Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

C’était la belle époque de la CB sur les routes... Donatien et Larissa en profitaient au maximum pour assouvir leurs envies de sexe. Surtout Larissa, toujours insatiable ! Son mari en avait pris son parti, et maintenant, c’est lui qui offrait à sa femme tous les mâles qu’elle voulait…

 

Ce jour-là, Ils décidèrent de prendre autoroute A1, en direction de Lille. Autoroute particulièrement chargée en poids-lourds…

 

Larissa mit sa tenue de salope favorite : tout en cuir, avec une min jupe ultra courte et des porte-jarretelles noirs. Elle se passerait de string, inutile de s’encombrer de choses inutiles…

Ils montèrent en voiture, et Larissa remonta aussitôt sa jupe sur sa taille, montrant à la terre entière sa jolie chatte soigneusement épilée…

 

Dès qu’ils arrivaient à hauteur d’un camion, Donatien ralentissait fortement. Ainsi, les conducteurs pouvaient admirer la chatte offerte de Larissa. Comme d’habitude, cela a fonctionné plusieurs fois, les conducteurs voyaient la voiture les doubler, mais rester quelques secondes à la hauteur de leur cabine. Ils avaient alors une vue plongeante sur la  fente offerte à leur vue.

 

Certains klaxonnaient, d'autres faisaient des appels de phares pour que Donatien s'arrête. Ils voulaient surement voir ou toucher cette chatte de près. Larissa restait avec ses cuisses grandes ouvertes, de façon à ce que les chauffeurs puissent en voir le maximum. Au bout d’une demi-heure de ce petit manège, Larissa était excitée à mort. D’autant que, visiblement, le message devait passer, car les camions doublés parlaient à la CB quand nous arrivions à leur hauteur.

 

Donatien choisit une aire d’autoroute sans station essence, juste avec des toilettes. Dans les stations, il y a souvent trop de familles... Pas ce qu’ils voulaient tous les deux !

 

Bien sur, un camion les suivit et s’arrêta derrière eux. Le but était atteint. Sûr que les autres allaient affluer !

Deux hommes en descendirent, et ils se dirigèrent vers les toilettes, où Larisa venait d’entrer.

 

Ils comptaient bien maintenant voir cette chatte de plus près ! Ils rentrèrent dans les toilettes des femmes. Il y avait deux portes, une était fermée. En tendant l’oreille, ils entendirent Larissa en train d'uriner. Un des hommes alla dans l'autre WC et monta sur la cuvette pour regarder si la jeune femme était bien celle vue dans la voiture…

 

L'homme vit Larissa en trai nd'essuyer sa chatte avec du papier. Excité, il descendit et prévint son équipier qu’elle allait sortir. Les deux hommes l’entendirent tirer la chasse d’eau. Sans plus attendre, ils sortirent leurs bites déjà bien bandées en attendant que la porte s'ouvre. Larissa souleva le loquet et ouvrit la porte. Un sourire éclaira son visage quand elle vit alors les deux hommes, avec leur queue hors de leur pantalon devant elle.

Elle sortit et leur demanda, l’air faussement contrarié :

« Mais que voulez-vous, messieurs ??? Ce ne sont pas les toilettes pour hommes !

- Alors salope, on montre sa chatte aux hommes ?

- Oh, je n’ai pas fait exprès, je devais dormir…

- Et bien maintenant, on va la gouter ! »

 

Donatien avait vu les deux hommes aller vers les toilettes, et il se décida a y aller aussi, histoire de voir sa femme se faire mettre à fond… Il voulait aussi être là par sécurité. Certains mecs sont trop « entreprenants » et ne connaissent pas de limites.

D’autant que d’autres camions commençaient à affluer sur la petite aire d’autoroute !

 

Donatien arriva à l'entrée des toilettes des femmes, Larissa était tenue par l’homme qui était derrière elle, et l'autre était à genoux. Il avait sa bouche collé à la chatte de Larissa. Il la léchait copieusement, pour son plus grand plaisir. Elle branlait l’autre d’une main experte.

Quand l'homme vit Donatien arriver dans les toilettes il dit a son équipier : 

« Tiens, voila l'époux de la salope !!! Elle est bonne ta femme, tu sais ?

- Oui je sais, mais soignez-là bien, je ne veux pas de violences… 

- Pas de soucis, on va la baiser bien comme il faut… »

 

L'homme lâcha la chatte de Larissa et se retourna afin de voir la réaction de Donatien. Il fut rassuré quand il lui fit signe de continuer de lécher sa femme.

Le routier reprit alors la fente baveuse et se remit à la lécher avec frénésie. Larissa eut son premier orgasme, ameutant les hommes dehors, si besoin en était encore !

 

Donatien s'approcha de sa femme et sortit aussi sa hampe raide. Il lui demanda de le branler aussi. Sans hésiter, Larissa prit le sexe de Donatien dans sa main et commença à la masturber avec vigueur, comme il aimait tant.

 

Les nouveaux venus virent un beau spectacle en entrant dans les toilettes : Larissa, adossée aux lavabos, un homme à ses genoux en train de lui dévorer le vagin à pleine bouche, et les deux autres autour d’elle, en train de se faire branler à mort. L’homme lui mordait parfois son clitoris et Larissa poussait un petit cri.

Donatien s'approcha d’elle, ils se regardaient tous les deux dans les yeu. Il lui dit :

« Alors ma chienne, tu aimes être prise par des hommes inconnus ?

- Oh oui, j’aime beaucoup... Tu m’en offres combien aujourd’hui ?

- Tant que tu veux, ma salope adorée ! Tu diras stop quand tu en auras eu assez ! »

 

Les voyeurs n’avaient pas perdu une miette de leur bref dialogue, et ils avaient les yeux hors de la tête... Une telle aubaine, ce n’est pas fréquent ! Certains se masturbaient déjà. Larissa avait devant elle une belle brochette de queues de formes et tailles variées.

 

Elle continuait de masturber son mari et l'autre homme. Ce dernier gémissait de plus en plus. Elle accéléra son mouvement et serra encore plus fort la bite de l’inconnu. Elle vit alors le sperme jaillir du sexe de l'homme sur sa jambe. Sa jupe avait été remontée et coincée dans la ceinture. Une partie du sperme arriva aussi sur le dessus de sa chatte, et sur la tête de son équipier.

 

Larissa jouit une nouvelle fois sous les coups de langue de cet étranger. Donatien lui intima alors :

« Mets-toi à genoux, chienne, tout de suite ! Et suce-le ! »

 

L’homme se releva avec son sexe tendu, Larissa exécuta l'ordre de son mari.  Elle se mit à genoux et dirigea le pieu dur dans sa bouche.

Il était heureux d'être maintenant dans la bouche de cette belle salope. Elle le suçait goulument et il appréciait. Il grognait de plaisir. Pendant ce temps, elle masturbait toujours son mari. L’homme s'accrocha à la tête de Larissa et poussa un gémissement sourd, sous les encouragements du public…

 

Larissa sentit le foutre de cet étranger envahir sa gorge, elle avala la liqueur sans sourciller. Donatien se pencha pour embrasser sa femme. Il aimait le gout du perme des autres sous sa langue… Puis il se redressa, releva sa femme, Donatien présenta son sexe dans la bouche de Larissa. Elle l’aspira au plus profond de sa gorge.

Elle le pompa tant et plus, et si bien, qu’il finit par juter au fond de sa gorge.

 

Il se retira, se rajusta et se retourna vers les voyeurs.

 

« Messieurs, elle est à vous. Mais pas de violence, je surveille ! »

Pour être plus à l’aise, ils sortent tous derrière les toilettes. Il y avait un banc qui semblait n’attendre qu’eux.

 

Assise sur le banc, les six gaillards devant elle, Larissa commence à les sucer les uns après les autres, à les branler. Il y a un black parmi eux, avec bite énorme. Elle a du mal à le mettre en bouche, mais il lui prend la tête pour imprimer son rythme à la jeune femme. Elle le suce du mieux qu’elle peut, en suffoquant un peu.

Au bout d'un moment, Larissa n’a plus sur elle que son porte-jarretelle, ses bas et ses chaussures. Elle est retournée, l'un la baise pendant qu’elle suce les autres à la chaine. Puis elle se retrouve assise sur une bite dans le cul. Ainsi offerte, un autre vient la prendre par devant. Elle est prise par tous les trous, car elle en a un troisième dans la bouche.

 

Pour être totalement occupée, elle branle un dans chaque main. On la caresse partout, plein de mains parcourent son corps. Son mari l’observe, mais il ne peut se retenir, et vient rejoindre le groupe de mâles en rut.

Elle le suce aussi, sans même s'en rendre compte. Elle ne distingue plus les bites qui défilent dans sa bouche écartelée.

D’autres routiers sont arrivés, et ils rejoignent les autres pour se faire pomper le jonc. Larissa n’est plus qu’un vide-couilles sans âme. Mais elle aime ça, se sentir une moins que rien, une pute gratuite dont on se sert à volonté…

 

Enfin, vont s'enchaîner d'innombrable changement de positions, on la tourne et retourne, les bites défilent dans chacun de mes orifices. Ses orgasmes sont à répétition. Tout le monde est en sueur.

Quand premier annonce qu'il est sur le point d'envoyer sa sauce, elle entend son mari qui dit « sur son visage ! »

L'homme se retire de sa chatte et s'approche de ma figure. Elle sent les jets tièdes qui viennent frapper ses joues. Il est aussitôt remplacé par un autre qui la pistonne ardemment, en synchro avec son enculeur. Elle continue à sucer une bite, elle ne sait plus laquelle est à qui. Pour satisfaire tout les hommes qui la veulent, elle tente en même temps de bien branler deux autres queues, pas facile !

Puis c'est la bousculade, ils viennent tour à tour jouir sur elle, se bousculant les uns les autres, avides de profiter de l’aubaine. Larissa est recouverte de sperme, il dégouline sur ses seins. Avec gourmandise, elle étale toute cette crème sur son corps… Un plus vicieux que les autres vient lecher ses seins et la nettoie un peu.. Mais comme il en profite pour baiser sa chatte en même temps, elle jouit en hurlant à tout casser.  

 

Les derniers commentaires fusent : « ah quelle salope !. Elle aime vraiment ça ! Je crois qu'elle à son compte, non ? Mais regardez moi ça ! Quel pied ! Ca, c'est une femme ! »

Ils quittent un à un l’arrière des toilettes. Donatien va prendre une serviette dans la voiture, Larissa se nettoie du mieux qu’elle peut dans les lavabos des toilettes. Elle est écartelée, blanche de sperme, ses jambes tremblent, mais enfin, elle a eu sa dose de sexe pur et dur !