Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Aujourd'hui, nous sommes samedi, et je dois aller prendre le train avant huit heures. Je vais rejoindre mes ex beaux-parents, qui ont gardé une bonne relation avec moi, surtout avec mon ex belle-mère.
Je m’assois, seule, sur un banc, pour attendre le train. Un inconnu s’approche près de moi. Et moi qui suis tellement timide de nature, je me surprends à lui parler. Il me dit :
« Bonjour ! Je vous ai vue lorsque vous êtes arrive à la gare. Et je peux même vous dire qu'il était 7 heures 54 bien précise, c'était l'heure de l'achat de votre billet. »
J'ouvris son sac pour prendre mon ticket pour avoir la preuve de l'heure, et lui répondis : « Effectivement, c'est vrai ! Pourquoi m’avez-vous observée ainsi ?
- Depuis votre entré dans la gare, je ne vous ai pas quittée des yeux.
- Mais comment se fait-il que je ne m'en aperçoive pas qu'un beau mec comme vous me regardait ? Pourtant, je sais qu'un homme comme vous ne passe pas inaperçu. Je sais de quoi je parle, je les collectionne.
- Je me doute… Ce qu’il s'est passé, c'est que vous pensiez à votre chéri ! Laissé à la maison, sans doute ! Ou peut-être que vous allez rejoindre en toute hâte ?
- Ho la ! Ho la ! Vous allez un peu vite, pour moi ! Surtout que ce n'est pas du tout pas ça, je vais chez des amis de longue date.
- Nous pourrions faire un bout de chemin ensemble, dans ce cas…
- Ça tombe bien ! J'ai une faim de loup, suivez moi ! »
Sans plus attendre sa réponse, je pars devant, en direction des toilettes, ne lui donnant aucune chance de me poser de questions. Il me suit. Une fois à l’intérieur, je ne fais pas de chichi. Je le fais se mettre debout sur la cuvette et lui ordonne :
« Maintenant, je vais te dévorer la queue !
- Quoi ? Ca ne va pas !
- Ne vous inquiétez pas ! Je sais y faire, j'ai un grand palmarès à mon actif, sans échec. »
Il semble convaincu, et se laisse faire. Après avoir dénudé ce qui m'intéresse, je fais comme les oiseaux. Je me suis mise à engloutir son grand et gros ver, jusqu'à ce qu'il dégouline dans ma bouche gloutonne...
J'avais dis que son manche était gros et grand ! Il portait un morceau, comme j'avais rarement vu, malgré mes trente-six ans. Je suppose qu'il mesurait au minimum vingt huit centimètres ou plus, sur cinq de large ! Quel casse croute !
Une fois bien déchargé, je ne lui ai pas laissé de répit pour recommencer. Je l'ai pompé jusqu'à sa pleine forme. Elle était bien dure et juteuse à souhait... Comme je n'étais pas rassasié, je le fis se mettre debout sur le sol, et moi, je pris sa place sur la cuvette lui tournant le dos.
Ainsi positionnée, il avait une vue parfaite sur ma rosette bien offerte. Il me prit par mon tout petit trou sans hésiter. Il enfila une capote sur son sexe et m'a graissé la rondelle avec ma mouille. Il a gentiment titillé mon clitoris un moment avant de me perforer avec son pieu, pour me ramoner le trou du cul. J'avais les jambes un peu pliées, et à chaque fois qu'il me bourrait, il me les redressait presque. Je sentais le bout de son mat toucher presque mon cœur. Et mon cœur lui même était au septième ciel avec tant de pression. J'ai joui une fois, puis une deuxième fois, avant qu'il ne décharge dans mes intestins. Il a crié si fort, que, j'avais peur que les passagers entendent...
Il y a qu'une seule chose que je regrette, c'est un baiser. Vous vous rendez compte ! J'ai fais un mec me ramoner le cul à fond, je l'ai même sucé, et tout cela sans un bisou, sans rouler un patin, sans l'embrasser…
Bien sur, il voulait, mais je lui ai dit que je ne voulais pas garder trop de souvenir... Pourtant, pourtant, jusqu'à maintenant, je me souviens de ce super amant, que j'ai laissé sur le quai de la gare de Limoges-Bénédictin en Haute-Vienne. Bien sur, en toute sympathie... mais avec plein de regrets…
A mon arrivée à la gare, j'ai pris un taxi qui m'a déposé devant un libre service, j'ai fais quelques courses, pour donner quelques denrées à mon arrivée chez Mylaine, mon ex belle-mère. Je me dirige enfin dans la rue qui mène vers sa maison. Je rentre sans cogner, comme me l'avait demandé Mylaine. Ne voyant personne, je l'appelle. Elle me répond :
« Dans la cuisine ! hoooo ! Mais c'est Sonia ! »
Nous avons fait toutes les civilités de rigueur. Nous nous somme mises à préparer une de ces super recettes dont je raffole tout en parlant de choses et d'autres.
Elle m'a surtout précisé qu'elle vit seule dans sa grande maison, que son mari et ses enfants sont partis laissant la maison pour elle seule.
A ma grande surprise, la journée fut riche en évènements inattendus. En entrée, ce fut le déjeuner.
Après, nous sommes passées au plat de résistance. Pour cela, elle a amené un de ses chiens qui s'appelle Foxy, un Beauceron Royal de trois ans et demi.
Je la savais portée sur le sexe, mais pas zoophile ! Devant mes yeux ébahis, sans hésiter, elle sortit la bite rouge du chien de son fourreau. Il devait avoir l’habitude, car il a bandé tout de suite !
Nous avons commencé par déguster sa belle tige. Nous buvions du jus de Foxy de temps en temps.
Nous dégustions avec avidité une belle queue de chien bien juteuse, bien dure et bien active. Pendant que je bouffais la bite du chien avec toujours plus d’ardeur, Mylaine me dégustait la moule jusqu'à me faire avoir des orgasmes successifs.
Elle plantait sa langue au fond de ma chatte, mordillait mon clito, m’arrachait des cris de jouissance... Je pensais à la grosse bite que j’avais eu dans le cul quelques heures plus tôt, et je jouissais encore plus fort. La Mylaine, elle était douée pour gouiner une femme bien comme il faut…
De mon côté, la consommation du sexe de Foxy me rendait folle de désir et pendant que je buvais du jus canin par la bouche, je donnais par la même occasion de la mouille à Mylaine. Je décidai de lui laisser la place, pour la dégustation du morceau de Foxy et moi, je me plaçais pour la récupération de son jus canin.
Ce plat de résistance, devenait de plus en plus agréable. Je lui dévorais la moule avec application, me régalant de son jus bien odorant de femme mure. Elle a joui sous ma langue gourmande. Je glissais aussi un doigt dans son cul, pour bien la préparer à ce qui arriverait surement plus tard…
Nous avions joui à plusieurs reprises chacune. Après avoir bien dégusté de la bouche la bite de Foxy, bouffé l'une et l'autre nos chattes avides, nous passons à l'étape suivante, pour arriver au bonheur plus que parfait.
Mylaine a voulu être la première à passer sous la bite du chien. Elle s'est placée le cul au bord du lit et s'est couchée sur le dos en disant :
« J'aime bien sentir les poils sur mon corps ! »
Puis elle se fit monter par le chien qui ne demandait que ça ! Il grimpa sur elle, et s’enfonça d’un violent coup de queue dans la chatte trempée.
Il commença à se balancer simultanément en avant en arrière, bien plus rapidement qu'un être humain ne pourrait jamais le faire. Mylaine était tant excitée, qu'elle poussait des grands gémissements de bonheur. Elle embrassait de ses bras pour bien se mettre en contact avec les poils, tout en tenant la langue du chien entre ces lèvres, elle l'embrassait à pleine bouche, elle le languait, c'était beau à voir.
Pendant ce temps, le chien lui ramonait le con de toutes ces forces. Puis, il s'arrêta. Mylaine ne voulait pas être collée trop longtemps à Foxy, elle fit sortir sa bite de sa chatte et la fit rentrer à nouveau. Le chien se remit à la baiser aussitôt. Il jouit rapidement et abondement dans sa chatte, lançant une grosse giclée de foutre !
Il a éclaboussé en partie ses cuisses et ma main qui caressait en même temps la boule du chien. Profitant de l'occasion, j'ai graissé mon anus avec un peu de cyprine mêlée à la jouissance de Mylaine. J'ai mis un doigt, deux doigts, puis un troisième dans mon petit trou, qui était enfin prêt à être fourré à son tour.
Lorsque mon tour est venu d'engloutir le sexe du chien par la chatte ou le cul, je me suis mise à quatre pattes tout de suite pour la pénétration. Le chien est venu vers moi, il a commencé par me lécher la chatte avec sa grande langue qui me fouillait au plus profond de moi. C’était trop très bon, bien meilleur qu’une langue humaine, beaucoup plus petite et moins agile…
Après, il est monté sur moi, tout hésitant quant à l'endroit où il devait me défoncer. Tantôt la chatte, tantôt le cul. Je ne voulais pas qu'il me prenne par la chatte, j'ai dit à Mylaine :
« Pas ça ! Pas la chatte ! Fais-le renter dans le cul pour moi ! Je ne veux pas dans la chatte !
- Ne t'inquiète pas ! Tu l'auras bien au milieu du cul ma chérie ! »
Une fois guidé, le chien m'a introduit sa grosse bite dans mon petit trou, qui heureusement pour moi avait déjà été graissé, ramoné par l'inconnu du train et par moi avec mes trois doigts. Tout cela facilita grandement le passage d'un sexe que j'avais un peu peur d'engloutir complètement.
Le chien m'a enculée avec une petite sensation de douleur. Vint enfin le moment tant attendu du plaisir. J’étais comblée de tous les cotés. Le chien me trifouillait les entrailles, et Mylaine me branlait le clito et ma chatte hyper gonflée. J'étais tout au fond de moi en ébullition, j'étais si excitée que j'ai joui une première fois dès le début des coups de boutoir du chien. J’ai inondé la main de ma belle-mère de jus abondant et odorant.
Pour mieux avoir les meilleures sensations de Foxy en moi, je me suis mise la tête sur la couverture entre mes deux mains. Dans cette position, j'étais pénétrée au maximum, enculée comme une chienne. Quand le chien se mit à grossir du pieu et me souder à lui, j’étais enfin enculée à fond par cette bite infatigable... Les doigts de Mylaine faisaient des merveilles.
J'ai joui plusieurs fois, et même juste avant qu'il dégonfle pour nous libérer d'un scellage canin parfait. Le chien m'avait fait gonfler le ventre de sperme qui se libéra à la sortie du membre phallique, pour s'étaler sur la couverture et en partie sur mes cuisses, pour mon plus grand bonheur.
Hélas, Mylaine me dit qu'elle doit aller chez une voisine pour lui faire une piqure et qu'elle serait de retour dans très peu de temps.
Maintenant qu’elle est partie, je me sens atrocement seule dans sa grande maison, moi qui suis venue pour lui tenir compagnie, je suis servie !Pour combler un manque, je me dirige dans le couloir juste après son départ, pour aller me caresser un peu… Soudain j'entends un bruit bizarre venir de l'une des chambres. Je me dis :
« Sonia la maison n'est pas hantée ! Ok, il peut avoir quelqu'un ! Et si ce n'est pas une personne, c'est quoi ? »
Je fais la curieuse, j'entrebâille la porte, très doucement pour ne pas être surprise par un éventuel danger, dans la fente de la porte. Et que vois-je, mais ce n'est pas croyable ! Elle m'a caché le meilleur morceau ! J'ouvre franchement et le très grand Bulldog Allemand blanc tacheté de noir vient jouer avec moi, comme si j'avais libéré un fauve qui avait faim sur un morceau de viande.
Vous pensez que j'aurais abandonné l'affaire parce que je n'aurais pas eu le temps avant le retour de Mylaine ? Ou que je l'attendrais pour en profiter toutes les deux ? Moi Sonia, je vous dis bien que je suis égoïste… Je mange avant dans ce cas, et je réfléchis après ! Comme j'ai passé la journée en peignoir, je n'avais qu'à me baisser pour récolter la bite qui, on pourrait le dire, était là pour moi.
Sans l’ombre d’une hésitation, j'ai relevé le peignoir au dessus de mes fesses et j'ai fait un nœud devant pour me faire sauter par ce mâle en rut qui ne demandait que ça. Je me suis tout de suite mise à quatre pattes pour que Bluff soit à son aise. Je l'ai surnommé ainsi à cause d'un bruit qu’il a produit quand il me broutait le minou. Je me mets à quatre pattes, Bluff n’hésite pas.
Il commence son œuvre, un premier coup de langue qui me surprend tant elle était délicieuse, langue experte à souhait, il continu, ce n'est pas croyable ! Je suis restée immobile grâce aux coups de langue que Bluff me passe sur le clitoris, sur et dans la chatte et même sur l'anus. A chaque coup de langue, mon clitoris, ma chatte et mon anus avaient droit à un merveilleux léchage. Hooo ! Quel merveille ce chien avec sa langue ! Sa grosse langue baveuse enveloppait et pénétrait bien ma chatte, la bourrait à fond. Je la sentais même contre mon utérus ! C’était bien mieux qu’une bite !
Je sens qu'il abandonne à un moment. Je ne dis rien, je sais ce qui doit m'arriver et se fut sans détour. Le chien s'est mis à me grimper, il m’a enculée avec au moins deux fois plus de vigueur que Foxy. J’étais aux anges. J’avais une bonne bite dans le cul pour la troisième fois de la journée !
Il m'a introduit son gros morceau jusqu'au fond de ma chatte pour la première tentative. Mais je l'ai guidé pour qu'il me ramone le cul, qu'il me défonce, qu'il m'explose l'anus. Et oui, par l'anus, ce merveilleux anus qu'est le mien et que j'aime par dessus tout, ce fut magique. Après avoir bien limé mon trou d'anus, il s'arrêta, puis il se mit à jouir à torrent au plus profond de moi. Une fois terminé, il se mit à grossir du sexe. Plus il grossissait, plus j'avais mal, je voulais même m'arrêter à un moment tant j'avais mal. Mais à ma grande surprise, le plaisir surgit à grande vitesse. J'étais obligée d'y rester jusqu'à ce que sa bite diminue de volume, pour nous libérer mutuellement. Quel bonheur ! Ho oui, quel bonheur, d'avoir découvert ce si beau, et grand, je dirais même ce super chien pour me soulager.
J'ai eu le temps de nettoyer la chambre avant le retour de Mylaine, parce qu'à notre libération mutuelle du chien et moi, le sol a été sali de foutre canin.
Une fois bien nettoyée, je continuais mon inspection de la maison. Je suis un peu intriguée, car Mylaine aurait du rentrer depuis longtemps !
Je continue dans le couloir, quand tout à coup, j'entends parler dans le salon !
Je l'avoue, j'ai un peu peur, mais j'avance doucement dans l’espoir d'une bonne surprise, comme avec le bulldog. Et pourtant mon idée obscure me fait penser à des mauvaises choses, peut-être pour rien. Mais je suis dans le doute et ça, ça me fait trembler, j'ai les mains toutes moites ! Que faire ?
Normalement je suis toute seule dans la maison, il n'y a pas raison d'avoir peur ! Il ne reste plus que deux pas pour arriver à voir dans le salon ! J'avance encore de deux petits pas, et si je me penche, je peux au moins voir le canapé et une grande partie du salon. Mon cœur bat très fort. J'avance la tête. Ahhh, ce n'est pas croyable ! Il y a quelqu’un sur le divan ! On dirait bien un homme ! Comment a-t-il fait pour entrer sans appeler, sans que je le l’entende ? À moins qu'il n’ait appelé et qu’étant trop occupée, je n'ai pas entendu.
Je prends mon courage à deus mains, et je me permets de le déranger. Depuis la porte, je l’interpelle : « Bonjour ! »
Il tourne la tête dans ma direction et ne dis rien. Coiffé d'un chapeau Borsalino blanc, des lunettes de soleil et une veste noire, une chemise blanche, cheveux châtain clair, barbe épaisse d’un centimètre, bien taillé,, bien propre. Depuis la porte du salon, j'aperçois la pointe de ses chaussures, blanches et noires, style années 60. Sa seule tenue pourrait faire tomber n’importe qui à la renverse. Mais moi, je ne sais pas pourquoi, d'un coup, pour me donner la peur de ma vie, je pense à un truand, un bandit. Toujours un peu apeurée, je répète à nouveau : « Bonjour ! »
Une nouvelle fois pas de réponse… Trop c'est trop ! Je ne peux me ridiculiser de la sorte, je prends la sage décision de faire un pas en arrière, dans le but de partir sans perdre de vue ce monsieur qui me fait une peur à me glacer le sang.
Je disparaissais du salon quand j’entendis deux fois d’une voix d’homme, et une fois la voix de Mylaine qui m’appelait. Surprise, je fais demi-tour et je vois toujours le même homme dans la position où il était. Il se lève et me parle : « Coucou, Sonia ! C’est moi, c’est moi !!!! Tu ne reconnais plus ta Mylaine ? »
Je reste quelques secondes, à me demander si elle était bien partie. Comment a-t-elle fait pour se changer ? Mais il est vrai que j’étais bien occupée avec le chien ! Donc, elle aurait pu rentrer dans la maison sans que je m’en aperçoive. Je me suis même mis à penser : « Pourquoi me fait-elle ça ? Je ne mérite pas, qu’elle me fasse une si grande peur. »
Elle enlève le chapeau, la fausse barbe, la petite moustache et me dit en souraint : « C’est moi ma chérie ! C’est bien moi, Mylaine. Viens t’asseoir près de moi ! Tu verras quelque chose de bien… »
J’avance en rigolant, tout en lui disant : « Tu n’es pas bien ? Pourquoi tu m’a fais ça ? Qu’est-ce que je t’ai fais ? »
Elle ne répond rien, mais une fois près d’elle, elle me tient la main, elle allume la l’ordinateur qui était en veille et me dit : « Regarde bien ! Tu es superbe, regarde ! »
Totalement ahurie, je me vois sur l’écran qui vient de s’allumer C’est bien moi qui suis là ! Comment est-ce possible ? Où étaient les caméras ? Je me vois dans l’ordinateur, je suis baisée par le Bulldog Allemand !
J’étais entre deux émotions, fâchée et contente de me voir posséder par ce super chien dans une vidéo. Selon Mylaine, c’était un beau cadeau pour moi. Nous avons regardé la vidéo en totalité et Mylaine a bien pris le temps de tout m’expliquer. Elle m’a fait comprendre, qu’elle aimait faire semblant de partir, pour filmer ses invités en plein défoncement sexuel avec Ma-lov son chien.
En fait, j’avais passé une bonne journée, à me faire défoncer le cul à plusieurs reprises. J’en voudrais tous les jours des comme ça !
Histoire écrite par Sonia :link
Sonia te repondra peut-etre, mais je la trouve geniale de tout assumer comme ça !
Ravie que ca te plaise !!! cette image est, il est vrai, fort excitante !
tes jeux avec les chiens ont ravivés en moi de vieux souvenirs trés heureux
Tu nous l'a raconté depuis, et j'ai adoré tes histoires, belles et si excitantes...
Ce n'etait pas moi, mais Sonia... Elle liras ton commetaire, de toute façon !
Oh que oui !!! Et tu t'y connais en plan d'enfer ! Au fait, toujours pas seul ?
Elle n'est pas repartie ?
Et elle fait bien, comme souvent dans ces situations !
Comme tu dis, il ne faut jamais laisser passer les bonnes occasions !
Le srecits zoo restent toujours ambigüs. et j'adore !
Hummmmmmmmmm, ke du plaisir
Toi, tu es vraiment une petite coquine... j'adore voir des femmes comme toi qui assument leurs envies !