Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

 

Chapitre 6 – La dernière épreuve

 

 

Après ma « punition », nous sommes restés plusieurs jours sans nous parler, Paul et moi. Paul de son coté ne faisant aucune allusion à ce qui s’était passé, de mon coté, mon travail m’absorbait suffisamment en cette période d’examen pour ne pas trop y penser.

 

Un jour, Paul me dit :

« Le réseau souhaite que je te mette à l’épreuve avant de te permettre de retrouver des contacts, c’est moi-même qui doit organiser l’épreuve. »

J’étais dans l’incertitude, devais je refuser, devais-je continuer ce qui au début n’avait été qu’un jeu, et qui aujourd’hui, prenait une autre tournure ? Finalement, j’acceptais en posant cette fois-ci mes conditions : plus d’actes forcés et arrêt immédiat si j’en décidé ainsi.

 

Face à ma détermination, Paul accepta le marché. L’épreuve que me proposa Paul était assez excitante en soi. Je devais être livrée à plusieurs hommes, à tour de rôle, dans un hôtel, les yeux bandés. C’est ainsi que je me retrouvai un soir dans un hôtel chic de Lyon, les yeux bandés. Paul avait choisi mes partenaires. Pour me rassurer, il accepta de rester dans une chambre contigüe à la mienne.

 

J’étais nue sur le lit, les yeux cachés par un foulard noir, je ne voyais strictement rien, à peine une lueur. Je restai ainsi quelques minutes, quand j’entendis la porte du vestibule de la chambre s’ouvrir. Je sentis l’homme s’assoir sur le bord du lit à mes cotés. Il se mit à me caresser doucement, avec beaucoup de tact et de douceur. Il me força à ouvrir mes cuisses, je sentis alors sa langue qui cherchait mon clitoris.

 

Doucement, il se mit à me lécher tandis qu’il introduisait dans mon vagin quatre doigts, deux par main en les écartant en forme de vé. Au bout de plusieurs minutes, je sentis monter en moi un désir violent. Je me répandis sans le vouloir, je suis parfois femme fontaine, et m’abandonna totalement. Quelques instants plus tard, je me mis a jouir par saccade sans aucune retenue. L’homme me fit mettre alors en levrette. Je sentis bientôt son membre qui me pénétrait à la fois avec force et douceur. Je crus reconnaitre à sa façon de faire le premier partenaire que j’avais eu lors de ma mise aux enchères à Megève. Il jouit à son tour toujours en silence. C’est ainsi d’ailleurs qu’il quitta la chambre sans un mot sans un souffle.

 

Le temps me parut long avant l’entrée du deuxième partenaire. Je compris très vite qu’il n’était pas seul. Il y avait cette fois deux hommes. A leurs paroles, je reconnus les deux hommes qui m’avaient possédée lors de mon initiation, surtout le plus jeune qui avait un accent étranger. Je les entendis dire : « Elle est toujours aussi belle. On se la fait tout les deux en même temps »

 

C’est ainsi que très vite après avoir été prise en levrette par chacun d’entre eux à tour de rôle, je me retrouver accroupie sur le premier, qui, sans ménagement, me sodomisa. Je poussais un cri de douleur. Je n’eus pas le temps de reprendre mon souffle, que le second pénétrait mon vagin. J’étais prise par mes deux orifices .Ils se mirent à s’activer en l’unisson, et rapidement, ils ont joui en moi. J’entendrai toujours le plus âgé dire en quittant la chambre et en me tapant les fesses :

« Putain tu es toujours aussi bonne ! »

 

J ’avoue avoir été soulagée de leur départ.

 

Je restais de nouveau seule plusieurs minutes, je n’avais plus la notion du temps. La porte s’ouvrit, je déduisis au bruit qu’ils étaient de nouveau deux. J’entends l’un dire à l’autre :

« Attends, je m’installe, j’en ai pour cinq minutes, prépare- toi. »

 

Je ne compris pas tout de suite ce que cela signifiait. Cinq minutes plus tard, l’un des hommes commença à me caresser le corps. J’étais alors étendue nue sur le lit. Celui qui avait parlé jusqu’alors dit :

« Tu la prends dans toute les positions, lorsque je te dis de ne plus bouger, tu ne bouges plus, allez commence. »

 

L’homme qui avait commencé à me caresser me fit mettre en levrette. Il me pénétra immédiatement. Il avait une verge énorme, pour ne pas dire démesurée. J’entends alors le second ordonner :

« Ne bouge plus ! Putain, c’est beau un black avec une blonde ! »

 

A ce moment précis, j’ai compris que l’homme qui me pénétrait était un homme de couleur, cela n’était pas pour me déplaire. Au même moment, il y eu comme un éclair dans la chambre. Malgré mon bandeau, j’avais pu le percevoir. Je compris alors qu’il prenait des photos. Je me hasardais à poser une question :

« Que ferez-vous avec ces photos ? »

Celui qui était le photographe me répondit brutalement : « C’est pour les diffuser dans le réseau à tes futurs clients. Allez, remue ton cul, cela va te rapporter du fric avec le cul que tu as ! »

 

La séance continua durant plus d’une heure Je dus prendre toute les poses possibles et imaginables. Mon partenaire était très doux, même attentionné à mon égard. Le photographe lui demanda de me goder, ce qu’il fit avec beaucoup de délicatesse. A la fin de la séance, il lui intima brusquement :

« Allez baise-là à fond et termine ! »

 

L’homme s’activa avec force, si bien qu’au bout de quelques minutes, je me mis a jouir une nouvelle fois. J’entends encore le photographe dire : « Superbe, je la prends en pleine jouissance ! »

 

J’étais honteuse de me donner ainsi en spectacle, mais le plaisir qui parcourait mon bas-ventre était plus fort que tout. Je pris à pleines mains les fesses de mon partenaire pour qu’il jouisse au plus profond de moi.

 

C’est ainsi que se termina ma dernière épreuve. Nous sommes restés, Paul et moi, à l’hôtel pour la nuit. Pour la première fois depuis ma punition, Paul me fit l’amour divinement bien. Le lendemain matin, il me dit : « Tu as passé cette épreuve avec succès, tu pourras réintégrer le réseau sous peu… »

 

Quelques semaines plus tard, je reçus mon premier coup de fil. C’est ainsi que je suis devenue, à raison de deux à trois rendez-vous par mois, une pute de luxe occasionnelle, à la fois par plaisir et aussi par amour pour Paul.

 

 

Ven 30 jui 2010 4 commentaires
Ce récit comme les précédents de Virginie ne plait pas beaucoup. Etre candauliste Mille fois oui! Mais là c'est plus proche de la prostitution qu'autre chose.
brunobi - le 30/07/2010 à 18h48

Merci de ta franchise, et je pense aussi que c'est de la prostitution pure et simple ! Je me demande ce qui peut pousser un mari à prostituer ainsi sa femme...

Sophie de R.
Comme Bruno, je ne suis pas d'accord avec ça. Tu dos que tu es d'accord, mais comment ton mari peut-il te transformer en pute ? Tu le veux vraiment ? C'est ton desir profond ???
Mylene - le 31/07/2010 à 01h04

Il faudrait que Virginie et reponde elle-même...

Sophie de R.
je rejoins les autres c est dommage de ce prostituer vaut mieux le candaulisme mais vue le recit elle a l air contente de son sort a voir
romain57 - le 31/07/2010 à 08h33

Oui, elle le smeble. Il faudrait qu'elle te rponde... Moi aussi, le coté "prostitution forcée" me gene un peu...

Sophie de R.
il me semble que l'on passe du chap 3 au chap 6...


mais sur le fond, que c'est bien écrit!
mandragore - le 22/08/2010 à 15h09

je vais verifier de suite !

Sophie de R.