Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Un jeudi soir, à la fin du mois d’aout, j’ai décidé d’aller à la pêche. J’ai préparé mes affaires de pêche, et Sandy m’a aidé. Je lui ai dit que nous irions au lac vert. J’ai précisé que je voulais y passer la nuit. Elle a refusé, car il y aurait aussi mon ami Jean-Jacques. Elle ne peut pas le voir, elle le trouve trop con.
J’ai insisté pour qu’elle vienne avec nous au moins jusqu’au soir. Elle a fini par accepter, et nous avons prévu de faire un barbecue pour le déjeuner.
Le soir même, elle est allée faire les salades avec sa mère, pendant que j’allais me coucher. Quand elle est venue me retrouver, elle m’a annoncé que sa mère viendrait avec nous. Elle n’a jamais été à la pêche à la carpe, et elle a envie de connaitre. Je dis à Sandy que nous devons nous réveiller à trois hures trente, pour un départ à quatre heures. Elle acquiesce, et va prévenir sa mère. Elle est à peine revenue que la vieille rentre dans notre chambre, et me dit qu’elle ne sait pas si elle restera la nuit. Je lui ai répondu de ne pas s’en faire, que j’avais prévu un lit pliant pour elle, au cas où. Ainsi, elle aurait le choix.
Le matin venu, nous sommes partis à l’heure prévue. Les femmes ont dormi toute la route. A notre arrivée, Jean-Jacques était déjà là. Quand nous sommes sortis de la voiture, il a fait une drôle de tète en voyant les deux femmes. Il n’aime pas trop Sandy non plus.
Nous avons installé les cannes, puis les tentes. Ma belle-mère avait l’air de bien apprécier. Par contre, elle n’a pas aimé que mon copain ne lui dise pas bonjour à notre arrivée. Sandy l’a appuyée, en affirmant aussi que c’est un vrai con. Et que c’était la raison pour laquelle elle voulait rentrer le soir même.
Sur ce, elles sont allées s’allonger sur un drap de bain, les seins nus. Quand Jean-Jacques a vu ça, il s’est aussitôt approché pour bien les mater.
Ma belle-mère, le voyant faire, l’a interpellé :
« He mon gars, tu viens mater ma fille ? T’es qu’un gros con. Casse-toi, tu devrais avoir honte de bander comme ça ! »
Moi, j’ai éclaté de rire. En fait, elle avait bien raison. La journée s’est bien passée, mais le soir venu, Sandy a dit qu’elle partait. Mais sa mère elle, a décidé de rester avec nous. Ma femme nous a annoncé qu’elle revenait le dimanche. Nous avions déjà bien péché, au moins quinze carpes, et après son départ, nous en avons encore attrapé plus.
Mais vers 22h30, plus rien, pas un poisson. La vieille était très étonnée, tout comme mon copain.
Alors, je me suis levé pour aller pisser. A mon retour, elle ma demandé de l’accompagner, elle avait peur d’aller aussi pisser seule. J’ai accepté, et nous sommes partis à dix mètres de là.
Elle s’est accroupie, et a juste carté sa culotte. J’entendais couler son urine, et ca ma donné une érection immédiate ! Je me suis tournée vers elles, pour la regarder, et elle a bien vu que je bandais comme un taureau. Elle s’est relevée, et a posé sa main sur ma bite. Je lui ai demandé d’arrêter, je bandais trop, j’avais trop envie de la baiser, là tout de suite. Mais il ne fallait pas que mon pote nous voie.
Nous sommes revenus vers la tente, où il nous attendait. Il nous a dit qu’il allait se coucher. Moi, je décidais de boire une bière près du feu. Janine, ma belle-mère, m’a suivi et s’est assise près de moi.
Elle m’a demandé si mon copain allait bientôt dormir ou pas. Je lui ai répondu qu’en général, il se couche, et dort deux minutes plus trad., comme un loir.
Janine est allée voir de ses yeux s’il dormait ou pas. C’était bien le cas.
Nous sommes donc retournés pour dormir dans notre tente. Je venais de m’allonger, quand elle me demanda tout bas :
« Hé, Chris, moi je dors toujours nue, et toi ?
- Euh, moi, c’est avec mon slip de bain.
- Ah ok, et bien moi, je n’ai rien sur moi. »
Et pour preuve, elle me lança sa culotte sur le visage. D’un coup, je l’ai reniflée, et à nouveau, ca m’a fait bander come un turc. Putain, elle m’excite toujours autant, la vieille !!!
Bien évidemment, j’ai commencé à me branler, je ne pouvais pas rester comme ça. Janine a du m’entendre, car elle me dit :
« Chris, tu fais quoi ? Tu ne serais pas en train de te branler ? Tu as aimé l’odeur de ma culotte ? »
Je n’ai rien répondu, trop occupé à m’astiquer le chibre. Janine est venue s’allonger près de moi. Elle a attrapé ma queue et à commencer à me branler bien fort. C’était trop bon, comme d’habitude. Elle sait y faire, la vieille chienne !
Je n’en pouvais plus, et je lui ai demandé de se tourner, pour que je lui bouffe le minou. Elle ne se fit pas prier, et se mit à quatre pattes, en 69 sur moi. Je commençais à lécher avec ardeur sa bonne chatte. Elle sentait un peu la pisse, mais surtout la mouille.
En même temps, elle me suçait super bien, en faisant coulisser ses lèvres le long de mon sexe dur.
Nous étions en plein 69 d’enfer, quand un détecteur d’une de me cannes à pêche s’est mis en route. Ma belle-mère a sursauté et j’en ai profité pour me lever. Nu, bien sur. Janine est sortie aussi, mon maillot à la main :
« Chris, mets ton maillot ! Si ton copain sort, on est mal ! »
Mais c’était trop tard, il arrivait déjà. Il a vu ma belle-mère me lancer mon slip de bain. Il se mit à plaisanter :
« Oh la la la, faut pas que je regarde ! Tu as de la chance, elle n’a vu que tes fesses... Et pas de près, encore ! »
J’ai tenté de l’enfiler aussi vite que je ai pu, mais il a bien vu que je bandais encore. Il rit un bon coup :
« Dis-donc, mon pote, tu t’es branlé, ou quoi ? »
Je niais en prétendant que ce n’était qu’un rêve. A ce moment-là, la vieille est arrivée, en nuisette. Avec la lampe, elle devenait transparente. Il me souffla à l’oreille :
« T’as vu, elle est à poil dessous !
- Normal, non ? Tu dors habillé, toi ?
- Chez moi, non, mais ici, oui !
- Tu as peur que quelqu’un te voie ?
- Non, mais tu vois bien, la canne a sonné, et toi, tu étais nu et ta belle-mère a failli te voir. »
Janine lui répondit :
« Et alors, tu coirs que c’est le premier homme que je vais voir nu ??? »
Jean-Jacques ne répondit rien, et s’absorba dans la sortie de la carpe de l’eau avec moi.
Nous sommes ensuite partis nous coucher, mais sans continuer nos galipettes.
Le matin, dès cinq heures, je partis chercher du pain au village. En revenant, Jean-Jacques me signe de venir pour un gros poisson. Nous étions en train de le sortir, quand Janine nous a rejoints, toujours en nuisette. Moi, ca me fait à nouveau bander… Il me dit :
« Putain, elle est bonne, elle est encore meilleure en plain jour ! »
A ces mots, elle a souri, et demandé i on parlait d’elle. Elle a regardé Jean-Jacques, et, d’un coup, elle a soulevé sa nuisette, puis l’a baissée tout aussi vite. Mon copain a rougi comme un ado.
« Alors, on dirait que tu n’as jamais vu une femme nue ! »
Je riais et dit à Janine :
« Tu sais, il a un gros sexe ! »
Elle s’approcha de lui, et lui assena :
« Oh, je ne vais pas te niquer, te sucer me suffira ! »
Il ne savait plus quoi dire :
« Heu, je ne sais pas, j’ai une toute petite tente…. »
Je lui répondis d’aller dans la mienne. Ils y entrèrent aussitôt. Quelques minutes après, je suis allée voir. Ca m’excitait dur de savoir ce qu’il se passait à quelques mètres de moi.
Mon copain avait les jambes écartées, Janine, pliée en avant, le suçait à fond. Je soulevais sa nuisette, et vis son abricot tout mouillé. Je n’y tenai plus. J’ai sorti ma queue de mon short, prêt à me branler, mais ma belle-mère me cria :
« Non, te branle pas, baise-moi ! Je veux ta grosse bite au fond de ma chatte de salope ! »
Sans hésiter, je me mis derrière elle, et présenta mon sexe devant sa foufoune trempée. Je n’eus pas à forcer beaucoup pour entrer. D’un bon coup de rein, je m’enfonçai en elle. Elle continuait de sucer Jean-Jacques au rythme de mes coups de boutoir.
Elle a joui une première fois, en agitant le bassin encore plus vite. J’ai accéléré la cadence, pour la bourrer à fond. Je prenais un énorme plaisir à voir ma queue entre et sortir de cette chatte brulante.
Jean-Jacques me regardait baiser Janine, les yeux hors de la tête. Il le pouvait plus se retenir, et jouit à grands jets épais dans sa bouche. Elle avala tout, continuant de gémir sous mes coups de rein. Elle voulait continuer de le sucer, mais il se recula, car il avait débandé. La vieille criait :
« Oh oui, Chris, baise-moi, baise-moi à fond ! Défonce-moi la chatte ! Bourre-moi le con !!! »
Bien sur, j’obéis, et la défonçais au maximum avec ma grosse tige, heurtant son bassin avec le mien sans tendresse. Elle n’arrêtait pas de gémir. Mon pote nous regardait, et s’est à nouveau rapproché. Elle lui saisit sa bite molle, pour le sucer. Mais rien à faire, il ne bandait plus.
Ses cris m’excitaient, et je sentais que j’allais venir. Je le lui dis, et elle me répondit : « Attends, jouis pas, viens te vider dans ma bouche. »
Je ne me le fis pas dire deux fois, sortit de sa chatte dégoulinante, et enfournais ma bite dans sa grosse bouche à pipe :
« Vas-y, cochonne, mange ma sauce, espèce de salope ! »
Tout a giclé dans sa gorge. Comme tout à l’heure, elle a tout avalé avec gourmandise. Mon copain était scié de voir comment je m’étais vidé dans ma propre belle-mère !
Nous sommes repartis vers nos cannes, sans rien dire, et la vieille est rentrée dans la tente.
Quelques heures plus tard, Jean-Jacques est venu à coté de nous, pour nous demander si cela faisait longtemps que nous baisions ensemble.
Sans se démonter, Janine lui dit :
« Sors ta belle queue, je vais te la sucer bien à fond, et ensuite, je te répondrai ! »
Cet imbécile lui répond qu’il n’est pas encore prêt !!! Moi, bien sur, je l’étais, et elle le savait, la garce. Mais c’est mon copain qu’elle voulait, pas moi. J’étais déçu :
« Pourquoi tu veux sa bite et pas la mienne ?
- Elle est trop bonne, sa queue !
- Mais pas la mienne ?
- Si, j’aime la tienne, mais la sienne est plus petite, et je peux la mettre entièrement dans ma bouche. Comme ça, je ne perds pas une goutte de son sperme. Alors qu’avec toi, je ne peux pas. Tu es trop gros, et je ne peux pas tout avaler. Ta bite est belle, mais trop grosse pour que je la bouffe en entier… »
Je suis donc reparti vers mes cannes, avec une grosse envie de baiser. Dans la soirée, je suis allé retrouver mon copain, pour lui demander de venir avec nous. Il refusa d’abord, mais je finis par le convaincre.
Janine était toute excitée de le voir arriver. Elle s’est levée pour mettre une tenue plus légère. En fait de tenue légère, elle s’est habillée de sa nuisette, et nous a rejoint. Jean-Jacques bandait déjà. Son short était déformé par son sexe dur. Avant qu’il ne puisse dire un mot, elle s’est approchée de lui, a sortit sa bite du short, et l’a branlée comme si tout était naturel.
Je les regardai, en bandant aussi bien dur. Je me suis déshabillé, et je me suis approché d’elle. Elle m’a branlé de l’autre main. Elle était là, entre nous deux, sans gène, une bite dans chaque main... Quel spectacle !
Elle s’est penchée pour sucer à fond mon pote, qui n’e pouvait déjà plus. Elle l’aspirait en entier, ses lèvres butaient contre son pubis. Je la regardais, fasciné. Elle continuait de m’astiquer le manche. Je bandais comme rarement. Elle a lâché le chibre de mon copain, et lui as dit :
« Allez, viens me sauter ! Baise-moi à fond ! Défonce-moi la chatte ! »
Il s’est placé derrière elle, toujours courbée en deux. Il l’a prise par derrière, d’un violent coup de rein. Dans le même temps, elle s’est mise à me pomper comme si sa vie en dépendait. Sa bouche l’aspirait au rythme des coups de boutoir de mon pote. Quelques minutes plus tard, elle dit à Jean-Jacques de s’allonger au sol, sur le dos. Il obéit, et elle vint s’empaler d’un coup sur lui. Ses grosses mamelles se balançaient dans le vide. Je regardais ça en me branlait à toute vitesse. La vieille me dit alors :
« Chris, mon chéri, viens me défoncer le cul. Je veux vos deux bites en même temps ! »
Moi, je n’avais jamais fait ça, une double pénétration. J’étais un peu mal à l’aise. Je me suis mis derrière elle, je voyais en gros plan sa rondelle foncée qui s’ouvrait et se fermait sous la force de la pénétration vaginale. Je mis un doigt, pour l’ouvrir mieux. Il s’enfonça comme dans du beurre. La chienne, elle devait faire ça souvent ! J’ai demandé à mon ami de se retirer quelques secondes, que je la pénètre plus à l’aise. Il obtempéra, et je positionnais mon gourdin sur le vagin, pour me lubrifier la queue... Je m’enfonçais d’un violent coup de rein. Elle cria un peu, mais tout de suite, accompagna mes va et vient. Une fois bien mouillé par sa cyprine, je me retirai, et laissai à nouveau la place à mon copain.
Aussitôt, elle s’empala à nouveau sur Jean-Jacques. Je me mis ma queue devant la rosette, et poussais doucement. Au fur et à mesure que je m’enfonçais, elle criait un peu, de douleur. Son trou était très étroit, je n’y arrivais pas. Je le lui ai dit, et pour toute réponse, elle me cria :
« Vas-y défonce-moi, déchire-moi le cul, j’en ai très envie ! »
Ca m’a redonné de la force, et je pris un élan, pour m’enfoncer d’un coup dans ses entrailles. J’avais peur de lui faire mal, mais elle voulait out prix que je la défonce à fond. Alors, j’ai continué.
Nous la baisions enfin tous les deux, en rythme, chacune de nos bites la défonçant à mort. Elle criait, gémissait, jouissait à répétition. Je n’ai pas tenu trop longtemps, hélas. Je lâchais ma purée dans son anus, qui déborda presque aussitôt. Jean-Jacques jouit aussi, et nos spermes se sont mélangés sur ses cuisses.
Nous sommes retirés d’elle, elle s’est allongé e sur le coté. Mon pote est reparti dans sa tente, complètement ko. Quelques minutes après, Janine me disait :
« Mon Chris, t’as bien baisé mon cul ! Il me fait encore mal, mais j’ai adoré. Tu m’as bien défoncée ! Mais je n’en n’ai pas encore assez. Je ne suis pas satisfaite ! Baise ma chatte, tu veux bien ? Ton pote baise bien, mais je n’ai pas trop senti sa queue, elle est trop courte pour ça.
- Je veux bien, mais fais-moi bander, je suis trop mou.
- Pas de problèmes, viens, je vais te sucer. »
Aussitôt dit, aussitôt fait, elle s’est approchée, et a enfourné ma bite dans sa grande bouche de suceuse. Elle me malaxait les couilles et il ne me fallu pas trios minutes pour bander comme un cerf.
Je l’ai mise à quatre pattes, et je l’ai baisée comme une chienne en chaleur. Elle n’est que ça, une chienne toujours prête à se faire mettre. Je l’ai bourrée à fond, elle criait sous mes coups de reins. Je ne prenais aucune précaution, aucune tendresse. Je voulais lui en donner, pour la calmer….
Elle jouissait, la garce, elle a joui plusieurs fois, et je l’ai limée pendant plus de trois quart d’heure. Elle est un vrai garage à bites ! Sa mouille coulait sur mes cuisses, je donnais des coups de bite plus violents que jamais. Une vraie défonce totale !
J’ai fini par jouir, en criant comme jamais. Elle s’est retirée, retournée, et a avalé mon chibre rouge et dégoulinant. J’étais exténué.
Nous nous sommes endormis, et quand Sandy est arrivée le lendemain, en nous voyant, elle s’est bien doutée que nous avions baisé comme des malades.
« Eh bien mon chéri, on dirait que vous avez profité de la nuit…
- Euh, oui... Et Jean-Jacques aussi. Il a bien baisé ta mère… »
Sandy a ri, et nous avons remballé nos affaires…
Si vous voulez la suite de nos aventures, dites-le moi, je vous les raconterai avec plaisir !
Je fantasme sur son sexe, sur ses fesses... Plus le temps passe, plus j'ai envie de lui ! Mais pour le moment, la morale me retient. Pourtant, je suis sure que ma fille ne sait pas faire l'amour si bien que moi !!!
Rien que de vous écrire ca, je suis trempée. Je vais aller me faire jouir, en pensant à mon beau gendre, si "bandant" !
Je bande comme un dingue!!
J'adore!!!
Bravo à CHRIS
Franck L
Où se trouve cet oiseau rare ? Tu es prete à le partager ?