Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Ce soir, je vais vous raconter comment je suis devenu une petite pute soumise, une vraie lope à pédés…
Cette histoire s’est passée pendant ma dernière année de lycée. J'ai été invité un samedi soir du mois de février avec mon copain Marc chez Joël, un ami de classe.
Nous avions l’intention de jouer aux jeux vidéo et de mater des films.
Après quelques parties de jeux, Marc a roulé un grand joint tandis que Joël a examiné les vidéos de son grand frère et a découvert un film de cul hétéro.
Les parents de Joël étaient partis pour le week-end, donc nous avions fait un raid sur le bar et avions déjà bu la moitié de la bouteille de vodka. Je me sentais un peu bourré.
Joël mit un film et a éteint tous les lumières, sauf un halogène dans le coin de la pièce. Il s’est assis sur le divan entre moi et Marc.
Les scènes du film de cul étaient vraiment chaudes : deux types faisaient une double pénétration à une fille.
Les deux mecs avaient des bites énormes. Le mec qui la sodomisait retirait de temps en temps sa bite, ce qui nous permettait de voir le cul de la fille complètement ouvert. On était concentré sur
le film, plus personne ne parlait mais le joint tournait.
J'ai discrètement regardé mes deux copains pour voir s’ils bandaient.
Joël bandait et se frottait la bite à travers son pantalon. Je pouvais voir qu'il avait une très grosse queue. A ma grande surprise, cette idée m’a excité…
Après dix minutes, Marc et Joël se caressaient ouvertement leurs bites à travers le pantalon, et j'ai commencé à me caresser aussi. Joël m'observait en coin, puis il a placé sa main sur ma cuisse
en me frottant la jambe.
Surpris, j'ai regardé Joël. Il m'a souri, mais je n’ai pas réagi, trop indécis sur l’attitude à adopter. Il a alors déplacé sa main vers mon entrejambe et a commencé à me caresser la bite et les
couilles, sans aucune hésitation. Tétanisé, je me suis laissé faire.
Il a pris ma main et l'a guidée vers sa bite.
Joël a ouvert la fermeture éclair de sa braguette. Il ne portait pas de sous-vêtements, sa bite gonflée a jailli à l’extérieur. Comme je l’avais pressenti, elle était vraiment énorme.
J'ai placé ma main sur ce gros phallus, et ai commencé à serrer doucement.
Tandis que je caressais sa bite, Marc a passé le joint à Joël. Il a tiré dessus, puis il s'est penché voir moi pour me souffler la fumée dans ma bouche. Sans façons, il m'a ensuite embrassé. Nos
langues se sont entremêlées : quelle sensation agréable… Jamais je n’aurais pu imaginer que ce fut si bon !
Ma bite était dure comme de la pierre, j’étais super excité, je me sentais prêt à tout. Tout en m’embrassant, Joël a enlevé ma chemise Il a trouvé mes mamelons et les a frotté doucement avec ses
pouces. Il a soulevé son cul, et j’ai ôté son jean.
Joël m’a alors poussé sans ménagement la tête vers sa bite, je ne sais pas ce qui m’a pris, mais sans hésiter, je me suis mis à genoux entre ses jambes et ai commencé à lécher, embrassant et suçant ses couilles. J'ai soulevé une de ses jambes, Joël l'a soutenu, exposant son cul brun, velu. J'ai timidement léché son anus. Il a haleté, m’a encouragé, j'ai alors poussé ma langue dans son cul.
Il sentait fort la sueur mais j'ai aimé le goût. Je l'ai léché jusqu'à ce que ce soit propre et sec. Alors, je suis retourné à sa bite en la suçant de bas en haut. Il a poussé ma tête afin que
j’avale toute sa bite. J’ai suffoqué, mais il m’a maintenu la tête fermement. Aucun doute, ce mec me baisait la bouche ! Comme il l’aurait fait d’un cul ou d’un vagin !!!
« Olivier, tu es un putain de suceur de bite » a-t-il dit.
Quand j'ai levé les yeux, j’ai vu que Marc avait retiré son pantalon et sa chemise et embrassait à pleine bouche Joël. Marc est venu à côté de moi et m'a rejoint pour sucer la bite de Joël. J'ai
sucé les couilles de Joël tandis que Marc a avalé sa bite. Marc et moi l’avons pompé à tour, léchant son gland avec une gourmandise non dissimulée
.
Puis Marc s’est approché de mon oreille et m’a chuchoté : « Olivier, je veux te baiser. »
Je savais que ce moment arriverait, et j’y étais résigné.
Tandis que je suçais Joël toujours profondément, Marc a ôté mon jean et mon caleçon, exposant ainsi mon trou du cul à sa vue. Il m’a dit à l’oreille que j’avais un cul tout mignon, lisse comme
celui d’une fille, potelé et ferme. Il le trouvait parfait pour se faire prendre.
Marc a collé son nez dans ma fraie culière, et a léché mon cul vierge. Une fois mon anus bien mouillé par sa salive, il a mis son doigt sur mon sphincter et l’a lentement poussé pour le forcer.
Marc a ensuite inséré un autre doigt, pour mieux m’élargir le conduit.
Je suçais toujours la bite de Joël avec toute ma force, tandis que les doigts de Marc baisaient mon cul sans aucune tendresse.
Une fois prêt, Marc a positionné sa bite devant mon œillet, et avec ses mains m’a pincé les mamelons, embrassant le cou et me léchant les oreilles. J'ai arrêté de sucer Joël pendant une seconde,
et me suis tourné pour embrasser et sucer la langue de Marc.
Je me surpris de dire à Marc : « Baise-moi comme une petite putain, je veux ta grosse bite dans mon cul.
- Ok, la chienne, tu l'as demandée, et bien tu vas l’avoir maintenant. Je veux t’entendre jouir comme une fille quand je baise sa chatte, dit Marc. »
J'ai senti son gland à l'entrée de mon trou, et Marc a lentement poussé son pieu vers mes entrailles. Je sentais mon trou s’ouvrir, s’élargissant facilement.
J'ai alors poussé en arrière, désireux d’avoir sa bite toute entière dans mon cul. Une fois son membre entièrement rentré, Marc n’a plus bougé pendant quelques secondes. Enfin, il a commencé doucement à me limer. Je gémissais comme une fille : j’avais une bite dans la bouche et une autre dans le cul !!! J’étais devenue une petite chienne, qui se faisait baiser par tous les trous….
J'ai fait un peu de bruit avec ma gorge, essayant de me sentir comme une petite fille qui était violée par deux garçons plus vieux. J'ai pleurniché et j’ai sangloté pour les encourager à abuser
de moi….
Marc a poussé sa bite au maximum, je pouvais sentir ses couilles tapant sur mes fesses. J'ai arqué mon dos pour le prendre complètement et j’ai continué de sucer Joël qui embrassait à pleine
bouche Marc. Je savais maintenant que j'étais un pédé et que j’aimais me faire baiser par des dizaines, que dis-je, des centaines de mecs..
Marc mettait en pratique ce qu’il avait vu dans le film quelques minutes plus tôt, c’est-à-dire qu’il sortait entièrement sa bite de mon trou avant de la rentrer à nouveau violemment. C’avait
pour effet de m’empaler à fond sur la bite toute gonflé de Joël à chaque poussée.
Joël m’a alors saisi la tête, puis il a commencé à me baiser la bouche, essayant de correspondre avec les poussées de Marc. Joël et Marc baisaient mon cul et ma bouche avec leurs bites énormes et
raides. J’étouffais avec ce gros chibre qui me déformait la gorge. Mais je ne le lâchais pas…
« Quelle bonne petite pute, nous avons ici, a dit Marc. Regarde, Joël comment Olivier aime se faire prendre !!! »
C’est alors qu’il a retiré sa bite pour montrer à Joël mon trou béant, puis il m’a enfoncé de nouveau sa queue, entièrement, jusqu’à la garde. Je le sentais fouiller mes intestins…
Joël enfonçait sa bite profondément dans la bouche, j’avais le nez dans son buisson à l'odeur forte.
Il gémissait profondément en disant : « Je vais jouir, allez chienne, suce ma bite et avale mon sperme. »
C’est à ce moment que j’ai senti 4 à 5 giclées de son foutre au goût amer m’arroser la glotte. Ma bouche et ma gorge ont été inondées de son sperme, j’en avalais le plus possible, mais quelques gouttes se sont échappées de mes lèvres coulant sur mon menton. J
Joël a alors pris ces gouttes sur son doigt et me l’a donné à sucer. Je continuais de le pomper Joël de nettoyer sa bite et de ne pas perdre une goutte de son nectar. Il s’est alors baissé pour m'embrasser profondément et puissamment. J'ai avalé sa langue comme une adolescente avec son premier petit ami. Une vraie midinette !
Marc est devenu si excité lorsqu’il m’a vu avaler le sperme, qu’il m’a bourré le cul comme un fou. J'ai arqué mon dos comme une chienne pour profiter au maximum de ces coups de boutoir.
Marc a crié : « Je n'ai jamais connu une chatte aussi bonne que ton petit cul, je vais te remplir, tu vas déguster, ma petite salope… »
Marc m’a claqué les fesses, puis il a enfoncé son pieu au maximum et a crié très fort, j’ai alors senti sa bite se contacter, et six ou sept bonnes giclées ont tapissé mes
entrailles.
Je venais de réaliser que j’avais livré mon cul et ma bouche à la soumission de deux jeunes mecs excités, les laissant abuser de moi et m'humilier… je n’en n’étais pas si fier…
Marc s’est retiré, mais Joël avait repris de la vigueur, il m'a alors retourné, j’étais maintenant sur le dos, il s’est couché sur moi, m'embrassant et suçant mes lèvres, mon cou, mordant mes
lobes d'oreille et m’a interpellé durement : « Je vais moi aussi te baiser comme une putain que tu es, Olivier, allez, lève tes cuisses ! »
Il mit mes jambes autour de son cou. Joël positionna son gland énorme contre mon anus. Sa bite était plus grosse que celle de Marc, et j’avais un peu peur de ce monstre de chair.
Il a enfoncé sa bite d’un seul coup dans mon corps, j’ai été assommé par la douleur fulgurante qui m’a traversé le corps.
Mon rectum venait d’être déchiré malgré la présence du sperme de Marc qui aurait du faciliter la pénétration. J'ai crié, mais il a continué de me baiser, ne prenant pas la peine de ralentir, à chaque fois sa bite allait profondément dans mes intestins, la douleur était inimaginable.
Sa bite tapait directement ma prostate, j’ai alors joui spontanément, sans que l’on me touche, une décharge énorme sur mon torse. Marc qui, depuis le début, regardait Joël me baiser, récolta mon
sperme avec sa main, puis il le porta à ma bouche. J’étais dégouté, je ne voulais pas goûter à mon propre sperme mais Marc me claqua les fesses et m’ordonna : « Allez, nettoie-lui les doigts ».
Je ne pouvais qu’obéir, et je me mis alors à les lécher, un par un, j’ai ainsi avalé tout mon sperme.
J’étais humilié et soumis. Joël utilisait mon cul comme un jouet, sans respect face à ma douleur. Il rentrait sa bite profondément dans mon rectum, déchirant mon sphincter. Pourtant, au fur et à
mesure, j'ai constaté que j’aimais ces humiliations.
Marc avait repris de la vigueur, il se branlait regardant son copain me baiser puis Joël lui a demandé de me tenir les jambes, il s’est alors installé sur ma tête. Comme cela, j’avais son œillet juste au dessus de ma bouche. Il m’intima son ordre : « Lèche mon trou à merde, il faut le rendre propre ! »
J'ai léché et ai sucé son trou d'homme qui sentant fort, Marc poussait pour me permettre d’enfoncer ma longue plus profondément. J'étais maintenant dans les profondeurs de soumission et
d'humiliation, léchant le trou du cul d'un homme tandis que l'autre violait le mien.
Joël me baisait de plus en plus vite, je savais qu’il allait bientôt jouir. Marc se mit sur le côté et reprit frénétiquement sa branlette. Joël se retira de mon cul et vint s’installer de l’autre côté de ma tête. Avec une main il se branlait, et avec l’autre il m’obligea à ouvrir en grand ma bouche. J’étais déjà si dégradé que je n'ai émis aucune plainte. Ils ont joui en même temps, m’envoyant au fond de ma gorge une belle quantité de sperme que j’ai du avaler.
Enfin, Joël m’a dit : « Nettoie maintenant ma bite », tout en mettant ses mains derrière sa tête pour montrer sa victoire.
J’ai léché consciencieusement la bite de Joël qui était recouverte de sperme, du sang de mon cul et d’un peu de merde puis j’ai nettoyé celle de Marc.
Joël et Marc ont ricané de concert : « A partir de maintenant, tu seras notre esclave sexuel, tu feras tout ce que l’on voudra ».
Nous sommes partis nous coucher, j’étais humilié mais j’avais pris énormément de plaisir. Jamais je n’aurais imaginé cela. Je savais que je serai à jamais un pompe à bites, pour mecs vicieux et
dominateurs…
Je suis devenu leur pute. Il m’arrivait de les sucer ou de me faire prendre pendant les récréations, et ceci régulièrement jusqu'à la fin du lycée. Mais tout cela resta entre nous, jusqu’au jour
des résultats du Bac où nous sommes allés boire un coup sur un terrain vague avec la petite amie de Joël. Les choses sont vite devenues chaudes : tandis qu'elle a sucé Joël, elle m'a regardé
sucer Marc puis Joël l'a baisée et Marc m'a baisé : la honte absolue.
Depuis je suis toujours soumis et j’aime ça.