Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
L’histoire se passe dans les années cinquante, dans une région minière du sud de la France.
Une activité exclusivement réservée aux hommes, car le travail est d’une pénibilité extrême, qui se fait en position allongé. C’est vraiment un dur labeur.
Les hommes se retrouvent dans la salle des pendus, placée à côté des douches, où ils se changent, et accrochent leurs vêtements propres au plafond à l’aide d’une chaine. Puis, c’est la descente au fond du trou, dans une cage qui peut contenir une vingtaines de mineurs. Différentes nationalités sont représentées. Des polonais, des africains du nord, et bien sur, des français.
Ce soir, c’est l’équipe de nuit, d’une quinzaine d’hommes qui doit assurer la production.
D’abord la longue descente dans le puits, en plein courant d’air, jusqu’à la galerie, cinq cent mètres plus bas, ou là, il fait une chaleur qui avoisine les quarante degrés. C’est d’ailleurs pour çà que les mineurs travaillent nus, ou en slip.
Et les plaisanteries vont bon train entre eux. Elles s’orientent vite sur le sexe. C’était d’ailleurs le seul loisir de l’époque. Pas de télé, très peu de sortie. Les femmes de mineurs sont un peu comme les femmes de marins, elles n’hésitent pas à prendre un amant, pour palier aux absences de leurs époux.
« Hé René, tu arrives à baiser ta femme avec ça ? plaisante Djamel.
- T’inquiète, répond René, elle n’attend pas après toi. Par contre, si tu veux que je t’en pousse un bout à la pause… »
A droite de la galerie, Jean sent une main se glisser entre ses jambes, et lui saisir les couilles.
« Ha…c’est qui ? dit-il
- C’est moi, répond Kader. Hier, tu m’as dis qu’elles ne rentraient pas dans ma main. Regarde si elles ne rentrent pas ! Pourtant, ma mtain est petite ! »
Ils ont pour seul éclairage, leur lampe fixée sur le casque. On ne voit que des ombres. Quand aux voix, elles sont en parties couvertes par le bruit des marteaux piqueurs.
« Tais-toi, dit Jeannot. Ne nous faisons pas remarquer. »
La main va plus loin, prend le membre raide. Jean replie un genou contre son flanc, et écarte ses jambes. Le majeur et l’index, disposés en fourchette, tirent sur le prépuce pour décalotter le gland.
« Salaud, dit Jean à voix basse. Si on nous surprend… Ah, vas-y maintenant, branle-moi, regarde comme tu me fais bander ! »
Dans un dernier râle, le sperme de Jean se perd dans la poussière du charbon. Stan, un polonais d’une trentaine d’années, vraie force de la nature, travaille en équipe avec
Momo, un jeune maghrébin, très athlétique, monté comme un âne. Cà fait plusieurs fois que Stan le provoque pour faire un bras de fer. Le vainqueur aura droit à une faveur, mais laquelle ?
C’est l’heure de la pause. Philippe, le chef d’équipe, et Gilbert, sont allés préparer le réfectoire.
Il est un des rares endroits à être bien éclairé. Et c’est toujours en tenue légère que, les mineurs prennent un repas tiré du sac. Les tables, très étroites sont entourées de bancs.
On déplie les serviettes, on ouvre les gamelles, et on mange très rapidement pour pouvoir se relaxer un peu. Certains s’allongent à même le sol pour dormir, d’autres jouent aux cartes. D’autres se mettent à l’écart pour des jeux plus vicieux. On n’imagine pas comment la promiscuité de ces mâles entre eux favorise les rapprochements dont ils auraient eu honte, à tort, en surface…
Momo se décide enfin à relever le défie de Stan. Les deux hommes se mettent face à face.
« C’est le vainqueur qui choisit son prix », propose Stan.
Le bras de fer commence, assez équilibré. Mais le polonais prend vite un léger avantage. D’un coup, Momo envoie une main dessous la table, et attrape Stan par les couilles. Celui-ci lâche immédiatement prise.
« Hé... Ca compte pas, se plaint Stan, il me prend les couilles.
- Mais, il n’y a rien qui l’interdit, arbitre Ben. Ca fait une manche à zéro. »
Lors de la deuxième manche, le mineur polonais se fait piéger une seconde fois. Cette fois, Momo tire carrément les attributs à lui. Stan, obligé de suivre le mouvement, se retrouve les fesses dans le vide, accoudé sur la table, de laquelle ne dépasse que sa tête. Momo, vicieux envoie son autre bras. Il a maintenant, un testicule dans chaque main, qu’il prend plaisir à rouler entre ses doigts.
« Ha… salaud, serre pas s’il te plait, tu as gagné », reconnait Stan.
A force de caresses, Stan apprécie la pression sur ses coucous, à tel point, que Momo remarque que la queue du polonais se déploie, pour se mettre au garde à vous. Momo a un large sourire.
Il saisit la hampe du mineur, et la décalotte. Il mouille ses doigts pour caresser le gland, insiste sur le frein à l’aide de son pouce. Stan ne peut retenir un râle.
« Qu’est-ce qu’il t’arrive ? demande un mineur. Un malaise ?
- Ah, le salaud, regardez sous la table… Il est en train de me branler la queue, l’enfoiré… »
René et trois autres mineurs qui assistent à la scène sont morts de rire. La bite du polonais coulisse de plus en plus vite dans la main du maghrébin, arrachant des « Han » à son équipier, jusqu’à la puissante éjaculation qui envoie le sperme frapper contre le dessous de la table... Momo sait avec qui il pourra s’amuser maintenant.
Cet intermède érotique terminé, les mineurs de fond reprennent le travail, mais le vrai, celui-là.
La journée se termine. Les gueules noires se dirigent vers la cage, pour remonter au jour. Une bonne toilette leur fera le plus grand bien. La salle de douche commune devient rapidement une aire de jeux pour ces adultes redevenus gamins. Les plaisanteries et autres quolibets fusent de toutes parts. Ce n’est que cris et éclats de rires Les hommes se frottent le dos entre eux, et les mains s’égarent, attrapent les bourses, les soupèsent, testent la grosseur, comparent la longueur et le diamètre de leurs bites.
Dans l’angle de la salle, Kader encercle la taille de Jean avec ses bras. Une main caresse les couilles, pendant que l’autre s’occupe da la queue. Jean baisse la tête pour suivre la scène, et ne peut retenir une érection.
« Hi, hi… Mais qu’est-ce-que tu me fais là ? dit-il. Salaud, ha, tu m’excites à mort !
- C’est bon ça, répond Kader, de bien se faire décalotter le gland ! Ta femme ne te le fait pas comme moi,
- Hein ? Comment tu sais ça ??? A propos, tu sais que deux fois par semaine, ma sœur gouine ta femme. Il parait qu’elle se régale…
- La salope, murmure Jean. L’autre matin, quand je suis rentré, elle était toute mouillée. Je croyais que c’était pour moi… Sa chatte était toute rouge… Je comprends mieux maintenant… Elle ne va pas s’en tirer comme ça ! Il va falloir qu’elle me montre ce qu’elle sait faire !
- Et toi, quand tu vas renter, c’est le bout de ta bite qui va être tout rouge.
- Surement, poursuit Jean, tu n’arrêtes pas de me la branler, salaud… Et puis… Ha… ha… Tu me fais cracher… ha….ha…vas-y ! Branle… Ha… »
Le sperme de Jean gicle sur les faïences en jets épais. L’odeur âcre du sperme se repend dans la pièce.
Près d’eux, René et Djamel sont carrément allongés sur le côté. Djamel, plaqué contre le dos de son équipier lui caresse les mamelons d’une main, de l’autre, il lui pelote le sexe. On voit nettement la bite de Djamel glisser entre les cuisses de René, et le pénétrer. Il l’encule bien profondément, au vu et au su de tous. Visiblement, ils en ont l’habitude !
« Enfoiré, râle René. Hou, hou… Vas doucement… hou… Tu m’encules bien à fond, salaud…
- Au fait, tu sais ce que fait ta femme en ce moment ? Et bien, elle est en train de se le faire mettre par mon frère ! Il parait qu’elle est bonne au plumard, la Marthe… Elle n’a pas sa pareille pour tailler les pipes, on l’entend gueuler du bout de la rue. Tu as vu le joli bébé qu’ils ont fait tout les deux… Il ne te ressemble pas, hein ?
- Le pourri, murmure René, je me doutais que c’était lui… Pendant que tu m’encules, lui il baise ma femme… C’est ça ?
- Et oui, répond Djamel. Ouais, et heureusement que toi, tu ne risques rien ! Parce que tu vas sentir ce que je vais t’envoyer dans le cul, tiens… Haaaa !
- Je le sens salaud…c’est bon… c’est chaud… Vas-y, décalotte bien ma queue de pédé…
- Ha, ha… Vois comme je me purge… Et tant mieux si ton frère la régale… elle aime tellement prendre des coups de bites… Je n’arrive pas à la satisfaire, elle en veut trop !
- Eh bien mon pote, la prochaine fois, on se la prend à trois, ta garce de femme ! Tu vas voir comme on va bien lui défoncer tous ses trous ! »
Cette seule idée décuple la rage sexuelle de Roger. Il remue le cul encore plus fort, pour être enculé au maximum. Il jouit en même temps que le foutre jute dans son cul. Il coule de partout. Une vraie chienne en chaleur !
Au centre de la salle, Stan paie cash sa défaite au bras de fer. Momo est allongé sur le dos, son énorme queue en érection. Stan en est à sa deuxième pipe, on voit le sperme de la première couler sur se lèvres. Momo le fait mettre dans une position pour qu’il puisse jouer à loisir avec ses attributs. Il lui gratte les couilles, fait coulisser le prépuce sur le gland, mais surtout, il taquine la rosette de Stan, qu’il savonne abondamment. La queue du polonais devient de plus en plus raide.
« Dis, demande Momo, tu n’aurais pas envie de te faire traire, des fois ?
- Hum… hum, fait Stan la bouche pleine.
- Si ta femme te voyait, sourit Momo. Elle sait que tu aimes te faire branler l’abricot par un mec ? »
Deux minutes, il ne faut pas plus de deux minutes, pour que Stan lâche sa semence sur le carrelage.
Puis Momo fait pression sur ses couilles pour lui faire comprendre de s’asseoir sur lui. Stan plie sur ses jambes, et s’accroupit jusqu’à ce que son petit trou soit en contact avec la bite de Momo. Le savon aidant, l’énorme queue dilate la rosette, et pénètre les entrailles du polonais.
« Haaa, haaaa…. Il me défonce le cul, le salaud… Ha, putain qu’il est gros…. Ha ! Tu me défonces trop bien la rondelle !
- C’est bon, hein ? dit Momo. Tu peux te branler si tu veux… Allez, vas-y, je te gratterais les burnes pendant ce temps, et de bien te décalotter, ok ? »
Stan saisit son membre, et commence à se masturber, sous les regards curieux de ses collègues.
Les deux hommes jouissent en même temps. Momo gratte le bout humide de Stan, et l’oblige à lui nettoyer le gland avec la langue.
« Et les gars, pourquoi vous n’emmenez pas vos femmes un soir ? dit Momo.
- Tu sais bien que c’est interdit, répond René. Par mesure de sécurité.
- Au fond du puits, poursuit Kader, mais pas dans les douches. Pensez-y, ce serait bien…. »
Les gueules noires finissent de prendre leur douche, et rentrent chez eux avec une heure de retard.
Ce qui laisse le temps à leurs épouses, de prendre tranquillement congés de leurs amants….
Jusqu’à la prochaine.
Et moi donc... j'aime toujours autant...
Eh oui, et tu vas lire la suite bientot.... avec les femmes en prime !
Alors, as-tu lu la suite ? J'espère qu'elle te plaira autant !
Elisa, je te comprends à 200% ! Moi, auss, je ne m'en lasse pas... Je multiplie les experiences, et j'y trouve de plus en plus de plaisirs !
C'ets un pan de l'Histoire que j'ignorais totalement. Merci à L'Amoureux de nous le faire decouvrir.. J'aurais aussi beaucoup aimé aller dans les vestiaires de cette mine....