
bruit de succions étonnant. Ces bruits couvraient les petits soupirs de bien-être de Virginie... Le labrador lui léchait désormais frénétiquement la vulve, et Virginie écartait de ses deux mains
ses grandes lèvres pour que l’animal accède bien à son petit bouton. À chaque fois que l’animal passait un coup de langue râpeuse sur son clitoris, elle gémissait de plus en plus fort, et les
yeux clos, elle ne cessait de lui répéter :
« C’est bien mon chien, continue, lèche-moi bien, encore plus fort, plus profond, là... Rentre bien ta langue là, dans ma chatte !!! »
Je finis par m’installer dans le fauteuil en face d’elle. J’avais moi aussi mon anatomie tendue tel un arc prêt à se rompre, et je commençais à me masturber en regardant cette belle et délicieuse
« chienne/humaine » en train de se faire bouffer le minou par son chien.
Virginie releva un peu son derrière, et elle le fit descendre un peu plus du fauteuil, permettant ainsi à Lobo de pouvoir accéder à son anus. Virginie inonda sa main de salive et humecta son
petit trou avec.
Le chien poussa son museau vers l’endroit fatidique et recommença à lécher de plus belle et de plus en plus frénétiquement !
Virginie gémissait de plus en plus fort et elle se mit à hurler de plaisir sous les coups de langue de plus en plus dévastateurs pour son petit trou.
Elle me regardait en gémissant et elle tentait de me dire entre deux gémissements haletants :
« Comment ne pas adorer cela ??? Quel homme serait capable de me lécher aussi fort, aussi profondément ? Quel homme accepterait d’introduire sa langue ainsi au plus profond de mon anus ??? Tu
comprends à présent pourquoi je préfère, et de très loin, l’Amour Canin ??? »
Virginie finit par fermer les yeux et je la vis secouée d’orgasmes multiples...
Lobo lapa avidement la liqueur qui inondait désormais sa chatte ainsi que la serviette, dont je comprenais mainenant l'utilité !… Puis il commença à monter sur le fauteuil pour rejoindre sa
maîtresse, et pour lui enfiler son sexe qui était à présent tout rouge et gorgé de désir.
Je regardai ce spectacle hallucinant et je finis par dire à Virginie :
« Quelle chienne tu fais !!! Tu ne trouves pas cela un peu injuste ? Ce pauvre chien te donne tout le plaisir du monde et toi, que lui donnes-tu en échange ? »
Virginie, qui reprenait tant bien que de mal ses esprits, me regarda avec de grands yeux étonnés et me dit dans un souffle : « Mais, je lui permets de me prendre tout de même ! Ce n’est pas rien
et il a plutôt l’air de bien m’apprécier, non ? Tu ne trouves pas cela suffisant, toi ? »
« Si, lui dis-je, l’air moqueur et vicieux à la fois. Mais ce que je voulais dire, c’est que tu n’as jamais songé à lui faire une petite fellation ? À le sucer ? »
Virginie resta un moment interloquée puis, dans un sourire, elle me souffla que oui, elle y avait déjà songé mais qu’elle n’osait pas et qu’elle avait peur que cela ne la dégoûte un peu…
« Cela doit avoir un drôle de goût, sans parler de l’odeur qu’elle doit avoir ! J’ai un peu peur de ne pas y arriver », dit-elle en baissant les yeux.
J’insistai encore un peu sur le fait qu’elle aurait du essayer au moins juste une fois pour voir, que si elle n’aimait pas, tant pis, que ce n’était pas grave, elle serait ainsi fixée. Par
contre, si elle aimait cela et que si elle y prenait goût, j’aurais pu la prendre par derrière tandis qu’elle sucerait son chien, que cela aurait été totalement à l’inverse de ce que nous
faisions d’habitude, puisque généralement c’est moi qu’elle suce et c’est le chien qui est derrière elle en train de la prendre bestialement...
Virginie me regarda avec son petit sourire qui en disait long... Je connaissais ce sourire, je savais que si elle souriait de la sorte, c’est qu’elle y réfléchissait, qu’elle n’était plus contre
cette idée et je savais d’ores et déjà que j’avais gagné ! Ce sourire voulait dire « Je n’ai peur de rien ! On ne me met pas au défi ainsi, je vais relever ce défi, je vais le faire ! »
« D’accord, gloussa-t-elle, mais d’abord je vais me prendre un bon whisky, histoire de me donner du courage et du cœur ! »
Virginie se servit un grand whisky et elle le but en regardant Lobo... « Sans blagues, j’te jure, qu’est-ce que tu ne me fais pas faire, toi... »
Elle fit installer Lobo sur le dos et commença à jouer avec. Sa main glissait sur le ventre de l’animal et s’attardait sur son fourreau. Elle commença à le branler tout doucement, puis lentement
elle fit sortir son sexe. Il était redevenu petit, rouge, et la forme qu’il avait était vraiment très différente du mien.
Virginie resta quelques petits instants à l’examiner, puis elle prit une profonde respiration et posa ses lèvres sur la bite de ce chien. Elle fit couler un long filet de salive dessus puis elle
commença à faire un va-et-vient tout le long de cette bite. Ses lèvres jointes coulissaient tout du long de ce sexe si différent. Apparemment, cela n’avait pas l’air de la dégoûter plus que cela.
Au bout de quelques minutes, je dirais même qu’elle en retirait elle aussi un certain plaisir à la façon dont elle gémissait en frottant ses lèvres sur ce sexe qui devenait de plus en plus rouge
et de plus en plus saillant !
À présent, le sexe de Lobo était tendu et prêt à craquer !
Tout comme le mien... Cela faisait déjà deux fois que cette foutue chienne de femme me faisait jouir en un rien de temps !
Virginie entreprit de le mettre en bouche, elle commença doucement à le pomper puis de temps à autre, elle lâchait un filet de salive pour bien humecter ce sexe rougeâtre et elle y faisait
glisser ses lèvres jointes tout du long...
A ma grande surprise, ce spectacle qui s’offrait à moi était des plus jouissifs et sensuels…
Voir Virginie en train de gémir, les yeux clos, ses lèvres tantôt coulissant sur ce sexe, tantôt l’enfournant goulûment... C’était diablement excitant !
Elle le suçait à présent délicatement, en fermant les yeux et en gémissant... Nul doute qu’elle appréciait le contact de ce sexe... Elle ouvrit les yeux et me dit en souriant :
« C’est tellement bon… Son sexe est si doux, si chaud… Il est bien plus chaud que le tien ! »
Puis, avant de le reprendre goulûment en bouche, elle me dit :
« Tu n’avais pas parlé tout à l’heure de me prendre par derrière comme une bête tandis que je serai en train de le sucer ? »
Je ne me fis pas prier deux fois et je me mis derrière elle illico... Je me mis à la prendre par derrière en levrette et jamais au grand jamais je n’avais tenu une telle forme...
Jamais encore je n’avais été aussi excité ! La dernière fois que j’avais ressenti une telle excitation, c’était lorsque j’étais avec un pote, avec Virginie en train de se faire lécher la chatte,
tandis qu’elle était à quatre pattes en train de me faire une fellation...
Je ne pus retenir mon flot de foutre. Entendre les gémissements de Virginie, la voir en train de sucer ce chien, les yeux clos de plaisir, voir ses mouvements de va-et-vient, ses joues qui se
creusent lorsqu’elle prend ce sexe en bouche, la voir en train de prendre en bouche ce sexe long et si fin ! Voir sa langue tourner et courir le long de ce sexe, la voir titiller le bout de cette
bite si rouge, si fine, si pointue... La voir en train d’aspirer en creusant de nouveau ses joues et cette pine qui pénètre à l’intérieur de celles-ci telle une épée dans un fourreau... Ce
spectacle était bien au-dessus de mes forces et je mets au défi quiconque qui lira ce récit de tenir lui aussi dans une telle position, si un jour la chance lui est donnée de vivre une telle
expérience !
Après avoir joui au plus profond de son sexe, j’eus la joie de constater que ma bite était toujours aussi dure. Ce que je voyais sous mes yeux valait bien tout le viagra du monde, Je sortis donc
ma queue de son sexe inondé de mon foutre et, me plaçant correctement, je lâchais un filet de bave en direction de son petit trou que je me mis à titiller avec mon index.
J’humectais donc son anus de salive et y tendis mon pieu toujours en érection...
Virginie gémissait de plus en plus fort et me supplia bientôt d’y aller plus fort, plus vite et plus loin !
Elle finit par lâcher le sexe de Lobo pour jouir de plus belle dans un grand râle.
Une fois ses esprits revenus, elle reprit le sexe en bouche et le pompa frénétiquement.
Je vis que Lobo commençait à osciller du bassin, puis je vis Virginie en train d’avaler le plus profondément possible la bite de ce chien. C’était sa technique pour pouvoir avaler le sperme sans
faire de haut-le-cœur...
Dans un profond soupir, elle se laissa retomber sur le coté puis elle me regarda tendrement en me disant :
« Whaouuuuu… C’était géant ! Divin ! Tu tenais la grande forme, dis-moi ? Cela t’en donne des idées de me voir faire la chienne comme ça ! Tu as drôlement l’air d’aimer me voir dans ces
situations ! Au fait, je te remercie de m’avoir un peu poussée à faire cette nouvelle expérience... C’est tellement... BON ! Sucer ce sexe est tellement différent de quand je te fais une
fellation... Là, ce sexe est si doux, si chaud ! Non pas que je n’apprécie pas la tienne, loin de là, mais là c’est tellement « différent » ! Je pensais qu’il aurait eu un goût, une odeur que je
n’aurais pas aimé, mais NON ! C’est tout le contraire ! Sentir cette petite bite si fine entre mes lèvres est si jouissif ! De plus, c’est vraiment bizarre, du moment qu’elle commence à durcir,
elle ne cesse de couler ! Et contrairement à ce que l’on pourrait bien croire, son liquide n’est pas dégoûtant, loin de là, et il n’est pas aussi épais que du sperme ! J’ADORE tout simplement et
elle est si douce lorsque je frotte mes lèvres contre elle ! »
Je l’écoutai, ébahi par son enthousiaste et de la voir ainsi aussi heureuse et épanouie faisait plaisir à voir.
Virginie était tout simplement, « rayonnante » de bonheur et de joie. La voir ainsi m’enivrait presque autant qu’elle...
Venant se blottir tout contre moi, elle me dit avec un sourire : « La prochaine fois, j’aimerais bien que tu m’aides... »
Je la regardais étonné et lui dis, surpris : « t’aider pour faire quoi ? »
En positionnant sa tête au creux de mon épaule, elle me dit dans un souffle de béatitude : « J’ai bien envie d’essayer que Lobo me sodomise, mais pour l’instant, seule, je ne suis jamais parvenue
à lui faire choisir ce trou et je ne suis jamais parvenue à placer sa bite assez rapidement contre ma petite rondelle pour qu’il puisse me pénétrer... De plus, avec son nœud, j’ai un peu peur...
S'il parvient à me l’introduire, je risque fort de dérouiller. De plus, je serai liée à lui durant pas moins de 20 à 30 minutes... Dans l'impossibilité de faire quoi que ce soit d'autre que de
prendre du plaisir et d'attendre que son nœud ne ressorte. Donc une petite aide extérieure serait la bienvenue. Dis, tu m’aideras, hein ? »
Je la regardai médusé par ses propos et étonné aussi. Elle venait tout juste de sortir d’une expérience qu’elle pensait déjà à la prochaine... Je lui souris et finis par lui dire gentiment : «
Bien sur que je vais t’aider ma petite chienne adorée... Je ferai tout ce que tu voudras tant que je puisse participer aux jeux moi aussi ! »
Nous nous partîmes dans un grand éclat de rire, en nous serrant très fort l’un contre l’autre en pensant à notre prochaine séance...
Virginie allait pouvoir gémir de nouveau et prendre un pied incontrôlable comme elle aimait si bien le dire...
N'hésitez pas à écrire la suite ....
A+
Si tu veux nous raconter ton expérience zoo, ce sera avec plaisir que je la publierai !
Bises libertines, Sophie
fisting84@gmail.com
fisting84@gmail.com
Vraiment excitant comme récit, vivement la suite!
Pour le moment, helas, il n'y en a pas !
Ravie que cela vous plaise ! A très bientot pour de nouveaux commentaires...
Bises libertines à tous les deux...