Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Un sauna gay du Sud Ouest. J'aime bien cet établissement, car contrairement à certains autres, dans celui-ci, les hommes qui y viennent assument pleinement ce pourquoi ils sont venus. En effet, dans lieux moins sélectifs, on y rencontre quelques hétéros, généralement âgés (aucun racisme là, j'ai moi même 65 ans), qui viennent se dévergonder et s'enfuient comme des gazelles effarouchées dés qu'un peu de lumière risque de les éclairer. Dans ce sauna, un seul et unique endroit est volontairement dans le noir absolu : c'est une sorte de labyrinthe étroit dans lequel on se déplace en se frottant à des corps souvent inconnus, ce qui pimente un peu plus le jeu.
Je me suis donc rendu un après midi de semaine dans ce Sauna. A mon arrivée, il y a pas mal de gars de tous âges et de toutes couleurs. Je me rends à la douche, elle a la particularité d'être une grande salle sans cloison et éclairée comme en plein jour. Quand tu passes ton savon sur ton corps, c'est bien le diable si « une bonne âme » ne vient te proposer son aide... C'est très convivial !
J'apprécie beaucoup ça, on est tout de suite dans le bain. J'étais donc en train de me laver à côté de deux hommes, un black et un blanc, visiblement en couple. La façon que chacun avait de s'occuper de l'autre était très excitante. Je me mis donc à bander. Cette réaction sembla plaire à ces deux-là qui s'approchèrent de moi pour me donner un coup de main, pas forcément désintéressé.
Mon après midi commençait plutôt bien. J'ai pu me rendre compte que mes deux nouveaux amis étaient particulièrement bien armés. Le black avait du gros calibre entre les jambes, son copain blanc n'avait pas à rougir de la dimension de sa bite. Et chose importante à mes yeux, tout comme moi, ils étaient intégralement épilés.
Nous nous sommes séparés une fois bien propres et bien chauffés avec un « à tout à l'heure » assez prometteur. Je me suis rendu dans le hammam où règne une certaine pénombre, ampoules faibles et vapeur dense. Je visite à tâtons pour trouver une place sur les banquettes de carrelage. J'en trouve une, sur la banquette supérieure, où il n'y a personne. Je m'allonge sur le dos et me laisse envelopper par la chaleur moite du lieu, en caressant ma queue. Un homme assis sur la banquette inférieure me voit faire et prend ma bite en main la caresse un instant, puis se penche pour me sucer. Je le laisse faire un moment. Moi je suis bisexuel essentiellement passif, j'adore sucer et me faire sodomiser. Alors je prends la main de l'homme qui me caresse les couilles et la guide vers mon trou de balle. Il comprend très vite et négligeant ma queue se met à me doigter et me lécher l'anus. Je me régale, il fait ça avec beaucoup de douceur.
Je me déplace légèrement pour que mes fesses dépassent de la banquette. Ainsi, mon partenaire inconnu peut mieux jouer avec mon petit trou. Il introduit deux doigts et il constate que j'apprécie. Je le lui fais comprendre en remuant légèrement les reins et avec un soupir. Il a pigé ce que je cherche, et s'enhardit alors à mettre quatre de ses doigts. Et il commence quelques allers retours, je prends un plaisir fou. Je l'encourage de la voix :
« Oui vas-y comme ça, oui! Plus fort, plus fort !
- Yu veux la main entière dans tes fesses ? me dit-il.
- Oui ! Mets-la, enfonce bien. Jusqu'au poignet ! »
J'adore vraiment qu'on me travaille les fesses et si on me prépare bien, je prends un pied fou à me faire fister. Mon partenaire entre donc sa main complètement et me fait des va et vient qui me font gémir de plaisir. Sa façon de faire ça me fait jouir. Puis il retire sa main, et pour le récompenser, je lui fais une pipe, hélas pour moi sa queue est moins intéressante que sa main. Nous séparons, et je pars visiter les différentes pièces du Sauna. J'ai les fesses en feu, j'ai encore l'impression d'avoir la main à l'intérieur.
J'entre au sauna sec, personne. La chaleur est agréable. Je m'assois sur la banquette en bois, jambes repliées. Ainsi installé, mon anus est bien visible. Je le caresse un moment et constate qu'il est encore bien ouvert. J'espère que du monde va arriver et que mon cul tentera. Et puis effectivement, mon couple de la douche arrive et s'assoie de chaque côté de moi. Je me penche vers le black, sa queue majestueuse est vraiment trop tentante. Je la prends en bouche, et je la sens grossir sous ma langue, je suis heureux, voilà qui promet une sodomie formidable. Pour mieux le sucer je me suis lever et mis face à lui. Ainsi penché en avant mon cul est offert à son partenaire blanc. Celui-ci vient alors se placer derrière moi et me fait une feuille de rose. Je bande très dur. J'ai envie qu'il me prenne et le lui dit.
Aussitôt, il enfile une capote (saloperie de SIDA qui nous prive du plaisir du «direct»), et entre en moi d'un coup. Aucune souffrance, je suis bien dilaté. Il me prend ainsi un long moment durant que je suce la queue du black. Il me tarde vraiment qu'il me prenne lui aussi. Enfin ce moment arrive, il se place derrière moi et commence d'abord avec ces doigts. Là ce n'est pas pour me dilater, c'est déjà fait, c'est pour son plaisir et le mien. Il se rend compte que je suis bien ouvert, il met sa capote et entre en moi. WOUAH !!! Superbe sensation. Je me sens bien rempli. Ce black, tout en m'enculant, me dit :
« Dis donc, tu es bien dilaté là ! Tu es toujours comme ça ?
- Non, pas du tout, je me suis fait fister dans le hammam, et voilà, c’est pour ça que je peux me faire prendre comme ça aujourd'hui !
- Tu veux qu'on essaye de te prendre ensemble, mon copain et moi ?
- Euh ! Je n'ai jamais fait ça encore. Si vous me promettez d'y aller doucement, je veux bien essayer, mais vous vous arrêtez si je le dis, OK ? »
Mes deux enculeurs se lubrifient bien leur bite, et moi j'en fais autant avec mon petit trou, puis le black s'allonge sur la banquette, je m'empale sur lui et me penche en avant, son chéri se place derrière moi et pose son gland contre mon anus. Il bande dur, et force doucement pour entrer. Pour moi, ce n'est pas forcement le pied, mais la douleur est largement supportable. Enfin, après d'infinies précautions, je sens les deux queues en moi. Personne n'ose bouger. Petit à petit je me sens de mieux en mieux, je leur demande de ne surtout pas bouger, et c'est moi qui fait des va et vient doucement. Je me sens, comment dire, le cul « gavé ».
Je suis bien, le plaisir est intense. Après un bon moment de ce petit jeu, je leur demande de se retirer, je les suce et avale leur bon jus. Le copain blanc en fait autant avec moi.
Nous nous quittons, je me douche et rentre chez moi. Le lendemain, alors qu'il était midi environ j'avais encore une grosse sensation de chaleur autour de l'anus agréable et délicieuse qui me permit, tout en bossant, d'avoir la tête à mes jeux de la veille…
Dommage que tu sois si loin...
Le feras-tu vraiment ? maintenant que tu as un peu de temps devant toi, tu devrais experimenter la chose....
C'est le principal ! et j'esprèe que les autres recits vous conviennent aussi !
Les experiences bi de Bruno sont toujours vecues.. c'est ce qui leur donne une telle "réalité"... Pour le recit dont tu parles, j'ai des soucis de boite mails, et je n'y ai plus accès depuis un -trop- long moment... ecris-moi à mon autre adresse : sophie.de.rawensky@hotmail.fr
Gros bisous calins...