Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
La juge d’application des peines, Claire, belle blonde de vingt-huit ans, arrive à la prison, suite à une agression par une détenue, sur une gardienne âgée de trente-quatre ans. C'est Lise, une jeune métisse de vingt-deux ans, qui serait responsable. Elle devait être libérée demain.
Claire arpente le long couloir qui mène à la salle d'interrogatoire, accompagnée de la gardienne en chef.
« C'est quoi, ces cris ? demande la juge.
- Ah, c'est rien, c'est une nouvelle qui est là depuis trois jours. Une ancienne mannequin, très jolie fille, mais récalcitrante. On l'a mise avec la doyenne, Nina, une black de cinquante ans. Tous les jours, elle lui donne une fessée pour la mettre aux plis. Des fois, elle la gouine, jusqu'à ce qu'elle hurle de plaisir.
- Et vous ne dites rien ? A bon ! »
Claire est malgré tout surprise de cette façon de faire…
Elle arrive dans la salle d’entretiens, Lise y est déjà installée. L'interrogatoire peut commencer.
« Alors, racontez moi comment çà c'est passez, et dans les moindres détails, compris ?
- Dans les moindres détails ? demande Lise. D'accord. Je me rendais aux toilettes, quand j'ai entendu des bruits qui provenaient de la réserve. Je pousse la porte, et j'aperçois, Lily, ma collègue de cellule, et Anne, la gardienne, en train de s'embrasser. Quand elle m'a vue, elle a fait mine d'écarter Lily, en la poussant assez violemment. Je l'ai prise par derrière pour lui bloquer les bras. C'est là que j'ai vu que sa chemise était ouverte, et qu'elle ne portait pas de soutien-gorge.
« Lâchez-moi, disait-elle, ça va ne pas se passer comme ça ! Je vais faire un rapport ! »
Lily s'est sauvée, et c'est là que j'ai pété un plomb. Je n'ai pu m'empêcher de caresser ses seins rebondis. Vous vous rendez compte, peloter une gardienne ???
- Ah bon ? Et qu'elle réaction elle a eu ? demande Claire, troublée malgré elle.
- Elle acceptait les caresses, c'est même elle qui a quitté sa chemise.
- Ce n’est pourtant pas ce qu'elle raconte, poursuit la juge. Elle vous accuse d'avoir abusé d'elle. Et après, comment ça c'est passé ?
- Après, j'ai entendu un zip. Elle venait d'ouvrir la fermeture éclair de son pantalon. Elle m'a pris une main, et l'a glissée entre ses cuisses.
« Vas-y, me dit-elle, çà me gratte là, soulage-moi, tu sens comme ma chatte est mouillé ? Et mon clitoris, décalotte-le, s'il te plait. Tu dois avoir l'habitude de faire ça en prison, salope comme tu es… »
Je l'ai doigtée pendant dix minutes. J'ai été obligée de mettre une main devant sa bouche, tellement elle criait. Elle a eu un orgasme terrible, puis elle est partie subitement.
« Mon dieu, mais qu'est-ce-que j'ai fait, pleurait-elle. »
- Ensuite.
- J'étais dans un tel état, que je me suis branlée sur place. Il fallait que je me fasse jouir. Je me suis enfoncé les doigts bien profond dans ma moule baveuse, et je me suis quasiment fistée moi-même. J’ai joui en criant, pour que tout le monde sache ce que je faisais…. Quand je l'ai croisée en regagnant ma cellule, elle me regardait sévèrement. J'ai compris qu'il fallait que je la ferme.
- Je comprends mieux maintenant », dit la juge, de plus en plus troublée par ce déballage de sexe bien chaud.
Elle est même excitée par le récit. Elle avale difficilement sa salive. Elle sent une agréable chaleur envahir ses entrailles, au point de mouiller légèrement sa culotte. Elle ne peut pas rester comme ça.
« Allez, on fait une pause, dit-elle, je vais aux toilettes. Je vous ramène un café ?
- Je veux bien, répond Lise, merci. »
Une fois aux toilettes, elle essuie son entre-jambe. Elle ne peut s’empêcher de faire glisser son index sur ses lèvres gorgées de désir. Elles sont trempées, et elle a une folle envie de baise bien hard… Elle ôte son string, le plie dans du papier WC, et le met dans la poche de sa veste. Elle passe au distributeur, et prend deux cafés.
« Bon, reprenons », dit Claire, tentant de se maitriser.
Lise remarque de l'hésitation dans la voix, elle sent le trouble envahir la jeune juge. La table qui les sépare, est étroite. Elle tente le tout pour le tout. La juge semble si chaude…
Elle quitte sa sandale, et tend sa jambe. Elle est de suite en contact avec la cheville de Claire. Celle-ci a un sursaut, mais ne se dérobe pas. Le pied poursuit son ascension, d'abord les mollets, puis l'intérieur des cuisses. Claire excitée au plus haut point, se prend au jeu, écarte ses jambes. Les doigts de pieds sont maintenant en contact avec la chatte détrempée. La jeune détenue sent le fin duvet de sa chatte au bout de ses orteils. Les fesses de Claire glissent jusqu'au bord de la chaise. Sans hésiter, elle ouvre encore plus ses jambes, ferme les yeux. Elle se cambre pour s'offrir d'avantage à l’indécente caresse. Le gros orteil parcourt les lèvres humides, taquine le clitoris. Un sourire éclaire le visage de Lise, en sentant le petit organe dardé.
« Tiens, dit-elle, mais qu'est-ce-que cela peut-il être ?
-Tu le sais salope... gémit la juge. C'est mon petit bouton... Ha...hum...
- Et tu aimes ? demande la détenue. Allez, bouge ton cul un peu. Et si tu me faisais voir tes nichons ? »
Dans sa vie sexuelle, Claire aime être dominée. Ca la change de l’autorité qu’elle doit exercer journellement. En femme soumise, elle ouvre sa veste, déboutonne son chemisier, et fait passer ses seins par dessus le soutien gorge.
« Caresse-les », ordonne Lise.
Claire obéit. A force de caresses, les bouts doublent de volume. Les râles de plaisir s'intensifient. C'est maintenant elle qui guide le gros orteil, et le fait aller et venir dans sa chatte pleine de mouille. Sa bouche reste entre ouverte. Elle s’en sert comme d’un gode vivant.
« Ah… Ah...Vas-y... C'est bon, tu sais...on m'a jamais fait ça… Comme tu régales ma petite chatte de garce… Oui, je vais jouir... Oh oui !!!
- Laisse-toi aller, ma chérie, sourit Lise. Tu vois que c'est bon avec une femme. Oh la la, mais Madame la juge avait une grosse envie ! Elle aime se faire doigter…. »
Lise sent la cyprine de la jeune juge recouvrir son pied. Claire donne des coups de reins, comme pour mieux se vider. Elle est rouge de honte. Mais elle a joui comme rarement avant…
« Faut pas avoir honte, Madame la juge. Vous savez, c'est notre lot de tous les jours ici. »
Confuse, Claire arrange sa tenue tant bien que mal. Heureusement qu'il n'y a pas de caméras de surveillance. Elle se lève, et se dirige vers la sortie. Lise est tout de suite derrière elle. Elle sent que la jeune juge est en manque d'affection. Elle la force à se retourner, et l'appuie contre la porte. Elle la fixe droit dans les yeux et lui mord les lèvres dans un baiser dominateur. Elle glisse une main entre ses cuisses.
Claire fléchit sur ses jambes pour mieux s'écarter.
« Hum... hum... soupire Claire.
- On ne t’a jamais prise comme çà, murmure Lise. Tu vas voir comme c'est bon. Tu sens mes doigts dans ta chatte ? Et ton clitoris, comme je l'ai bien décalotté… Hum, c'est bon ça, hein ? Petite pute va. J'espère que tu signeras ma sortie pour demain, hein ?
- Vas-y, doigte bien mon petit bouton… Oui, je jouis ! Enfonce profond... Rends-moi encore plus pute ! Oh ouiiiiiiiiiii !!! »
Les cris de plaisir s'estompent. C'est maintenant Claire qui prend la jeune détenue à pleine bouche.
« Promis, tu sortiras demain. Tiens, voici mon adresse. Si tu ne sais pas où aller, je peux t'héberger quelques jours. »
Lise ne se le fera pas dire deux fois, et dès le lendemain, elle arrive chez la juge. Pendant des jours, elles passeront le plus clair de leur temps à se gouiner sans jamais se lasser…
L’ex-détenue lui a fait promettre d’aller l’accompagner dans les prisons d’hommes, pour négocier avec elle les remises de peine des détenus mâles, sans doute en gros manque de sexe !