Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Paris fin Juin, l'année scolaire est terminée. La pension où j'ai fait ma terminale ferme. J'ai 20 ans. Oui, je sais j'ai un peu trainé durant mes études, mais ce n'est pas le sujet. Nous étions un vendredi. J'aurais dû passer le weekend chez mon oncle pour attendre le lundi et prendre l'avion pour retourner à Alger chez mes parents. Je servis un prétexte plus ou moins bidon à mon oncle, qui coureur de jupons ne fut pas du tout dupe. Car j'avais décidé de passer ce dernier weekend à Paris.

 

Un ami de pension et moi avions envie de nous amuser un peu. Il était hindou et devait rentrer à Madagascar où son père avait une usine. Mon copain se prénommait Kirit.

Nos fonds étant en baisse, nous décidons de loger dans un hôtel modeste de la rue St Honoré qui était aussi hôtel de passes. C'est là que nous venions quand nous avions trouvé une poulette. Toutes les chambres donnaient sur une cour intérieure assez étroite, si bien que nous pouvions avoir l'impression d'être dans la chambre d'en face et pour peu que les rideaux ne soient pas tirés, les voyeurs étaient à leur aise.

 

Cette année-là, la chaleur était caniculaire, les minijupes n'étaient portées encore que par les prostituées. Cependant les femmes étaient bougrement jolies sous le soleil. Nous sommes allés Kirit et moi « draguer la touriste » dans les escaliers du Sacré Cœur. Peine perdue, nous sommes rentrés bredouilles dans notre chambre d'hôtel. Une bonne douche pour nous rafraichir, et nous allons nous accouder, à poil bien entendu, à la fenêtre pour jouer les voyeurs. Nous étions dans l'obscurité, mais la lumière de la chambre d'en face permettait à tout le monde de nous voir. Dans cette chambre, un couple de quinquagénaire venait de finir de baiser. L'homme se rhabille embrasse la femme qui lui dit son regret de le voir partir prendre son service de nuit car elle a encore très envie de faire l'amour.

« Ben ! T'as qu'à t'branler, ça te calmera ! A demain ! » lui dit-il peu aimablement.

 

Elle était allongée par dessus les draps, à poil. Pas trop mal faite. Les poils rares de sa chatte nous permettaient de voir qu'elle avait les lèvres bien ourlées et bien foncées par rapport à son corps. Une fois seule après s'être caressée un moment elle se leva et vint s'accouder à la fenêtre. Puis elle nous vit, constata qu'on était à poil et qu'on bandait. Elle n'en fut pas offusquée, après tout elle était à poil elle aussi, et la chaleur de cette nuit finissait de faire monter la température. Elle était arrivée jusqu'à la fenêtre en se caressant la chatte. En nous voyant elle interrompit son geste un bref instant, reprit sa caresse et nous salua gentiment. Kirit et moi nous nous branlions doucement. Elle nous gratifia d'un large sourire et nous dit un bonjour d'une voix un peu voilée. On entama une petite conversation où le cul fut très vite le sujet principale. Elle refusa notre invitation à nous rejoindre pour jouer tous les trois. Mais que peut-être un jour ça pourrait éventuellement se faire.

 

Nous nous branlions tous les trois tout en parlant, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. Quand soudain je vois que Kirit ne va pas tarder à jouir, j'arrête alors ma caresse me penche vers sa bite, la prend en bouche pour le finir et avaler son sperme. La voisine est assez surprise mais je lui dis que j'adore le sperme que je trouve idiot de le laisser perdre.

 

Surprise mais pas dégoutée, car elle a un orgasme. Nous discutons encore un moment, et nous disons bonsoir. Mon copain et moi reprenons une douche et nous mettons au lit. Nous avons encore très envie de baiser et moi je n'ai pas encore joui. Kirit qui aime bien, tout comme moi se faire enculer, frotte ses fesses contre ma queue, je comprends le message et je caresse son trou avec mon gland. Il aime cette caresse, ça l'excite énormément je sens son sphincter se dilater alors je le pénètre comme il aime d'un coup sec et fais claquer mon ventre contre ses fesses. Et je commence mes mouvements d'aller et retour, parfois je ressors entièrement pour entrer encore plus fort. Ça le fait gueuler de plaisir. Et dans ces cas-là, il a l'habitude de dire :

«  Ah! Oui! Fouille! Fouille! Tout est à toi ! »

 

 

Moi ce genre de phrase, ça m'excite beaucoup et je ne tarde pas à jouir en lui. On reste un moment comme ça, l'un dans l'autre puis nous nous levons pour aller fumer une cigarette à la fenêtre. La voisine était là accoudée à sa fenêtre. Elle nous regarde un moment puis dit un :

« Ben mes salops ! » Sans autre commentaire.

 

Ce à quoi Kirit lui dit : « Écoutez, vous ne voulez pas baiser avec nous, alors on se débrouille tous seuls ! Et puis d'ailleurs c'est à mon tour maintenant d'enculer Bruno ! »

J'approuve de la tête car j'ai moi aussi très envie de me faire mettre. Je demande encore une fois à notre voisine de nous rejoindre. Bizarrement elle refuse, et nous dit :

« Allez-y, ne vous gênez surtout pas, j'adore vous voir faire, même si je ne joue pas avec vous, ça m'excite terriblement. »

 

Puisque ça a l'air de lui plaire, Kirit et moi décidons de rester prés de la fenêtre, comme ça notre voisine aussi vicieuse que timorée, pourra profiter du spectacle. Je rapproche l'unique chaise de la fenêtre. Kirit s'assoit dessus, face à la fenêtre, je me mets sur le côté ainsi notre spectatrice pourra voir ce que nous faisons. Je me penche pour prendre la queue de mon copain en bouche et commence à le sucer. Lui me caresse les fesses et entre deux doigts dans mon anus et les fait aller et venir. Nous jouons comme ça un moment en prenant tout notre temps. On entend notre voisine soupirer et murmurer des « Ah ! P.... les salops ! » qui nous prouvent que ça lui plait.

 

Les doigts de Kirit sont longs et fins et quand il les remue dans mon ventre, je prend un superbe pied. Enfin, j'arrête ma pipe et je m'empale sur lui. Il entre en moi très facilement, et on est tellement chauds ce soir que je monte et descend très vite sur lui. C'est bon, je sens le plaisir qui m'envahit, Kirit et moi gémissons assez fort pour que notre voisine nous entende. Elle a droit au son et Lumières et semble particulièrement apprécier le spectacle Peut-être que les occupants des autres chambres ont-ils entendu? En tout cas on a rien  entendu, et puis on s'en moquait totalement. Ce qui importait à Kirit était de jouir et moi de le sentir exploser en moi. Quand ça arriva, je n'ai pas pu retenir un ci de plaisir, car sa queue longue et relativement fine a explosé assez loin dans mon ventre.

 

Notre voisine nous remercia pour le spectacle et pour lui avoir permis d'avoir bien joui elle aussi.

 

 

Ven 28 oct 2011 15 commentaires
Ma chère Sophie j'avoue m'être caressée en lisant ce récit! J'adore voir deux hommes baiser, tu le sais
Je crois que toi aussi d'ailleurs! bisous
Olga - le 28/01/2010 à 07h41
cela a du etre un beau spectacle pour les deux dommage que la voisine a refusée de les rejoindre
romain57 - le 28/01/2010 à 11h15
Vive les chaudes nuits d'été ! Humm que c'est bon tout ça !
Lolita - le 29/01/2010 à 07h48
Tu as raison.. C'ets pour cela que j'aime vivre ici, où l'on a 365 nuits d'été sur 365 !
Sophie de R.
oui! je dois dire que mon copain et moi avons autant joui de nos sodomies que de nous donner en spectacle à cette femme.Pourquoi n'a-t-elle n'a jamais voulu nous rejoindre restera pour moi un mystère.
brunobi - le 29/01/2010 à 10h52
Et pour moi aussi !!!!
Sophie de R.
Encore une elle histoire, comme je les aime ! Mais cette femme a bien eu tort de ne pas vous rejoindre !
Janine - le 29/01/2010 à 14h17
Je suis tout à fait d'accord avec toi !
Sophie de R.
Humm oui ! La chaleur humide et moite des nuits à Cayenne !
Lolita - le 31/01/2010 à 08h27
Moi, je ne pourrais plus m'en passer !!!! Rien que d'imaginer le froid que vous avez, alors que je suis là, en paréo à vous ecrire, avec l'alizé pour me refraichir un peu... Je vous plains, mes chers amis....   ;-)
Sophie de R.
d'accord avec toi, Lolita. La chaleur moite et humide de Cayenne ne doit donner qu'une envie: faire l'amour!
bruno - le 01/02/2010 à 07h39
Oui, tout à fait, surtout quand il pleut. On dit communément ici que lorsqu'il pleut, on n'a que deux choses à faire : jouer aux dominos, ou... A vous de completer !
Sophie de R.
ça c'est vrai, jouir aux dominos, sur une terrasse et sous la pluie ça n'a rien de réjouissant, tandis que 2 (ou plus) corps nus, au même endroit, faisant l'amour sous la pluie. Mmmmmm!!!!!!!!
" chjauffer les sangs" de cette manière - le 02/02/2010 à 14h15
Est-ce un lapsus, ou un jeu de mot volontaire, cher ami ? "jouir aux dominos", pour le moment, n'est pas un sport reconu localement, mais saist-on jamais, on peut innover ...  ;-)
Sophie de R.
C'est un jeu de mots involontaire, preuve que je ne me suis pas relu. Je peux donc me permettre de l'apprécier sans risque de passer pour un vantard.
bisou XXXXXXX chère Sophie
" chjauffer les sangs" de cette manière - le 02/02/2010 à 16h26
Ca m'a fait bander comme un turc. j'aime beaucoup !
merci Sophie !
Allan - le 28/10/2011 à 21h42

Heureuse de le savoir... mais au fait, j'aimerai voir un jour comment bande un vrai turc ! ;-)

Sophie de R.