Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Chapitre V
Après une pause, je me remis donc rapidement à
bander.
Normal vu le spectacle que j'avais sur mon lit : deux belles poulettes, deux stagiaires superbandantes, deux minettes qui étaient là pour tout voir de moi, surtout le sodomite cru que
j'allais être.
Je leur fis enfiler deux petites culottes en coton
toute simple avant de les mettre à quatre pattes l'une à côté de l'autre, leurs visages à quelques centimètres de ma virilité dressée.
Puis je leur offris ma trique.
Elles se précipitèrent dessus pour s'embrasser et me lécher en même temps.
Le plaisir de sentir deux langues, deux bouches, deux jeunes suceuses s'occuper de moi me fit fermer les yeux le temps d'un vertige.
« Allez y les filles, faites moi durcir, faites moi bander avec vos langues de stagiaires. Durcissez cette tige qui a envie d'explorer tous vos orifices, qui a envie de vous prendre par
derrière toutes les deux. »
Anaïs se mit à me branler alors que Marie jouait avec mon gland. Je glissai une main dans la culotte de la première, pour sentir une chatte chaude et moite.
Tout n'était qu'un long rêve éveillé depuis que la porte de ce bungalow s'était ouvert.
« Mes deux biches, mes deux poulettes, j'ai hâte de vous fourrer, de sentir vos chattes, vos petits culs. Pompez bien cette queue qui veut vous honorer jusqu'au plus profond de vos
corps. »
Excité, j'agrippai la tête de Marie pour une pipe plus énergique. Pendant ce temps, Anaïs se mit derrière elle pour lui laper l'entrejambe.
« Monsieur, me dit-elle, vos deux stagiaires sont trempées et excitées. Elles espèrent que vous n'allez rien leur cacher de vos désirs bien légitimes de client.
- Mes désirs ? C'est très simple : j'ai envie d'enfiler deux petites salopes, deux beaux petits lots de 22 ans.
- Vous êtes au bon endroit », me répondit Anaïs en faisant glisser sa culotte.
Elle vint se mettre en levrette devant moi. Marie mit ses mains sur ses fesses et m'ouvrit son entrejambe.
J'eus une vue sur le paradis de ses cuisses, sur le mystère de sa fente et de son petit trou. Deux orifices que j'allais explorer.
« Et voilà, j'enfile la première. Une bonne chatte trempée et glissante. Un régal pour ma queue que de sentir glisser cette intimité. »
En effet, elle était si bonne à prendre, cette fente humide et excitée. Après quelques coups, je sortis de sa chatte et Marie se rua sur la queue pour la prendre en
bouche.
« Oui Marie, goute à la chatte de ta copine, goute à ma queue parfumée à la cyprine de stagiaire. Oui. Crache dessus et étale sur mon gland. Je vais retourner baiser Anaïs. Sa chatte est si
délicieuse, si glissante, si chaude. J'ai du mal à laisser ma queue hors de ce trou. J'aime sentir son étroitesse de 22 ans autour de ma bite. »
Une fois que j'eus bien profité du sexe de ma première stagiaire, je changeai de position pour profiter de sa collègue. Elles se mirent en 69, Marie au dessus
pendant que je lui baisais la chatte.
Voir Anaïs jouer avec le clitoris pendant que je sautais Marie m'excita au plus haut point. Surtout que je sentais sa langue de temps à autre sur ma queue entrant et sortant de sa chatte.
« Allez-y les filles. Soyez des stagiaires délurées. Soyez les deux petites chiennes dont je rêve. J'ai trop envie de vous baiser, de vous fourrer, de profiter de vos trous, de tous vos
trous.
- Faites ce que vous voulez de moi, lâcha Marie dans un râle suite aux jeux de langue et de queues d'Anaïs et de moi. C'est la première fois que j'ai envie de me sentir salope à ce point.
- Pas de problème pour moi. Ma bite aime fourrer des joueuses comme vous, des belles petites salopes. »
Puis je les mis côte à côte, fesses contre fesses. La vue était magnifique : deux entrejambes, deux croupes, deux belles stagiaires excitées et prêtes à tout pour
découvrir mes désirs.
Je leurs mis deux doigts en chacune pour bien les enduire de leur mouille. Je leur fis lécher les doigts sortant de la chatte de l'autre. Anaïs gouta Marie et Marie gouta Anaïs. Elles
échangèrent un long baiser alors que je me mis à baiser en alternance rapide ces deux chattes.
« Et quelques coups dans Anaïs, et quelques coups dans Marie. C'est trop bon d'avoir deux chattes sur un lit, deux belles croupes luisantes et excitées. Je vous raconte pas le bonheur de
vous sauter, de vous enfiler. Ma queue sent vos chattes, ma queue se parfume à votre intimité. Je vais vous offrir de bonnes giclées de foutre pour vos beaux visages, les filles. »
Puis je les fis descendre du lit. Je mis Anaïs à genoux sur le tapis, les coudes sur le lit. Marie ouvrit de nouveau ses fesses mais cette fois-ci, ma langue s'attarda sur son petit bouton, sur
sa porte de derrière. Avec sa collègue, nous lui préparâmes la rondelle. De la salive, des doigts, de la douceur et voilà une rondelle s'ouvrant petit à petit.
J'étais excité au possible en pénétrant ma belle stagiaire par derrière. Marie la caressait, lui prenait les seins, l'embrassait alors que je trouvai ma route en elle, entre ses fesses.
« Et voilà un bon petit cul autour de ma queue. C'est bon de t'enfiler la rondelle, Anaïs. C'est bon de t'ouvrir le cul. »
Une fois que je fus bien en elle, une fois que son petit trou m'eut accueilli en entier, je me mis à la baiser plus énergiquement, tout en continuant à parler.
« Une bite au cul pour ma stagiaire de luxe, une bonne sodo pour un bon petit cul bien ferme. Jaime fourrer ma trique entre tes fesses. J'aime baiser des entrejambes aussi chauds, aussi
excitants que les vôtres. . »
Pour toute réponse, elle tourna la tête pour me regarder. Elle ne dit rien, ses yeux suffisaient à faire passer le message suivant : allez-y client, abusez de vos
stagiaires. »
Je sortis d'elle pour admirer son petit trou en train de s'ouvrir.
« Je n'avais jamais eu cette vue, me dit Marie, c'est beau de voir ma collègue se faire péter le cul.
- Oh oui. Un rêve que de mettre sa queue dans ce trou, un rêve que d'avoir six orifices pour moi ce soir. C'est toujours un plaisir que de baiser le cul de deux jeunettes comme vous, de deux
bonnes petites salopes. »
Marie prit ma queue dans sa bouche pour la sucer un peu puis cracha sur l'orifice béant d'Anaïs
« Baise-lui bien le cul à cette petite chienne. »
Avec plaisir. Je mis ensuite Anaïs sur le flanc, pour la prendre par derrière en cuillère, pendant que Marie jouait de sa langue avec sa chatte. Ma première
stagiaire eut un orgasme alors que nous nous affairions à deux en elle, entre ses jambes.
Peu après, ce fut à Marie de m'offrir son petit trou.
« Et voilà, le sixième trou, le dernier orifice à explorer. C'est bon d'avoir deux poulettes à baiser bien à fond, deux petites salopes qui en veulent par tous les côtés possibles. Deux
stagiaires qui aiment satisfaire les clients et se mettent en entière disponibilité, depuis leurs dessous jusqu'à leur cul. »
Nous variâmes les positions, je les pris longuement par le cul et la chatte, sur le dos, à genoux, contre le mur.
Je leur dis les choses les plus osées, les plus imaginatives qui me passaient par la tête.
Je ne savais plus si je touchai terre ou pas. Elles
étaient deux stagiaires parfaites, deux coquines, deux poulettes, deux joueuses...
Mon éjaculation les honora largement. Je visai leurs deux bouches. Elles s'embrassèrent ensuite. Ce fut un délice que de voir le foutre couler sur les joues, de leurs lèvres. Elles se léchèrent
les seins ensuite, là où ma semence avait coulé.
Pour la seconde fois en une nuit, elles m'avaient terrassé.
La pièce entière sentait notre plaisir, notre complicité. Il y avait des dessous féminins partout, je sentais quatre seins et deux souffles contre mon corps. Mes
mains caressaient lentement, lascivement leurs deux dos. Nous étions calmes et apaisés.
J'espérais avoir contenté leur curiosité.
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