Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Pour vous parler un peu de moi, je m'appelle Bertrand, j'ai trente ans. Je suis ingénieur d'affaire, marié depuis peu et plutôt ouvert. Physiquement, je fais dans les 1m85, un air svelte, les
cheveux châtains, et les yeux bleus. Je suis plutôt quelqu'un de classique, bonne éducation, tenue BCBG, tendance dandy.
Je sais que j'ai un physique qui plait, j'ai travaillé pendant mes années d'étudiant comme model pour des défilés de mode, et j'ai eu beaucoup de succès auprès des femmes, des hommes aussi
d'ailleurs…
Cette histoire s’est déroulée alors que j’étais étudiant à Paris. Au cours de la dernière année, j'ai reçu un mail d'un assistant d'un de mes professeurs, me demandant de venir le voir pour je ne
sais quel problème concernant un de mes examens.
Je le rejoins donc dans son bureau, on discute, le problème est vite résolu. L’assistant en question, un certain Rodolphe, est en l'occurrence quelqu'un de très jovial et sympathique. On s'est
toujours bien entendu. Il doit avoir juste la trentaine, un peu plus petit que moi, le visage souriant, les cheveux bruns, et un corps sportif, musclé et soigné. Un homme que je qualifierai
d'attirant. On discute quelques instants, et vers la fin de notre échange, prétextant je ne sais quel raison, il me demande mon numéro de téléphone. Mais sans arrière pensée aucune. Du moins
c'est ce qu'il me semblait.
La semaine passe. Le samedi, dans la soirée, je me retrouve chez moi, et je reçois un coup de téléphone d'un appelant inconnu. Une certaine Yseult, qui d'une voix chaude et charmante me demande
si je suis libre le soir même. Elle m'a, me dit-elle, remarqué dans les couloirs de l'université et serait ravie de me connaître plus. Flatté, je lui réponds que je suis disponible, lui demande
si je la connais
« Tu ne me connais pas, mais je crois être suffisamment sexy pour te convenir. »
Telle fut sa réponse, qui me cloua sur place. Elle avait pris une voix plus sensuelle et en même temps plus autoritaire.. Et j'aimais ça. Cette conversation m'excitait. On se fixait donc rendez vous vers vingt-trois heures, dans un café place de l'Odéon. Avant de raccrocher, je lui demandais comment je la reconnaîtrai. Elle me dit : « Habille-toi avec un pantalon clair, souple, la chemise bleue qui te va si bien, un pull léger beige, et attends-moi à une table isolée, quand tu y seras je te rappellerai. »
Et elle raccroche. Excité par ces derniers mots, j'attendis impatiemment vingt-deux heures, m'habillait comme demandé et me rendit tranquillement au café en question.
Là j'attendis une bonne demi-heure assis à une table à la fenêtre, à regarder les passantes, à espérer, à détailler chaque femme qui entrait dans la pièce. Plus le temps passait, plus je
m’impatientais et plus je la désirais aussi. Vers 23 heures 30, mon téléphone sonna, toujours ce numéro inconnu. C’était elle :
« Alors Bertrand, tu attends ? Tu m'attends impatiemment... Tu t'excites, tu as chaud, et tu t'énerves ?
- Euh non… J’attends, c'est tout.
- Tu ne me tutoies pas, tu ne me connais même pas, à partir de maintenant tu m'appelleras maîtresse. Tu m'as bien compris ?
- Euh oui... Je
- Oui maîtresse.
- Oui maitresse. »
La situation devenait de plus en plus excitante. Moi qui était plus habitué à être l'homme, le macho, le dragueur, le tombeur de femmes, je me retrouvais à obéir à une femme à la voix sensuelle,
et que je n'avais encore jamais vu.
« Maintenant tu vas terminer tranquillement ton verre, remonter la rue et te rendre 12 boulevard Saint Michel… Tu vas y aller à pied, et lentement. Au coin de l'immeuble, il y a une cabine
téléphonique, tu y attendras mon appel. Tu m'as compris ?
- Oui... Euh, oui maîtresse.
- C'est bien, et ce soir, tu feras tout ce que je te dirais tu m'entends ?
La conversation m'excitait de plus en plus, l'idée d'être l'objet d'une femme m'excitait au plus haut point et je sentais déjà l'effet à mon sexe qui se tendait dans mon pantalon de toile.
- Oui maîtresse.
- Dis-moi Bertrand, comment veux tu que je sois habillée pour toi ce soir : noir, rouge ou blanc ?
- Rouge maîtresse.
- Bien, je vois que tu as du goût. je sens que tu vas me plaire. eh bien dépêche toi si tu ne veux pas rater ta soirée. »
Je terminais mon verre, en me forçant de ne pas le boire à toute vitesse, il me fallait prendre mon temps avait-elle dit. Je sorti du café et me rendis à l'adresse donnée, à quelques dix minutes
à pied.
De temps en temps, je me retournais, essayait de voir si l'on me suivait, si quelqu'un m'observait mais rien.
Arrivé à la cabine téléphonique j'attendis.. les minutes passèrent, une demi heure, et au bout de trois quarts d'heure le téléphone sonna. Je décrochais mais n'entendait rien, seulement une
respiration forte, saccadée, chaude. Quelqu’un au bout du fil se masturbait ou s'excitait. Puis plus rien.
Un quart d'heure passa, et je m'impatientais. Je m'excitais puis le téléphone sonna à nouveau, il devait être près d'une heure du matin. « Alors Bertrand, tu m'attends toujours, es-tu toujours
prêt à m'être soumis ce soir ?
- Oui maîtresse.
- Bien c'est comme ça que je t'aime. Je me suis habillée comme tu le voulais. Et j'ai hâte de continuer la nuit. Maintenant tu va bien m'écouter : tu vas aller dans la petite impasse sombre qui
est derrière toi, au fond il y a un lampadaire, tu va te tourner face au numéro 10, et là tu vas ouvrir ton pantalon sortir ton sexe et te branler. Doucement, très doucement, et je ne veux pas
que tu éjacules, tu m'entends ? Je veux voir ta bite. Tu regarderas ton sexe et nulle part ailleurs. Ensuite, tu reviendras dans cette cabine. Ne me désobéis pas. As-tu bien compris ?
- Oui maîtresse. »
Elle avait déjà raccroché.
Je suis sorti de la cabine, un peu stressé de devoir sortir mon sexe en pleine rue, et à l'idée que quelqu'un puisse passer. Mais ma peur fut effacée par l'excitation de ce qui augmentait en moi.
J'ai marché jusqu'au bout de la rue, me suis placé sous l'unique lampadaire, face au numéro 10 comme elle me l'avait demandé. J’ai ouvert mon pantalon, et ait sorti ma queue. Elle est de taille
convenable, quelques vingt cm, et un diamètre assez épais. Il est droit et bien taillé, le gland rond et saillant, ce qui procure assez de plaisir lors de la pénétration. Je sortis donc ma bite
qui était déjà bien bandée par la situation et commençais à la caresser, je remontais jusqu'au gland brillant de mouille, et redescendait bien à la base pour le monter en entier. J’avais peur que
quelqu'un passe dans la rue, j'écoutais attentivement tous les bruit alentours, et essayait du coin de l'œil de regarder les fenêtres des immeubles. Aucune fenêtre n’était allumée. Je restais là
cinq bonnes minutes à me masturber doucement puis suis retourné à la cabine.
Là encore, une demi heure d'heure passa, puis elle appela à nouveau.
« C'est bien, ça me plait mon petit Bertrand. Maintenant vient le plus difficile. Si tu me veux, il va te falloir faire tout ce que je te demande. Sans exception. Es-tu prêt ? »
Les longues minutes à attendre dehors sans pouvoir l'appeler, sans pouvoir rien faire, cloué par le désir, avaient déjà éteint en moi toute rébellion, et m'avaient doucement amené à cet état de
soumission qu'elle semblait attendre de moi.
« Oui maîtresse.
- Je veux t'entendre dire que tu m'es soumis, que tu feras tout ce que je te demande. »
J'étais un peu gêné par la situation, et surtout pas habitué à ce genre de rôle, mais je sentais à l'excitation de mon pieu durci, que j'aimais cela et que j'aimerai encore plus la suite si
j'obéissais.
« Oui maîtresse, je vous suis soumis et je ferais tout ce que vous voudrez. Ma voix était hésitante mais je pense assez convaincante pour qu'elle continue.
- Très bien. Maintenant, tu vas attendre qu'il soit deux heures sans regarder une seule fois dans l'impasse. A deux heures précises, tu vas venir devant la porte du numéro 10, tu vas te
déshabiller entièrement. Plus un seul vêtement. Et là, tu entreras dans le hall, la porte est ouverte. Tu monteras au deuxième étage, et tu te mettras à genoux devant la porte. Tu frapperas
doucement. Tu as compris jusque là ?
- Oui.
- Oui qui ?
- Oui maîtresse. J’ai compris.
La demande était étrange, mais vu l'heure peu risquée.
- Ensuite, vient le plus difficile, mais je veux que tu fasses tout comme je te le dis, sinon tu ne me verras même pas. Tu aura attendu plus de trois heures pour rien. Tu es mon objet maintenant,
et tu m'obéis.
- Oui maîtresse.
- Oui quoi ?
- Oui, je suis votre objet.
- Très bien. Quelqu’un ouvrira la porte, c'est un homme. Quand il te verra, tu te lèveras, sans dire un seul mot. Je ne veux pas que tu dises un seul mot, tu m'entends ? Tu fermeras la porte,
l'emmèneras sur le lit et le déshabilleras.
- Pardon ? Un homme mais…
- Tais-toi quand je parle. Tu m'obéis, entendu ?
- Oui maîtresse. »
L'idée de déshabiller un homme m'était toute nouvelle, je n'avais eu que des relations avec des femmes jusque là. J’avais été souvent dragué par des hommes, certains mignons même, et cela ne
m'avait pas gêné, plutôt flatté. Mais je n'étais jamais allé plus loin que le sourire. Là, j'allais être nu en face d'un homme, et je devrais le déshabiller. Tout dépendait de l'homme, mais
pourquoi pas ? Je voulais voir où elle voulait en venir.
« très bien. Tu le jetteras sur le lit, et sans un mot, tu lui feras comprendre que tu veux qu'il te suce. Tu seras dominateur, maître de lui. Sans brutalité, mais d’autorité, tu lui mettras
ton sexe dans la bouche. Et vous ferez l'amour. Je veux que tu le sodomises, qu'il te suce, je veux que tu le suces aussi, et je veux que tu lui éjacules sur le torse. Tout cela sans un mot tu
m'entends ? Si tu dis un seul mot, si tu n'es pas maître de la situation... Il ne se passera rien ensuite. Obéis-moi, et tu verras que la suite te plaira. C’est compris mon petit Bertrand ? Pas
un mot !
- Oui maîtresse. »
Elle raccrocha de nouveau.
La suite, dans la colonne de gauche !
bisouxxx