Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Les tribulations de Nulai Chapitre II -  Nulaï rencontre un nouveau locataire.

Le jeudi, c’est jour de lessive, la machine est en fait un tonneau en bois qui tourne avec un moteur, et non le batteur qui tourne dans la machine. Cette machine fait beaucoup de bruit.
Je regarde Mado (la tante), qui s’affaire prés de la machine. Elle porte une robe ample, et bizarrement, elle ne porte pas de corset. Ainsi, à chaque pas, je vois sa lourde poitrine, un bon 100C, qui balance dans le vide.
Gaby, le locataire du moment, donne à Nulai un illustré sur la guerre du Pacifique. Mado sort de la cuisine et me dit : « Gaby va m’aider à tordre le linge, ne viens pas nous déranger, nous avons beaucoup de travail ! »

 

Nulaï se doute bien qu’il ne s’agit pas d’essorer le linge, mais plutôt les couilles de Gaby !

 

Ils entrent tous les deux dans la cuisine et ferment la porte. La machine continue son bruit, puis c’est le silence pendant un instant. Puis un autre bruit survient, comme des craquements saccadés... Il entend qu’ils parlent, et l’eau qui coule. Cette fois, il présume qu’ils tordent réellement le linge. Mais au bout de quelques minutes, il capte des coups sourds et répétés. Avec ce que Maurice lui a appris, il peut suivre ce qu’ils font.

Et malgré sa faible expérience, il sait qu’ils baisent à fond. Mado doit en prendre plein la chatte, vu les bruits qui me parviennent. Ils grognent fort tous les deux, et Mado finit par crier un peu…

Le soir venu, Nulaï raconte cela à  Maurice, il le regarde : « Tu compris maintenant ?

- Oui j’ai compris !

- Ma mère est une assoiffée de sexe, toujours à la recherche de nouveaux amants ! »

Les semaines passent, Gaby est parti, il est remplacé par un jeune, qui est dans la même école de cuisine que Maurice.
Il s’appelle Pierre, il a 19 ans. Ils font tous les trois rapidement connaissance, et la conversation vient bien évidemment sur le sexe, sujet éternel chez les garçons.

Maurice qui n’en rate aucune, raconte que Mado est une bonne affaire.

« Ah bon, dit Pierre. Si elle veut, j’ai de quoi faire !

- Montre », dit Maurice.

 

Sans hésiter, il leur montre son sexe, plus large que les leurs.
Bien sur nous nous sommes masturbés en cœur. Nous sommes branlés à tour de rôle, chacun masturbant son voisin. Ils ont échangé leurs places. Maurice a même posé sa langue sur la bite de Pierre, mais il a reculé. Nulaï n’en croyait pas mes yeux : il voulait le sucer comme l’avait sucé Maud ! Ils ont finir par éjaculer dans leurs mains, et ont entrepris de tester les gouts différents de leurs spermes respectifs…

La semaine suivante, Pierre rentre l’après midi, il n’a pas cours. Mado l’interpelle : « Mais je n’ai pas encore fait ta chambre ! Viens m’aider, cela ira plus vite à deux ! »

 

Ils montent ensemble, Nulaï entend des éclats de voix, un silence, puis des rires nerveux, puis de nouveau silence durant un moment.
Bien entendu, il se doute de ce qu’il se passe. D’ailleurs, il ne faut que quelques secondes supplémentaires pour percevoir les craquements du lit, avec une fréquence, rapide et une sorte de plainte. Il est plus que facile d’imaginer ce qu’ils font. Nulaï n’en revient pas : sa tante couche vraiment avec tout le monde ! Alors, si elle fait cela, pourquoi pas lui ? L’idée commence à germer dans se petite tête d’ado, même s’il en est vaguement honteux….

De nouveau un moment de silence, et les craquements reprennent de plus belle, et des soupirs, des gémissements résonnent dans la maison.


Mado redescend toute gaie, et prépare le souper.


Comme chaque soir, les trois garçons se réunissent pour discuter un peu. Nulaï avait déjà prévenu Maurice que Pierre avais baisé Mado dans l’après-midi. Il incite donc Pierre à tout leur raconter…

Pierre, fier comme un coq, ne ce fait pas prier :

 « Et bien nous sommes montés dans ma chambre, pour refaire le lit. Mado avait sa robe avec les trois premiers boutons défaits, et ne portait pas son corset. Lorsqu’elle s’est penchée pour refaire le lit, j’avais une bonne vue sur ses seins. Bien sur, elle a vu mon regard sur ses seins, et elle m’a demandé à quoi je pensais.

Je lui ai répondu : « Presque rien je regarde tes gros nichons qui me font déjà bander.
- Comment peux-tu dire de telles cochonneries ?

- Je pense à ce que m’a dit Maurice au sujet du locataire qui était ici avant moi et au régime auquel il avait droit…

Mado joue l’innocente et interroge : et il t’a dit quoi ? »
- Par exemple qu’il pouvait faire ceci… »

 

Et, joignant le geste à la parole, je n’hésite pas, et plonge mes deux mains dans son corsage et j’attrape les siens à pleines mains.
Mado a protesté : « Mais que fais-tu, espèce de dégoutant, arrête de suite. » Mais sans repousser mes mains. Alors, je continue, je soupèse et malaxe ses grosses mamelles.

Mado continue de râler pour la forme : « Allez, arrête tes bêtises ! »

Mais elle lorgne la bosse que fait mon pantalon. Il faut dire que mon pelotage m’avait donné une bonne érection !
J’ai renchéri : « Je sais que tu aime cela, Mado !

- Mais que vas-tu imaginer petit dévergondé ???

- Ton fils m’a raconté tes exploits, tu ne vas pas faire de différence avec le régime de tes pensionnaires, quand même ? Et puis je sais que tu aimes trop la baise pour le refuser ca, n’est-ce pas ? »

Sur ces paroles, elle ne dit plus rien.

Je continue sur ma lancée : « Tes seins me font envie depuis pas mal de temps, maintenant ils me font bander dur ! Regarde ! »

Je sors prestement mon sexe et de l’autre main je détache très vite quelques autres boutons, elle n’a pas tenté d’arrêter mon geste. 
Mado continue de faire son cinéma : « Comment oses-tu ? Tu n’es pas honteux, à ton âge, avec moi ?

Je fais semblant de ne rien entendre :

- Ah oui, maintenant je les vois bien, tes grosse miches, super jolies, tout ce que j’aime : de grandes aréoles et de belles pointes.
- Arrête de dire ces insanités, et rentre cette chose !

- Non, surement pas, je sais que tu aimes les gros calibres comme le mien. Je sais qu’il te fait envie, espèce de belle salope !

 

Elle prend mon sexe en main, et continue de protester mollement : « Rentre cela de suite ! 

Mais la garce tient fermement ma queue.

- Elle te plait hein, elle te fait envie ? Moi, j’ai envie de bien voir tes seins ! Ouvre un peu ta robe.
- Tu n’y penses pas !!! »

 

Mais elle déboutonne sa robe, et la lourde poitrine apparaît sous mon regard avide. Je m’empresse de les malaxer bien fermement et faire rouler les pointe sous mes doigts.
Mado, devenue rouge, à la respiration saccadée. Elle murmure, comme pour se convaincre : « C’est vrai que tu es bien monté, petit salaud ! Et d’un autre coté, je ne peux pas te laisser dans cet état !

- Montre-moi comment tu suces. Maurice m’a aussi dit que tu étais une experte en la matière ! »

 

Elle a un sourire et ne se fait pas plus prier. Elle gobe d’un seul trait ma bite, et la pompe en entier. Je vois qu’elle sait vriament y faire. Elle me suce à la perfection ! Ce n’est pas une gamine de dix-huit ans qui me ferait la même chose ! Ta mère est une salope hors pair, ajoute-t-il pour Maurice.

Je glisse une main vers son abricot tendu, elle mouille à fond, et inonde ma main de son jus un peu poisseux. Je continue aussi à malaxer un sein, devenu bien dur maintenant.

Je continue à la masturber, je fouille sa chatte poilue de mes doigts, je rentre presque ma in en entier. Elle aime ca, la cochonne !!! Pour un peu, je la fisterai en entier !!! Elle, elle ne perd pas son temps non plus : elle se déchaîne sur ma tige. Elle me fait une gorge profonde, m’avale en entier, me pompe le dard à mort.

 

Je la préviens que je vais me jouir, elle redouble d’ardeur. Je lui lâche toute ma purée dans la gorge, en une série de longs jets. La salope, elle a tout bu ! Elle se relève et me lance : « Tu es vraiment un petit salopard toi !

- Oui, mais toi, tu es une super bonne salope. Tu suces super bien ! Ton fils avait bien raison ! Allez, on passe aux choses sérieuses ! »

 

Il la pousse doucement vers le lit. Elle fait sa mijaurée, elle a un gros rire nerveux. Elle ajoute pour la forme : « Non pas cela à ton âge ! Tu n’y penses pas, je pourrais être ta mère ! Une petite gâterie, oui, mais pas autre chose !
- Au contraire, je ne pense qu’à cela ! Et au point où on en est…. Tu verras, ma salope,  après tu en redemanderas !! »

 

Je déboutonne rapidement le reste de sa robe, la bascule sur le lit, et commence a m’occuper de sa poitrine, lui suce un sein et malaxe l’autre  A chaque succion, elle balbutie : « Petit salaud, comme tu me têtes, comme tu fais ça bien… »

Mon autre main repart sur le chemin de son con bien ouvert et humide. Je le caresse et active mes doigts. Une fois de plus, elle dit non : «  Mais que fais-tu petit salaud ? Tu n’as pas honte d’agir ainsi ??

- Mais non, je te prépare à recevoir ce que tu meurs d’envie de sentir en toi !

- Petit salaud je t’interdis de faire cela !

Mais elle ne peut pas continuer sa phrase : sous l’effet de ma caresse intense dans sa chatte ouverte et gluante, elle jouit en râlant…

Mon sexe toujours dur, j’écarte ses jambes sans opposition, cette fois-ci. Son sexe coule, tant elle est excitée. Je me couche sur elle et la prend d’un coup. Je la baise fermement, elle gémit à chaque coup. Comme tu me l’avais dit, Maurice, elle aime les grosses queues !

Depuis que j’ai commencé à la défoncer à mort, elle ne proteste plus du tout ! Bien au contraire ! Elle participe activement, en lançant son bassin à l’assaut du mien. Une vraie furie ! Je décharge mon foutre en elle, mais comme je bande encore, je la fais mettre à quatre pattes sur le lit. Une fois de plus, elle tente de s’y opposer : « Qu’est ce que tu me fais faire, petit salaud ? Tu ne vas pas me défoncer le cul, quand même !

-Mais bien sur que si. Une chienne, on la saillit en entier, et aussi, par le cul ! »

 

Je la prends par derrière, lui agrippe les seins. Je m’enfonce dans sa rosette pas mal ouverte. Tu sais, Maurice, ta mère, elle doit souvent se faire enculer ! Je la pistonne bien a fond, elle tortille de la croupe comme une diablesse, elle aime cela ! Je finis par jouir de nouveau, je me vide dans ses entrailles. Elle aussi d’ailleurs, jouit dans un long cri d’agonie. »

Oui, cela rejoignait bien les bruits que Nulaï avait entendus. Pendant tout le temps où Pierre leur racontait cette belle histoire, les trois garçons se masturbaient avec ardeur. Pierre branlait Nulaï,  lui pognait à fond Maurice, et ce dernier masturbait Pierre. C’était un grand un moment de bonheur entre garçons ! Ils ont pratiquement giclé ensemble, s’aspergeant de leurs spermes. Une fois de plus, ils les goutèrent, s’amusant de leurs gouts si différents…

 

http://belgique-chine.over-blog.com

 

Mer 30 déc 2009 6 commentaires
VoIlà, ca commence à devenir vraiment cru. Le jeunot qui se tape la mère, et qui raconte tout au fils... Whoua, on sent l'inceste venir !
Mickael - le 30/12/2009 à 12h43
Comme dit Mickael, ca sent l'inceste à plein nez. Alors, elle va se taper son fils et son neveu, la salope ? On est limite moral, mais ca me fait bien bander...
Michel de Lyon - le 31/12/2009 à 03h53
bonne et heureuse annee 2010
aldebert - le 31/12/2009 à 08h46
Merci à toi, je te souhaite aussi une excellente année, pleine de tous les plaisirs que tu souhaites...
Sophie de R.
une tres belle suite merci
romain57 - le 01/01/2010 à 14h04
Oui, je suis d'accord.. j'attends les prochains épisodes avec impatience !
Sophie de R.
Moi, j'ai 45 ans, et j'aime bien me faire les copains de mon fils, qui a 19 ans. La chair fraiche, ca du bon ! C'est parfois malhabile, mais ca bande dur, la peau est ferme... Que du bonheur ! Et en plus, ils ont à coeur de bien fire, pour ne pas decevoir une dame de mon âge... J'adore...
Nancy - le 02/01/2010 à 18h45
Et la suite, et la suite ??? Tu ne publies pas la suite des aventures de Nulaï ? j'ai hate de connaitre comment ca évolue...
Michel de Lyon - le 11/01/2010 à 18h06
J'espère qu'elle arrivera très bientot !
Sophie de R.