Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

C'est fou de rage que Michel, trente ans, rentre de sa réunion de l'association à laquelle il appartient depuis 10 ans. Il vient de se faire souffler la présidence par Guy, son pire ennemi, du même âge que lui.

« Mais qu'est-ce qu'il t'arrive mon chéri ? Tu es bien énervé, demande Francine, son épouse depuis quinze ans.

-Ce salaud de Guy a monté un complot pour m'éjecter. Tu te rends compte, un club que j'ai créé de toutes pièces ! Quel enfoiré !

-Mais calme-toi, quand je te disais de te méfier de lui, dit-elle. Il est comme sa femme. Ils ne valent pas mieux l'un que  l'autre ! A part partouzer, ils ne savent rien faire d'autre. Allez, va te rafraichir, çà ira mieux après. »

 

Francine aussi déteste Guy. Elle le trouve hautain avec son air de séducteur, ses cheveux couleur jais, sa moustache à la Charles Bronson. C'est vrai qu'il est beau gosse, et que les femmes, même mariées, succombent à ses avances. Mais il n'a jamais pu l'avoir, elle.

 

Michel passe un mauvais dimanche, malgré les propositions alléchantes de sa femme. Elle n’a de cesse de lui proposer toutes sortes de gâteries, mais il n’ pas la tête à ça…

Francine n'aime pas le voir dans cet état. 

Le lundi après-midi, sans rien dire à son mari, elle décide de rende visite à  cet ennemi juré. Elle prend une douche, admire son corps magnifique dans la glace, enfile un string, une jupe qui arrive à mi-cuisses, et un chemisier. Elle ne met pas de soutien-gorge. A vingt six ans, ses seins tiennent seuls.

 

Francine arrive à la villa de Guy vers quatorze heures. Il est là, la voiture est garée dans la cour. Elle sonne. C'est lui qui ouvre, vêtu d'un peignoir, téléphone portable à la main. Il doit sortir de la douche, ses cheveux sont tout mouillés.

« Tiens, dit-il en raccrochant, Francine ! Quelle agréable surprise. Mais je t'en prie, entre. Tu manques Pascale de cinq  minutes.

-Tant mieux, répond-elle, c'est justement toi que je voulais voir. C'est quoi, le sale coup que tu as fait à Michel ? »

 

Il ferme la porte derrière eux, se dirige vers le canapé, et s'assied, en refermant le peignoir sur ses genoux.

« Attend,  répond-il, çà m'étonne pas de lui, toujours aussi incapable. Il envoie sa femme pour régler ses problèmes ! Quand il te fait l'amour, il n’appelle pas le voisin, j'espère ! »

 

Francine s'avance et lui envoie une gifle. Dans un réflexe, il lui bloque le poignet. Elle balance l'autre main, il l'a bloque aussi, sans effort apparent. Il relie les poignets dans sa seule main gauche. Lentement, il tire sur les bras pour l'obliger à s'avancer. Francine est obligée d'écarter les jambes pour éviter les genoux.

« Lâche-moi », dit-elle en colère.

 

Guy l'a regarde en souriant. D'un calme olympien, il avance sa main libre et lui caresse l'intérieur des cuisses.

« Lève ta main de là, petit con, ou je t'arrache les yeux. »

La main continue sa progression, se fait plus vicieuse. Guy écarte le string, et fait courir un doigt sur la fente.

Francine se débat, mais plus elle se débat, plus ses jambes s'écartent, et plus sa jupe remonte sur ses cuisses.

« Arrête connard, hurle-t-elle.

-Pourquoi, sourit-il, on n’est pas bien ? Tu ne veux pas qu'on joue tout les deux ??? »

 

Guy a maintenant inséré deux doigts dans la chatte de Francine. Il parcourt les lèvres intimes de bas en haut, remonte jusqu'au clitoris qu'il décalotte, et qu'il taquine avec son ongle. Elle est rouge de colère, mais aussi de honte, car elle commence à trouver une certaine excitation à cette situation odieuse….

« Laisse moi partir, supplie-t-elle, restons en là.

Mais son corps l'a trahit, elle est môns farouche. Elle semble apprécier les doigts qui fouillent son intimité. Sa respiration s'accélère, son petit bouton durcit sous les caresses de plus en plus précises.

« Mais c'est qu'elle commence à mouiller, ma salope, remarque Guy. Serait-elle en train de se régaler? Si ton mari savait que sa femme se fait doigter par son pire ennemi, qu'est-ce qu'il dirait ???

Tais-toi, gémit Francine, qu'est-ce que tu me fais salaud ? Oh putain que c'est bon, comme tu me chattes. Vas-y, bien  sur mon clitoris, mets-le en sang ce polisson… Ha..oui… t'arrête pas… Je vais jouir… Lâche mes poignets… S'il te plait... Haaa !!! »

 

Guy la libère. Francine se penche, et lui prend les lèvres. Elle dénoue le peignoir, et reste scotchée.

« Oh mon dieu ! Quelle queue, et quelle paire de couilles ! Si mon mari voyait çà, le pauvre…. »

 

Le membre de Guy, en pleine érection, mesure pas loin de vingt centimètres, sur quatre de diamètre.

« Tu peux t'amuser avec, propose Guy.

-En clair, tu veux que je te taille une pipe, c'est çà ? »

 

Obéissante, Francine se penche, décalotte le gland avec ses lèvres, et commence une savante fellation. Le portable de Guy, posé sur l'accoudoir, sonne.

« Allo... Tiens, Michel… C’est toi... »

 

Francine ouvre grand les yeux, et fait mine de se lever. Guy la maintient en posant une main sur ses cheveux.

« Tu m'en veux pas trop j'espère... Les papiers ?... Cà presse pas... Tu me les feras passer par Francine... Cà me ferait plaisir... Il y a si longtemps que je ne l'ai pas vue... OK… Salut Michel.

- Tu aurais pu lui dire que je suçais son pire ennemi, ironise Francine.

- Attention, râle Guy, retire toi… Je vais cracher...han...han...finis-moi à la main...

- Pas question, répond-elle, fais-toi plaisir, prend ton temps. Vide tes grosses couilles. Tu vas voir, je vais tout avaler ! »

 

Guy se tend en avant. Les jets de sperme giclent au fond de la gorge de Francine. La queue se retire lentement. Elle passe sa langue sur le gland pour bien le nettoyer, puis ôte ses vêtements.

« J'ai le temps maintenant, allons dans ta chambre, j'ai envie que tu me prennes. »

Et là, l’honnête mère de famille, la femme de l’ex-président bafoué de l’association Francine, va se le faire mettre dans toutes les positions, une bonne partie de l'après midi. Elle va hurler de plaisir à maintes reprises…

 

« Tu sais que tu es bonne, dit Guy, ton mari ne te donne pas assez, hein ?

-Tu m'encules, salaud, gémit-elle, on ne m'a jamais prise par le petit trou, on m'a jamais niquée comme çà. Quel amant  merveilleux tu es. C'est vrai que Michel ne me satisfait pas, mais quelle attitude je vais avoir devant lui maintenant ? »

 

Son dernier coup de queue, Francine va le prendre sous la douche. Une dernière fois, elle va hurler son plaisir sous l’eau. Le baiser d'au-revoir est sulfureux.

 

C'est épuisée, avec des cernes sous les yeux, qu'elle rentre chez elle. Michel arrive vers vingt heures.

« Alors ma chérie, dit-il en l'embrassant, tu as passé un bon après midi ? Je te sens fatiguée. Au fait, j'ai appelé Guy, je lui ai dis que tu lui apporterais les documents de l'association, çà te dérange pas ?

- A bon, ce n’est pas que çà m'enchante, mais s'il le faut. Je dois aller en ville après-demain, je peux y passer si tu veux ?

- Parfait, répond Michel, tout sera prêt. »

 

Pendant que Michel prend sa douche, sans se douter le moins du monde de ce qu’il vient de faire. Il a jeté sa femme dans la gueule su loup…

Francine téléphone à Guy, pour le tenir eu courant. Maintenant, ils vont avoir des jours entiers pour baiser en toute tranquillité…

 

Sam 17 oct 2009 5 commentaires
francine ne cet telle pas parler au mec les gifler nous rende les mec encore plus dingue elle prefaire parler avec sa chatte cet domage pour michel il est cocu maintenent j'espere quel peut lui en parler de son aventur
p - le 17/10/2009 à 08h09
il na pas fallu longtrmps pour qu elle se laisse aller a son amant que soit disant elle detester en plus elle va maintanant le rejoidre
romain57 - le 17/10/2009 à 09h59
Une forte envie de sexe fait parfois faire "n'importe quoi" ou presque... Moi, quand j'ai une envie forte, n'importe qui fait l'affaire, du moment qu'il sait se débrouiller de ses dix doigts, et qu'il a une belle bite... Tu peux relire à ce sujet mon recit "une furieuse envie de baiser..."
Sophie de R.
Ben au moins, son mari ne pourra jamais se douter qui est son amant !!!
Christophe - le 17/10/2009 à 22h03
Tu as raison, c'est un alibi en beton armé !
Sophie de R.
Olga, mon épouse a fait, avec mes adversaires, ce que Francine a fait avec ce type, mais elle l'a fait devant moi. j'ai été humilié mais j'ai poussé le candaulisme et mon amour pour elle jusque là.
Philippe - le 18/10/2009 à 21h21
Je sais pas si cette rediffusion était prévu, mais elle est d'actualité. Le dénouement est proche, très proche.
Merci Sophie.
Mike - le 28/03/2011 à 21h30

Allez, garde courage, tu en sortiras le plus fort ! bisouxxx doux...

Sophie de R.