Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
C'est toute retournée que Céline monte dans la navette qui la ramène chez elle, à une dizaine de kilomètres. Elle est encore toute troublée par la scène à laquelle elle a assisté au zoo : l'accouplement torride de deux gorilles.
Elle revoit la guenon se retourner, montrer les dents à son partenaire, comme pour se rebiffer, tandis qu'imperturbable, le mâle dominant continue à honorer sa femelle, balayant d'un revers de main, les jeunes gorilles qui gravitent autour d'eux.
Céline, belle étudiante de dix neuf ans, vêtue d'une jupette de tennis, d'un haut tendu par sa jeune poitrine libre de soutien-gorge, vient de vivre là, un épisode hallucinant. A tel point, qu'elle ressent une douce chaleur au creux de son ventre, et une légère humidité qui mouille sa culotte.
De peur de tacher sa jupe, elle la quitte, la met dans son sac, et s'essuie la chatte avec un kleenex. Elle est seule dans le bus.
Perdue dans ses pensées, elle ne remarque pas les trois jeunes, environ vingt-cinq ans, qui prennent place dans la navette. Trois jeunes qui, vu leurs états, fêtent quelque chose.
L'un d'eux prend la liberté de la rejoindre au fond du bus, et s'assied à côté d'elle.
« Bonjour, bégaie-t-il, je m'appelle Mathieu, le roi de la queue, hihihi... Et vous ? »
Céline fait mine de l'ignorer, mais devant l'insistance du jeune garçon, décide de lui répondre.
« Céline, dit-elle, je m'appelle Céline.
- La reine de la pine, répond-il, hihihi... oh, excusez moi... Je plaisantais.»
La jeune fille sourit, elle pense qu’elle aimerait bien l’être ce soir, la reine de la pine… Elle mouille de plus en plus à cette idée…
Mathieu se risque à passer un bras autour de son épaule. Céline n'est pas farouche, et n'oppose aucune résistance. Il se penche sur elle, jusqu'à frôler ses lèvres. Il pose une main à l'intérieur des cuisses, et remonte vers l'entre jambes. Vaguement honteuse, elle essaie de bloquer l'intruse, mais sans plus.
L'agréable flamme qui se consume entre ses cuisses, est de plus en plus vive. Tant et si bien qu'elle ne repousse pas les deux doigts qui rentrent en contact avec le fin duvet de son pubis. Mathieu en est tout surpris.
La scène du zoo défile dans la tête de Céline. Instinctivement, elle passe une jambe sur le genou du jeune homme, et écarte les cuisses à l'équerre, pour faciliter l'accès à son intimité. La fente est là, ouvert, humide. Elle prend Mathieu par la nuque pour appuyer le baiser. Les langues se nouent, se défient.
« Vas-y… chatte moi... C'est ça que tu veux ? » murmure-t-elle.
Sans attendre sa réponse, Céline tend son bassin vers les doigts vicieux, tout en caressant les attributs du jeune garçon, par-dessus le tissu du pantalon. Mathieu perd de sa superbe, surpris par l'aplomb de la jeune fille. Il reprend vite ses esprits, pour ne pas passer pour un con.
« Je me marie samedi prochain, dit-il. Un petit coup de queue pour enterrer ma vie de garçon, ce serait bien….
- Ben vas-y, dit-elle, tu ne sens pas comme je mouille ? Allez, quitte ça. Je suis à toi, baise-moi comme tu veux ! »
Mathieu trouve que la fille se donne un peu trop facilement, mais il ne se fait pas prier. Bientôt, il devra fidélité à sa jeune épouse… Céline, elle, n'y va pas par quatre chemins.
Sans se préoccuper des deux autres hommes dans le bus, elle se met toute nue, et se rassoie, jambes bien écartées.
« Vas-y, continue à me caresser... Bien sur mon bouton... Oui, là... Oh la, la belle queue, bien raide ! »
La main de Céline fait l'inventaire, d'abord les couilles, bien pleines, puis la queue qu'elle décalotte.
N'y tenant plus, Céline se tourne et se met à genoux sur le siège, la croupe bien cambrée. Une invitation pour se faire prendre en levrette. Mathieu se met en place, le gland contre la fente de la jeune étudiante.
C'est elle qui donne le dernier coup de reins, et se fait pénétrer dans un "hou" de plaisir. Mathieu peut commencer ses va et vient dans la chatte ainsi offerte.
« Ha, salaud... Tu me niques bien ! Branle-moi le clito...Et ta fiancée, tu y penses ? »
Céline sent la main qui glisse sous son ventre, entre ses cuisses, et qui doigte le bouton bien gonflé. Elle se cambre d'avantage pour recevoir la caresse, tout en serrant la bite qui la fouille à fond. Elle enfonce sa tête dans le haut du fauteuil pour étouffer ses cris de plaisir. Elle sent la queue qui se tend dans sa chatte, prête à éjaculer.
Elle se tourne, la saisit, et continue de la branler à deux centimètres de ses lèvres. Les jets de sperme déferlent dans sa gorge. Elle avale la bite, et la garde de longues secondes, pour que celle-ci ait tout le temps de se vider. Elle se retire la langue chargée de foutre. Elle parcourt la hampe avec ses lèvres, et gobe les testicules, l’un après l'autre.
« Terminus, dit le chauffeur, qui ne semble rien avoir vu…
Céline sursaute, et s'habille en vitesse.
- Mais.. On n’est pas à Saint Jean, s'inquiète-t-elle.
- Ah non, Mademoiselle, ce n’est pas la bonne ligne.
- Ben, répond Saïd, un jeune beur ami de Mathieu. C'est la dernière station. On est garé sur le parking. Un petit quart d’heure de repos, et on vous ramène si vous voulez, n'est-ce pas Sylvain ?
- Pas de problème, répond le troisième larron, si la demoiselle est d'accord. »
Céline n'a pas le choix. Elle accepte volontiers la proposition des trois fêtards. Elle les suit jusqu'à un magnifique van noir, à l'intérieur cossu, au sol jonché d'épais tapis, et de poufs. Une vraie garçonnière. Elle se demande si elle n’est pas tombée dans un traquenard. Les deux autres compères ont du les mater dans le bus…
Mais la baise express dans le bus n’a pas calmé ses ardeurs. Elle a encore envie d’être prise à fond, par tous ses orifices… Sylvain passe derrière elle, et fait passer le petit haut par dessus la tête, mettant à nu les superbes seins de l'étudiante. Saïd, lui, fait glisser
la jupette. En voyant le décor, Céline se doutait bien qu'il allait se passer quelque chose, mieux, elle l'espérait.
En moins d'une minute, les trois copains sont en tenue d'Adam. Céline est vite excitée par cette vue des hommes nus, la bite bien dure, et dressée vers le plafond. En un tournemain, elle se déshabille, et se retrouve nue au milieu des trois mâles affamés. Ils glissent tout les quatre sur le sol. Céline se retrouve écartelée par les jeunes garçons avides de sexe. Elle est allongée sur les tapis, les cuisses ouvertes, laissant apparaitre un vagin rouge de désir. Elle met se mains au-dessus de sa tête. Ainsi, elle est totalement offerte aux délires des hommes. Mathieu récupère la mouille dans la chatte de Céline, qui pousse des gémissements de plaisir. Il en barbouille le petit trou, mais aussi le gland entièrement décalotté de Saïd. Celui-ci s'avance, et d’un coup de main autoritaire, la fait se retourner, les fesses en l’air, la rosette ouverte, prête à l’assaut qu’elle attend depuis un moment déjà. Il la pénètre d’un élan puissant, allant cogner le fond de ses entrailles.
« Ha, il m'encule le beur ! Le salaud, comme il est monté... Ha !!! »
Mathieu fait la même opération avec le pieu en érection de Sylvain. Bite qui se trouve contre les lèvres de la jeune fille. Il imbibe son chibre de mouille.
« Fais-la lui gouter, sourit Mathieu. On le fait bien, nous. »
Céline ouvre grand la bouche, et engloutit la queue de Sylvain.
« Hum, hum… Tu veux que je te taille une pipe, c'est çà ? »
Mathieu ne reste pas inactif. Il s'occupe personnellement de la chatte de Céline. Il excite le clitoris entièrement sorti du capuchon, et le doigte. Quelle ingénieuse idée la nature a eu de doter la femme de trois orifices ! Les quatre partouzeurs ne s’en plaignent pas.
Mathieu se couche sous la jeune enculée, et gobe le clito dur. Il en profite pour lécher la bonne queue qui la défonce allègrement.
Sylvain accélère ses va et vient de branle dans la bouche de Céline, tout comme Saïd accélère les siens entre ses reins.
Le corps de la jeune étudiante se cambre, se tord comme un ver. Les mots qu'elle arrive à sortir sont inaudibles.
Elle se lâche dans un puissant orgasme. Les cris de plaisir résonnent dans la van. Céline reçoit les coups de queues des trois garçons, bien décidés à se vider les couilles. Céline revoie la guenon se faire prendre sur le rocher, mais elle fait pire, elle s'offre corps et âme à des inconnus. Elle n’est plus qu’un vulgaire trou à bites, où le sperme coule de partout…
En fait, le quart d'heure de repos dure toute la nuit. Céline en redemande. Et elle ne va pas être déçue. Elle va hurler de plaisir, se faire niquer, enculer, elle va tailler des pipes, bref, faire le plein du foutre qu’elle aime tant…
Après plusieurs heures de luxure intensive, Sylvain sort une bombonne d'eau du coffre, pour que tout ce petit monde puisse se rincer. Puis, ils s'assoupissent, leurs corps repus de sexe emmêlés.
Deux heures plus tard, Sylvain et Mathieu sont réveillés par une respiration haletante. C'est Céline qui est empalée sur l'énorme bite de Saïd. Il lui caresse les seins, faisant rouler les bouts entre ses doigts.
« Salaud, quel amant ! Tu es increvable toi ! Ca fait combien de fois que tu me tronches depuis hier soir ? Mais c’est tellement bon ! Vas-y, défonce moi la chatte !!! »
Il est neuf heures du matin quand les trois copains déposent Céline devant son studio.
Aujourd'hui, c'est le mariage de Mathieu.
« Tout les invités sont là ? demande Mathieu à sa future épouse.
- Il ne manque plus que mon frère, répond-elle. Il va enfin nous présenter sa copine. Tiens, justement, les voilà. »
Mathieu se retourne, et reste scotché.
« Non...c'est pas vrai...ce n’est pas elle !!! »
Les nouveaux venus s'avancent vers les mariés. La jeune fille arbore un large sourire, et lance un clin d'œil à Mathieu.
« Je vous présente Céline… »
Tout comme toi, j'attends de le savoir...
Le message est passé... j'epsère aussi que son auteur va le faire !
Merci, mais cette histoire n'est pas de moi... En tout cas, je suis ravie que ca te plaise !
Il faut toujours etre ouvert à l'inconu, et pret à repondre à ses clins d'oeils !
Je l'attends aussi avec impatience !