Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Vous le savez, malgré mes nombreuses expériences, je n’ai pas toujours franchi le pas de certains de mes fantasmes. En voici un, tel que je l’ai rêvé la nuit dernière…
Philippe, mon amant m’appelle un après-midi, et me demande de quitter mon boulot de toute urgence. Il a une expérience exceptionnelle à me proposer.
Ses cousins de Maripasoula, sur le Fleuve Maroni, sont là. Ils sont venus pour me voir, il veut montrer à sa famille que des garces, il y en a aussi à Cayenne.
Ils m'ont invitée dans un hôtel, le champagne est servi. Quand j’arrive, les cinq cousins de Philippe sont déjà à poil… Je n'ai pas été longue à me déshabiller pour les rejoindre. Dès que j’ai eu fini, ils se sont mis en rond autour de moi, ils avaient des sexes de plus de vingt centimètres chacun et je les ai sucé à fond, en gorge profonde. Je les ai sentis le long de mon œsophage, presqu’à m'en étouffer. J'ai cru mourir, mais croyez-moi, je n’ai jamais aimé autant bouffer de la bite ! Ils m'insultaient en me traitant de pompe à bites, trayeuse à sperme, vide-couilles, de salope, de suceuse, de bouche à pipe, c'était génial !
Je mouillais tellement que le sol avait une petite flaque de cyprine, Philippe qui apprécie le spectacle l'a remarqué. Les trois premiers ont pris ma bouche pour une vidange à sperme. Ils ne s'étaient pas tapés de fille depuis des mois car la quantité que j'ai avalée était énorme.
Ca m'a fait mouiller encore plus d'être ainsi traitée, les deux gars qui ne m'avaient pas gratifiée de leur jus veulent ma chatte. Le seul problème c'est qu'ils veulent y aller ensemble !
Jamais je n’ai tenté une telle acrobatie ! Pourtant, je leur dis d'essayer…
Ils collent leur sexe à mon vagin, et après deux essais infructueux, ils me demandent les sucer à nouveau. Ils ordonnent à Philippe de me faire un fist fucking. Ca aussi, c’est nouveau pour moi ! En quelques minutes, sa main entière rentre dans mon con. Il est fier de moi, car il a trouvé une garce d'exception. Moi, j'ai réussi à mettre leur deux glands dans la bouche, Et là, je suis prête pour ma double vaginale, c'était géant, inimaginable, de sentir ses deux gros membres me remplir comme jamais je ne l’ai été auparavant !
L'un deux s'allonge sur le dos, je me positionne sur lui, le cul en l'air, la chatte béante. Le second vient se positionner devant mon abricot distendu. Philippe
tient les deux queues serrées ensemble, pour forcer la pénétration.Les deux hommes m'ont burinée pendant un bon quart d’heure. Ils ont joui presqu'ensemble, dans de grands coups de reins et des
cris d'insulte à mon encontre. Ils ont rajouté leur jus de couilles dans ma chatte déjà poisseuse de ma mouille.
Les trois autres, à la vue de ce spectacle offert, rebandent dur. Ils se branlent frénétiquement, je vois leurs chibres s'agiter en tous sens. Ils se rapprochent de moi et comme ma chatte est
sale, ils ne veulent pas me prendre par là.
Il ne reste que mon cul et bien sur, une double anale les tenterait bien, ils commencent à me doigter le cul à cinq doigts, un chacun dans le cul, c'est trop bon, ils ne demandent pas d'aide, l'un d'eux me glisse à l'oreille que si je suis une salope avec un corps de garce. J’ai voulu cette situation, je l’ai. Il faudra donc que j'assume tous les outrages.
Sans douceur, l'un deux m'a pénétrée, et deux autres ont leurs doigts en moi. Ils enserrent la bite de leur cousin, rendant la penetration plus importante. J'ai eu mal, mais j'ai assumé en gardant ma douleur pour moi. Le deuxième désigné pour me prendre n'avait pas la plus petite bite des cinq, mais mon cul en redemandait. Cette situation devait les exciter encore plus, car ils ont joui bien plus que dans ma chatte, le sperme coulait sur les draps. Philippe me dit de nettoyer les bites de ses quatre cousins. Ils devaient être tout propres !
Ils sont partis sans un regard car les salopes à Cayenne, elles n'ont pas le droit au respect… Comme ailleurs, sans doute ! Il restait Philippe qui n'avait pas
pris son tour, et l'autre cousin qui s'était juste fait sucer au départ, et qui avait dégorgé son foutre odorant dans ma bouche.
Je me demandais ce qu'ils voulaient encore de moi. J’eus très vote la réponse. Ils ont sorti leurs queues et se sont branlés sur mon visage. Ma chatte et mon cul n'étaient pas en mesure de les
accueillir mais ma langue si. Alors, je les ai sucés à fond, les pompant comme si ma vie en dépendait… Ils ont joui dans ma bouche, le sperme coulait entre mes lèvres. Philippe m'a obligée
d'avaler son sperme jusqu'à la dernière goutte.
Ils sont partis en me félicitant de l'accueil que j'avais réservé à ses cousins.
Un baiser me réveille, je ne sais pas si j’ai rêvé ou pas... C’est Philippe, qui me prend dans ses bras : « Tu as bien dormi, ma chérie ? Je ne sais pas de quoi tu as rêvé, mais tu as beaucoup crié, au point que j’ai cru que tu faisais des cauchemars !
No- Non mon chéri, j’ai fait un drôle de rêve… mais je ne pense pas qu’un jour, je le réaliserai, c’était un peu trop hard pour moi…
- - On ne sait jamais, raconte-moi…
- Je vais le faire, mais avant, dis-moi, est-il question que tes cousins du Fleuve viennent à Cayenne ??? »
Et si un jour tu ne veux plus jouer les voyeurs, fais-moi signe...
bisouxxx et merci pour tes coms, j'adore !
Je te confirme, ce n'etait qu'un reve.
Mais oserai-je dire ici que j'ai vécu pire ? Et que là, ce n'etait ni un rêve, ni un cauchemar, ni une volonté personnelle ?....