Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Partie 1

 

Il y a maintenant quelques mois de cela, j'ai fait venir des stagiaires à la maison pour leur expliquer un projet complexe au boulot. Pendant que nous étions dans mon bureau, j'ai sournoisement laissé des photos de ma grosse cochonne à l'écran d'un ordinateur branché sur le web.

 

C'était un jeu, un peu orgueilleux : je voulais voir ce que ces jeunes gars pensaient d'une femme plusieurs années plus âgées qu'eux. D'une ronde aux gros seins lourds. Ils ignoraient évidemment qu'il s'agissait de ma femme, qu'ils ne connaissaient pas, et leurs réactions en faisant défiler les photos étaient tout ce qu'il y a de plus spontanées. Deux d'entre eux affirmaient ne pas être « attirés par les grosses », mais les deux autres étaient visiblement dans de toute autre disposition.

 

J'aurais pu arrêter là l'expérience, mais entre-temps je m'étais rendu compte que Coralyne était elle aussi rentrée. Et c'est ainsi, sans trop savoir vers quoi je m'engageais mais très excité par ce jeu, que j'ai invité mes jeunes collègues à monter prendre un verre au salon.

 

Lorsque je leur ai présenté ma femme, le trouble s'est rapidement installé. Il faut dire qu'elle ne savait pas que je n'étais pas seul et qu'elle s'était mise à l'aise dans un chemisier servant de tenue d'intérieur, très court et serré à la taille, mais qui avait bien du mal à contenir ses appas généreux. Le fait qu'elle ait gardé les bas noirs qu'elle portait pendant la journée ajoutait évidemment au côté provocant de sa tenue. On pouvait franchement dire que ça faisait très salope de se montrer ainsi.

 

Et je voyais bien qu'ils ne savaient pas à quoi s'en tenir. Et des œillades appuyées vers son décolleté échancré me montraient leur trouble. Ils commençaient à se douter que la femme qu'ils avaient devant eux était celle qu'ils mataient à l'écran quelques instants plus tôt.

Elle, pendant ce temps, leur servait un verre, découvrant sans le vouloir (hum hum...) ses gros seins dénudés à chaque mouvement.

 

De plus, lorsqu'elle portait son verre à ses lèvres, le chemisier s'écartait un peu plus, sans compter qu'il remontait, dévoilant largement le haut de ses belles cuisses aux regards très appuyés de ces jeunes types qui n'avaient sans doute pas souvent vu de vraies femmes. De vrais bonnes salopes, même, car l'indécence de Coralyne n'était pas le fruit du hasard...

 

Elle était même franchement indécente, assise sur la table de la cuisine pendant qu'on débouchait une bouteille de plus, le corsage largement échancré et ouvert sur une mamelle gonflée de féminité.

C'est à ce moment que je m’aperçus, en voyant ses cuisses croisées, que la coquine ne portait pas de culotte ! J'étais à présent certain que les autres s'en étaient rendus compte aussi.

 

J'avais très envie de pousser la provocation plus loin encore... Et lorsque, après deux ou trois verres, j'ai invité chacun à s'asseoir, j'ai pris soin d'occuper les sièges individuels pour obliger ma femme à s'asseoir sur le canapé, avec deux de mes invités. Ce qu'elle fit sans se faire prier, comme si elle ne se rendait pas compte du caractère incongru de la situation.

 

Mais elle avait décidément envie d'être cochonne ce soir-là, car très vite, elle avait négligemment posé sa main sur la cuisse de son voisin, qui ne savait toujours pas trop quelle contenance adopter. Et de plus en plus, Coralyne se laissait aller sur ce canapé. Sa blouse ne tenait plus que par la ceinture et on aurait dit qu'elle attendait seulement qu'on lui saisisse les mamelles et qu'on écarte ses cuisses.

La discussion se poursuivit ainsi dans ce climat très spécial. Un moment, après un tour sur la terrasse où je n'ai pas manqué de peloter ma cochonne, histoire d'encore exciter et provoquer les mecs, les places changèrent.

 

En vérité j'avais très bien vu que les deux qui n'étaient pas assis sur le canapé s'étaient arrangés pour piquer la place de leurs copains. Il faut dire que depuis un quart d'heure ils n'avaient pas arrêté de reluquer les seins de ma grosse salope et son jeu de jambes digne de Sharon Stone.

 

Ils occupaient tellement bien le canapé, d'ailleurs, que ma belle elle-même avait perdu sa place. Joli calcul de la part du plus âgé de mes stagiaires : « Tu sais tu peux t'asseoir sur mes genoux, c'est confortable, lança-t-il

Avec un vrai regard de salope dans ma direction, elle joua le jeu.

« Comme tu veux alors.... » dit-elle en se laissant glisser sur les cuisses allongées du gaillard qui n'en espérait pas tant, l'œil goguenard.

 

Son voisin de canapé semblait paralysé de voir tant de culot !

 

Dans ce dernier mouvement le chemisier de ma grosse coquine s'était cette fois largement ouvert, et chacun pouvait voir une belle mamelle écrasée sur le torse de l'inconnu.

Cette fois tout à fait désinhibé, celui-ci avait rapidement posé sa main sur la croupe de Coralyne pour mieux la tenir, remontant par la même occasion la base de son chemisier de sorte que son cul était à présent offert à tous les regards.

« Ma chérie tu n'es plus très couverte, lui dis-je en m'approchant pour glisser ma main sur son gros nibard. Et regarde un peu : tout le monde voit que tu n'as pas de culotte ! 

- Cela n'a pas l'air de te déplaire, » me répond-elle en caressant devant tout le monde la bosse qui gonfle ma braguette.

 

C'est vrai qu'elle avait raison et que je bande comme un taureau.

Elle s'avance alors, rampant littéralement sur le mec, pour habilement déboutonner mon pantalon et saisir ma grosse queue tendue.

« Tu vois mon cochon, comme tu es excité ? »

 

Et tandis qu'elle me caresse les couilles de ses mains, je m'avance vers sa bouche, la bite complètement tendue. Au point où nous en étions...

 

En s'avançant vers ma queue, glissant sur les genoux du gars, Coralyne offre à tous une vue parfaite sur son cul. Elle a à présent englouti ma queue dans sa bouche, et le mec sur lequel elle était à plat ventre s'en donne à cœur joie en caressant ses cuisses tout en remontant vers sa chatte. La salope écarte d'ailleurs largement les cuisses pour lui faciliter la tâche. Ses deux potes sur le siège d'en face n'en perdent pas une miette, et le timide à côté de lui a perdu toute réserve et s'apprête à sortir son sexe pour se branler.

Pendant ce temps, le mec sur qui ma salope est vautrée, commence à lui titiller la chatte avec ses doigts, écartant ses grosses lèvres bien humides d'excitation.

La garce roule sur le côté, le chemisier maintenant tout à fait ouvert, dévoilant ses grosses mamelles gonflées.

 

Les seins lourds de Coralyne se secouent au rythme des caresses de la main du mec, maintenant presque entièrement fourrée dans sa chatte, et des va-et-vient de mon sexe dans sa bouche.

 

Coralyne écarte ses cuisses au maximum pour se faire fourrager bien profond dans la chatte. Elle n'en peut plus la salope. La tête en arrière pour bien me bouffer la queue, la poitrine découverte, elle est tellement excitée qu'elle commence elle-même à malaxer ses grosses mamelles de sa main restée libre en râlant de plaisir en pensant à ce qui va venir.

 

Les deux gars d'en face rigolent d'un air salace en sortant tout ce qu'ils peuvent avoir entendu dans les fils pornos : « Ah la grosse salope... Elle aime la queue hein ? Elle veut de la bite et du foutre dans la chatte et sur les nibards. Dites-donc les mecs, on ne savait pas qu’Johnny avait une femme qui baisait comme une grosse pute ! Ah on reviendra prendre l'apéro... » 

 

Complètement déchaînée, Coralyne a les tétons rouges et tendus d'excitation. Une main lui fourrage dans la chatte pendant que ma queue entre et sort de sa bouche.

Dans la position où je suis, je me fais sucer tout en caressant son corps de bas en haut : depuis sa chatte bien occupée par la main d'un mec et la langue de l'autre à présent, jusqu'à ses gros nichons que je soulève et pétris des deux mains.

 

J'ai de plus en plus envie de la baiser sauvagement devant ces quatre types. « Chérie, je pense que tu as trop excité ces garçons en jouant les salopes comme ça. Il faudrait que tu les détendes en les massant, par exemple avec tes seins », lui dis-je en la relevant.

 

Je me colle derrière elle en malaxant ses nichons et en pressant ses mamelons l'un contre l'autre. Je l'amène ainsi devant les deux gars qui sont toujours sur le canapé. Je suis en train de la tripoter les loches à l'air en la présentant aux gars maintenant complètement à poil. En lui caressant la chatte, je la fais se pencher en avant. Elle prend appui sur les genoux des deux gars pendant que j'écarte ses cuisses en frottant ma queue sur son con aux lèvres bien écartées.

 

Penchée en avant, ses mamelles qui pendent et se balancent devant ses deux mecs, elle a vraiment l'air d'une salope. Elle gémit comme une chienne au moment où je l'enfile profondément. Sa chatte a été bien mouillée par les deux mecs qui l'ont branlée. Pendant que je la pilonne en cadence, le premier des gars est occupé à se faire une cravate de notaire entre ses seins. De temps en temps, il lui relève la tête pour lui rouler une pelle en enfonçant bien sa langue dans sa bouche et en caressant son ventre jusqu'à sa chatte.

 

Et tout en le branlant entre ses seins, de la main droite, elle astique la queue du timide. Sous les caresses expertes de ma salope, il s'avère très vite avoir une queue impressionnante...

 

Pendant qu'elle est continue à l'astiquer, la queue de ce gaillard prend des dimensions incroyables. « Mhumm... tu caches bien ton jeu toi ! dit-elle sans retenue. Tu as une vraie bite de cheval dis-donc. Un étalon de sport !... »

Et en effet, sa queue est impressionnante. Moi, ça m'excite de plus en plus de l'entendre parler comme ça, totalement désinhibée. Son voisin aussi : il éjacule entre les nichons de Coralyne, excité comme il est depuis le temps qu'il la tripote.

 

Elle n'attendait que ça d'en avoir fini avec lui, car très vite elle se déplace sur le côté pour prendre la grosse queue du timide entre ses mamelles gonflées, pendant que je continue de la bourrer en levrette. A chaque coup de ma bite au fond de sa chatte, ses mamelles s'écrasent autour du sexe du jeune type. Depuis que j'ai vu son attitude provocante dans le cuisine, je sais qu'elle a envie de se faire baiser par lui : elle doit avoir deviné ou senti son sexe hors normes.

 

Lorsque, après avoir craché mon foutre au fond de la chatte de Coralyne en lui arrachant un hurlement de plaisir, je lui demande s'il a une capote à sa taille avec lui. Il sort avec un grand sourire un petit paquet de la poche de son pantalon. Ma salope se relève alors et commence à frotter ses nichons contre son visage pendant qu'il enfile le préservatif.

 

Les deux autres types doivent s'en aller car ils ont un rendez-vous avec leurs copines. Pas de chance me dis-je, sinon je sens qu'elle était partie pour se faire sauter comme une poufiasse par les quatre l'un après l'autre. Au moment où ils vont partir, Coralyne se retourne à nouveau et leur présente sa bouche, langue en attente comme pour les inviter à lui rouler une pelle. Ce qu'ils font, lui bouffant littéralement la bouche en tripotant ses mamelles qui se secouent lourdement pendant qu'elle est cuisses écartées, à agiter son cul devant l'étalon.

 

Après s'être fait peloter, c'est maintenant que les choses sérieuses vont commencer pour Coralyne et la bite de cheval qui l'attend.

Lui, l'attend, assis sur le canapé, la queue dressée. Tandis que les deux qui avaient un rencart amoureux s'en vont, elle leur lance un regard de pute, secoue quelques fois ses nichons en se caressant la chatte et leur présente ses seins comme une salope. Ils n'en profiteront pas cette fois, mais sûr qu'ils voudront y revenir !

 

Elle pose alors un pied de côté pour bien écarter ses cuisses, se penche en avant, aligne l'entrée de sa chatte sur le gland du gaillard et s'enfile lentement sur ce mat dressé pendant que les deux autres claquent la porte à regret.

Elle est à présent assise sur lui, tortille son cul et son corps comme une anguille sur cette bite qui devait bien faire pas loin de trente cm de long et surtout le diamètre d'un gros concombre, pendant que l'étalon la guide en haut et en bas en la tenant par les hanches.

 

Voilà donc ma grosse cochonne empalée sur l'énorme queue de notre invité. A chaque aller-retour, Coralyne pousse un profond gémissement, tandis que la bite rentre un peu plus profondément dans sa chatte.

 

Pendant ce temps, le voisin qui a déjà giclé une fois son foutre lui pétrit les mamelles et lui tripote le clitoris en écartant au maximum ses cuisses. De la voir ainsi servir d'objet sexuel a ces deux inconnus, je rebande aussi sec et je passe derrière le canapé.

 

Je lui soulève le menton pour lui rouler un patin et bien voir ses nichons secoués à chaque coup de queue. Elle a une queue énorme dans la chatte, deux mains sur ses hanches rebondies, deux autres qui lui malaxent et lui pétrissent le ventre en remontant de son clitoris à ses seins. Elle tourne la tête sur le côté et avale goulument ma queue dressée. Entre deux râles, elle aspire toute ma bite et pompe à n'en plus pouvoir.

 

Pendant certainement dix minutes, ma grosse salope jouit ainsi des trois mecs qui s'occupent d'elle. Lorsque l'étalon est prêt à décharger son foutre, elle s'assied à côté de lui et nous présente ses nibards pour une dernière salve de nous trois presque synchro, qu'elle étend sur ses mamelles en soupirant de plaisir.

 

Au total, elle aura donc pris deux bites en branlette espagnole, se sera fait prendre deux fois par la chatte, mais c'est bien mon jus qui la fait le plus mouiller et ma queue qu'elle préfère sucer !

Je ne manquerai pas de vous raconter la suite…

 

 

te histoire qui vous a tant plu est en fait l'oeuvre de Coralyne, une splendide jeune fe qui nous offre ses plaisirs dans son blog...

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Partie 1

 

 

Il y a maintenant quelques mois de cela, j'ai fait venir des stagiaires à la maison pour leur expliquer un projet complexe au boulot. Pendant que nous étions dans mon bureau, j'ai sournoisement laissé des photos de ma grosse cochonne à l'écran d'un ordinateur branché sur le web.

 

C'était un jeu, un peu orgueilleux : je voulais voir ce que ces jeunes gars pensaient d'une femme plusieurs années plus âgées qu'eux. D'une ronde aux gros seins lourds. Ils ignoraient évidemment qu'il s'agissait de ma femme, qu'ils ne connaissaient pas, et leurs réactions en faisant défiler les photos étaient tout ce qu'il y a de plus spontanées. Deux d'entre eux affirmaient ne pas être « attirés par les grosses », mais les deux autres étaient visiblement dans de toute autre disposition.

 

J'aurais pu arrêter là l'expérience, mais entre-temps je m'étais rendu compte que Maya était elle aussi rentrée. Et c'est ainsi, sans trop savoir vers quoi je m'engageais mais très excité par ce jeu, que j'ai invité mes jeunes collègues à monter prendre un verre au salon.

 

Lorsque je leur ai présenté ma femme, le trouble s'est rapidement installé. Il faut dire qu'elle ne savait pas que je n'étais pas seul et qu'elle s'était mise à l'aise dans un chemisier servant de tenue d'intérieur, très court et serré à la taille, mais qui avait bien du mal à contenir ses appas généreux. Le fait qu'elle ait gardé les bas noirs qu'elle portait pendant la journée ajoutait évidemment au côté provocant de sa tenue. On pouvait franchement dire que ça faisait très salope de se montrer ainsi.

 

Et je voyais bien qu'ils ne savaient pas à quoi s'en tenir. Et des œillades appuyées vers son décolleté échancré me montraient leur trouble. Ils commençaient à se douter que la femme qu'ils avaient devant eux était celle qu'ils mataient à l'écran quelques instants plus tôt.

 

 

Elle, pendant ce temps, leur servait un verre, découvrant sans le vouloir (hum hum...) ses gros seins dénudés à chaque mouvement.


De plus, lorsqu'elle portait son verre à ses lèvres, le chemisier s'écartait un peu plus, sans compter qu'il remontait, dévoilant largement le haut de ses belles cuisses aux regards très appuyés de ces jeunes types qui n'avaient sans doute pas souvent vu de vraies femmes. De vrais bonnes salopes, même, car l'indécence de Maya n'était pas le fruit du hasard...

 

Elle était même franchement indécente, assise sur la table de la cuisine pendant qu'on débouchait une bouteille de plus, le corsage largement échancré et ouvert sur une mamelle gonflée de féminité.
C'est à ce moment que je me rendis compte, en voyant ses cuisses croisées, que la coquine ne portait pas de culotte ! J'étais à présent certain que les autres s'en étaient rendu compte aussi.

 

J'avais très envie de pousser la provocation plus loin encore... Et lorsque, après deux ou trois verres, j'ai invité chacun à s'asseoir, j'ai pris soin d'occuper les sièges individuels pour obliger ma femme à s'asseoir sur le canapé, avec deux de mes invités. Ce qu'elle fit sans se faire prier, comme si elle ne se rendait pas compte du caractère incongru de la situation.

 

Mais elle avait décidément envie d'être cochonne ce soir-là, car très vite, elle avait négligemment posé sa main sur la cuisse de son voisin, qui ne savait toujours pas trop quelle contenance adopter. Et de plus en plus, Maya se laissait aller sur ce canapé. Sa blouse ne tenait plus que par la ceinture et on aurait dit qu'elle attendait seulement qu'on lui saisisse les mamelles et qu'on écarte ses cuisses.

 

La discussion se poursuivit ainsi dans ce climat très spécial. Un moment, après un tour sur la terrasse où je n'ai pas manqué de peloter ma cochonne, histoire d'encore exciter et provoquer les mecs, les places changèrent.
En vérité j'avais très bien vu que les deux qui n'étaient pas assis sur le canapé s'étaient arrangés pour piquer la place de leurs copains. Il faut dire que depuis un quart d'heure ils n'avaient pas arrêté de reluquer les seins de ma grosse salope et son jeu de jambes digne de Sharon Stone.

Ils occupaient tellement bien le canapé, d'ailleurs, que ma belle elle-même avait perdu sa place. Joli calcul de la part du plus âgé de mes stagiaires : « Tu sais tu peux t'asseoir sur mes genoux, c'est confortable, lança-t-il avec assurance.

Avec un vrai regard de salope dans ma direction, elle joua le jeu.

- Comme tu veux alors.... » dit-elle en se laissant glisser sur les cuisses allongées du gaillard qui n'en espérait pas tant, l'œil goguenard. Son voisin de canapé semblait paralysé de voir tant de culot !

Dans ce dernier mouvement le chemisier de ma grosse coquine s'était cette fois largement ouvert, et chacun pouvait voir une belle mamelle écrasée sur le torse de l'inconnu.
Cette fois tout à fait désinhibé, celui-ci avait rapidement posé sa main sur la croupe de Maya pour mieux la tenir, remontant par la même occasion la base de son chemisier de sorte que son cul était à présent offert à tous les regards.

« Ma chérie tu n'es plus très couverte, lui dis-je en m'approchant pour glisser ma main sur son gros nibard. Et regarde un peu : tout le monde voit que tu n'as pas de culotte ! 

- Cela n'a pas l'air de te déplaire, » me répond-elle en caressant devant tout le monde la bosse qui gonfle ma braguette.

 

C'est vrai qu'elle avait raison et que je bande comme un taureau.


Elle s'avance alors, rampant littéralement sur le mec, pour habilement déboutonner mon pantalon et saisir ma grosse queue tendue.

« Tu vois mon cochon, comme tu es excité ? »

 

Et tandis qu'elle me caresse les couilles de ses mains, je m'avance vers sa bouche, la bite complètement tendue. Au point où nous en étions...

 

En s'avançant vers ma queue, glissant sur les genoux du gars, Maya offre à tous une vue parfaite sur son cul. Elle a à présent englouti ma queue dans sa bouche, et le mec sur lequel elle était à plat ventre s'en donne à cœur joie en caressant ses cuisses tout en remontant vers sa chatte. La salope écarte d'ailleurs largement les cuisses pour lui faciliter la tâche. Ses deux potes sur le siège d'en face n'en perdent pas une miette, et le timide à côté de lui a perdu toute réserve et s'apprête à sortir son sexe pour se branler.



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Pendant ce temps, le mec sur qui ma salope est vautrée, commence à lui titiller la chatte avec ses doigts, écartant ses grosses lèvres bien humides d'excitation.

La garce roule sur le côté, le chemisier maintenant tout à fait ouvert, dévoilant ses grosses mamelles gonflées.


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Les seins lourds de Maya se secouent au rythme des caresses de la main du mec, maintenant presque entièrement fourrée dans sa chatte, et des va-et-vient de mon sexe dans sa bouche.

 

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Maya écarte ses cuisses au maximum pour se faire fourrager bien profond dans la chatte. Elle n'en peut plus la salope. La tête en arrière pour bien me bouffer la queue, la poitrine découverte, elle est tellement excitée qu'elle commence elle-même à malaxer ses grosses mamelles de sa main restée libre en râlant de plaisir en pensant à ce qui va venir.

Les deux gars d'en face rigolent d'un air salace en sortant tout ce qu'ils peuvent avoir entendu dans les fils pornos : « Ah la grosse salope... Elle aime la queue hein ? Elle veut de la bite et du foutre dans la chatte et sur les nibards. Dites-donc les mecs, on ne savait pas qu’Aziz avait une femme qui baisait comme une grosse pute ! Ah on reviendra prendre l'apéro... »

 

Complètement déchaînée, Maya a les tétons rouges et tendus d'excitation. Une main lui fourrage dans la chatte pendant que ma queue entre et sort de sa bouche.


Dans la position où je suis, je me fais sucer tout en caressant son corps de bas en haut : depuis sa chatte bien occupée par la main d'un mec et la langue de l'autre à présent, jusqu'à ses gros nichons que je soulève et pétris des deux mains.


J'ai de plus en plus envie de la baiser sauvagement devant ces quatre types. « Chérie, je pense que tu as trop excité ces garçons en jouant les salopes comme ça. Il faudrait que tu les détendes en les massant, par exemple avec tes seins », lui dis-je en la relevant.



Je me colle derrière elle en malaxant ses nichons et en pressant ses mamelons l'un contre l'autre. Je l'amène ainsi devant les deux gars qui sont toujours sur le canapé. Je suis en train de la tripoter les loches à l'air en la présentant aux gars maintenant complètement à poil. En lui caressant la chatte, je la fais se pencher en avant. Elle prend appui sur les genoux des deux gars pendant que j'écarte ses cuisses en frottant ma queue sur son con aux lèvres bien écartées.

 

 

Penchée en avant, ses mamelles qui pendent et se balancent devant ses deux mecs, elle a vraiment l'air d'une salope. Elle gémit comme une chienne au moment où je l'enfile profondément. Sa chatte a été bien mouillée par les deux mecs qui l'ont branlée. Pendant que je la pilonne en cadence, le premier des gars est occupé à se faire une cravate de notaire entre ses seins. De temps en temps, il lui relève la tête pour lui rouler une pelle en enfonçant bien sa langue dans sa bouche et en caressant son ventre jusqu'à sa chatte.

Et tout en le branlant entre ses seins, de la main droite, elle astique la queue du timide. Sous les caresses expertes de ma salope, il s'avère très vite avoir une queue impressionnante...

Pendant qu'elle est continue à l'astiquer, la queue de ce gaillard prend des dimensions incroyables. « Mumm... tu caches bien ton jeu toi ! dit-elle sans retenue. Tu as une vraie bite de cheval dis-donc. Un étalon de sport !... »

 

Et en effet, sa queue est impressionnante. Moi, ça m'excite de plus en plus de l'entendre parler comme ça, totalement désinhibée. Son voisin aussi : il éjacule entre les nichons de Maya, excité comme il est depuis le temps qu'il la tripote.

Elle n'attendait que ça d'en avoir fini avec lui, car très vite elle se déplace sur le côté pour prendre la grosse queue du timide entre ses mamelles gonflées, pendant que je continue de la bourrer en levrette. A chaque coup de ma bite au fond de sa chatte, ses mamelles s'écrasent autour du sexe du jeune type. Depuis que j'ai vu son attitude provocante dans le cuisine, je sais qu'elle a envie de se faire baiser par lui : elle doit avoir deviné ou senti son sexe hors normes.

Lorsque, après avoir craché mon foutre au fond de la chatte de Maya en lui arrachant un hurlement de plaisir, je lui demande s'il a une capote à sa taille avec lui. Il sort avec un grand sourire un petit paquet de la poche de son pantalon. Ma salope se relève alors et commence à frotter ses nichons contre son visage pendant qu'il enfile le préservatif.

Les deux autres types doivent s'en aller car ils ont un rendez-vous avec leurs copines. Pas de chance me dis-je, sinon je sens qu'elle était partie pour se faire sauter comme une poufiasse par les quatre l'un après l'autre. Au moment où ils vont partir, Maya se retourne à nouveau et leur présente sa bouche, langue en attente comme pour les inviter à lui rouler une pelle. Ce qu'ils font, lui bouffant littéralement la bouche en tripotant ses mamelles qui se secouent lourdement pendant qu'elle est cuisses écartées, à agiter son cul devant l'étalon.

 

Après s'être fait peloter, c'est maintenant que les choses sérieuses vont commencer pour Maya et la bite de cheval qui l'attend.


Lui, l'attend, assis sur le canapé, la queue dressée. Tandis que les deux qui avaient un rencart amoureux s'en vont, elle leur lance un regard de pute, secoue quelques fois ses nichons en se caressant la chatte et leur présente ses seins comme une salope. Ils n'en profiteront pas cette fois, mais sûr qu'ils voudront y revenir !

Elle pose alors un pied de côté pour bien écarter ses cuisses, se penche en avant, aligne l'entrée de sa chatte sur le gland du gaillard et s'enfile lentement sur ce mat dressé pendant que les deux autres claquent la porte à regret.


Elle est à présent assise sur lui, tortille son cul et son corps comme une anguille sur cette bite qui devait bien faire pas loin de trente cm de long et surtout le diamètre d'un gros concombre, pendant que l'étalon la guide en haut et en bas en la tenant par les hanches.

Voilà donc ma grosse cochonne empalée sur l'énorme queue de notre invité. A chaque aller-retour, Maya pousse un profond gémissement, tandis que la bite rentre un peu plus profondément dans sa chatte.

Pendant ce temps, le voisin qui a déjà giclé une fois son foutre lui pétrit les mamelles et lui tripote le clitoris en écartant au maximum ses cuisses. De la voir ainsi servir d'objet sexuel a ces deux inconnus, je rebande aussi sec et je passe derrière le canapé.

Je lui soulève le menton pour lui rouler un patin et bien voir ses nichons secoués à chaque coup de queue. Elle a une queue énorme dans la chatte, deux mains sur ses hanches rebondies, deux autres qui lui malaxent et lui pétrissent le ventre en remontant de son clitoris à ses seins. Elle tourne la tête sur le côté et avale goulument ma queue dressée. Entre deux râles, elle aspire toute ma bite et pompe à n'en plus pouvoir.

Pendant certainement dix minutes, ma grosse salope jouit ainsi des trois mecs qui s'occupent d'elle. Lorsque l'étalon est prêt à décharger son foutre, elle s'assied à côté de lui et nous présente ses nibards pour une dernière salve de nous trois presque synchro, qu'elle étend sur ses mamelles en soupirant de plaisir.

Au total, elle aura donc pris deux bites en branlette espagnole, se sera fait prendre deux fois par la chatte, mais c'est bien mon jus qui la fait le plus mouiller et ma queue qu'elle préfère sucer !

 

Je ne manquerai pas de vous raconter la suite…

Sam 24 avr 2010 9 commentaires
beau recit moi je ne serrais pas parti pas devant un tel spectacle
romain57 - le 24/04/2010 à 11h00

Et moi, je ne les aurai pas laissé partir !

Sophie de R.
Humm j'aime beaucoup
Lolita - le 24/04/2010 à 12h24

Moi aussi ! Le reve d'avoir un mari aussi comprehensif !

Sophie de R.
trés excitant récit. Personnellement, je serais resté avec cette grosse cochonne ,ma copine aurait attendu. Dommage que tous les stages ne soient pas aussi passionnant.
brunobi - le 25/04/2010 à 08h20

Je pense ocmme toi.. mais il se sont rattrappés plus tard, tu le liras bientot...

Sophie de R.
Quelle chance pour ces stagiares, j'aurais bien aimé avoir la femme de mon maître de stage également
Alain, LA - le 25/04/2010 à 09h10

Je me doute.... Et j'aurais aimé, moi, etre sa femme !

Sophie de R.
C'est bien de veiller à l'éducation des jeunes!
Et bravo pour la nouvelle présentation du blog
Olga - le 25/04/2010 à 15h15

Tu as raiosn, il faut bien eduquer la jeune génération ! Ils seront les bons amants de demain !

Sophie de R.
Mhummm j'aodre ! J'aimerai que mon mari me fasse eun telle surprise ! Etre prise devant lui par d'autres,: mon plus grand fantasme !
Anaelle - le 27/04/2010 à 23h53
Moi ,je veux la deuxième partie.. Aziz, t'es un chef de preter ta femme comme ça, à des hommes qui en crevent d'envie. Et tu est le saigneur, de laisser ta femme vivre ses envies à fond ! Chapeau bas !
Yvan - le 29/04/2010 à 19h09

Elle arrive, elle arrive, ne t'inquiète pas...

Sophie de R.
La vie est mal faite Sophie ! Moi j'adorerai aussi cette situation, mais pas ma compagne
Lolita - le 30/04/2010 à 06h05

COmme tu dis.. Et que dire de moi ! J'adorerai un mari comme ça !

Sophie de R.
C'est pas mon mari qui me ferait une telle surprise ! j'en creve d'envie, d'une bonne baise avec plusieurs mecs... et lui !
Allissya - le 01/05/2010 à 22h25