Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Yves, vingt quatre ans, et son épouse Marion, vingt ans, rentrent de vacances. Marion est une magnifique brune d'un mètre soixante dix, avec des seins haut perchés.
Ce soir, ils invitent des amis à prendre un verre. Ils habitent un deux pièces sous les toits, et même si le salon est un peu exigu, l'appartement est assez coquet
Yves invite Ange et Jérôme à s'asseoir sur le canapé à côté de lui, Didier est une chaise avec sa copine Clarisse assise sur ses genoux. La chaise qu'il reste est occupée par Morgan, âgé de trente ans, le seul célibataire de la soirée...
Du coup, Marion, qui s'occupe du service, se retrouve debout.
Depuis quelques temps, Yves a un phantasme : celui de voir sa jeune épouse se faire prendre par un autre homme devant lui. Marion a toujours repoussé farouchement cette proposition, tout comme elle a toujours refusé la sodomie. Même les pipes la répugnent.
Devant cette situation, une idée germe dans la tête d’Yves.
« Mince, ma chérie, il n'y a plus de place, dit-il. Assied-toi sur les genoux de Morgan si tu veux. Cà ne te dérange pas Morgan ?
- Pas du tout, si Marion est d'accord, pas de problème. »
Marion foudroie son mari du regard, se sent rougir. Surtout que de tous les invités, c'est celui qu'elle connait le moins, et il n'est pas le moins séduisant... Marion est vêtue d'une minijupe, et d'un chemisier assez moulant. Le bout ses seins tendent le mince tissu. Les boutons sont prêts à craquer.
Un peu à contre-cœur, elle s'installe sur les genoux de Morgan., essayant de cacher ses cuisses en tirant sur sa jupe. Peine perdue. Elle est vraiment gênée, et Morgan le remarque…
Quelques verres plus tard, l'attitude de Marion change. Elle est plus détendue, allant même jusqu'à passer un bras autour du cou de Morgan. Elle ne repousse pas non plus la main qui lui caresse le dos, et qui lui donne des frissons le long de l'échine. Elle ne porte pas de soutien gorge.
Soudain, elle sent quelque chose de dur qui s'agite contre ses fesses. Elle devine tout de suite ce que c'est.
« Le salaud, se dit-elle, mais il bande ! Il a l'air d'avoir un sacré calibre ! »
Elle prétexte une petite envie pour sortir de cette situation gênante. Yves la rejoint aux toilettes. Sans autre forme de procès, il glisse une main sous la minijupe, et caresse la chatte de sa femme. Elle a un clitoris assez proéminent.
« Arrête-çà, gronde-t-elle, çà va pas ? Voilà, je commence à mouiller… il faut que je me change maintenant !
- Tu n'as qu'à rien mettre », sourit Yves. Morgan s'en plaindra pas.
Décidément, toutes les opportunités lui sont bonnes pour que sa femme se fasse prendre….
Quand ils reviennent au salon, chacun reprend sa place. Marion s'aperçoit que la queue de Morgan est toujours en érection. Heureusement qu'il y à la jupe. Mais tout çà commence à l'exciter. Machinalement, elle bouge ses fesses. Elle sent le souffle de Morgan sur son cou qui s'accélère.
D'un coup, un liquide chaud traverse la minijupe. Le cochon, il vient d'éjaculer ! La tuile. Il faut vite trouver une solution.
Marion ne se démonte pas, malgré son trouble. Elle prend son verre sur la table basse, et, en se retournant, fait mine de perdre l'équilibre, et renverse volontairement le contenu sur le bermuda de Morgan.
« Oh mon dieu, que je suis maladroite, dit-elle, excuse moi, je suis confuse, qu'elle idiote..
- Hé bien, fait Yves, passe lui un de mes caleçon. Il ne peut pas rester comme çà. »
Pendant que Morgan se change, Marion met ses vêtements à sécher. D'ici qu'il parte, ils seront secs.
Ils se croisent dans le petit vestibule, et se lancent un regard coquin, voire vicieux. Ils reprennent leur position sur la chaise. Mais il n'y a plus de string, ni de slip. LKa soirée se passe dans une délicieuse excitation sournoise pour Marion, mais sans plus aucun accident…
Vers une heure du matin, Yves raccompagne les invités sur le pas de la porte. Morgan attend ses habits. Marion n'a pas bougé d'un poil, comme si elle attendait un geste de la part de Morgan. Il va faire plus qu'un geste. Il lui tourne légèrement la tête; la fixe droit dans les yeux, et l'embrasse tendrement.
« Vas-y, murmure-t-elle, j'ai trop envie de toi.
- Mais tu es folle, la repousse Morgan... Si Yves nous surprend ?
- Tu seras peut être surpris de sa réaction, sourit-elle.
Elle enroule ses bras autour de son cou. C'est elle maintenant qui force ses lèvres avec sa langue. le baiser est sulfureux. Les boutons du chemisier volent en éclats. Les petits seins, très durs, sont provoquant en diable. Les bouts, durcit par le désir, vibrent entre les doigt de Morgan. L'autre main part entre les cuisses, remonte la jupette
autour de la taille. Marion est totalement écartée, son clitoris entièrement décalotté, est dressé telle une petite bite. On entend le bruit des langues qui se fouillent. La main de Marion fait des mouvements de branle sur la queue en érection de Morgan.
« Faut pas vous gênez, dit Yves, je vous dérange pas au moins? Salauds !!
- Oh mon chéri, ne te fâche pas. En fait, j'assouvis un de tes phantasmes. Tu voulais bien que ta femme se fasse niquer par un autre homme en ta présence ? Regarde comme il a une belle queue, comme il a frotte bine contre mon gros clitoris...
- Allez Yves, poursuit Morgan, tu peux bien offrir un moment de plaisir à ta gentille épouse. C'est pas pour çà qu'elle t'aime pas. Elle a juste besoin d'un bon coup de queue. Regarde comme je la fait mouiller.
- Heu...c'est vrai que j'en ai toujours rêvé… Mais là, je suis un peu pris de court. Mais si çà te fais plaisir, vas-y ma puce.
- Oh mon chéri, tu es un amour. Je pourrai lui tailler une pipe aussi ? »
La queue, d'environ vingt centimètres, ouvre déjà les lèvres intimes de Marion. C'est elle qui fini de l'avaler en s'y empalant dessus. Elle ondule du bassin pour bien la mettre en place.
« Ah ! Regarde ta petite femme comme elle se fait niquer… Oh putain, que c'est bon ! Depuis le temps que j'ai envie de me le faire mettre par une grosse queue... tellement envie, que je ne vais pas tarder à jouir ! »
Morgan prend du plaisir aussi. D'une main, il joue avec le bout des seins, de l'autre, il saisit le clitoris, qui maintenant, atteint deux bons centimètres, et le fait rouler entre ses doigts.
« Hou... si tu savais comme il est doué, ce salaud ! Oui...Yves, regarde comme il s'amuse avec moi…Viens mon amour, allons au lit. »
Yves accuse le coup. Il ne dit rien quand Morgan entraine sa femme à la chambre. Après tout, c'est ce qu'il voulait. Il colle son oreille à la porte, tant pis si çà fait mal. Pour enfoncer d'avantage le clou, les deux amants laissent la porte ouverte, pour qu'li puisse bien assister aux ébats amoureux de son épouse.
Les ébats vont être torrides, sulfureux. Ils vont baiser come jamais avant pour Marion.
Morgan est allongé sur les dos, la queue en érection. Après l'avoir bien excité avec la bouche, elle l'enjambe, frotte sa grosse queue contre ses lèvres humides pour la couvrir de mouille. Elle la fait coulisser dans sa chatte en poussant un "haa" de plaisir.
Elle passe une main en arrière, et lui saisit les couilles.
« Oh putain ! Cà c'est de la bite ! Tu vas voir comme je vais te sucer après... comme je vais tout avaler...
- Calme toi ma chérie ! On a toute la nuit… je suis pas assez chaud encore.
- Je vais t'échauffer… Et t'éteindre, bandit, gémit-elle. Tu vas ressembler à une carpette. »
Pauvre Marion. Elle ne sait pas sur qui elle est tombée. Un amant particulièrement vicieux, performant, dominateur. Yves ne perd rien des scènes extra conjugales de son épouse. Elle ne s’est jamais donnée comme çà à lui, il ne l’a jamais faite crier comme Morgan le fait.
Abattu, il s'allonge sur le canapé, et s'assoupit.
Les deux amants, ignorant sa souffrance, vont passer à la vitesse supérieure. Morgan est phénoménal. Marion ne peut pas suivre. Elle se fait prendre dans toutes les positions. Sa chatte devient une antre béante, où l’énorme pieu glisse sans efforts. Elle n’en peut plus de jouir encore et encore. Son clito brule, tant il a été caressé, astiqué, branlé, mordu et sucé…
Il ne manque que le petit trou, une lacune qui va être vite comblée. D'autant que c'est l'endroit préféré de Morgan. Il dit qu'une femme qui se fait prendre au petit, est une femme toute acquise.
Marion est proche de l'épuisement, mais elle ne veut pas abandonner, l'orgueil féminin, sans doute. Elle se met en place et attend le mâle en rut.
Morgan promène deux doigts dans la chatte pleine de mouille de Marion, et humidifie le petit orifice. Elle est écartée au maximum. Il ouvre les fesses de sa maitresse comme un melon, à pleines mains. Le petit trou est là, ouvert, offert, indécent…
On voit son clitoris dressé entre ses jambes. Morgan travaille l’étroit conduit à l’aide de ses deux doigts lubrifiés de liqueur. Marion bouge tellement son cul que les phalanges pénètrent sans difficulté.
Alors, Morgan se redresse, et pose son gros gland contre la rosette distendue. D’un seul coup de rien, il déflore le cul de Marion, toujours vierge de ce coté-là… Sous la brusque poussée, elle hurle de douleur.
Yves, entendant les cris de son épouse, reprend sa place de voyeur.
« Ah, comme tu m'encules, salaud... tu vas me déchirer !
- Ton mari te fait pas ce que je te fais, hein ? Il te nique pas comme çà… Pourtant, tu aimes te le faire mettre, petite pute !
-Vas-y, défonce-moi, maintenant, ta queue est bonne dans mon dos ! Baise-moi à fond, mon salaud ! »
Morgan fait dire ce qu'il veut à sa maitresse, l'oblige à humilier son mari sur ses performances. Elle est à la merci de cet homme qu'elle connait à peine, mais qui la rend tellement heureuse et une vraie folle de sexe hard.
« Oh oui, j'aime çà.. Et puis ta queue est bien plus grosse que la sienne ! Dis salaud, tu te vides les couilles, là ! Ha… Moi aussi je viens… C’est la quatrième fois ! Assez... »
Il est six heures du matin quand Marion et Morgan vont prendre une douche. Yves entend les soupirs de son épouse, et les rires narquois de son amant. Ils sortent de la salle de bains, entièrement nus. Morgan porte Marion dans se bras, comme une mariée. Ses jambes sont légèrement écartées. Yves aperçoit l'énorme queue qui fait des va et vient dans la chatte de sa femme.
« Mon chéri, gémit-elle, regarde dans quelle position il me prend… Si tu savais comme il a joué avec moi cette nuit ! Tu m'as entendu gueuler ? C'est un vrai mec tu sais… Avec une belle paire de couilles !
Marion bouge tellement son cul, que la queue de Morgan sort de sa chatte.
« Oh non… Pas çà ! Pourtant je te serrais fort, là... Yves, mon chéri, tu peux la remettre dans mon con, s'il te plait… Maintenant que çà devenait intéressant… »
Yves, comme hypnotisé, saisit l'énorme bite, et la place contre le petit trou de sa jeune épouse, après l'avoir trempée de cyprine au bord de sa chatte. Le petit orifice s’ouvre comme une fleur.
« Mon chéri, tu as vu comme il m’encule ? C’est trop bon, cette grosse barre dans mes intestins ! Je n'ai jamais voulu avec toi… mais là, c’est du délire, je jouis comem une folle de mon cil ! »
A force de grands coup de reins, la queue sort une seconde fois. Mais cette fois, Morgan est en train d'éjaculer. Les jets de sperme giclent en direction du canapé, éclaboussant le visage et le torse du mari trompé. Le couple éclate de rire, et retourne à la salle de bains.
Il est huit heures quand Morgan quitte l'appartement.
Honteuse, Marion, vêtue d'un peignoir, s'approche de son mari écroulé sur le canapé. Elle lui prend tendrement la main.
« Pourras-tu me pardonner mon amour ? C'est pour toi que j'ai fais çà..
- C'est vrai que c'était mon phantasme, répond Yves, mais tu t'es offerte sans retenue, sans penser à moi…. Il t'a régalée, au moins ?
- Oh oui, mon chéri, c'est un bon coup au lit. Il veut te demander si je peux me donner à lui une fois par semaine! Mais c'est toi qui décide. Tant pis si je suis déçue et malheureuse.
- Ah bon ! Et toi, tu crèves d'envie de te faire prendre par lui, et tu veux que je l'entende, hein ? Petite salope. Qu'il te bouffe la chatte, qu'il te suce le clitoris, qu'il te fasse hurler de plaisir, et que je l'entende ? Tu sais bien que j'ai toujours voulu que tu te fasses baiser par un autre devant moi. Tu as mon accord ma chérie.
- Tu es un amour, se réjouit Marion. Il a dit que tu l'appelles pour choisir un jour. On a pensé au samedi. Comme çà, on pourra remettre çà le dimanche, çà t'irait ? Allez, je t’attends au lit mon amour. Je suis un peu fatiguée, mais je tiens à m'amuser avec toi, te faire une petite pour te remercier. Ah oui, autre chose, il faudrait faire installer des glaces sans tain aux toilettes. Une qui donne sur la chambre, l'autre dans la salle de bains. Comme çà, tu pourras mater ta petite femme en train de bien se faire mettre des coups de grosses bites… »
Depuis, Morgan passe tout les week-ends chez eux. Il nique sans relâche la jeune et belle épouse de son copain...
Assis sur la cuvette des WC, Yves fait le voyeur. Au moins, il sait où est sa femme…
J'aimerais beaucoup offrir ma compagne à un bel étalon
J'adore le moment où son mari présente la queue du bel étalon à son petit trou qui n'attendait que ca...