Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Avertissement :
Cette histoire fictive est vraiment très hard. Elle pourrait en choquer certains. Je m’en excuse à l’avance, et souhaite que vous ne m’en teniez pas rigueur. Mais parfois, j’ai envie d’écrire des choses violentes…
Cette publication est longue. Aussi fait-elle l’objet d’une page à part entière. Cliquez à gauche pour le lire en entier, catégorie « pages pour textes longs ».
Ma mère et moi nous avions décidé d’aller faire les soldes entre filles. Les mecs, par définition, n’aimant pas trop faire les magasins, c’est bien connu, ma mère, Suzanne, avait donc accepté de bon cœur. Mon père étant de toute façon à son travail. Moi, j’avais fait de même avec mon jeune époux, je suis marié depuis à peine quelques mois. Je m’appelle Clara, j’ai vingt-cinq ans, je suis brune, pas très grande, mais il parait que je suis canon d’après les critères masculins en vigueur. Je suis professeur de maths dans un lycée de la région parisienne. Mon mari est flic. Ma mère, Suzanne, cinquante ans, est directrice de banque. Elle est encore une belle femme, elle prend soins de son corps, les revenues confortables de mon père, qui dirige une entreprise de BTP lui permette un train de vie confortable. Elle habite dans une ville bourgeoise de la région.
Nous avons donc pris le métro pour nous rendre à Chatelet les Halles, quartier de Paris, pour ceux qui ne connaitrait pas, ou l’on peut faire de bonnes affaires pendant les soldes. Nous
commençons à déambuler dans la rue. Quelques regards masculins s’attardent sur nous. Ma mère est habillée d’une jupe courte violette sur des bas noirs. La hauteur de ses talons allonge encore ses
jambes. Pour ma part, j’ai enfilé une tunique sur un leggins et des bottes à talons. Nous tournons à droite et nous nous retrouvons rue Saint-Denis, célèbre rue de Paris mondialement connue pour
ses prostituées. Ce qui n’est plus tout a fait vrai de nos jours du reste. On y trouve encore des sex-shops mais surtout des boutiques de fringues. Il n’est pas rare de rentrer dans une
parfumerie ou une boutique de prêt-à-porter coincée entre deux sex-shops ce qui est assez surprenant.
Nous croisons un groupe d’une dizaine de jeunes, composés de blacks et de maghrébins, qui me jettent un drôle de regard. Il me semble les reconnaitre, ils sont dans mon lycée je crois. Un est
dans ma classe en tous cas, je le reconnais et il me fait un signe de tête. Maman et moi nous continuons et on entend des sifflets derrière nous. Ma mère grince des dents :
« Ces jeunes, aucune éducation ! »
Nous dépensons notre argent dans divers magasins, faisant chauffer la carte bleue ! Nous avions l’intention d’acheter de la lingerie sexy et nous rentrons dans une boutique. Nous restons
interloquées quelques secondes aussi étonnés que le gérant qui nous dévisage. En fait d’une boutique de lingerie, ce serait plutôt un sex-shop. La devanture plutôt soft nous a induits en erreur.
Ma mère ouvre les yeux devant l’étalage de godes et de DVD pornos. Il y en a pour tous les gouts ! Gang-bang, SM, zoophilie. Des sous-vêtement sexys, il y en a pour tous les goûts… Des tenues de
soubrettes ou d’infirmières, pour pimenter les soirées. Des porte-jarretelles en vinyles, des bas résilles et même des escarpins vernis aux talons incroyablement hauts a tel point que même ma
mère qui a pourtant l’habitude des talons aiguilles me demanda comment c’était possible de marcher avec ca.
Nous nous regardons et rouge de honte, nous pouffons et nous faisons aussitôt demi-tour pour sortir du sex-shop. Nous nous retrouvons bloquées par le groupe de jeunes que nous avons croisé tout a
l’heure ! Souleyman, mon élève, s’approcha de moi, un sourire ironique sur les lèvres ! Tu m’étonnes ! Je me mets a sa place, il doit saliver ce petit con, surprendre sa prof dans un sex-shop
avec sa mère. Maman me jette un regard inquiet mais nous avançons vers la sortie. Le gérant n’a rien dit. Souleyman m’attrape par le bras.
« Ben, ne partez pas déjà, Madame. Faut acheter un truc à Roger quand même !
Comprenant que Roger est le gérant, je lui jette un regard hautain et lance :
- Certainement pas !
Ma mère renchérit :
- Ca suffit maintenant, laissez nous sortir ou on appelle la police !
Un grand black, impressionnant, s’approche de ma mère, la poussant vers la caisse de Roger.
- T’entends ca Roger, ce n’est pas gentil ce qu’elle dit la bourge ! »
Nous sommes vite entourées ma mère et moi par tous ces jeunes. Je commence à paniquer sérieusement, je pousse un cri ! Une main c’est posés sur mes fesses. J’entends maman crier aussi. Du coin de
l’œil, je l’aperçois en train de se débattre au prise avec trois blacks qui tentent de remonter sa jupe. Ils y arrivent et ils sifflent en découvrant les bas auto-fixant .Roger arrive a son
tour.
« Ces bourgeoises, toutes des salopes, je suis sur qu’elles ont fait exprès d’entrer dans mon sex-shop !!! »
Protestations vaines de notre part. Souleyman me donne une claque sur mes fesses et soulève ma tunique.
« Depuis le temps que tu nous fais bander en classe avec tes jupes courtes, tu vas y passer ma chienne ! Tu ne t’en doutes pas mais on te filme régulièrement en cours avec nos téléphones
portables, surtout tes jambes et ton cul et on met les films sur internet ! »
Horrifiée d’apprendre cela, je tente de me dégager. Souleyman me tire par les cheveux et me met a quatre pattes sur le sol, il baisse d’un coup sec mon leggins et je pousse un cri. Il ricane en
découvrant mon string en dentelle qu’il écarte, introduisant un doigt dans ma fente.
On ramène maman, échevelée, apeurée, devant moi. Ses seins sont déjà à l’air et des mains noires n’arrêtent pas de les malaxer. Maman, le visage ravagées par les larmes hoquète.
Une bite noire se présente devant sa bouche et elle tourne la tête en criant. On la force à engloutir ce sexe énorme et elle doit accepter le chibre dans sa bouche. Elle commence à pomper la
bite, la mâchoire déformée par l’épaisseur du membre. Les doigts fouillent mon intimité sans douceur. Je ne suis plus qu’un objet pour mon élève. Souleyman fébrilement se défait et sort un sexe
d’un calibre impressionnant, je tente d’esquiver mais une main puissante me force à courber la tête et avaler sa queue. Je me retrouve comme maman à sucer cette bite dure et gonflée qui
m’étouffe. Les larmes aux yeux, je salive sur la bite de mon élève.
« Putain ! Quelle salope, vas y, suce bien ma bite. »
Ma mère pompe elle aussi la queue, j’entends ces protestations étouffées. On lui claque le cul quand elle proteste trop.
Roger, le gérant du sex-shop a sorti des godes, des menottes, des colliers et des laisses. Nous devons arrêter maman et moi nos fellations et nous nous retrouvons avec un collier en cuir autour
du cou, une chaine attachée a un anneau. Maman, tenue en laisse par un des black doit faire le tour du sex-shop a quatre pattes, filmées par les téléphones portables, ils prennent tous des
photos. Je dois reprendre ma fellation. Souleyman se retira, la bite dressée, et une autre queue s’engouffre dans ma bouche ne me laissant même pas le temps de respirer. Maman, a genoux, tenue en
laisse par un des jeunes, suce sa bite en faisant des bruits de sucions obscènes. Elle prend la bite à pleines mains, le branle puis lui titille le gland avec sa langue. Pendant qu’elle suce, les
autres l’obligent à leur branler leurs bites.
Je suis renversée sur le dos et Souleyman plonge sur ma chatte. Je sens sa langue m’aspirer le clitoris. Ma mère subit vite le même sort. A quatre pattes, un black derrière elle lui bouffe la
chatte. Maman pousse un cri et secoue sa tête dans tous les sens. Le gérant lui présente sa bite qu’elle avala sans rechigner.
Je donne des coups de reins, répondant aux coups de langue de mon élève. Je gémis.
« Tu prends ton pied ma salope !
- Sa mère aussi, une vraie chienne. »
Maman s’active sur le sexe du gérant, pompant toutes les bites qui se présentent à elle. Un des jeunes se positionna derrière elle et l’enfourna. Elle poussa un hurlement. Les mains solidement
accrochées aux hanches de ma mère, il commença à la pilonner comme un fou. Ses seins ballotant sous les coups de reins, maman continue de sucer la bite du gérant.
Souleyman releva mes jambes a la verticale et me pénétra, je sursautais sous l’intromission. Ses hanches s’agitent, je sens sa bite aller et venir, me perforant.Un autre black m’a pénétré la
bouche de son sexe et je le pompe avec frénésie.
Il éjacula rapidement lâchant son sperme dans ma bouche. Je fus retournée à quatre pattes, tenue par la laisse et de nouveau pénétré par une autre queue. Mon corps secoué par les assauts de mon
violeur, j’halète.
J’entends un hurlement déchirant ! Maman, à quatre pattes, jupe tirebouchonnée autour de la taille, se fait branler par deux jeunes. L’un a enfoncé quasiment toute sa main dans la chatte de ma
mère et l’autre agite rapidement deux doigts dans son cul.
« Tu t’es déjà fait enculer la vieille ? lui crie-t-il. »
Maman refuse de répondre et gémit.
Quelques fessées (bien que cela soit interdit maintenant !) la ramène dans le droit chemin.
« Non, non, bafouille-t-elle. Jamais !
Éclats de rire général.
- Ben, tu vas y passer la bourge ! »
Cri désespéré de maman.
Le grand black, une bite énorme dans la main s’approche du trou du cul de ma mère qui gigote pour tenter d’échapper à la pénétration. Il posa l’extrémité de son gland sur l’ouverture des reins et
il poussa en s’agrippant aux hanches de ma mère, faisant rentrer la moitié de sa bite. Il attendit un peu permettant à ma mère de s’habituer et donnant un dernier coup de reins, il enfonça tous
le reste dans le cul de maman. Il commença à la pilonner d’abord doucement puis de plus en plus vite, la défonçant brutalement malgré ses cris et ses supplications.
Toute la scène a été filmée.
Quand à moi, je me retrouve empalée sur une bite et enculée par une autre pendant que je dois sucer une troisième bite. Filmée en gros plan.
Je suis relevée et courbée sur le comptoir et pénétrée par une queue. Je sens le ventre de mon tourmenteur claquer contre mes fesses. Sa bite s’enfonce dans ma fente.
« Ha la la, quelle chienne, tu vas nous obéir a partir de maintenant ! Avec toutes les photos que l’on a et les films, toi et ta mère vous allez devenir nos putes. »
Je frémis.
Maman aussi proteste.
« Non, non je vous en supplie, ne faites pas ca ! »
Nos cris et nos gémissements se mélangent. Les salauds nous obligent à nous mettre à genoux l’une à coté de l’autre et se branlant au dessus de nos visages, ils éjaculent, nous aspergeant de
leurs foutres.
On joua et on abusa de nos corps pendant des heures. On nous enfonça différents godes de différentes tailles dans nos chattes et nos culs. Maman fut même obligée de me branler avec un gode. Sous
les éclats de rire de nos agresseurs. Moi, je dus lui sucer la chatte. On nous obligea à nous déshabiller entièrement et nous habiller avec des déguisements. Soubrette pour maman : mini robe
noire avec un tablier blanc, bas résilles et chaussures aux talons d’au moins seize centimètres.
Écolière pour moi : micro-jupe plissée écossaise dissimulant à peine mes fesses, un chemisier blanc trop ajustée, mes seins débordant du décolleté, bas blancs montant très haut et chaussures
vernis à brides mais a talons hauts. Ils poussent même le vice jusqu'à m’obliger à me faire des couettes. Nous avons gardé notre collier et notre laisse.
« Nous allons sortir, lance Souleyman, les emmener dans d’autres sex-shop, elles vont faire le show et nous rapporter un paquet de pognon !!! »
Nous crions ma mère et moi, et nous sommes aussitôt bâillonnées par une boule en latex que l’on nous enfonce dans la bouche attachées par une lanière derrière la tête. Nos cris se transforment en
gémissements. Maman et moi nous nous regardons, la mâchoire déformée par la boule.
Nous sortons du sex-shop, la nuit est tombée. Nous avançons dans la rue Saint-Denis, tenues en laisse, dans nos déguisements de putes ! Les passants nous dévisagent étonnés mais aucuns ne réagit.
Nous allons de sex-shop en peep-show, nous faisant baiser par les patrons et les clients, trop contents de l’aubaine ! A chaque fois, Souleyman encaisse les gains et nous avons du succès. Surtout
quand Souleyman explique que nous sommes deux bourgeoises, la mère et la fille, venues s’encanailler. Nous suçons des centaines de bites, je suis enculée un nombre incalculable de fois. Maman
subit des gangs-bangs monstrueux. On se branle entre ses seins et on lui éjacule dessus. Son visage est maculé de sperme. et je ne suis pas mieux !
Plus de deux heures plus tard, le corps repus, haletantes, en sueur, du sperme gluant dans les cheveux et sur nos visages, les habits déchirés, Souleyman et ses complices nous conduisirent à
leurs voitures. Inquiète, je demandais s’ils nous ramenaient chez nous. Souleyman éclata de rire !
« Tu rigoles ! On va dans la cité, on a des potes à vous présenter ! »
(...)
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Mais ce que vous lirez est bien plus rude que ce début...
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