Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
L’un de mes amants habite Saint–Laurent du Maroni, à près de trois heures de route. Mais ce jour-là, j’avais trop envie de lui. Le matin, je me décidais à lui
envoyer un sms : « bjr. Je suis à quelques heures, mais je suis sur la route qui m'emmène vers toi.»
Au bout d'une vingtaine de minutes une réponse qui me dit :
« Où es tu ? Que fais-tu ? C’est quoi ce msg ? Je ne comprends pas »
Je souris intérieurement. Je lui réponds donc :
« Fais comme tu veux mais si tu ne veux pas me louper, sois au carbet du Lac dans deux heures précises ! »
Et là silence, plus de message. J'ai peur à l'idée de penser qu'il n'aie pas envie de me voir ou qu'il ne soit pas disponible. Des tonnes d'idées me traversent l'esprit. Et s'il avait décidé lui
aussi de me surprendre ? Et le voyage se passe.
Je suis anxieuse et stressée, mais la pensée que peut-être je le verrai bientôt me remplit de bonheur et d'excitation. Ça fait tellement longtemps que j'attends ce moment de pouvoir l'embrasser,
le toucher, sentira sa bonne queue au fond de moi ! Mon corps frissonne déjà…
Ça y est, j’approche de Saint Laurent, mon cœur s'emballe, mes mains tremblent. Je me rends au carbet, désert… Pour plus de confort, j’ai apporté un matelas. Ca nous changera du hamac.
Je regarde vers le Maroni, qui coule non loin.
Et soudain, une onde me traverse le corps : je sens une présence. Lentement, je tourne le visage, et il est là, immobile et souriant. Je me jette dans ses bras et on s'embrasse
fougueusement. Je ne rêve pas, je le tiens, je le sens, je le respire.
On se regarde longuement ne sachant pas trop quoi se dire. Il me prend par la main et m'emmène de l'autre côté de la route où nous attend une voiture qui ne semble pas être la sienne. Je me demande où l’on va, je pensais rester au carbet.
Effectivement, il me fait monter à l'arrière de la voiture et s'assied à mes côtés. Au volant, un homme que je ne connais pas mais dont le visage me semble plus que
familier. Il me regarde dans le rétroviseur, ses yeux me déshabillent et me mettent un peu mal à l'aise. Je le reconnais, c'est lui, Marc, mon fantasme masculin. Je suis comme dans un rêve,
assise avec un homme dont j'ai tant envie à l'arrière d'une voiture, conduite par un pur étalon comme je les aime. Je frissonne de désir, et de tous les plaisirs annoncés…
Nous roulons un moment. Il fait chaud et je ne regrette pas d'avoir mis ma petite robe fleurie qui semble bien plaire à Luc. Ses mains se baladent sur mes jambes et il ne se fait pas prier pour
les laisser glisser entre mes cuisses que je laisse s'ouvrir doucement.
« Tu m'emmènes où, Luc ? »
Mais c’est Marc qui répond : « Au pays des rêves et des fantasmes, ma belle. »
Luc continue de me caresser les cuisses qui s'ouvrent de plus belle, laissant apparaître ce petit string en dentelle rouge. Ma chatte est déjà toute mouillée. Il baisse les bretelles de ma robe
et fait descendre celle-ci, faisant apparaître cette poitrine volumineuse et tendue qu’il aime.
« Vas-y chéri, ils sont à toi, lèche-moi ces petits bouts. »
Je lui caresse les cuisses et remonte jusqu'à sa braguette, d'où je sens une bosse qui laisse deviner une queue dure et belle comme j'ai envie. Ses doigts se promènent le long de ma fente et me
caressent avec douceur, laissant par la même glisser un doigt jusqu'à y sentir mon envie de lui.
« Tu sens comme je suis excitée ?
- Oui, je vois ça. Tu as envie d'y goûter ? » me demande t-il.
Et sans même attendre ma réponse, il glisse son doigt tout humide de ma liqueur dans ma bouche... Marc nous regarde, et je comprends dans son regard qu'il est très excité. L'image de sa queue qui
durcit sous mon effet m'excite encore plus.
La voiture s'arrête. Le portail s'ouvre et au fond de l'allée on aperçoit une magnifique demeure. Nous remontons l'allée de palmiers doucement, jusqu'au pas de la maison. Sur la droite, une très
belle terrasse borde une gigantesque piscine. Je remonte les bretelles de ma robe et Luc me prend la main pour me faire descendre de la voiture. Marc arrête le moteur et nous accompagne. Sur la
terrasse, un petit salon de jardin fait de teck et d'osier, trois coupes et une bouteille de champagne. Rien ne semble avoir été oublié. Quelques cerises-pays du jardin et des morceaux d’ananas
apportent de belles couleurs et saveurs appétissantes dans cet Eden.
Il fait très chaud aujourd'hui. La journée promet d'être torride.
<
Marc, beau, musclé, arbore un short assez moulant qui lui dessine un corps parfait laissant deviner un sexe aux mensurations appétissantes. Le torse nu et huilé me rend très imaginative et de
plus en plus excitée. Ses muscles jouent sous sa peau couleur d’ébène.
Il ouvre la bouteille et nous verse un verre. Il s'approche et me tend une coupe. Il y trempe l'index et me le fait glisser sur les lèvres. Hummmm… La température du champagne vient de prendre quelques degrés, là...
Luc, assis près de moi, me tend une cerise qu'il fait voyager sur mes lèvres, me laissant venir à lui pour la croquer doucement. Puis il se lève, et propose que nous allions nous jeter dans la piscine. N'ayant pas prévu cette baignade, inutile de s'embarrasser avec un maillot de bain. Je laisse tomber ma robe, retire le petit string que je lui jette au visage et plonge dans la piscine.
Ces deux mâles ne se font pas prier et me rejoignent complètement nus. Luc s'approche de moi et commence à m'embrasser. Marc s'approche lui aussi, et je sens ses mains sur mon corps. La sensation de l’eau m’excite aussi, l’eau est mon élément, je me sens encore plus chienne dans la piscine…
Les baisers me procurent une chaleur intense. Il descend dans mon cou, puis arrive sur mes seins qui pointent. Il me les mordille. Sa langue et ses mains qui se
promènent sur mon corps me donnent la fièvre. Je passe mes bras autour de son cou, et d’un saut, entoure son basin de mes jambes. Et j suis là, cramponnée à lui, en sentant sa grosse queue sous
mes fesses. Elle est dure, raide comme un gourdin prometteur. Je suis encore plus folle de désir cet homme, de son pieu magnifique…
« J'ai envie de toi Luc, je veux te sentir en moi. Bouffe-moi la chatte bébé.
- J'arrive trésor, je vais t'aspirer ce minou à ne plus respirer. »
Il me soulève, et m'assied sur le bord de la piscine. Je suis là complètement nue, sous le soleil brûlant de l’équateur, les jambes écartées et je m'offre à lui. Pendant ce temps, Marc, très
excité, se caresse. Luc fait glisser sa langue sur mon ventre et redescend vers ma chatte et ces petits coups sur mon clitoris gonflé me font pousser des petits gémissements. Je regarde Marc et
lui fais signe de venir me rejoindre sur le bord de la piscine. Il arrive à côté de moi et j'ai juste sa queue à hauteur de ma bouche. Je me lèche déjà les lèvres de ce que je vais sucer. Ah
cette queue magnifique ! Je les adore, quand elles sont comme la sienne : épaisse, large, j’arrive à peine à fermer la main autour. Je sais que je serais bien remplie, bien baisée…
« Approche, donne-la moi, donne-moi cette queue que je la suce, je vais te montrer à quel point j'ai envie de toi ! »
Avant même qu'il puisse répondre quoi que se soit, je me mets à le pomper. Il m'accompagne en la faisant pénétrer doucement dans ma bouche sans aller trop loin, juste pour que je puisse lui
titiller le gland avec mes dents. Des petites aspirations le font gémir. Mais Luc a aussi envie que je le suce. Ils échangent leur place, et Marc prend la relève, me lèche doucement. Il me
titille le petit bouton entre ses dents et laisse pénétrer un doigt doucement dans ma fente bien mouillée, par des petits va-et-vient, il fait ensuite pénétrer un deuxième doigt,
j'adoooooooorrrre.
Je continue de sucer Luc, et je fais plonger sa queue plus fine dans le fond de ma bouche, doucement, de plus en plus loin. Quand sa queue ressort, je la presse
doucement entre mes dents et aspire le gland. Je laisse glisser ma langue tout le long et redescends jusqu'à ses couilles qui durcissent. Marc continue de me masturber la chatte qui gonfle de
plaisir.
Marc sors de l'eau et nous rejoint sur le bord. Il se met de l'autre côté de moi, m'offrant sa queue raide. Je les suce à tour de rôle, ramenant à ma bouche ces deux glands prêts à exploser. Je
les frotte l’un contre l’autre, les fait coulisser dans mes mains, entre mes lèvres…
Luc s'allonge sur le sol, je me mets à genoux, au-dessus de lui, jambes écartées de chaque coté de son visage, lui offrant ainsi ma chatte et me permettant de continuer de sucer Marc.
« Tiens Luc, viens, prends-la, j'adore sentir ta langue partout sur ma fente. »
Il me branle la chatte et me met un doigt puis deux puis trois.
« Je vais jouir Luc, ahhhh, ouiiiiiii, continue de me branler, vas-y, vas-y !!!
- Vas-y chérie, donne moi ton nectar, je veux te boire.
- Ahhhhhhhh hummm, bouffe-la moi, ouiiiii comme ça, oohhhhh. »
Je jouis dans sa bouche et Marc m'asperge la poitrine de son sperme.
J’avance, et viens m’empaler sur la hampe de chair qui pointe vers le cile bleu. Je suis si mouillée que ca rentre tout seul. Il s’enfonce en moi comme dans du beurre. Luc me lime la chatte par
des va-et-vient puissants. Mais j’ai envie des deux belles queues, je ne veux me priver d’aucune !
Je me relève et me retourne. Je me mets à quatre pattes de manière à permettre à Marc de me pénétrer pendant que je m'applique à sucer la grosse queue de mon Luc, resté allongé au sol. Elle me fait trop envie. Ce gland luisant et tendu me tape dans le palais. Marc a enfourné son mandrin épais dans mon con avide de lui. Il me baise à fond, avec de violents coups de bassin qui me font presque tomber. Je suis embrochée entre ces deux bites majestueuses. Une dans la chatte, une dans la bouche…
Je la suce et l'aspire à en perdre mon souffle et lui malaxe les couilles sans répit :
« Oui Luc je veux te boire. Je veux que tu me jouisses dans la bouche Luc, donne moi ton jus ouiiiiiii, ouiiiiii, vas-y Luc viens, viens !!! »
Il me remplit la bouche de son jus un peu âcre. Je le regarde dans les yeux et avale tout ce qu'il m'a donné. Je n’arrête pas de lui lécher la queue couverte de son sperme et de ma cyprine, tout
en lui caressant les couilles. Marc continue de me besogner sans relâche. En quelques secondes, Luc est à nouveau excité et sa queue est déjà bien dure. Il ne débande pas et ça m'excite encore
plus. Je vais jouir à nouveau, une sensation de plaisir intense m'envahit totalement. Marc me jouit sur les fesses. Mon corps tremble de plaisir.
Ce moment de pur bonheur passé, nous décidons d'aller nous rafraîchir à l’intérieur. Je passe un paréo autour de moi, les hommes sont restés nus.
Nous nous installons dans le canapé du salon, dans la maison. Sur un fond de musique compas, nous discutons en savourant cet excellent champagne. Luc est assis à
mes côtés et Marc est installé dans le fauteuil juste en face de nous. Je pose une jambe sur la cuisse de mon Luc et il ne résiste pas à l'envie de me caresser. Ses mains explorent mes jambes de
bas en haut et cette situation excite Marc, qui commence à se caresser en nous regardant. Je commence à ressentir ce petit frisson au fond de moi et la chaleur commence à envahir mon corps. Je
commence à me caresser les seins qui pointent. J'ai envie de lui. J'ai envie d'eux. Une fois de plus, je suis insatiable ! Il faut dire qu’avaloir ces deux étalons sous la main ne peut que
donner des idées très chaudes !
Je continue de me caresser les seins, j’en fais durcir les pointes en passant mon index tout autour des aréoles. J’humecte mon doigt pour que la caresse soit plus douce et plus excitante…
Lentement, mes mains descendent vers ma grosse chatte qui attire toutes les envies des hommes d’ici. Je caresse ma vulve humide et chaude, ouvre mes cuisses pour qu'ils puissent regarder cet
abricot luisant, qui frétille de plaisir.
Marc a sorti son membre bien dur et se masturbe. Luc, tout en me caressant, sort sa queue et commence aussi à se masturber. Marc se lève et vient s'asseoir avec
nous. Je suis assise entre les deux, un pied posé sur chacune de leurs jambes, les cuisses bien ouvertes. Ils se masturbent, et de l'autre main me caressent chacun un sein. Leurs langues me
parcourent le cou, je gémis en continuant de me caresser la chatte et de me pénétrer avec mes doigts.
Je me lève et me positionne à quatre pattes devant Marc. J'attrape sa queue que je mets délicatement dans ma bouche, mes va-et-vient lui font pousser des petits soupirs très agréables. Luc se
lève et se positionne derrière moi. Tout en continuant de me caresser, il mouille un doigt et caresse doucement mon petit trou. Je continue de lécher Marc en me caressant en même temps. Pour mon
plus grand plaisir, le doigt de Luc qui dilate doucement mon anus et me fait vibrer. Luc est très excité, et ne résiste pas à l'envie de me pénétrer en levrette. Ses allers et retours sont très
doux mais très profonds.
« J'adore, oui vas-y bébé défonce-moi bien profond ! »
Il se retire, et avec sa queue couverte de ma mouille recommence à me titiller l'anus qui se dilate de plus en plus. Il pousse doucement et délicatement un doigt sur mon anneau brun. Il y met un
deuxième doigt, ça devient de plus en plus facile.
Marc se lève et s'allonge sur le sol. Il m'attire vers lui et je le chevauche, mes mouvements de bassins le font crier de plaisir et mes gémissements sont de plus en plus forts. Luc m'attrape les
fesses et l'accompagne. Délicatement, alors que la queue de Marc perfore dans ma matrice, Luc présente son gland à mon anus, qui est de plus en plus ouvert à le recevoir. Marc m'embrasse pendant
que Luc fait pénétrer sa queue dans mon cul :
« Hum ahhh, c'est bien serré, c’est trop bon, ma chérie !
- Mais tu aimes ça, Luc, hein, vas-y, mais pousse doucement. »
Je le sens en moi, j'exulte de recevoir en moi deux magnifiques queues, c'est trop jouissif de pouvoir donner du plaisir à deux hommes en même temps. Je sens ces queues durcir, prêtes à exploser
en moi.
Les va-et-vient de Luc dans mon anus sont de plus en plus rapides, tout comme ceux de Marc. En quelques secondes de ce traitement de choc, j’ai un orgasme des plus intenses. Je hurle à m’en
déchirer la gorge.
Luc se retire, je me relève et me présente à genoux devant ces deux queues, une dans chaque main, et les masturbe jusqu'à recevoir leur foutre épais dans ma bouche.
Leurs râles de jouissance couvrent la musique et une sensation de plénitude totale a envahi la pièce.
Quelle journée ! Quel pied ! J’en voudrais tous les jours, de la baise comme ça !
On se regarde, on se sourit... Il est malheureusement temps de penser à rentrer. La route est encore longue pour moi. Une douche collective pour terminer sur une bonne note. Nous nous savonnons
mutuellement, et nous devons faire appel à toute notre maitrise pour ne pas céder de nouveau à nos désirs exacerbés… Il faut dire qu’en quelques minutes, ils bandent à nouveau, leurs bites se
dressant bien haut vers leur nombril… Mhummm, il va falloir se revoir très bientôt !!!
Pourtant, nous nous habillons, et quittons cette belle maison des plaisirs. Marc nous dépose devant le carbet, et me demande :
« Alors, cette journée était-elle comme tu l'espérais ?
- Le rêve, d'atteindre le 7ème ciel avec deux magnifiques étalons comme vous ! On recommence quand ? » dis-je d'un air gourmand.
Marc me sourit, descend de la voiture et vient m'ouvrir la porte. Il me vole un tendre baiser et attend que Luc soit descendu pour redémarrer la voiture qui s'éloigne très vite.
Nous nous dirigeons vers le carbet. Le matelas est toujours là. Il faut que je parte, la route est longue.
Je me penche pour prendre le matelas. Derrière moi, Luc me dit :
« J'ai envie de toi, j'ai envie de te prendre, là maintenant, ici. »
J'écarte mon string, sort son sexe toujours bandé, et l'enfonce doucement dans ma chatte qui est devenue une vraie fontaine. J'accélère mes va-et-vient sur sa queue. Il me fait basculer vers
l'arrière et prend les commandes. Il accélère le mouvement. Je tremble de tout mon être, une vague de plaisir m'envahit, je gémis de plus en plus, je veux que ce moment dure encore et encore
jusqu'à ce que je n'en puisse plus.
« Ohhhh ouiiiii chéri, vas-y continue, fais moi jouir. »
Je sens que sa sève monte, j'agrippe mes jambes autour de sa taille comme pour l'empêcher de partir et là je sens les giclées de son sperme au fond de moi qui me procurent un orgasme plus
puissant encore que les précédents.
Il se retire et s'assied sur le bord du matelas.
« Mais comment puis-je te laisser partir ? C'est comme dans un rêve de faie ainsi l’amour avec toi ! Je ne veux pas me réveiller.
- Si j'avais un vœu à faire ça serait que tu sois obsédé par cette journée, à ne plus penser à rien ni à personne d'autre que moi, que tu ne puisses plus te passer de moi. »
Alors je me mets à genoux par terre entre ses jambes, son sexe est couvert de son sperme et de ma cyprine, je le lèche et le suce tout en lui caressant les couilles. Son sexe commence à grossir à
nouveau dans ma bouche. Cet homme est aussi avide de sexe que moi ! Nous faisons une belle paire ! Je suis ravie de sentir que je lui fais encore de l'effet et que je lui procure encore
de l'envie, malgré notre après midi de baise intense.
Je prends son sexe et je le masturbe avec mes seins. Je me lève en lui tournant le dos et enfonce lentement son sexe dans mon cul déjà dilaté par la séance que
j'avais eue avant.
« Vas-y Luc encule-moi. »
Je fais des mouvements de haut en bas en me caressant la chatte et les seins.
« Vas-y bébé, fais de moi ta chose, défonce-moi le cul. »
À ces mots, je sens mon corps partir en avant, il me plaque contre la paroi en bois, et je sens ses coups de reins accélérer et devenir plus forts. Quand je sens ses mains parcourir mon corps et
arriver sur ma chatte, j'ai à nouveau un orgasme, son sperme mélangé à ma mouille coule de ma chatte, mon corps frémit, mes jambes flageolent et ne peuvent pratiquement plus me faire tenir
debout.
« C'est ça que tu veux ?
- Oh que oui !
- Alors, ma puce, c'est ce que tu vas avoir.
- Ho oui, Luc, je suis à toi. »
À peine ai-je fini ma phrase qu'il me remplit le cul de son sperme chaud. Décidemment, j’adore ce liquide précieux, odorant et chaud.
C’est un bonheur intense, une jouissance explosive. Le retour va être difficile !!!
Cette journée a été fa-bu-leu-se !!! Heureuse que tu sois si surpris... ;-)
Bisouxxx à toi
Certains ont l'estomac dans les talons quand ils ont faim.
Toi,par contre,tu as les étalons dans le corps, quand te taraude l'envie de baisers.
BisouXXXX belle coquine
Tu as tout à fait raison... je usis prete à tous les excès, quand je suis dans mes periodes "sexe hard" !
La prochaine fois, tu seras peut-etre aec un autre "etalon" pour le rejoindre ?
Qsui sait, si un jour tu te decides à venir vers chez moi !
baisrs mouillés