Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
A une certaine période de ma vie, j’ai eu envie d’essayer de faire l’amour avec une femme. Cet été là, je ne pensais qu'à lécher une femme, je m'étais donné ce but
en cet été qui commençait...
J’avais pour voisine une charmante suédoise. Je sais, ça fait un peu cliché, mais je n’ai pas choisi sa nationalité…
Cette belle suédoise sentait le sexe à plein nez. Toute sa personne en dégageait, elle avait une gueule de suceuse, un cul incroyable et des seins en poire absolument splendides.
Elle avait son petit appartement dans la bas de ma maison, qui était bâtie en L. Elle ne fermait jamais sa porte d’entrée, et une curiosité malsaine me tenaillait. Je voulais en voir le cœur net
sur sa sexualité qui me semblait intense et torride. Un jour, elle m’annonça partir pour la journée à la campagne. J’avais là l’occasion idéale…
Je ne m’étais pas trompée : enfouillant son studio, j’y ai trouvé toute une panoplie de la parfaite salope ! Sous-vêtements ultra sexy, culottes fendues, redresse-seins, ses photos sexy, ses vidéos, ses godes immenses! Elle était une sacré cochonne, c'était clair maintenant !
Je me suis sassiez près de ma fenêtre, pour guetter son retour… J’avais envie qu’elle me bouffe le clito, j'avais envie de lui mordre son p'tit cul de bouffer
ses seins.
Souvent, par cette fenêtre qui donne directement sur son lit, je l'ai ainsi vue se masturber, et se faire baiser par nombres de gars du coin. Devant ma fenêtre, je me masturbais à un rythme
infernal et je me retenais pour ne pas descendre et me mêler à ses ébats. Quand enfin elle s'en arrêtait, je sortais un gode, un vibro et je me baisais à fond la chatte, m'imaginant sa cyprine
déposée sur le gode et son goût de miel...
Elle rentra peu de temps après et, surprise, elle avait un chien avec elle. C’était un magnifique labrador blanc, et qui semblait très bien dressé. J'étais loin de me douter du spectacle dont
j'allais être témoin...
Bien installée, je la vis se dévêtir et enfiler une chemise épaisse et laide. Je me demandais bien pourquoi, surtout après avoir vu sa belle lingerie ! Mais elle enleva son string et
fis un signe au chien qui était tout énervé.
Debout, elle commença à se masturber follement. Je la vis comme jamais avant : elle tremblait et je ne comprenais vraiment rien à rien. Le chien tournait autour d'elle et fonçait vers elle.
Enfin elle s'installa au pied du lit après avoir installé un grand drap par dessus sa literie.
Qu'allait-elle faire? Se pourrait-il que ? Non, pas comme dans cette histoire lue sur Internet, ce n’est pas vrai...
Mais si !
Elle ouvra grand les jambes, assez pour que j'y vois sa cyprine briller sur ses grandes lèvres claires. Le chien vint lécher à grands coups de langue sa chatte rasée. Toute cambrée, elle
caressait son ventre et la tête du chien et poussait des soupirs de délectation en se tortillant de tout côté.
J'étais troublée. Troublée n'est pas assez fort comme mot. Complètement folle d'envie, je voulais moi aussi je voulais de cette langue sur ma chatte en feu. Oh oui ! J'en voulais autant !
Irais-je lui demander son chien plus tard ???
Après quelques minutes, elle se cambra encore plus, et laissa échapper un cri de jouissance. Je vis sa mouille couler entre ses cuisses, sans doute mêlée à la bave du chien. Elle le repoussa,
mais elle se jeta par terre et se mit à caresser le chien et en particulier, ses couilles. Non, elle n'allait quand même pas... Mais si !!! Je vis la bite du chien, rouge et luisante. Elle
le prit en bouche et le suça comme elle le fait si bien à un homme !!! Elle émettait des petits soupirs de plaisir. Elle roucoulait comme une poule, et le chien lui, se laissait faire, bien
dressé à ça, on dirait.
Elle suçait ce sexe rouge, fin mais immense, qui ne cessait de grossir et de cracher du foutre, qu’elle avalait avec expérience. Elle en mit sur sa main qu'elle se plaqua sur la chatte, se remit
à quatre pattes et posa son cul face à la gueule du chien. Il recommença à la lécher de plus belle. Je me doigtais à fond devant se spectacle inattendu. J’avais la chatte en feu, je rêvais d’une
langue, la sienne, celle du chien, peu importe !! Il me fallait de la baise !
Avec une vitesse et une précision surprenante, le labrador l'enfila d'un coup.
Je vis le visage de la suédoise changer, ses orbites s'agrandirent, elle ouvrit la bouche, elle avait l'air d'un animal. Son souffle devient un gémissement, quasi un hurlement. Le chien la
ramonait à une vitesse hallucinante. Elle se cramponnait pour rester embrochée par lui. Ce sexe immense plongeait en elle, sortait, ressortait encore et encore. Il devait lui faire mal ! Pourtant
cela ne semblait pas la faire vraiment souffrir ! Elle riait maintenant comme une folle et balançait la tête comme une déchainée, mordant le matelas par moment.
Et le chien toujours, sans répit, la baisait et la baisait encore ! Rien ne semblait vouloir y mettre fin. Cette accouplement contre nature me fascinait, m’excitait à mort. J'entendais le bruit de leurs sexes baveux. Encore, encore, encore ça n'arrêtait pas !!!
Il là baisait depuis déjà un long moment, comment pouvait-elle endurer cela ???
Soudain, il ralentit la cadence et elle se mit carrément à hurler, comme elle l’aurait fait pour un homme : « Défonce-moi encore ! Rentre-là bien à
fond, plus loin !!!" »
Je jouis presque même temps qu’elle, en criant aussi. Si fort, qu’elle regarda dehors, et me vit à ma fenêtre, échevelée, la main sur ma chatte.
Son regard se fit interrogateur, puis lubrique.
Elle se débarrassa du chien, se leva, et me cria par la fenêtre : « Ca t’a plu, tu en veux autant ? »
Ce soir-là, je n’ai pas osé. Et pas encore à ce jour…
Mais elle a souvent recommencé son manège, se mettant bien en vue, sachant que je la matais en me branlant à fond…