Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Nous sommes le vendredi trois décembre, la veille de la Sainte Barbe, fête des mineurs. Dans les bassins miniers, ce jour est considéré comme férié. Le vin, boisson favorite du mineur, va couler à flot. C'est dire si la production va passer au second plan.
Comme tous les soirs vers vingt-deux heures, l'équipe de nuit se change dans la salle des pendus. Ils mettent leurs tenues allégées, slip, ou intégralement nus. Déjà, les regards reluquent les sexes qui pendent entre les jambes. Puis, c'est la longue descente vers la galerie cinq cent, dans la cage faiblement éclairée. Pendant le trajet, les hommes rient entre eux, jouent comme de vrais gamins.
« Hey... qui c'est qui m'a décalotté le fifre, dit l'un...
- Qui me serre un testicule, couine un autre.
- Je t'ai reconnu Djamel. Oh ! Mais on m'a mis un doigt dans le cul », poursuit Stan.
Autant de manières devenues incontournables, et qui font partie intégrante du paysage minier.
Arrivé au fond du trou, chacun rejoint son lieu de travail.
Momo entraine Stan vers le chantier en le tenant par la taille. Le polonais est devenu le vide-couilles attitré du jeune marocain. Il accepte même de se faire sodomiser devant se collègues de production.
Les deux hommes s'enfoncent dans les noirceurs de la galerie.
La main de Momo descend lentement sur les fesses de Stan, qu'elle caresse, s'insinue entre les cuisses. Les couilles de Stan roulent entre les doigts de Momo, tandis que le pouce perfore le petit trou.
La queue, bandée au maximum, est toute décalottée, n'est pas épargnée non plus. Deux doigts jouent avec le gland, frottent sur le frein, arrachant des cris de plaisir au polonais, jusqu'à celui-ci éjacule sur le tapis d'extraction.
Un peu partout dans les sous terrain, c'est le même scénario. On entend des râles de plaisir.
« Ha...ha, fait Kader. J'ai l'impression d'enculer ta femme, sauf que tu es plus étroit.. Petit vicieux va... Tu te régales hein ?
- Tu le sais salaud, soupire Jean. Elle aussi, elle se régale ! Tu es tellement mieux monté que moi... »
Dans la galerie adjacente, c'est Djamel qui donne le biberon à René. La bite, tendue tel un arc, cogne à l'intérieur de la bouche, déformant les joues. Les premiers jets de sperme affluent.
« Oh, mais c'est qu'il avait une grosse faim mon bébé ! Tu vois que c'est bon ! Et il va être sage, il va bien nettoyer son maitre maintenant... Oui là, bien sur le gland... Petite salope ! »
C'est l'heure de la pause. Les mineurs de fond se rendent au réfectoire pour prendre un rapide repas. Les gamelles vidées, les gueules noires se détendent. Certains se reposent, d'autres se racontent leurs exploits conjugaux. A table, le bras de fer est remplacé par une partie de cartes. Stan et René sont opposés à Momo et Djamel. L'enjeu ? Une pipe complète, bien sur !
L'opposition est serrée, mais les deux maghrébins remportent le dernier pli, et gagne la partie, au grand dam de René, qui accuse son équipier de l'avoir fait perdre.
« Hé, calme-toi, dit Jean, l'arbitre de la partie. Ca va, ce n'est qu'une pipe… »
Sans un mot, les deux hommes se glissent sous la table, où les attendent deux énormes bites en totale érection. Stan est le plus gourmand, il avale le membre de Momo jusqu'aux couilles, et entame une lente fellation.
Après moult hésitations, René en fait de même. Comme pour se venger de son collègue polonais, il lui enfonce deux doigts dans le cul, ce qui a pour effet, de faire onduler la croupe de son partenaire.
« Hum...hum, gémit Stan. Hum, c’est trop bon... »
Djamel s'adresse à Momo en souriant.
« Tu crois qu'ils vont avaler ?
- Mais bien sur », répond Momo.
Pour plus de sureté, les deux maghrébins appuient sur la tête des suceurs, jusqu'à l'explosion finale. Le sperme gicle par saccades dans la bouche des mineurs, qui avalent jusqu'à la dernière goutte. Puis, plus rien, le calme.
Momo jette un œil sous la table, et reste scié en voyant la scène. Stan et René sont lèvres contre lèvres, en train de lécher le liquide blanc qui sort de leur bouche. A mourir de rire.
On arrive en fin de poste. Les ouvriers n'ont qu'une seule hâte, se retrouver sous la douche.
Les mineurs arrivent à la salle des pendus. Ils récupèrent leur serviette et leur savon.
Ils sont subitement attirés par des cris et des rires provenant des douches communes. Étonnés, ils s'avancent lentement, et découvrent leurs épouses en train de se trémousser en gloussant de plaisir sous les jets d'eaux. Les célibataires baissent la tête en étouffant un rire.
« On a eu vent de la proposition de certains, dit Jeanne. Après réflexion, on s'est mises d'accord. On espère que vous n'avez pas laissé toute votre énergie dans les galeries... »
Le regard des femmes se dirigent sans vergogne vers le sexe des mineurs, surtout celui des célibataires maghrébins, mieux montés et décalottés en permanence. Les mineurs, eux, ont les yeux rivés sur la nudité de ses femmes, qui, si elles ne sont pas toutes belles, dégagent une extrême sensualité.
« Je vous présente la petite dernière, dit Aline, Lisette. Elle est mariée depuis un mois. On s'est amusée un peu avec elle sous la douche. Quelle santé ! Elle nous a avoué être en manque de bonnes bites en ce moment. »
Jeanne est un peu ma meneuse de la bande. C'est elle qui lance les hostilités. Elle se dirige vers Kader, ignorant son mari au passage. Elle se colle contre le torse musclé du jeune maghrébin. Elle lui sourit, puis glisse le long de sa poitrine, jusqu'à ce que qu'elle sente l'énorme queue, toute raide, frapper contre sa joue. Elle ouvre grand la bouche, et avale le
membre bien humidifié, sans problème.
Marc s'avance vers sa jeune épouse Lisette. Mais celle-ci est déjà entre les pattes de Joseph, placé derrière elle. Les mains calleuses enveloppent les seins gonflés par le désir. On peut voir la queue entièrement décalottée, dépasser entre les cuisses de la jeune femme, contre sa chatte. Elle lance un bras en arrière et saisit Joseph par la nuque.
« Vas-y, murmure-t-elle, prend moi, je suis prête. »
Le mineur de fond la force à s'appuyer contre les faïences, et la pénètre par derrière. Lisette râle comme une chienne en chaleur. Elle saisit la main de Joseph et la plaque contre son clitoris.
« Sors-le, soupire-t-elle, doigte-le ce salaud, fort ! »
A même le sol, Yvette, la cinquantaine bien sonnée, assez enveloppée, est aux prises avec Manu, dans un 69 de folie. Elle lui dévore la colonne de chair rougie par les assauts, tandis que manu dévore à pleine bouche les lèves juteuses de la femme.
Le mineur espagnol envoie sa décharge de sperme dans la bouche de la femme, pendant qu'avec sa langue, il lui fouille la chatte béante, baveuse à souhait. Yvette lâche la bite pour recracher le surplus de foutre. Elle se redresse sur ses mains et s'écarte d'avantage en hurlant de plaisir.
« Ah, comme il me bouffe ce salaud... Ah oui, t'arrête pas... Mords-moi le clito ! Putain ! Pourquoi mon mari ne me lèche pas comme ça, ce con ! »
Marthe est allongée sur la dos dans l'eau ruisselante de la douche. Elle reçoit l'offrande du frère de Djamel qui la prend en position du missionnaire. Les jambes de Marthe sont nouées dans le dos de son amant.
« Ah, glousse-t-elle, quel niqueur tu es un beau salaud... Fais attention cette fois, ne me fais un autre bébé...hein...tu te retireras ?
- Mais ou vais-je cracher alors ? répond-il. C'est dommage de gaspiller mon foutre pour rien.
- Dans ma bouche, propose Marthe, dans ma bouche... Trop tard, salaud, tant pis..Vas-y, vide tes couilles mon chéri ! »
Et la Jeanne, où en est-elle ? Elle est tout simplement empalée sur la hampe de Kader, de dos. Il la prend par les seins et la couche sur lui. Elle est totalement offerte à son amant, mais aussi aux autres participants de cette partouze générale.
Solange enjambe le couple et se penche en avant. A l'aide de ses pouces, elle fait glisser le capuchon pour en extraire le clitoris, puis s'amuse à l'exciter avec son majeur.
« Hé, dit Solange. Regardez ce que je fais au bouton de la Jeanne, comme il est dur, mais il va crever, ha ha ha. Elle se régale la bordille, hein, elle aime se faire doigter, même par une femme, la pute.
- C'est tellement bon tu sais, soupire Jeanne/ Vas-y, gratte le avec ton ongle... Oh oui, tu me fais jouir... oui... ouiiiii... »
Pris dans leurs ébats érotiques, c'est à peine s'ils remarquent la scène qui se déroule devant eux. Pourtant, elle vaut le coup. Stan rampe sur le carrelage, la bite de Momo plantée dans son cul jusqu'aux couilles. Le corps de Momo roule sur le sol, entrainant Stan dans son mouvement, tant et si bien, que le polonais se trouve couché sur le ventre du jeune marocain.
Momo passe ses bras autour de la taille, vrille les mamelons entre ses doigts, puis glisse une main entre ses jambes. Il saisit le membre de son partenaire, et commence à le branler. Il joue avec le mâle soumis.
« Enfoiré, râle Stan. Tu sais que j'aime ça, salaud. Tu tiens à ce que ma femme voit ce que tu me fais ?
- Tiens, dit Marie, mais c'est mon cher époux qui se fait prendre. Si tu voyais comme il t'a décalotté la valve. Qu'est-ce qu'il t'arrive mon chéri, pourquoi tu couines ?
- Mais tu ne vois pas comme il m'encule ? Ah, ah ! Il est de plus en plus gros !
- Si je le vois, répond Marie. Si tu savais comme çà m'excite de te voir emmanché sur sa bite. Plus que si c'était le contraire. Attends mon amour, je vais en profiter moi aussi. »
Marie descend lentement, et s'empale sur la queue tendue de son mari.
« Hou, gémit-elle. Que c'est bon ! Si quelqu'un veut se faire tailler une pipe, c'est le moment, je suis disponible. »
C'est Abdel qui s'y colle. Le membre dressé, bien décalotté, se positionne à l'entrée de la bouche de Marie. Elle sort sa langue pour lécher le gland, puis l'avale. Marie agrippe les fesses d'Abdel, et commence à le turlutter. Par réflex, Stan tend sa main, et caresse les couilles bien dures du mineur marocain.
Jeanne se pend au cou de Momo, et lui parle à l'oreille.
« Sérieux, répond-il, vous voulez qu'on vous prenne dans les galeries ? La où on nique vos mecs ? Et tes copines, elles sont d'accord ? Et la sécurité.
- C'est pas des coups de queues qui vont provoquer des coups de grisous, ni des éboulements... Les filles, c'est bon, on y va... »
Chaque maghrébin est empoigné par deux filles, et se dirige vers l'immense cage. La descente est à peine entamée, qu'on entend déjà des cris de plaisir monter du puits. Les autres mineurs se regardent entre eux, et semblent accepter. Ils retournent sous la douche pour finir ce qu'ils avaient commencé.
Il est onze heures quand Stan et Marie se réveillent. Celle-ci, entièrement nue, s'étire langoureusement.
« Tu sais que c'est la fête aujourd'hui, rappelle Stan. On est invité à prendre le café chez Momo et son frère.
- Oh mon dieu, c'est vrai, répond Marie. En plus j'ai rien à me mettre.
- C'est pas grave, sourit Stan, ils ont ce qu'il faut.
- Dis salaud, à quoi tu fais allusion ? Tu veux encore que je me le fasse mettre, c'est ça ? Ah, j'ai compris, c'est toi qui a envie que Momo te mette des coups de queues, petite tapette. Je sens qu'on va passer une super journée. »
En effet, les bals organisés aux quatre coins de la ville attirent les mineurs, le vin coule à flot. Leurs épouses en quête de coups de bites, sont servies. Faut dire aussi qu'elles ne sont pas farouches. Les mâles, plus discrets, choisissent des endroits plus obscurs pour faire
le plein d’enculages et de bites en tous genres…
Quelques temps plus tard, Marthe apprend qu'elle n'est pas enceinte. A voir son visage, on se demande si elle est contente, ou déçue.
Je suis comme toi, ca m'excite beaucoup....
Oui, toutà fait.. Et ca restait un secret bien gardé.. L'auteur m'a certifié la véracité des faits, vécus par son grand-père....
Mon arrière-grand-père était mineur. Jouait-il à ça lui aussi?
encore bravo, sophie
Merci, mon cher Bruno, mais la paternité de cette histoire revient à L'Amoureux... meme si parfois, avec son accord, j'apporte quelques compléments....
LAors, vas-y, fonce, fais-toi un mec ! tu seras très surpris, et en bien....
Je te le souhaite.. Il n'y a rien de meilleur !