Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Aujourd’hui, en guise de cadeau de Noël, je vous livre le récit de Virginie, qui va nous raconter en plusieurs chapitres comment elle est passée de l’état d’épouse fidèle et respectable, à celui de salope soumise aux désirs de son mari et de beaucoup d’hommes…
Chapitre 1 - Les prémices
Nous avons commencé, Paul et moi, à faire de l’échangisme il y a quatorze ans, j’avais alors trente-quatre ans, puis par goût commun, nous sommes passés au triolisme. Je préfère me retrouver seule avec deux hommes rien que pour moi seule. Quant à Paul, il aime me voir dans les bras d’un autre en train de jouir.
Je ne me souviens plus comment Paul avait trouvé cet hôtelier il y a 6 ans. Peut être par Internet ou par annonce. Un jour Paul me dit : « Nous sommes invités ce week-end par Claude, il possède une auberge sur les hauteurs de Valence, nous pourrons y faire de la randonnée. »
Je savais pertinemment que nous n’y allions pas que pour faire de la randonnée. Nous sommes arrivés un vendredi soir. Il y avait peu de monde au restaurant. Claude, un homme de cinquante ans, nous accueillit et se présenta comme le gérant et le cuisinier de l’hôtel. On nous servit un excellent repas. Vers onze heures du soir, alors qu’il n’y avait plus personne dans la salle, Claude nous rejoignit. Il apporta une bouteille de champagne et nous avons commencé a discuter de tout et de rien. Une demi-heure plus tard, la serveuse et l’employé aux cuisines quittèrent le restaurant.
Claude nous indiqua qu’il n’y avait personne dans l’hôtel et se proposa de nous faire visiter les chambres situées dans une tour. Son regard était de plus en plus pressant sur moi et sans équivoque. Paul, à mi voix, me fit comprendre que Claude voulait me voir plus intimement. Je m’en étais douté un peu ! Il me fit passer devant lui pour monter dans la tour où se trouvaient les chambres. L’escalier était en colimaçon, je m’en souviens très bien. J’étais la première, Claude me suivait, Paul fermait la marche. Alors que nous montions les marches, je sentais à travers ma robe le regard concupiscent de Claude. Nous sommes arrivés à l’une des chambres.
Claude me dit alors : « Déshabille toi ma belle. »
Paul me fit comprendre que je devais m’exécuter. Après m’avoir un peu caressée, Paul me lécha longuement comme il le fait à chaque fois que nous rencontrons un partenaire. Très vite je me mis à jouir. Il me retourna et me fit m’accroupir sur le lit.
« Elle est à toi maintenant », dit Paul à Claude.
Il me pénétra violemment, je sentais en moi sa verge de belle taille. A chaque coup de boutoir, je sentais son ventre qui venait s’écraser contre mes fesses. Au bout de quelques minutes, il se retira, enleva son préservatif et se masturba pour éjaculer sur mes fesses. Je l’entendais dire : « Quel cul, quel cul ! »
Après avoir passé une nuit courte, mais au sommeil réparateur, Claude vint de nouveau me retrouver dans la chambre, alors que Paul était déjà descendu prendre son petit déjeuner. Il me baisa de nouveau cette fois avec plus d’application.
Nous sommes repartis le samedi soir après le repas. Alors que nous roulions, je demandais à Paul ce qu’il avait payé.
« Rien, me dit-il. C’est toi qui a payé avec ton corps. D’ailleurs, notre ami a été satisfait de tes services, et il m’a chargé de te donner cela », ajouta-il en me tendant, je ne me souviens plus du montant, quelques billets d’euro.
Je crois avoir eu à ce moment une bouffée de chaleur, j’étais honteuse et j’en voulais à Paul. « J’ai honte et je te hais », je crois lui avoir répondu.
Alors que nous arrivions à quelques kilomètres de chez nous, Paul s’est arrêté dans un chemin à l’abri des regards et des phares de voitures .
« Descends », me dit-il.
Il me fit m’allonger face contre le capot, souleva ma robe, je sentis ses doigts qui me fouillaient, je mouillais.
« Tu mouilles, salope, me dit-il. Tu as aimé, tu vois tu es une vraie pute,
maintenant. »
Le beau cul de Virginie...
Il m’a prise violemment, nous avons joui tout les deux en même temps.
Par la suite, nous avons continué à rencontrer d’autres partenaires masculins, jusqu’à ce que l’un d’entre eux souhaite me revoir seule. Je lui avais laissé mon numéro de portable. Lorsqu’il me rappela quelques semaines plus tard, j’hésitai à le rencontrer, j’en parlai à Paul qui bien sur m’encouragea à le faire. Je ne sais pas ce qui m’a pris lorsque je lui ai téléphoné, mais je me souviens lui avoir dit : « D’accord, je viens seule, mais je souhaite une attention de ta part.»
Interloqué, il fit comme s’il n’avait pas compris. Dans mon esprit, je pensais à une lingerie ou un parfum. Je lui ai réitéré ma demande.
Je l’entends me dire alors : « Tu es une pute, tu veux de l’argent ? »
Excitée à ces mots et sans contrôle, je lui répondis « oui.»
Cet instant de folie aurait pu être sans suite, c’était sans mesurer combien Paul fut ébranlé mon culot pour ne pas dire mon inconscience…
Vivement la suite !
Mais là, on a encore un gros tabou !
Et j'aime beaucoup les prénoms sans doute des pseudos: Paul et Virginie. Je doute que les héros du roman du même nom aient pratiquer ces jeufort agréables que tu vas nous raconter, Virginie