Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Attention, ce texte peut choquer les âmes sensibles.
Ce soir, j’ai réussi à me sauver du bureau de bonne heure.
Mon objectif, le cinéma porno de la gare du Nord.
Je suis un habitué de ce cinéma, plutôt glauque, mais j’y ai déjà fait des rencontres très hot. Fréquenté exclusivement par des hommes, il peut se passer des choses à la limite du Hard.
Après quelques pipes juteuses opérées de-ci, de-là, j’arrive enfin à me poser dans le fauteuil stratégique, celui qui est installé au fond du cinéma, et où les habitués savent bien qu’ils peuvent se vider les couilles dans une bouche accueillante. A peine installé, un nouvel arrivant vient se frotter à un spectateur assis non loin de moi. Il se fait tripoter un peu la bite, mais rapidement il se la remet dans le slip.
Il m’aperçoit, et vient directement vers moi.
C’est Nicolas. Nous nous sommes déjà rencontré dans ce même cinéma, puis dans un sauna de Pigalle, mais dans le noir, nous ne nous sommes pas encore reconnus.
A peine près de moi, lui debout et moi assis, il ouvre sa braguette et sort sa bite. J’ouvre la bouche sans réfléchir, et il me la fourre le plus profond qu’il peut.
« Ouvre, » me dit-il
J’ouvre le plus possible ma bouche, sors la langue, et je sens sa bite au plus profond de ma gorge. Immédiatement, un haut le cœur me prend et je tente de me reculer. Les larmes me montent aux yeux, et je reçois une première baffe pour avoir reculé.
« Ouvre, » répète-t-il
Et à nouveau, je sens sa bite me pénétrer profondément, la bave surgit et les larmes remontent.
Il me tient la tête, il se sert de ma bouche comme d’un vagin, bref il me baise la bouche. Et à chaque reculade, je prends des baffes. Et je bande !
Il me traitre de chienne, de salope, il me viole la bouche. Et je bande !
« Tu aimes la pisse ? » me demande-t-il. Je n’ai déjà plus la force de répondre et je lâche un petit oui.
Alors il me penche la tête, met sa queue au dessus de ma bouche, et lâche quelques jets d’urine.
Si j’avais sorti ma bite de mon pantalon, je crois que j’aurais joui instantanément.
Mais notre position ne lui convient pas. Il veut être plus à l’aise. Il range son matériel et me traine par l’oreille vers les sièges du premier rang. Je suis totalement débraillé, et je dois passer pour une vraie salope. Je m’assois à ses coté.
Il a déjà sorti sa bite, prend ma tête et me force à le sucer.
- Ouvre salope, me crie-t-il.
Et cela recommence, les hauts-de-cœur, les larmes aux yeux, les claques quand je me recule. Je l’entends dire à un spectateur, venu s’installer derrière nous : « Elle suce bien, c’est une vraie salope »
Et puis, sans crier gare, il se lève et m’intime l’ordre de rester là.
Je suis hébété, humilié. Je ne sais que faire, je reste, j’attends.
Mais je suis tétanisé, je dois rester là. Alors je baisse mon pantalon et commence à me masturber devant un film que je ne vois pas.
Le voila qui revient. Il a cherché une autre bite à me faire sucer pour mieux m’humilier, mais il n’a pas trouvé de candidats.
Alors je prends une nouvelle gifle pour avoir commencé à me branler, et il me baise la bouche comme jamais. Sa bite entre et sors, toujours plus profond.
« Vomis moi dessus si tu veux, » me dit-il.
Je prends sur moi, et il s’active toujours plus dans ma bouche.
« Tu te fais enculer ?
- Non, pas ici, pas comme ça !
- Alors tu vas prendre ma purée, salope. »
Je sens sa bite turgescente durcir encore un peu plus, il me tient la tête comme jamais, je ne peux pas fuir, et je sens son liquide couler dans ma bouche.
Il me tient la tête pour que j’avale tout son foutre.
Là, il se lève, remet sa bite dans son pantalon, et s’en va. Je me retrouve au premier rang de ce cinéma, le pantalon sur les chevilles, la chemise ouverte. J’ai encore en moi l’odeur de sa pisse. Je suis humilié, les gens me regardent avec dégout, je suis hébété.
Mais quel pied !
Si vous avez envie de vous faire sucer… n’hésitez pas, il sera là pour vous ! t.titou95@gmail.com