Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Chers amis libertins,
Après le roman de Virginie, j’entame aujourd’hui la publication d’une nouvelle série : le Roman de Nulaï, écrit par Pierre. Il est corrigé, et parfois complété par mes soins, avec son accord, bien sur.
Il nous offre les passages érotiques d’un roman qu’il publie par ailleurs en entier sur son site. Ici, je me cantonne aux passages les plus « chauds »
Mais je ne peux que vous encourager à visiter son blog pour lire la totalité du roman !
http://belgique-chine.over-blog.com
Préface du roman
La vie et les voyages de Nulaï, c’est un peu comme la recherche du Graal, avec la grande question de l’humanité : POURQUOI ??
Beaucoup de personnages vont apparaître, puis disparaître dans ce roman.
Nulaï est Belge, comme Tintin ou Hercule Poirot, le célèbre détective.
Au cours de sa recherche Nulaï, va parfois frôler la mort, avoir de grandes joies, de grandes déceptions.
Nulaï, c’est un peu de moi, un peu tout le monde. Au départ, une vie en apparence banale, puis qui va prendre une tournure imprévue.
Beaucoup de sujets seront abordés, sans complaisance ou parti pris, mais bien avec lucidité : les grandes questions de l’histoire, de notre société.
Rien ne seras épargné, histoire, religion, l’amour avec un grand A, le sexe… Là, je vois plusieurs qui dressent l’oreille. Et surtout, les voyages, avec leur lot d’aventures érotiques.
Souvent, le lecteur va faire un voyage dans le passé de Nulaï, pour mieux revenir au présent de sa recherche.
Ce roman n’a pas la prétention d’être un best seller, mais bien l’histoire d’un personnage en quête de LA vérité, que tout un chacun cherche peut-être inconsciemment.
Chapitre 1 – Premières visions
Environ une fois par mois, le grand père emmenait Nulaï voir une tante. Elle devait avoir la soixantaine, fort avenante, plutôt de taille petite assez ronde, et veuve.
Elle nous préparait un bon repas, eux buvaient du vin, après le repas. Ils étaient assez joyeux, on me donnait une balle et l’on m’invitait à jouer dans le jardin, eux allaient faire une sieste,
ils m’appelleraient plus tard…
Bien sur, Nulaï ne comprenait pas le pourquoi, environ une heure après, ils m’appelaient pour un dessert, tous les deux fort gais.
Avec le temps, Nulaï commence un peu à être curieux et voyeur, bien que n’ayant que 8 ans. La cour où il joue n’a pas de fenêtre qui donne une vue sur le salon, donc il ne sait pas voir ce qu’il
s’y passe.
Un jour pourtant, il laisse passer quelques minutes. Après être sorti comme à l’habitude, il rentre sur la pointe des pieds, la porte du salon qui donne sur le couloir est entrouverte.
La tante est sur les genoux du grand-père (André) et lui fait face. Elle rit assez fort, André commence à déboutonner son chemisier, qui se retrouve vite grand ouvert. Il laisse voir une poitrine
qui déborde du soutien-gorge. La tante rit un peu plus fort, André donne quelques baisers sur le dessus de la poitrine, la tante cesse de rire et soupire.
André empoigne à deux mains le soutien-gorge et le tire d’un coup sec vers le bas, libérant ainsi une belle paire de seins. Il ne fait ni une, ni deux, et commence a les malaxer à deux mains. La
tante soupire de plus en plus fort, elle ferme les yeux. André lâche un sein, et commence à le sucer goulûment… Maintenant, la tante râle de plaisir.
André lâche un moment le deuxième sein et fait quelque chose entre les jambes de la tante qui pousse de grand « oh oh ».
Elle se soulève légèrement pour se rasseoir, et recommence ce manège un bon moment en poussant des « oh » de plus en plus fort. André suit la cadence, il a repris les deux seins en
main, qu’il tient fermement.
Nulaï étant fort jeune, il ne comprend pas bien ce qu’il se passe… Surtout que la tante finit par pousser un grand cris, et André presque de suite, après un grognement visiblement de
plaisir.
Nulaï va beaucoup mieux comprendre dans le chapitre suivant en découvrant le sexe….
Chapitre 2 - Nulaï découvre une autre face de la vie
Nulaï a maintenant douze ans, et il est en vacances chez une tante éloignée, une famille bourgeoise des plus respectables.
Cette famille, c’était le style petit bourgeois, messe le dimanche, bref bonne éducation.
Mais ce que Nulaï découvre avec un grand étonnement, c’est que l’oncle et la tante ont un comportement des plus étranges.
Donc, Nulaï loge chez sa tante, son cousin aime bien discuter avec lui. Ensemble, ils abordent toute une série de sujets. Ils refont le monde.
Au cours de leur conversation sur ce sujet, le cousin lui explique ce qui se passe dans la maison.
Nulaï tombe de très haut : « Comment ? L'oncle a une aventure avec la femme qui vient une fois par semaine faire le ménage ? »
Son cousin lui répond : « La tante aussi, avec les pensionnaires ! »
Il faut dire que, dans la maison, parfois, des locataires logent sur de courtes périodes.
Le cousin reprend : « Ouvre un peu les yeux sur le monde qui t’entoure, ouvre aussi les oreilles ! »
Du fait que Nulaï dormait avec son cousin Maurice, de six ans plus vieux que lui, ils parlaient de plein de choses, de rêves, du futur. Bien évidemment, la conversation vint sur les filles,
devant les questions naïves de Nulaï.
Maurice lui dit : « Décidément, tu connais rien de la vie toi !
- Euh… non, je ne sais pas…
- Bon, je vais un peu faire ton éducation. Surveille un peu ma mère en douce, ainsi que mon père, le lundi, lorsque Maud vient faire le ménage… »
- Cela fait un peu espion non ? réplique-t-il
- Si tu veux apprendre, c’est nécessaire, lui assène Maurice. Tu me diras ce que tu as vu, mais ne te fais pas voir. Maintenant, je vais t’apprendre comment on se masturbe, car cela aussi, je suppose que tu ne sais pas le faire…
- Nooon… Je ne sais même pas ce que c’est ! »
Sitôt dit, sitôt fait, Maurice sort son sexe, et lui montre. Il masturbe sa queue d’adolescent de façon vive. Il fait coulisser sa main sur la colonne de chair dure. Nulaï fait comme lui. Il
s’applique, et petit petit, sa bite de gamin se raidit et pointe vers le plafond. Puis ils échangent : ils se branlent mutuellement.
« C’est mieux, tu verras, lui conseille Maurice.
- Oui, tu as raison ! Mais c’est une sensation fort étrange de sentir une main étrangère sur ma verge ! »
La branlette réciproque ne dura pas très longtemps, peu habitués qu’ils étaient à se maitriser. Ils jouirent assez vite, d’un jet de crème claire qui vint les éclabousser… Ce fut sa première
éjaculation, sensation fort agréable, mais qui l’étonne par la force du jet qu’ils recueillent dans un mouchoir.
C’est lundi. L’oncle Eddy est à la maison, c’est son jour de congé. Maud arrive, et Mad, la tante, part vendre ses chapeaux.
Maud est assez jeune, on lui donne 35 ans, assez grande et une poitrine bien faite, d’après le galbe avantageux de sa robe.
Comme d’habitude, elle monte se changer, pour mettre un tablier. Eddy donne un livre à Nulaï, une encyclopédie sur la guerre avec de nombreuses photos. Il sait qu’il aime cela.
Il dit à Nulaï : « Je monte expliquer un travail à Maud, reste là tranquillement. »
Nulaï acquiesce d’un signe de tête. Il attend quelques minutes, puis suit le conseil de Maurice. Il monte doucement les escaliers, sans bruit bien sur. C’est assez facile, car les marches
de l’escalier sont recouvertes d’un épais tapis.
En montant, il entend des bruits bizarres, des grincements saccadés. Sans doute ceux du lit... Il y a aussi des gémissements, les grincements s’accélèrent. Il ne monte pas jusqu’au
palier.
Bon, c’est assez. Nulaï redescend et va rejoindre son livre. Il est à peine plongé dans sa lecture, qu’une sorte de grand cri lui parvient, puis le silence revient dans la maison… Quelques
minutes après, Eddy, viens rejoindre Nulaï.
Devant l’air interrogateur de Nulaï, il lui dit : « J’ai aidé Maud à déplacer un lit pour le nettoyage, mais elle s’est cognée. »
Nulaï a bien du mal à le croire…
Lorsque Maud a fini les chambres, elle vient faire le bas. Elle fait un large sourire, et vient voir ce que lit Nulaï. Pour ce faire, elle se penche vers lui. Comme le haut du tablier n’est pas
fermé, il plonge son regard à l’intérieur… C’est vrai qu’elle a de beaux seins, dans un beau soutien de dentelle à balconnets.
Elle surprend son regard, et continue de sourire, elle lui dit c’est beau, il répond oui très beau, jamais il ne saura si elle parlait du livre, ou de ses seins...
Le soir venu Nulaï, raconte à Maurice ce qu’il a vu dans la journée. Ils ont recommencé à se branler mutuellement, come si c’était la chose la plus naturelle du monde…
« Dis, pourquoi l’oncle fait du mal a Maud ? Elle a beaucoup crié !
- Décidément tu n’a rien compris toi, lui répond-il en riant. Ce que tu tiens en main, et bien le père la mettait dans le sexe de Maud, et il la baisait ! Les cris, c’est de plaisir pas de mal, c’est cela faire l’amour….
- Tu comprends, reprit Maurice, ce que nous sommes en train de faire avec notre main, au lieu de la main c’est le sexe de la femme qui te branle.
-Cette fois, j’ai compris ! Au fond, c’est pas mal !
- Attends la semaine prochaine que Maud revienne, je te montrerai quoi, répond Maurice. Tu sais, j’ai baisé Maud, elle n’a plus son mari, et elle est en manque de sexe, j’ai pas du le lui demander deux fois ! Crois-moi, elle sait y faire. !!! »
Nulaï est très impatient de revoir Maud….
Enfin, le jour de Maud arriva. Maurice lui dit : « Attendons qu’elle commence les lits, elle est en blouse, en dessous elle n’a que son soutien-gorge et son slip… »
Apres un petit moment nous montons dans la chambre où Maud a commencé à faire le lit. Maud est surprise de nous voir ensemble débarquer brusquement dans la chambre. Elle les interpelle : «
Vous ne voyez pas que j’ai du travail ??? »
Maurice ne lui laisse pas le temps d’en dire plus, il la saisit par la taille, et détouonne sa blouse. Elle proteste mollement : « Mais tu es fou, pas devant le gamin !
- Justement si, réplique Maurice. J’ai envie d’en faire un homme ! Et tu vas m’y aider !!! »
A suivre….si vous le voulez bien !!