Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Je m'appelle Tiphaine, j'ai trente ans, mariée sans enfant, j'adore ma maison, je suis secrétaire dans une entreprise de déménagement, épouse fidèle depuis huit ans, pleine de principes et coincée, aux dires de ma sœur et de son mari.
Pendant les vacances, j'ai remplacé mon patron.
Durant son absence, il me suffisait d'aller sur les lieux avec un de nos chauffeurs et de faire signer les contrats. Lui constatait les moyens à mettre en œuvre, et moi, je m'occupais des prix et
des signatures. J’ai du me déplacer trois fois : une fois à Marseille, deux fois à Nantes.
Pour les déplacements en Bretagne, je dormais à l'hôtel.
Pour mon deuxième déplacement, j'ai dormi au même endroit que la première fois et comme l'équipe de déménageurs était sur place pour le premier contrat, nous étions dans le même hôtel.
Ils devaient déménager le matin à 8 h. Après avoir mangé avec les trois collègues, nous sommes allés boire un verre sur Nantes. Je connaissais deux collègues, Lionel, et Christian, mais je ne
connaissais pas Ferdinand, un homme qui bosse de temps en temps avec nous.
La soirée se passait bien, même si Ferdinand me draguait grossièrement. Mais, ayant la réputation d'une femme droite, les autres lui disaient qu'il allait se casser les dents. Il a continué plus
fort, du style élégant : « j'étais une femme qui respirait le cul, que j'avais une bouche à faire bander un mort, qu'il adorait les femmes comme moi, des saintes Nitouche à
première vue, mais en réalité, qui sont des folles du cul. »
Je rougissais et le remettais à sa place, ce qui ne le dérangeait nullement.
Après avoir bu deux coupes de champagne, moi qui ne bois pratiquement jamais, je me suis sentie plus à l'aise pour lui répondre.
Vers une heure du matin, et quelques verres en plus, je me sentais bien. Je n'avais pas envie de rentrer, mais les hommes se levant de bonne heure, nous sommes retournés à l'hôtel.
Arrivés à l'hôtel, je ne trouvais pas le sommeil, même après la douche. Je me mis à la fenêtre pour me rafraichir, il faisait très lourd, quand j'entendis Ferdinand me
dire : « Alors on n'arrive pas à dormir ? »
Il était dans le parking en train de fumer. Je répondis que oui. Il partit, et au bout de dix minutes, quelqu'un frappait à la porte. En ouvrant, je vis Ferdinand avec une bouteille de champagne
me disant : » on se la boit comme deux noctambules ? »
Et il rentra. Je fus un peu surprise, mais je me dis : « Allez, deux coupes et au lit. »
On a bu ensemble et je découvris un homme très intéressant. Un moment plus tard, nous étions en train de boire à la bouteille quand, en rigolant, j'en renversais sur moi. Il me dit : « Attends, bouge pas. »
Il s'approcha et lécha le champagne qui coulait sous mon cou. J’eus un frisson qui me parcourut. Je lui dis d'arrêter, que j'étais sérieuse. Je ne voulais pas tromper mon mari…
Il ne répondit pas, mais me coucha sur le lit et m'embrassa à pleine bouche. Je lui ai rendu ce baiser, il me caressa les seins. Je lui demandais d'arrêter, mais il me dit : « Tais-toi donc. Tu me rends fou et tu en meurs d'envie !!! »
Je le suppliais une dernière fois d'arrêter. Alors, il se releva et me dit : « Tu ne peux pas me laisser comme ça ! »
Il me montra son sexe en érection. Il était plus long et plus gros que mon mari, j'en croyais pas mes yeux, je n'arrivais pas à détacher mon regard de cet énorme sexe. Il s'approcha et me demanda de le masturber. Je lui répondis : « Après, tu t'en vas et tu dis rien à personne ? »
Il me répondit ok.
Je pris son sexe en main et le masturbais. Cette situation m'excitait, je n'en revenais pas… Il me demanda de me caresser les seins, je le laissais faire. Il parlait beaucoup, me complimentant
sur ma douceur, mes seins, ma peau.
Au bout d'un moment, il me demanda s’il pouvait se masturber avec ma poitrine. Et, sans attendre ma réponse, il mit son sexe entre mes seins. C'était la première fois que je
faisais ça, je me reconnaissais plus, mais je trouvais cela très excitant.
J'étais trempée, je fermais les yeux pour savourer ce moment, quand, d'un coup, je sentis sa main sur mon sexe. Il avait relevé ma jupe habilement, et s'était aventuré entre mes lèvres intimes. Il me félicita pour mon excitation et me dit : « Je savais que tu aimais le cul ! »
Il me masturba avec beaucoup d'expérience, ce qui provoqua un orgasme incroyable. Il me dit : « Allez, suce-moi bien, comme tu suces ton homme… »
Je ne répondis rien, mais je me mis à sucer pour la première fois de ma vie un autre homme que mon mari. Il était énorme, et il comprit très vite que je ne suçais pas d'habitude.
Il m'expliqua comment faire, ce qui me rendit folle de désir. Son discours redevenait grossier, mais au lieu de me déplaire ce fut l'inverse.
Ensuite, je lui ai appartenu toute la nuit. J'ai eu le droit à ma première sodomie. Il m'a aussi joui sur le visage, moi qui trouvais cela sale ! Je lui ai même léché l'anus !!! Ce fut une nuit où je découvris des plaisirs que je n'aurais jamais imaginé... J’ai joui énormément et très très fort en lui répondant que j'étais sa suceuse, sa pute, que j'aimais sa queue dans mon cul, que je lui appartenais…
Le lendemain, il devait y avoir une heure que l'on dormait quand l’on frappa à la porte. Il alla ouvrir. Moi, j'étais vaseuse, je vis rentrer Christian et Manu. Ferdinand leur demanda de rentrer.
J'étais honteuse, ils me sourirent et Christian me dit : « tu m'as fait bander toute la nuit avec tes cris et ton langage de salope ! »
Ferdinand s'approcha du lit et tira les draps d'un coup. Je me retrouvais nue devant eux et Ferdinand leur dit : « Profitez en c'est une vrai salope ! »
Je le regardais avec des yeux à le tuer mais il répondit : « Fais pas ta mijaurée ! Tu ne veux pas que ton mari sache que tu baises avec un autre et que tu lui fais tout ce
que tu lui refuses ??? »
Christian s'approcha et me dit : « Il a raison. Allez : montre-moi comme tu suces ! »
J'ai du les satisfaire tous les trois, et pourtant, j'ai encore énormément joui. Lionel s'est révélé être un amant d'une douceur et d'une vitalité incroyable.
L'après-midi, après le déménagement, Lionel et Christian sont rentrés ensemble avec le camion, et moi je suis rentrée avec Ferdinand. Il conduisait ma voiture pendant que je le suçais. On s'est arrêtés trois fois pour changer de conducteur. J'ai eu le droit de les sucer tous les trois. A tel point que j'avais la bouche endolorie ! Mais bon sang, que c’était bon !
Ferdinand est passé mardi, et il m'a emmenée manger avec un ami. Bien sur, ils m'ont prise tous les deux dans le camion. Je me reconnais plus. J'ai honte, mais je prends tellement de plaisir que
je n'arrive pas à lui refuser quoique ce soit !!!
Sauvons les femmes de la planète, buvons du champagne !
le gnomme