Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Ceci est le 200ème texte publié. Je ne pensais pas en arriver là, lors de la création de ce blog en juillet ! C'est grace à vous, et je vous en remercie du fond du coeur !
A cette époque, j’avais vingt ans, et ma patronne, quinze de plus. Elle est brune, menue, fragile comme une porcelaine. Moi, je suis une vraie blonde, bien charpentée, et avec des rondeurs affirmées.
Pour seul point commun, nous avions toutes les deux le même tempérament explosif qui nous donnait le besoin de jouir plusieurs fois par jour. Respectivement insatisfaites par nos compagnons, nous
avons souvent profité des heures creuses du magasin pour nous donner quelques plaisirs lesbiens dans la cabine d'essayage. C'était bon, mais nous n’avions pas assez d’espace. Nous nous sentions
frustrées. Nous avons alors décidé de prendre une soirée de liberté par semaine. Racontant à nos compagnons que nous allions faire du sport dans un club privé, nous sommes allées régulièrement
nous gouiner ans un petit studio que ma patronne avait loué spécialement à cet effet.
Elle était bien plus expérimentée que moi. Elle m'a presque tout appris sur les pratiques lesbiennes, du broutage de minou en règle à la pénétration par godemichet. Grâce à elle, j'ai découvert
des orgasmes fous et le plaisir d'aller toujours plus loin dans ces découvertes de sexe pur.
Ma patronne avait de l'imagination et un sens prononcé de la domination. Un soir, elle a décidé de mêler son mari à nos expériences. J'étais légèrement déçue, mais je n'ai pas voulu le lui avouer
par peur de la perdre. Son mari est venu avec un ami. Très vite, elle m'a présentée et très vite aussi j'ai eu la sensation de devenir une marchandise.
Devant les deux hommes, elle m'a déshabillée en faisant valoir mon corps généreux, ma poitrine opulente, et mon postérieur rebondi. J'étais gênée, d’autant plus que le mari de ma patronne me
glaçait, par sa façon d’être, assez hautaine. Heureusement, il n'a pas été long à se débrider, le monsieur. Après m'avoir bien observée sous toutes les coutures, il s'est approché de moi et m'a
palpée en connaisseur.
Ma patronne est allée sur le lit. Elle a relevé sa jupe et s'est enfilé son gode bien lubrifié dans le vagin. Elle mouillait tellement qu’il est entré tout comme dans du beurre. Elle avait un
regard tellement lumineux qu'il me faisait presque peur.
Son mari m'a forcée à me mettre à quatre pattes. Il a demandé à son ami de me vérifier la chatte et l’anus. Vérifier pourquoi ? Je n’en n’avais pas la moindre idée ! Après avoir eu
l'impression d'être un animal, j'ai eu l'impression d'être une voiture. Je me suis sentie humiliée. Mais l'ami, contrairement à ce que je m'attendais, était doux, délicat. En fait de
vérification, il a commencé à me branler, en lissant ses doigts dans ma fente et l'approfondissant avec tendresse.
Mon aventure avec ma patronne m'avait rendue hypersensible de ce côté-là. Je n'ai pas résisté à un assaut de frissons qui se sont engouffrés dans mon ventre en vagues chaudes. Malgré moi, je me
suis mise à tortiller des hanches pour que les doigts atteignent mon clitoris. L'ami a déclaré d'une voix de docteur :
« Mon cher Paul, votre femme a raison... c'est une occasion rare ! Elle part au quart de tour, et elle huile déjà ! »
Quel langage ! Je n’y étais guère habituée, malgré mes plongées de plus en plus fréquentes dans les endroits les plus sombres de la luxure à tout prix.
C'est vrai que je mouillais, et j'en avais même un peu honte. J'ai regardé ma patronne qui m'a renvoyé un regard dur et qui m'a dit de continuer à remuer du cul et à balancer mes grosses mamelles
dans le vide. Puis, en grande maîtresse de cérémonie, restant dos appuyé au montant du lit, jambes écartées sur son gode fiché dans son vagin, elle a demandé aux hommes de se dévêtir. Je les
sentais très liés tous les trois, un peu comme un couple qui aurait des habitudes. Moi, j'étais toujours en levrette, bougeant bêtement mes fesses et mes seins, n'osant m'arrêter pour ne pas la
fâcher. Je me branlais le clito avec application, pour ne pas faire retomber mon excitation. La voir se branler avec ce monstrueux gode m’aidait aussi pas mal…
Elle a exigé que son mari s'allonge entre mes bras et me suce le bout des seins. Elle a obligé leur ami à me lécher la moule. Et elle m'a ordonné de ne jouir sous aucun prétexte, de crier grâce
dès que je sentirai monter l'orgasme. Je ne savais plus trop si l’aimais ou pas me sentir ainsi dominée. Je saurais ensuite que ce fut la première et dernière fois, en tout cas, à ce jour !
Dans les situations extrêmes comme celle-là, je n’ai pas besoin de beaucoup de caresses pour m'envoyer au ciel. Alors là, avec ce traitement de choc, je n’ai pas pu résister longtemps. J'ai senti
ma jouissance au bord de mon vagin, j'ai failli lâcher la sauce, mais au dernier moment, je me suis retenue. J'en ai eu si mal que je me suis mise à pleurer. Ma patronne s'est déchaînée en se
branlant de plus en plus vite avec son gode gros comme mon avant-bras. Elle demanda à leur ami de m'enculer. Je n’adore pas, mais je me laisse faire… Au point où j’en suis…
Elle savait aussi que j'aimais sucer les queues bien dures. Elle s'est levée pour m'introduire celle de son mari dans ma bouche. Pendant ce temps, l'autre me pénétrait doucement, dilatant mon
conduit qui s’ouvrait déjà bien. Je m'étais trop retenue. J'ai commencé à jouir. Par la bouche et par le cul, j'ai avalé les deux queues. Le plaisir, un plaisir fabuleux, a explosé dans tout mon
corps. Ma patronne s'est mise entre mes bras, prenant la place de son mari, pour me sucer la pointe des seins. J'ai senti qu'elle voulait me faire dérailler à force de jouir.
J'aurais bien voulu résister à cette manigance, mais ce n'était pas juste, ils étaient trois contre moi, et moi je n'avais qu'une envie m'éclater dans un orgasme sans fin. La séance a duré une
bonne partie de la nuit, car j'étais tombée sur des baiseurs infatigables, qu'une bonne pipe remettait vite d'aplomb.
Pendant presque tout ce temps, ma patronne jouissait dans son rôle de voyeuse, n'intervenait que pour augmenter les doses de mes orgasmes. J'ai alors compris que j'étais devenue le jouet de ce
couple à trois. Ma patronne aimait me voir enfiler par ses deux amants.
Je l'ai compris et j’aurais pu rester. Ils étaient de très bons baiseurs. J’aurais eu de superbes expériences avec eux. Mais je ne voulais pas rester dans un rôle de soumission qui ne me convent
guère…
J’ai démissionné, et plus jamais retrouvé d’employeurs aussi bons !
quel plaisir...
Est ce que c'est de là que te viens le plaisir de voir un homme se faire prendre ?
Je comprends bien que c'était le jeu dominant-dominé(e)... et j'aimerai que ce soit le cas pour tout le monde d'ailleurs... car j'imagine que certaines femmes ou hommes subissent le statut de dominé(e)... par "amour"...
Personnellenent je n 'arrive pas à comprendre ocmment on peut avoir du plaisir dans la soumission...
http://philavril.canalblog.com/
Je vais y penser.. Ton idée est bonne...