Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

 

 Elle s'appelle Valy. Elle a vingt ans, brune, admirablement proportionnée. Un quart de sang antillais dans les veines lui donne une allure folle. Quand elle se déplace, on a l'impression qu'elle danse, elle respire la sensualité. Elle arrive un matin dans la boîte où je travaille pour y faire un stage pratique, avant cet examen qui lui permettra de devenir ambulancière.

 

La direction décide que Valy fera son stage avec moi, dans mon véhicule. Je suis ravi de cette chance, et lui souhaite la bienvenue. Pour toute réponse, elle me sourit. Bon sang ! Quel sourire ravageur ! Des dents d'une blancheur immaculée qui tranche avec le café au lait de sa peau. Tout cela donne la sensation qu'elle aime croquer la vie à pleines dents.

Il est neuf heures du matin. Il faut aller chercher quelqu'un à l'hôpital pour le conduire en maison de repos à trois cents kilomètres de là. Cette course me plait, je vais rester avec « ma » stagiaire au moins durant huit heures. Ainsi, nous aurons le temps de bien faire connaissance…

 

Le voyage aller se passe normalement, je constate que Valy est très humaine dans son contact avec notre client. Sans exubérance, elle parle et sourit, pour distraire l'alité. Du coin de l'œil, elle veille à ce que rien de grave n'arrive. Enfin, une fois rendus à destination et totalement libres, nous nous mettons en quête d'un endroit où déjeuner. Il fait beau, je lui propose d'acheter ce qu'il faut et d'aller manger à l'air libre. La campagne est belle, je trouve facilement un coin tranquille. Nous nous installons sur l'herbe au pied d'un arbre.

 

Elle est assise au sol, adossée à l'arbre, nous avons quitté nos blouses. Je peux admirer Valy à loisir, sa taille est bien prise, hanches rebondies, j'adore ça. Sa poitrine, à vue d'œil doit tourner autour des 90. La bouche est pulpeuse et gourmande. Ses yeux sont vert émeraude. Je ne sais pas ce que deviendra notre relation, mais quoi qu'il en soit, j'aurai eu une belle compagnie durant son séjour chez nous. Nous parlons de tout et de rien mais pas boulot.

 

Nous rions aussi beaucoup. Je ne dis rien, mais je remarque que ses yeux se portent très souvent sur ma braguette, et que ce qu'elle devine ne semble pas lui déplaire. Je vous rappelle que je suis ennemi des sous-vêtements. Je n'en porte donc jamais, mon pantalon est relativement étroit, et j'avoue que la nature m'a un peu « gâté». Ma braguette est toute gonflée. Et les regards qu'elle jette dessus n'arrangent rien, au contraire, je commence à bander.

L'espace d'un instant nos regards se croisent, elle sait que j'ai vu où elle posait ses yeux. Un silence bref se fait, nous nous regardons, et je lui fais un grand sourire dans lequel elle lit ce qu'elle a envie d'y trouver. De son côté, elle me fait aussi un sourire, mais le mouvement de ses sourcils me disent qu'elle apprécie le spectacle.

 

A peine une demi-journée qu'on se connait. Je ne veux pas brusquer les choses. C'est pas parce qu'elle a un regard plein de promesses qu'il faut lui sauter dessus. Et puis, j'ai vingt-cinq ans de plus qu'elle, et sa mère travaille dans ma boîte. Valy se trouve être une jeune femme pleine de vie et d'esprit. Elle est intelligente, et on ne s'ennuie pas un instant. Mais ce que nous avons dans la tête ressort malgré nous, aussi la conversation aborde vite le sujet "Q".

 

C'est d'ailleurs Valy qui démarre. Avec un air presque détaché elle me dit soudain :

« Mais dis-moi, Bruno, t'as mis du coton ou quoi dans ton futal ?

- Ma petite Valy, tu m'as l'air bien curieuse, mais comme tu es sympa, je te dirai que non j'ai pas mis de coton. Et mon pantalon est un peu étroit ! »

 

Et nous éclatons de rire.

Nous reprenons la route pour rentrer sur Paris. Prés quelque minutes à rouler en silence, Valy me dit :

« Excuse-moi pour tout à l'heure, Bruno, mais je n’ai pas pu m'empêcher de t'en parler. Quand je croise un mec, je regarde toujours sa braguette. J'adore ce machin que vous avez là. Mais, va pas répéter ça, hein ?

- T'as ma parole, Valy ! Tu es tellement mignonne que je ne pourrais pas te vouloir du mal ! »

 

Et puisque les choses avaient pris une nouvelle tournure, j'ai poursuivi sur le sujet. Elle m'avoua alors qu'elle adorait les jeux du sexe, et que depuis l'âge de seize ans, elle était bisexuelle.

 

Tout en roulant, je caresse sa main gauche, puis la prends et la pose sur ma braguette. Elle me regarde avec un petit sourire en coin, ne dit rien. Malgré l'épaisseur de mon jean, je me mets à bander. Valy me dit alors :

« Ben dis donc, tu bandes ! Tu permets que je vérifie ?

- Vas-y ma chérie, fais ce que tu veux, d'avance je suis d’accord ! »

 

Valy sort alors ma bite :

« T'as pas de slip ? Et t'as pas de poil ? C'est génial ça !

- Heureux que cela te plaise ! »

 

Elle laisse alors aller sa main sur ma hampe, et me branle avec une délicatesse telle que je suis encore plus excité, et que j'ai envie de juter. Je le lui dis, alors elle cesse aussitôt sa branlette pour me prendre en bouche. Ses lèvres effleurent à peine ma queue et sa langue joue avec mon gland avec agilité. Je n'en peux plus, je suis obligé de m'arrêter sur le bord de la route, je ne peux pas jouir en roulant, trop dangereux ! Ouf ! Il était temps, je jouis et explose dans sa bouche. Elle n'en perd pas une goutte. Elle se penche alors vers moi, et me roule une pelle. Décidément, j'adore mon sperme moi. Valy aussi apparemment, qui se lèche les babines avec de la coquinerie dans l'œil.

 

Il y a une règle d'or dans notre métier, ne pas perdre de temps quand « on fait une province », car si on traine trop, les prochaines risquent de nous passer sous le nez. C'est ce que j'explique à Valy pour justifier que nous devons, pour l'instant, arrêter de jouer ensemble.

 

Le retour se passe en conversation ordinaire portant sur le métier qu'elle apprend. Nous arrivons dans des délais tout à fait normaux. Quand vient l'heure de fin de journée, je propose discrètement à Valy de venir prendre un verre avec moi dans un bistro à l'écart du bureau. Nous nous installons au fond de la salle pour être plus tranquilles, et allons plus loin dans nos confidences sur nos goûts sexuels. Elle m'avoue qu'elle aimerait faire une soirée avec un couple. Je lui propose alors de venir avec moi chez un couple ami. Ils sont tous les deux bisexuels et seront ravis de jouer avec elle et moi. Je leur téléphone immédiatement, rendez-vous est pris pour le samedi suivant.

 

En attendant ce moment, Valy me propose de venir diner chez elle. J'accepte avec plaisir, espérant qu'on pourra faire plus ample connaissance. Un apéro, un repas léger, et elle me quitte en disant :

«Jje nous fais un café et pendant qu'il passe, je vais changer de tenue, je ne suis pas à mon aise comme ça ! »

 

Elle revient un moment après, le plateau à la main. Et je suis ébloui, car elle est entièrement nue. Décidément, cette petite m'étonne de plus en plus ! C'est une splendide et sympa petite salope. Elle pose le plateau sur la table basse et éclate de rire, je dois faire une drôle de tête. Les premières secondes d'étonnement passées, je me rappelle qu'en remontant sur Paris, nous nous sommes avoués certains de nos goûts, entre autre nous avions ce plaisir commun de vivre nus autant que nous le pouvions. Il était donc logique que je la retrouve dans sa tenue préférée.

Elle dépose le plateau de café sur la table basse et se redresse. Je lui demande de ne pas bouger un instant afin de pouvoir l'admirer.

 

Cette fille est superbe. 165 centimètres de sensualité enveloppée dans une peau couleur caramel au lait. La taille est fine, les hanches arrondies, silhouette de violoncelle. Sa chatte est mise en valeur par une absence totale de poil. Les lèvres sont charnues mais fines, sans doute sculptées par un artiste. Une amusante sorte de petit chapeau surmonte le tout qui cache son clito.

« Bon sang Valy, que tu es belle ! Et tellement bandante ! » lui dis-je en levant la tête.

 

Son visage est éclairé par un grand sourire. Pour toute réponse, elle se penche vers moi et m'embrasse. Puis, tout en remplissant nos tasses, elle plante ses yeux émeraude dans les miens, et me dit :

« Bruno, tu n'as pas l'impression que quelque chose ne va pas ? » Je comprends aussitôt ce qu'elle veut me dire. Je suis habillé. Ma surprise et mon émerveillement m'ont fait oublier de me mettre à poil. Je retire mes vêtements. Nous buvons notre café en silence, mais je vois ses yeux glisser vers mon pubis sans aucun poil. Enfin, elle me demande de me lever pour mieux voir ça. Je dois être un des rares hommes à cette époque à me raser l'entrejambe. Elle passe la main sur ma peau, me caresse le pubis, puis les couilles, sa main glisse entre mes jambes et va jusqu'à mon anus où là aussi il n'y a aucun poil. Elle est ravie. A son air je sens que j'ai réussi mon examen

.

Elle a un avantage sur moi, elle a déjà goûté à mon sexe et moi pas au sien. Il faut absolument que je rétablisse l'équilibre, je veux déguster sa jolie chatte. J'ai du le penser très fort car Valy m'attire à elle, m'allonge sur le divan et s'assoie sur moi sa chatte sur ma bouche. Elle est déjà toute humide, l'odeur qui se dégage est un mélange de sa mouille et d'urine, j'adore ça !

 

La belle prend toutes les initiatives, ça me convient bien, j'adore quand une femme sait ce qu'elle veut et qu'elle le prouve. Valy fait bouger son bassin de telle sorte que je peux lécher sa chatte d'un bout à l'autre. Elle danse une sorte de lambada de plus en plus folle en poussant des gémissements bruyants et elle s'écroule sur moi. J'ai le visage barbouillé de sa jouissance. Valy semble déchainée, elle me lèche les joues et la bouche puis nous nous bouffons la langue comme des affamés. Cette fille a le don de mettre le feu à ce qu'elle touche.

 

Et puisqu'elle m'a mis le feu, elle entreprend, c'est logique, de l'éteindre. Pour cela, elle disparaît un instant et revient vers moi toujours allongé. Sans un mot elle se penche vers ma queue et l'enfourne dans son joli bec. Et là ! Surprise, je sens un drôle de sensation. Un mélange de la tiédeur humide de sa bouche et d'une fraicheur étrange.

 

Cette gourgandine avait un glaçon dans sa bouche. On ne m'avait jamais fait ça. Super délicieux ce truc. Décidément elle est pleine de ressources cette jolie salope. Et elle n'a que vingt ans. Ça doit être inné ces choses-là.

Bien entendu, cette pipe très particulière est irrésistible, et je ne tarde pas à exploser dans son joli bec. Mais gourmande, elle avale tout. Elle remonte vers moi et prend ma bouche.

 

Sur sa langue reste un peu de mon sperme, elle me l'offre généreusement. Si elle avait vécu dans une tribu Sioux cette fille aurait eu pour nom Langue Agile. Difficile de décrire ce qu'elle fait avec, mais c'est particulièrement excitant. Pour un peu, je rebanderais aussitôt, comme à vingt ans. J'ai envie d'elle, très.

 

Je le lui dis, elle me conduit à sa chambre. Elle a un grand lit dont la tête a des barreaux. Elle me demande de m'allonger, elle veut s'occuper de moi à sa manière. Elle ouvre un tiroir de sa commode et en sort une paire de menottes. Tiens ! Encore un truc que je n'avais pas fait. Je suis curieux de voir la suite. Elle s'approche de moi avec un sourire assez vicieux qui la rend encore plus attirante. Elle grimpe sur le lit et s'assoit sur moi en me chevauchant et m'attache les poignets aux barreaux du lit. Sur sa table de nuit était posé un petit seau à glaçons isothermique.

 

Elle en prend un entre ses lèvres, et entreprend de parcourir mon corps en l'effleurant de sa bouche armée de cette fraicheur. Elle fait ça lentement, centimètre par centimètre, et comme si cela ne suffisait pas, elle fait onduler son cops sur moi. Complètement affolant ce qu'elle me fait. Je bande tellement que cela me ferait presque mal.

 

Enfin, ma jolie salope se relève, elle est assise au pied du lit et me regarde visiblement fière de l'effet qu'elle m'a fait. Ses Yeux émeraude brillent de satisfaction et semblent chercher une autre chose à faire. Je sens qu'elle a trouvé. Elle approche son pied nu de mon visage. Elle a un joli pied, les orteils sont longs et fins comme j'aime. Elle me fait lécher ce pied, je le fais avec plaisir, j'aime m'occuper ainsi des choses que j'aime.

 

Visiblement, elle apprécie mes léchouilles accompagnées de petites morsures légères. Elle me caresse le corps avec son pied tout en le ramenant doucement vers mon entrejambe. Ces jolis orteils magiques sont doués de vie. Avec eux, elle me caresse la queue, et avec ses dix orteils, me branle un moment. Puis elle décide de rendre visite à mon anus. Ses longs doigts de pieds se faufilent, et trouvent l'entrée. Du gros orteil, elle titille mon sphincter. Je suis tellement excité que je suis tout humide là. Alors, elle le fait entrer en moi, et m'encule un instant ainsi. Enfin, elle y glisse deux autres doigts. Elle constate qu'elle ne sent aucune résistance et me dit :

« Oh ! Toi je sens que je vais pouvoir faire quelques petites choses avec ton cul ! Mais plus tard… »

 

Valy semble plus désireuse de se faire baiser. Il est vrai que depuis le matin que nous nous allumons sans complexe, il est plus que temps de faire quelque chose. Elle se remet à califourchon sur moi, et s'empale sur ma queue et elle se déchaine. Elle monte et redescend en remuant du bassin. Je n'ai qu'une chose à faire, me concentrer pour ne pas exploser trop vite. Valy veut jouir, elle est si belle en ce moment, je ne peux pas lui interdire de prendre son pied.

 

Ses gémissements se font de plus en plus forts et bruyants, elle va craquer. Alors, je me laisse aller, et je jouis dans mon préservatif. Elle le sent, et atteint l'orgasme. Elle est en sueur et épuisée, mais avec un sourire radieux aux lèvres. Elle s'allonge sur moi, mon sexe toujours en elle commence à diminuer, mais il le fait doucement, comme s'il quittait à regret cette jolie chatte. Cette journée forte en émotion et en plaisir nous a épuisés. Nous nous endormons comme ça jusqu’au lendemain.

 

Valy est de plus en plus d'accord pour rencontrer mon couple ami samedi soir. Et durant les cinq années qui suivirent, nous avons eu l'occasion de vivre seuls, tous les deux, ou avec d'autres, quelques aventures jouissantes que je vous raconterai.

 

 

Mar 27 jui 2010 5 commentaires
Une jolie façon de tester les compétences d'une stagiaire
Harcèlement sensuel obligatoire
Bises libertines
Eloise Genève - le 27/07/2010 à 21h09

Et il n's pas fini son initiation.. j'epsère aussi en lire la suite très vite !

Sophie de R.
Quel pied! j'en ai les mains poisseuses...
mano - le 27/07/2010 à 21h14

Venant de toi, je te crois volontiers !

Sophie de R.
Voilà une jeune fille qui a lesens de l'initiative! Elle ira loin, c'est un stage réussi
Olga - le 27/07/2010 à 21h47

Et elle a été loin, si j'en juge par ce que m'a dit Bruno...

Sophie de R.
de bon point pour son stage elle a l air de savoir si prendre la coquine
romain57 - le 28/07/2010 à 12h16

Oh que oui, et elle va aller plus loin encore !

Sophie de R.
s'il n'avait tenu qu'à moi, je lui aurais décerné son diplôme avec mention très bien sans même qu'elle ait à passer l'examen
brunobi - le 28/07/2010 à 16h37

Je me doute, mais sinon, elle naurait pas pu travailler plus tard...

Sophie de R.