Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Partie 2
Voici le récit de la rencontre avec les deux stagiaires qui avaient dû s'éclipser lors de la mémorable soirée.
Quelques jours après, au boulot, les deux gars me disent :
« Au fait, notre année de promotion organise une soirée dansante samedi prochain. Nous y serons avec nos copines. Cela te dit ?
- Tu viendrais bien avec ta charmante épouse ? » ajoute son copain avec un clin d'œil...
Pourquoi pas, après tout...
Je connaissais un peu l'endroit : une salle des fêtes souvent louée pour des soirées d'étudiants, sympa avec un petit parc et tout un espace en mezzanine donnant une impression d'espace dans la salle. Le niveau au-dessus par rapport aux salles un peu sommaires qui abritent d'habitude ce genre d'événements. Il faut dire que l'institut en question est plutôt bien fréquenté.
Le soir venu, j'ai pas mal plaisanté avec Coralyne en lui demandant si elle allait être à l'aise vis-à-vis des deux filles qui seraient là, au vu de ce qui s'était passé lors de la soirée avec les stagiaires. Pour toute réponse, elle m'a demandé si j'avais une préférence pour sa tenue. Je lui ai juste demandé de ne pas mettre de soutif : j'adore voir bouger ses seins lourds et les sentir contre mon torse pendant les slows... Sans compter les regards appuyés des mecs. On voit qu'ils se disent : « Regarde la grosse salope » et une caresse bien visible de tous est toujours comme une marque de possession. Signe, qui, en tant que mâle, m'a toujours fait le plus grand bien.
Au final, elle s'est habillé tout en noir. Pas vraiment dans le style bcbg ni sexy, mais plutôt
gothique, avec une longue jupe noire, ample, fendue sur le devant et dévoilant des bas noirs s'arrêtant au-dessus du genou, et comme top noir un gilet d'homme tout de même un peu mieux boutonné
que sur cette photo. Le tout assorti de chaussures compensées haut perchées, de bijoux ethniques, et d'un maquillage provocant dans les tons noir et bleu. Nul doute qu'elle avait trouvé le style
pour cette soirée visant un public relativement jeune.
Coralyne a vu juste, avec sa tenue noire, apparemment très sage mais en réalité terriblement
provocante. Sans avoir l'air d'y toucher, elle attire les regards des mecs, et ce n'est pas pour me déplaire. Comme toujours dans ce genre de soirée, l'ambiance débute assez tard, et nous avons
le temps de longuement bavarder avec nos deux amis. Nous nous sommes installés dans un coin sympa, sur une banquette plus confortable que les traditionnelles tables de
brasserie.
La discussion dérive évidemment rapidement sur la soirée manquée qu'ils avaient dû quitter.
« Tu fais ça souvent ? lui demande le premier.
- Et toi, ça ne te gêne pas que ta femme suce d'autres mecs ? » me demande l'autre.
Et pendant ce temps, alors que j'explique combien c'était bon de partager une femme qui aime la baise, ils n'arrêtent pas de regarder son décolleté. Faut dire que le gilet de Coralyne n'est pas vraiment ajusté…
La vue sur ses gros seins excite violemment nos deux gaillards, qui regrettent amèrement d'avoir dû quitter notre soirée chaude à la maison. Les exploits racontés par les deux autres ont dû leur donner des idées. Voyant que je n'ai rien contre les familiarités, au contraire même, ils se font pardonner leur départ en cajolant à tour de rôle ma salope, la bisouillant sur la joue ou dans le cou, caressant ses lèvres du bout des doigts, posant une main sur sa cuisse... Ma cochonne se prête au jeu, et minaude comme une enfant gâtée.
Un moment donné, en revenant du bar, tournant le dos à la salle, ma grosse salope se penche en rejoignant sa place, faisant jaillir ses nichons de son gilet. Elle marque un temps d'arrêt et ajoute, coquine :
« C'est ce que vous attendiez, je crois... »
Et tandis qu'elle rejoint sa place, les deux mecs lui soupèsent et lui malaxent les nibards, avant qu'elle se rajuste histoire de ne pas éveiller trop l'attention.
A partir de ce moment, chaque fois que les lumières s'y prêtent, je vois une main se glisser sous son gilet, pelotant ses grosses mamelles tendues, tandis que ma chaude pute caresse les entre-jambes de ses deux voisins sous la table.
Rapidement, un des deux explore le haut des cuisses sous la jupe ouverte de ma salope, pour découvrir une minuscule culotte déjà trempée sous l'excitation, qu'il a tôt fait d'écarter pour appliquer sa main sur sa chatte bien ouverte.
Je ne résiste pas, moi non plus, à me lever pour, en me penchant au dessus de la table, fourrer ma langue dans la bouche de ma nana qui se fait vraiment tripoter comme une cochonne, et descendre discrètement ma main jusqu'à sa chatte histoire de lui titiller le clitoris comme elle aime.
Pendant ce temps, leurs pantalons déboutonnés, les deux mecs se font astiquer la queue dans l'obscurité, tandis que la tête rejetée en arrière, Coralyne a posé une cuisse sur la jambe de son artiste "manuel", pour lui dégager l'accès aux chairs tendres de ses cuisses et à sa chatte trempée.
C'est ainsi que, sur la durée de trois slows langoureux sous la pénombre, la main du mec ne cesse de monter et descendre sur la chatte de ma salope. Il introduit un, puis deux, puis quatre doigts dans son con, tandis qu'elle respire de plus en plus fort, poussant de petits gémissements chaque fois que l'autre lui triture le bout des seins sous son gilet. Elle n'ose pas gémir comme une chienne de peur de se faire repérer, mais elle prend son pied et jouit de la situation. C'est lorsqu'elle qu'elle atteint l'orgasme que le mec, toujours occupé à la doigter vigoureusement, s'aperçoit que leurs deux copines entrent dans la salle avec une troisième fille. Les deux gars n'ont décidément pas de chance, même s'ils ont eu droit à une branlette magistrale.
C'est tout pour eux ce soir là, mais la soirée n'est pas terminée pour ma baiseuse qui a à
présent, plus encore qu'en arrivant, le bas-ventre en feu et la chatte en manque de bite...
A l'arrivée des copines de nos amis, Coralyne a rajusté son gilet et pris une pose plus neutre. Chacune des filles voulant s'asseoir près de son mec, nous changeons de place ce qui ramène près de moi ma nana en manque de foutre, qui en profite pour m'embrasser goulûment comme pour me remercier de la soirée.
Pendant ce baiser, j'entends très nettement la troisième fille souffler à l'oreille de sa voisine :
« C'est elle, la grosse pouf' ?
- Mmmmh... me dis-je. Celle-là, elle est au courant de certaines choses ! »
Après avoir eu sa réponse, je vois qu'elle a l'air content. Sans doute que ça l'excite d'avoir à sa table une bonne femme qui se tape des mecs plus jeunes avec la bénédiction de son mari.
Je détaille cette fille, et je dois dire qu'elle a l'air d'une vraie petite salope. Elle doit avoir vingt-quatre ou vingt-cinq ans, petite, cheveux bouclés bruns. Elle est un peu ronde aussi, mais surtout avec une chute de reins impressionnante moulée, dans un jeans taille basse qui ferait se damner tous les amateurs de gros culs. Un gros cul joufflu se prolongeant par des cuisses à la fois grasses et musclées que j'affectionne particulièrement. Les deux autres ont, quant à elles, l'air de pimbêches. Je me dis que leurs copains auraient préféré qu'elles ne viennent pas pour pouvoir continuer à s'amuser avec ma baiseuse...
Lorsque le DJ a lancé ses slows, Coralyne et moi sommes tout de suite montés sur la piste. En se frottant à moi, elle me susurre :
« J'ai envie d'être salope ce soir ! »
Et elle joint le geste à la parole en se suçant un sein sous mes yeux. Je crois que personne n'a rien remarqué ; mais ça ne fait qu'augmenter mon excitation.
Lorsque nous revenons vers notre table, la petite au gros cul - Safia - me demande de la faire danser en me disant :
« De toute façon, mon frère voulait inviter ta femme. »
Et en effet, je vois un peu plus loin le frère en question, qui m'adresse un signe de la main. Quelques années de plus que Safia, le mec n’est pas mal : grand, mince, musclé. En venant vers nous pour faire les présentations, accompagné d'un de ses potes, il ne peut s'empêcher de plonger son regard sur le décolleté de Coralyne, qui était revenue de sa séance de frotte-frotte le corsage bien échancré.
Tout cela m'excite encore plus, tandis que la petite est collée près de moi et que je sens son gros cul se frotter sur mon bassin à chaque fois qu'elle ondule avec la musique. Lorsque je me dirige vers la piste de danse avec elle, Coralyne est en grande conversation avec les deux mecs. Ils se tiennent très, très près d'elle, et je sens que la soirée va être très, très chaude...
La série de slows avec Safia est une belle entrée en matière. Cette fille est chaude et ondule avec la musique, me caressant le cou pendant que ma main glisse sur sa croupe rebondie. Pendant ce temps j'entrevois Coralyne qui danse avec le frangin, puis avec l'autre, puis avec les deux. En voyant ma femme collée avec un mec écrasant ses seins et un autre se frottant contre son cul, ma petite partenaire à moi redouble d'audace et se masturbe littéralement sur ma cuisse en dansant.après les slows, le frère me demande :
« Ça vous dit de faire un tour avec mon nouvel engin ? »
Mmmhhh… Je vois à quel engin il pense… Et nous quittons la boîte non sans saluer nos deux stagiaires et leurs copines. Sûr qu'en nous voyant partir, moi tenant Safia par la taille et Coralyne avec les deux autres ils ont compris.
Effectivement Mehdi a un superbe nouveau monospace, mais à vrai dire, nous ne partons pas pour ça. En sortant il me glisse d'ailleurs :
« Elle est géniale, ta bonne femme ! »
Ceà quoi, je réponds que sa petite sœur n'est pas mal non plus... tout est dit...
Je m'installe devant avec Media, tandis que Coralyne s'installe à l'arrière entre Safia et l'autre gars, Sami. A peine la voiture démarrait, je vois Safia dans le rétro qui caresse Coralyne et commence à l'embrasser dans le cou. Ma nana n'est pas vraiment branchée filles, mais là, elle se laisse faire sans sourciller. Sami n'attend pas non plus et lui ouvre son gilet pour lui malaxer et sucer les seins. Visiblement, il attendait ça depuis un moment.
Quelques minutes plus tard, nous sommes garés au fond d'un chemin désert, entouré de champs et de bosquets et les deux filles ont déjà tombé pantalon et jupe. Mehdi et moi sortons de la voiture : j'ouvre la portière arrière du côté de Safia, et Mehdi ouvre le hayon pour passer dans l'espace bagage, d'où il peut venir se mettre derrière ma femme.
Le tableau est surréaliste : ma salope s'est penchée sur le côté pour sortir la queue de Sami, Medi lui caresse la chatte par dessus le siège et Safia s'occupe de mon sexe. Elle suce bien la petite pute, mais j'ai envie de la prendre en levrette tant son cul est tentant.
Je propose à Coralyne de passer à l'arrière aussi, ce qui permet à Safia de prendre la relève sur la queue de Sami en me présentant un cul et des cuisses du tonnerre. Coralyne s'installe derrière, roule une pelle à Sami par dessus le siège pendant que Medi lui caresse la chatte en pétrissant ses mamelles.
Nous restons ainsi un moment, Mehdi et moi tripotant la chatte de nos deux poufiasses.
Coralyne se place alors elle aussi à quatre pattes, la chatte bien écartée prête à se faire
enfiler. C'est exactement au même moment que nous enfonçons nos bites dans nos deux salopes : je pilonne la sœur de Mehdi pendant que celui-ci tringle ma femme.
« Putain, j'aime autant ton gros cul que ses gros seins... tu dois en avoir pris des queues déjà non ? dis-je à Safia, pendant que l'autre commente :
- Ah ! Je n’ai jamais baisé une grosse salope comme toi. Tu sens comme j'ai la trique ? Je te la mets bien au fond... ça glisse comme dans du beurre dans ton con de grosse baiseuse. Ma sœur m'avait dit que t'étais une poufiasse, mais putain, qu'est-ce que t'es bonne à bourrer !!! »
Je sens que je vais venir assez vite dans le con encore serré de Safia. Elle me dit alors :
« Laisse-moi te sucer. »
Elle se retourne, abandonnant son voisin contraint de s'astiquer seul et prend ma queue dans sa
bouche avec des gémissements de plaisir. C'est vrai qu'elle aime pomper. Quand je veux me retirer elle me tient contre elle pour tout prendre dans la bouche en me regardant d'un air pute, avant
de se relever, de prendre ma femme par le menton et de l'embrasser avec sa bouche pleine de foutre. Ce partage effectué elle s'assied sur la queue de Sami et l'amène au plaisir en le chevauchant.
Derrière aussi, ma salope s'est retournée et attend que Mehdi, décapoté, lui envoie la sauce sur ses gros nichons, qu'elle fait ensuite lécher au petit pouf de Safia.
Quelle soirée de baise...
Mais une question n'a pas de réponse : c'est qui la plus grosse pouf' des deux ? A votre avis ?
Issu du superbe blog de Coralyne : http://coralyne.over-blog.com/
Merci à elle d’avoir autorisé la publication de son histoire ici même.
En fait, il faut dire "merci Johnny et Coralyne", les vrais auteurs de ce texte !
J'en suis ravie pour toi.. mais j'epsère que tu as pu te satisfaire bien comme il faut !
Il faut s'entendre à merveille pour reussir ce tour de force !
J'epsère qu'elle le fera un jour !
D'autant plus belle qu'elle a en fait ete ecrite par un adorable couple, Johnny et Coralyne...
Et que j'ai moi aussi envie d'aller faire un stage?
Tu serais un très bon élément, très performant, je n'en doute pas un seul instant !
Tu sais que je t'adore, tu le sais...
Le message est passé ! Si elle veut de toi, elle saura te contacter ! en attendant, je te recommande son blog... Tu l'y verras en chair et en os !
Leurs auteurs ont beaucoup de talents ! moi aussi, cette histoire m'a excitée à fond...