Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Chapitre III
Ainsi donc ma belle stagiaire voulait une formation accélérée. Deux modules en un, deux aspects de mes désirs en une séance… Le fétichiste des dessous et le sodomite cru. Je n'eus aucun mal à imaginer comment rendre la scène plus réaliste, plus excitante.
Anaïs m'avait donné le numéro de son bungalow en m'indiquant que je pouvais passer à toute heure.
« Je suis toujours disponible pour apprendre mon métier », m'avait-elle dit en me donnant aussi son téléphone.
Le lendemain, sur les coups de dix heures du soir, je décidai de frapper à sa porte. Mon scénario était déjà prêt. J'allais endosser le rôle du client insomniaque,
stressé, tendu qui ne connait qu'une méthode pour retrouver le calme et le sommeil...
A mon grand étonnement, ce fut une blonde qui m'ouvrit. Marie, la collègue nouvellement arrivée d'Anaïs. Elle m'en avait parlé mais j'avais oublié cette information. Un rapide coup d'œil me suffit à la détailler : même taille que sa collègue mais un soupçon plus forte. Un bonnet et une taille de string en plus. De B à C, de 36 à 38. Mais l'idée générale était la même : une stagiaire des plus bandantes. Elle m'ouvrit avec un soupçon de méfiance dans le regard et dans son attitude.
« Bonjour, je suis un ami d'Anaïs. Je voulais savoir si elle était là...
- Un ami ? C'est vous le client de la plage ?
- Oui, en effet, c'est moi. »
Un sourire barra son visage. Les deux collègues partageaient certains secrets. Je commençais à entrevoir des choses fort intéressantes.
« Elle m'a beaucoup parlé de vous. Entrez, je vous prie. »
Elle fit demi-tour pour me guider vers le salon. Je pus admirer sa croupe. Son peignoir blanc laissait deviner l forme discrète d'un tanga. J'en avais déjà l'eau à la bouche. Elle me fit signe de m'asseoir en face d'elle dans le petite salon jouxtant leurs chambres.
« Anaïs n'est pas là. Je suis Marie, sa nouvelle collègue. Elle m'a expliqué que vous étiez là pour compléter notre formation de stagiaire, c'est cela ? «
J'eus une intense moment de jubilation intérieure. Anaïs m'avait déjà préparé le terrain avec cette blonde excitante.
« C'est tout à fait cela, mademoiselle. Je suis là pour vous parler des désirs et des envies de certains clients, ceux que l'on peut ranger dans la catégorie gros cochon, obsédé ou vicieux. J'espère que ces mots ne vous feront pas fuir...
- Oh je ne suis pas du genre à fuir les réalités de mon travail.
- Bien. Alors peut-être avez-vous envie, maintenant, d'une petite séance ?
- Toute seule ? Mais Anaïs n'est pas...
-Recommencez deux fois cette leçon avec deux
stagiaires ne sera jamais un problème.
- Très bien. Alors dites-moi ce que je dois faire, je vous prie monsieur. »
Je bandais déjà. Marie, comme sa collègue, jouait parfaitement le rôle de la stagiaire.
« Alors, commencez par enfiler une jupe de tailleur clair, un chemisier blanc, des bas couleur chair et des dessous rouges puis revenez me voir.
- Je porte déjà des dessous rouges... je dois en changer ?
- Montrez-les moi, je vous prie. »
Elle écarta avec élégance son peignoir pour me révéler un tanga en dentelle rouge des plus sexys. Exactement le genre de lingerie que le fétichiste que je suis peut regarder des heures dans la vitrine d'une boutique, sur un mannequin.
« C'est parfait. Mettez le soutien gorge assorti
à ce tanga et nous pourrons commencer la leçon. »
A son retour de la salle de bain, c'était une autre femme. Une stagiaire de grande classe, une jeune femme élégante dans un tailleur moulant ses formes avec délice. Elle était aussi bandante que
sa collègue.
« Cette tenue vous plait-elle pour la leçon, monsieur ? me demanda-t-elle en passant ses mains sur ses fesses et ses seins, à travers l'étoffe de son tailleur.
- Vous êtes parfaite, mademoiselle. Alors, maintenant, laissez-moi vous expliquer la situation. Je suis un client stressé, qui ne dort pas alors qu'il a un gros contrat à concrétiser demain. Il a essayé la réception mais personne pour l'aider. Il a sonné chez son voisin de chambre mais pas de réponse. Alors il prend son courage à deux mains et va sonner chez la stagiaire qu'il a vu. Il se dit qu'elle pourra peut-être l'aider...
- Oh mais bien sûr, monsieur, enchaine-t-elle sans attendre. Que puis-je faire pour vous aider ? Vous voulez de l'aspirine ?
- Je vous remercie mais j'en ai déjà pris... je...
j'ai une idée mais... cela vous choquera, demoiselle.
- N'ayez crainte, monsieur. Nous sommes des professionnels. Nous sommes là pour satisfaire nos clients.
- Bien bien. Alors voilà... voir une jeune femme porter des bas a un puissant effet calmant sur moi.
- Si ce n'est que cela, je peux vous aider, monsieur.
- Ah mais merci beaucoup, alors. »
Elle se redressa et releva lentement, délicatement, sa jupe de tailleur pour faire apparaître le haut de ses bas couleur chair. Cette vue me rendit fou. Des jambes à la peau blanche, des bas de qualité...
« Voyez-vous, mademoiselle, je vais déjà mieux. Je me calme. Merci beaucoup.
- Dois-je soulever la jupe plus haut, monsieur ?
- Oh avec plaisir mais je ne voudrais pas vous importuner.
- Allons, allons, monsieur. Le confort des clients passe avant tout chez nous. »
Et là, elle révéla son tanga, qui était encore plus beau avec une paire de bas non loin et l'étoffe d'une jupe qui en masquait une partie. J'étais devant une vue qui me troublait. Le fétichiste que j'étais savourait ce moment de jeu. Un beau tanga porté par une stagiaire excitante.
« Je ne sens presque plus rien ! C'est magique mademoiselle. Je crois que voir votre soutien gorge serait un petit plus non négligeable pour ma douleur...
- Avec plaisir, monsieur. »
Elle dégrafa son chemisier pour faire apparaître un
délicieux bonnet C mis en valeur par un soutien gorge en dentelle rouge qui me subjugua. Je nageais en plein rêve avec cette poulette qui se déshabillait pour jouer à mes jeux. En fixant son
tanga, je crus voir, sur la dentelle rouge, un endroit plus sombre. Marie commençait à tremper sa lingerie ? Cette tache semblait l'indiquer.
« Mademoiselle, vous êtes vraiment très professionnelle. Cela vous honore. J'aime vos dessous et votre serviabilité. Puis-je encore abuser de vous ?
- Que dois-je faire ?
- Pourriez-vous aller prendre deux strings de votre amie Anaïs ? J'aurais un petit jeu à effectuer avec. J'en ai pour une seconde... »
Et elle se tourna encore pour aller dans la chambre de sa collègue.
« Non, arrêtez-vous là, mademoiselle... Votre cul est un spectacle magnifique. Je voudrais en profiter. »
Je l'entendis sourire d'aise. La dentelle du tanga était un régal à voir disparaître entre ses fesses. Je lui demandais de se cambrer, de passer un doigt sous la
dentelle, d'ouvrir ses fesses pour que je vois bien les motifs du tanga s'imprimer sur son entre-jambe. En la voyant ainsi s'exhiber devant moi, je pus constater ce que j'avais vu quelques
instants auparavant : cette stagiaire trempait sa lingerie. L'étoffe de son tanga était sombre de cyprine là où elle était en contact avec ses lèvres.
Elle revint de la chambre de son amie avec deux beaux strings en dentelle, un noir et un blanc. Je la mis a genoux devant moi. Je lui fis sortir ses deux seins des bonnets de son soutien gorge. je lui fit enrouler les strings autour de ses mains pour, ensuite, se caresser les pointes avec les strings de sa collègue.
« Pouvez-vous vous caresser la chatte à travers le string avec une main et le visage avec l'autre main ? »
Elle s'exécuta après m'avoir regardé avec dans les yeux une lueur de plaisir qui me donna envie de me surpasser pour elle et sa collègue. Une jeune femme en train de jouer avec son corps et les dessous d'une autre... Je n'en pouvais plus. J'étais aux anges devant cette vision d'une sensualité, d'un fétichisme excitant.
« Mademoiselle, devant tant de professionnalisme, je me vois dans l'obligation de sortir ma queue pour me toucher devant vous. Cela vous convent-il ?
Oh mais faites, monsieur. Je suis à votre disposition. »
Ce fut à ce moment là qu'Anaïs fit entendre le bruit de sa clé dans la porte...