Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Nulaï réserve une surprise à Line.

Comme Cat (voir la maîtresse de Nulaï…chapitre III) avait donné l’adresse de « l’église aux orgies », Nulaï se rend à cette adresse. Il rencontre le prêtre défroqué, et arrange un rendez-vous. Bien sur, la lettre d’introduction de Nulaï, c’est le nom de Cat…

Line est un peu voyeuse, comme Nulaï. Le soir venu, assez tard, vers 23 h, ils partent vers cette église de tous les plaisirs.
Le prêtre lui avait expliqué comment il devait procéder : il l’attendrait avant de commencer sa messe.
Bien sur, Line ignorait tout, mais se doutait de quelque chose de très spécial.
L’église était un peu retirée de la ville, dans une sorte de faubourg, un peu sinistre. Comme prévu, Nulaï fait le tour du bâtiment, et va garer sa voiture près d’une autre. Tout est éteint. Il sort et ferme doucement la porte de la voiture. Il invite Line à faire de même.

Ils font quelques pas, entrent dans le cimetière qui jouxte l’église. Nulaï tient Line par le bras. Elle frissonne : « Ce n’est pas froid, nous sommes en été… Non, c’est de peur, l’endroit est sinistre ! »

 

Rapidement, ils arrivent à une lourde porte un peu cachée dans un angle du bâtiment.
Nulaï la pousse. A leur grande surprise, elle s’ouvre sans le moindre bruit, Nulaï marque un arrêt, le temps d’habituer sa vue à la pénombre qui règne à l’intérieur.
Après un court moment, il scrute les lieux. Ils se trouvent dans un couloir, il repère rapidement la penderie. Deux longues robes avec capuche se trouvent accrochées au mur. Il les prend, ainsi que deux masques du genre loup, qui se trouvaient derrière. A terre, il y a deux cierges. Le jeune homme fait signe à son amie de se vêtir, et lui recommande garder le silence. Il allume les cierges et lui en passe un. Elle est fort intriguée, mais ne souffle mot…

Le couloir est vite parcouru. Ils arrivent devant une porte, qu’il ouvre doucement, et ils débouchent dans une salle voûtée, faiblement éclairée par quatre lourds chandeliers, comprenant chacun trois grosses bougies.
Un homme se trouve dans le fond de la pièce, face à la porte. A gauche et à droite, trois hommes. Au centre, trois femmes couvertes d’une cape noire, ni très jeunes, ni très vieilles. Elles sont couchées sur des tables disposées en triangle, leurs jambes pendant dans le vide. Les hommes portent la même robe que Nulaï et Line, à la seule différence qu’ils ont une ceinture en corde. Tout ce monde porte un masque qui prend par moment une allure étrange à la lueur des cierges…

A l’arrivée de nos deux amis, l’homme du fond prit la parole :

« Ah, voici nos frères témoins qui sont arrivés. Nous allons pouvoir commencer… »


L’atmosphère dans la pièce était lourde, toute la journée il avait fait très chaud.

« Il est possible qu’un orage éclate ce soir », pense Nulaï.


L’homme du fond fit quelque pas en direction des femmes, et reprit la parole, d’une voix grave d’un homme habitué à parler en public : « Je rappelle aux frères rédempteurs et aux sœurs pénitente qu’aucune parole ne doit être dite durant l’office, seul les cris du repentir ou de l’absolution sont autorisés dans cette enceinte ! Ainsi en soit-il ! »


’homme reprend la parole : « Mes sœurs, vous allez subir votre châtiment pour vos pêchés. »

 

Le silence règne dans la pièce, et l’homme poursuit : « Frères, veuillez me suivre ! »

 

L’homme s’avance dans la pièce suivi des autres hommes, tous se dirigent vers les tables, sur un signe de l’homme les autres se placent un à un de chaque côté d’une femme, soit deux par femme.
Sur un autre signe de l’homme, tous troussent leur robe, et l’accrochent dans la ceinture

« Ha ! Voila à quoi elle sert pense Nulaï.

 

Line a un petit sursaut de surprise en voyant ces six bites en demi-érection, certaines même semblent molles.
« Mes sœurs, vous pouvez prendre vos cierges ! « 

 

Chaque femme empoigne deux bites

« Mes frères, découvrez les pécheresses ! »

 

Ensemble, les hommes soulèvent lentement les draps noirs, découvrant ainsi les trois femmes entièrement nues. La première a de petit seins en forme de poire, la seconde elle possède une sacré paire de nibards, un bon 110 D avec de gros tétions, la troisième un 95 C aux larges aréoles et petites pointes. Chaque homme pose une main sur un sein et l’autre main sur le sexe de la femme.
Personne ne fait rien d’autre. Nulaï et Line remarquent que la respiration des trois femmes commence à s’accélérer.

L’homme reprit la parole : « Frères et sœurs, préparez-vous à la communion !

 

A cette invitation, les hommes commence à pétrir les seins, tandis que de leur autre main, ils s’occupent du sexe des « sœurs »

En même temps, les femmes, se mettent doucement à branler les bites. Sous l’effet de ces caresses, les seins se mettent à gonfler les pointes se dressent, et les queues ont une bonne érection. Une femme déjà, a gémi doucement.

Tout ce monde s’active, mais ils sont interrompus par le maître de la séance,  qui reprit : « Que la communion commence ! »

 

A ces mots, chaque homme se tourne vers une femme, trois hommes présentent leurs bites devant la bouche d’une femme. Les trois autres, après avoir écarté les jambes chacun d’une femme, présentent leurs queues à l’entrée du vagin.

Tous en cœur, ils pénètrent leur orifice, et pistonnent doucement. Deux femmes ondulent de la croupe, celle avec les gros seins couine comme une truie.

« C’est sur, pense Nulaï, ces salopes de bourgeoise ont besoin d’être bourrées, et le pire elles se font peut être baiser par leur mari ou leur fils ! Comme ils sont tous anonymes, elles ne peuvent pas savoir…. »


Un des hommes poussa un grognement. Visiblement, il venait de se lâcher dans la bouche de la femme, qui se délecte visiblement de sa dose de sperme. Elle pousse un hoquet sous les coups de boutoir de l’homme qui la bourre bien à fond.

A ce moment, une autre miaule de plaisir. L’homme qui la baise avec son gros pieu, active le mouvement, se penche, empoigne les seins en forme de poire qu’il tord presque.

Nulaï peut voir sa bite qui sort en entier du sexe de la femme pour y replonger de nouveau, bien luisante de mouille et raide. Cette fois la femme crie. Cela excite encore plus l’homme, qui finit par jouir en poussant un cri rauque.

La troisième femme s’active comme une diablesse sur la bite qui la défonce. Elle soulève son cul pour être mieux tronchée, par le type qui la tient par les seins, qu’il triture allégrement. Le premier lui crache sa jute dans la figure en longs jets gluants.

L’autre s’active dans son sexe en poussant des grognements de satisfaction. Lui aussi a craché son jus.  Visiblement pas rassasiée, la femme cherche une autre bite, elle n’a pas eu son compte…

 

Qu’a cela ne tienne, l’homme qui avait pris la parole, vient le remplacer, se trousse, dégageant une belle queue bien dure, et l’enfonce dans con largement ouvert.  Il bourre consciencieusement la femme à grands coups de bite. Sous l’assaut viril, elle jouit dans un long râle de plaisir. 

Nulaï et Line en ont assez vu. Ils sont excités comme jamais avant. Ils n’avaient pas le droit de participer ! Ils se retirent doucement. Ils vont se changer, et retournent à leur voiture. Chemin faisant, Line demande à son jeune amant : « J’espère que tu va me faire l’amour ce soir, je n’en peu plus, d’avoir vu cela ! j’ai vraiment besoin que tu me défonces à fond !

- Ne t’inquiètes pas, mn chibre est déjà dur pour toi ! je n’en peux plus de bander dans  le vide ! Viens que je te prenne comme tu aimes, ma petite salope préférée ! »

 

Comme, Nulaï avait prévenu Line de ne pas mettre de dessous, de suite dans la voiture, Nulaï la dirige vers la banquette arrière de la voiture. Il soulève le tee-shirt de Line et empoigne ses seins qu’il pétrit, il bande dur. Line, fébrilement cherche la bite de Nulaï, Line baisse prestement son pantalon, il la pénètre de suite, puis la pistonne à grands coups. Rapidement, ils finissent par jouir ensemble.

 

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Dim 4 avr 2010 5 commentaires
agréable cérémonie!
Laurent - le 04/04/2010 à 12h57

Ca reconcilie avec la messe !!!

Sophie de R.
Une histoire originale, qui donne dans le mystique.. Mhumm ca me plait bien !
Rita - le 04/04/2010 à 20h31
une drole d eglisse mais pourquoi pas les homme de dieu ne doivent il pas aider leurs prochain
romain57 - le 05/04/2010 à 10h37

Tout  fait d'accord ! Dieu a dit : "il faut aimer son prochain..."

Sophie de R.
Ah! si la liturgie et le rite catholique était comme cela, je serais trés volontiers resté
chrétien, moi.
brunobi - le 06/04/2010 à 21h37

Et moi donc !!

Sophie de R.
Superbe et excitant récit ! J'adore ces fantasmes de monastères abritant des orgies !
zalder - le 13/04/2010 à 00h06

Ca reste très aprticulier, et toujours aussi excitant...

Sophie de R.