Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Nous sommes dans la  seconde quinzaine de septembre 1978. Il est minuit, je suis dans le  hall de la gare de Limoges. J'ai trois heures à  attendre pour ma correspondance. Le hall est désert. Le buffet est fermé, les bistrots alentours aussi, alors je prends mon mal en patience. Une petite envie de pipi me conduit  vers les WC. 

A ma grande surprise, il y a un homme, la cinquantaine de haute taille, il fait  face au mur des urinoirs. Il y a trois places séparées par une mini cloison. C elle derrière laquelle il se cache est  trop basse pour lui,  ce qui me permet de constater qu'il n'est pas là pour uriner : il se branle.

 

Ce qu'il caresse est visible. M'entendant arriver, il tourne la tête vers moi et me sourit. Il voit à mon regard que  je suis loin d'être choqué de le voir se branler. Je suis bisexuel, j'aime le sexe des hommes. Les sucer et les sentir en moi sont des plaisirs que j'adore assouvir.

Tout en entrant, je me déboutonne pour faire ce pourquoi j'étais venu.  L'homme voyant mon regard complice recule d'un pas et me fait face. Ce que je vois alors me fait bander instantanément. Sa queue est longue et épaisse, du genre  "Rocco". Il arrête sa caresse et écarte  ses mains  pour mieux me montrer sa bite. Assez exhibitionniste, ce  gars là, tout de même... J'apprécie, les belles choses sont toujours agréables à admirer, et puis  je suis un peu voyeur. Donc...

«  Félicitations, Monsieur,  vous avez vraiment une très belle bite. Je ne sais pas quels sont vos goûts, mais pour ma part, je serai heureux de vous montrer ce que j'aimerais faire avec. Mais   dommage que vous soyez sans doute pressé de prendre votre train.

- Merci du compliment, mais appelle-moi Marc, me dit-il.

- Enchanté, moi c'est Bruno.

Marc enchaine aussitôt :

- Je n'attends aucun train, j'habite à Limoges. Et je viens très souvent à cette  heure là à la gare  pour draguer. Et ma foi, ça ne marche pas trop mal.  Et toi, tu  prends un train ?

- Oui mais j'ai trois heures à attendre. »

 

Tout en parlant, il s'est approché de moi, prend ma main et la  pose sur sa bite. Elle est vraiment épaisse. Elle est douce au toucher et tiède. Il est circoncis et on peut admirer son  gland, beau champignon qui est légèrement plus large. Je n'y tiens plus, je me  penche et me mets à le sucer. Sans me soucier une seconde que  peut-être malgré l'heure tardive quelqu'un pourrait venir. Marc  lui aussi s'en fout. Je me régale  à le sucer en prenant tout mon  temps et en lui malaxant  les couilles qu'il a velues. J'aime pas trop, mais bon, pas grave.

« Viens, me dit-il,  entrons dans les toilettes  pour handicapés, c'est vaste et à cette heure-là il n'y en a pas, j'ai l'habitude. »

Je lui fais confiance et nous entrons dans cette  pièce dont nous refermons bien la porte. Aussitôt nous nous dénudons. Je reprends ma pipe et lui parcours la  hampe, lui mordille parfois le gland.  Je me rends compte que, avant mon arrivée il avait tout de même piss », car son gland sent un peu l'urine, un petit goût légèrement sucré fort agréable. Il faut savoir que j'aime les jeux  uros.

Pendant ce temps, Marc  me doigte l'anus, il me masse et me pénètre avec science, je sens  mon sphincter se dilater et être tout chaud, il est impatient de  sentir cette queue entrer…

Je me redresse, et lui tournant  le dos, je prends appui sur le lavabo et lui dit :

«  Vas-y encule moi, il me tarde de la sentir  bouger dans mon  ventre. »

Marc se place  bien derrière moi, et pendant que de mes mains j'écarte  mes fesses, il positionne son gland et exerce une légère poussée. Il y a une toute brève résistance, faut dire que si mon anus est serré, il est aussi très souple. Enfin il entre, et pousse doucement jusqu'à entrer complètement en moi. Je sens son ventre contre mes fesses. Nous restons  sans bouger quelques secondes, puis  d'un coup de rein  je lui donne le signale du départ.

Il m'a pilonné longtemps, très endurant le bougre, alternant les mouvements lents et les rapides. Parfois, il sortait  complètement sa queue  pour la rentrer aussitôt d'un seul coup.  Ca me faisait gueuler, mais de plaisir. Enfin, il finit par se laisser aller et éjacula en moi. Quelle sensation formidable que sentir le sperme qu'il avait abondant  gicler par saccade  dans mon ventre !!!

On est resté un moment comme ça sans bouger. Puis il se dégagea, et pendant que je me penchais pour lui nettoyer la queue avec ma  langue, il me  demanda :

«  Je vais te sucer, mais surtout, toi ne laisse pas couler mon sperme, de ton cul, retiens-le. »

Il me fit une pipe qui ne dura pas longtemps, car, excité comme  je l'étais, j'ai joui très vite. Il  s'accroupit et  je compris  pourquoi il voulait que je retienne son sperme en moi, car mettant sa bouche contre mon anus il me demanda de  pousser.

Ce que  je fis, il récupéra un maximum de son jus, se releva et me roula une  pelle pour que nous consommions  nos jus mélangés.

Nous sommes ensuite quittés, lui pour retourner chez lui et moi pour rêver à ce qui venait d'arriver. De quoi attendre mon train  sans  impatience….

Finalement je me suis toujours dit que j'avais  une chance inouïe d'être bisexuel, et que quoiqu'on en dise, les voyages en train ont tout du bon, non ???

Si certains souhaitent rencontrer Bruno, voici son adresse mail : brunobi46@hotmail.fr

Il vit dans le département 46. A vos claviers !

 

Ven 18 déc 2009 5 commentaires
Une belle histoire comme je les aime.. merci Bruno. j'aurais voulu etre petite souris pour vous mater de très près...
Sophie de R. - le 18/12/2009 à 13h57
Tu publies en ce moment chère Sophie une série de récits homo ou bi qui sont tous exceptionnels. J'adore. J'ai découvert ma bisexualité grace à mon épouse et c'est un vrai bonheur! Bisous à toi
Philippe - le 18/12/2009 à 14h05
Merc ide tes compliments, bien trop élogieux... tu es adorable, mille baisers, Sophie
Sophie de R.
Je suis comme vous, les filse. les mecs bi, ca m'eclate ! je kiffe de voir deux ou trois mecs qui baisent devant moi. Bien sur, ils ne m'oublient pas non plus !
Alicia - le 19/12/2009 à 00h58
Alicia et Sophie, vous avez raison. Personnellement je n'ai encore jamais rencontré une femme qui n'aime pas voir 2 hommes baiser entre eux. Et je n'ai jamais non plus rencontré une femme qui n'aime pas me sodomiser avec le gode-ceinture que j'ai toujours dans mon tiroir
bruno - le 19/12/2009 à 09h39
Il m'est arrivé la mème histoire ,mais a la gare de Brive la Gaillarde. J'en garde un très bon souvenir. Bises.
vikinnghard - le 25/10/2012 à 18h28

Comme quoi, prendre le train a toujours quelques avantages !

Sophie de R.