Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Voici mon aventure d'hier soir...
Suite au visionnage d’un film X, j’ai eu une forte envie de me faire prendre... Mais pas n’importe où ! Il me fallait du glauque car je voulais rejouer à ma manière le rôle de l’héroïne de la vidéo.
Je suis donc sortie dans la tenue adéquate : en mini-jupe de salope, bottines noires et un chemisier très ouvert sur ma poitrine nue. Sans culotte, sans soutien-gorge, j’étais prête à me faire
mettre rapidement.
Je me suis dirigée vers un quartier proche du mien, où j’avais repéré la veille le chantier de construction d’un petit immeuble résidentiel. Il était presque vingt et une heures, et les ouvriers
devaient se reposer dans le cabanon qui leur servait de logement. J’étais bien décidée à les réveiller et à mettre un peu d’ambiance dans leur piaule.
En arrivant sur place, je me suis tout de suite approchée du baraquement. Je n’ai pas hésité, ayant trop faim de grosses queues pour me faire tringler la moule et le cul. Je n’ai pas frappé, me
contentant de pousser la porte et d’entrer.
Les trois gars que j’avais vus sur le chantier la veille étaient là, occupés à regarder un vieux poste de télévision portable. Je me suis tout de suite dirigée vers l’appareil, l’ai éteins et me
suis plantée devant eux :
« Baisez-moi maintenant, tous les trois ! J’ai le feu au cul et il faudra bien trois pompiers pour l’éteindre. Toi, viens dans ma bouche, toi dans mes fesses et toi dans ma chatte. Passez-ça d’abord ! »
Je jetai une boîte de préservatifs à leurs pieds.
« S’il faut que je vous branle un peu avant, approchez ! Je vais me faire un plaisir de vous mettre en condition avec mes doigts. »
Ils ne se le firent pas dire deux fois.
Ceux que j’avais choisis pour enfiler mes petits trous s’approchèrent, la bite à la main. J’appelai le troisième qui restait en retrait :
« Viens ici, toi. Je vais te faire bander avec ma bouche tout de suite »
Sur ces bonnes paroles, je m’assis par terre et ouvrit la bouche, pour me préparer à le recevoir. Il avança et m’enfila sans douceur la tête de sa bite noire entre les lèvres. J’avais les deux autres queues dans chacune de mes mains, et je les masturbais avec toute l’habileté dont j’étais coutumière. Je voulais juste les faire durcir assez pour qu’ils puissent me mettre bien profondément leurs membres démesurés dans la vulve et dans le cul.
Quand ils furent prêts, je leur enfilai à chacun un préservatif et me plaçai dans la position adéquate. J’avais choisi de faire combler d’abord mon trou du cul. Aussi, je me mis à quatre pattes, la bouche toujours collée à la pine que je pompais. Le black le plus vigoureux vint se foutre derrière moi. Il m’écarta les fesses, et cracha un peu de sa salive sur mon anus qui attendait d’être fourré.
Je n’avais pas prévu de lubrifiant car je faisais confiance à mon trou de balle pour se montrer accueillant et docile. Il en avait vu d’autres.
Un régal de sentir passer le gros nœud du noir quand il me troua la rondelle.
Après quelques secondes de répit, il commença à me limer pour trouver sa place.
Mais ce que je voulais par-dessus tout, c’était me sentir pleine des deux côtés. Alors, venant coller mon cul contre le ventre de mon enculeur, je l’invitai en reculant à s’asseoir sur un siège
qui se trouvait là.
Celui que je suçais me suivit tant bien que mal. Il grimpa sur la table qui jouxtait la chaise pour toujours bien me présenter sa bite. Je n’arrêtais pas de la pistonner avec mes lèvres et de la
titiller avec ma langue. J’étais maintenant prête à recevoir le troisième dans ma chatte. Celui-ci s’approcha de moi d’un pas décidé. Il se branlait mollement pour maintenir son érection en
attendant de venir m’honorer.
J’écartais largement les cuisses, assise sur la queue qui me bourrait le cul. Ma chatte totalement nue était bien gonflée et s’ouvrait toute seule.
Le black vint placer son gland tuméfié entre mes grandes lèvres et, d’une poussée brutale, m’emplit le ventre de sa grosseur. Il trouva facilement sa place en plus la pine de son collègue. Il
profita d’un mouvement de recul de l’engin qui m’enculait pour gagner les quelques centimètres nécessaires au logement de son sexe dans la cavité de mon vagin.
Lentement, les deux mecs s’accordèrent pour me limer en cadence. Quand ils eurent trouvé leur rythme de croisière, je savourai pleinement (c’est le cas de le dire) la prise en sandwich que
j’étais venue chercher.
Ce soir-là, je fus comblée au-delà de mes espérances.
Je me félicitai d’avoir apporté avec moi une boîte complète de capotes. En effet, chacun des hommes passa à tour de rôle dans les trois trous que j’avais à offrir. Ils étaient d’une endurance
rare et mettaient à profit avec bonheur leurs capacités physiques hors du commun.
Comme eux, j’ai beaucoup hurlé et joui.
Quand je suis ressortie de la petite baraque, très tard dans la nuit, j’étais complètement épuisée, mais heureuse. Mais je savais déjà que je reviendrai faire un tour sur le chantier un jour
prochain.
Oh que oui..Céline est une sacrée coquine...
Tu devrais peut-etre changer d'orientation...
Tu travailles dans le batiment ? Mais je souhaite à tous les hommes de rencontrer une femme comme elle !
Tu es une sacrée garce, et j'aime ça !
Le message est passé !
Elle te lira, et te répondra !
Et tu as bien raison ! Pourquoi se faire dicter sa conduite quand il y a des regles religieuses aussi stupides !
"Dieu est amour". Alors pourquoi empecher les gens de le faire, pendant le ramadan ????
Et tu n'as jamais imaginé qu'une Céline ventait se coucher sur la chaine de montage, pour se faire prendre à la chaine, c'est le cas e le dire ???
Bises libertines