Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

 

Nous sommes donc samedi. Il est seize heures environ. Je suis venu chercher Valy chez elle. Nous partons chez mes amis qui nous attendent pour une soirée à qautre. J'avais fait leur connaissance un soir, Porte Dauphine à Paris, haut lieu de la drague partouzarde. Nous nous étions liés d'amitié, ce qui n'est pas du tout incompatible avec le plaisir que nous nous donnions.

 

Ils s'appellent Thierry et Marie. Comme personne n'est parfait en ce bas monde, ils exerçaient la coupable profession de Profs de Maths. Moi qui suis allergique à cette matière, j'éprouvais un plaisir presque pervers à enculer un prof de math. La revanche du cancre en quelque sorte.

 

Thierry et Marie avaient mon âge, nous étions tous trois des quadras. Ils avaient une très belle maison de campagne à Milly-la-Forêt dans l'Essonne. C'est là qu'ils recevaient pour les partouzes qu'ils organisaient fréquemment. Derrière la maison, il y avait une grande pelouse soigneusement entretenue où nous pouvions nous prélasser et nous aimer en toute tranquillité, car personne ne pouvait nous voir. Parmi nos points communs, Marie, Thierry et moi étions bisexuels, ennemis des poils, pubiens et autres, et absolument sans aucun tabou. Ce n'est pas cela qui crée une amitié, mais pour les jeux du sexe ça y contribue bougrement.

 

Valy et moi avons le temps de discuter avant d'arriver, la circulation est dense. Valy est en beauté, elle est vêtue très sexy, une petite jupe ultra courte sur une chatte sans culotte, un chemisier transparent sur une poitrine nue. Ses jolis pieds sont bien mis en valeur par des escarpins réduits à leur plus simple expression. La belle s'est parfumée à la vanille. C'est fou comme il se marie bien avec elle. Inouï ce que cette petite m'excite et son comportement durant le trajet ne fait rien pour me calmer. Elle a posé son pied droit sur le siège et elle se caresse gentiment la chatte, histoire d'exciter les chauffeurs des véhicules plus hauts que nous.

 

Enfin nous arrivons à Milly. Un petit coup de klaxon et la grille extérieure s'ouvre, nous entrons. Devant la porte d'entrée de la maison se tient Marie. Cheveux blonds très courts, elle a sa tenue des grands jours à savoir une petite robe qui donne à croire qu'elle a été attaquée par toutes les mites de France tant il y a de grands trous situés aux endroits stratégiques. Elle est belle et provocante comme ça. Elle me fait un baiser goulu et prend Valy dans les bras, l'embrasse sur la bouche et s'écarte un peu d'elle la déshabille du regard et lui dit :

«Valy, ma chérie tu es magnifique ! Je sens que je vais aimer jouer avec toi !»

- Merci Marie, tu es très belle aussi, Bruno ne s'est pas trompé quand il me parlait de toi ! Je suis sûre que nous allons bien nous entendre.»

 

Nous traversons la maison, pour nous rendre sur la pelouse. Là, Thierry, en short et polo s'occupe d'alimenter le feu du barbecue. Nous venons le saluer. Il regarde Valy d'un œil connaisseur, lui fait compliments sur sa beauté et nous demande de nous installer pour prendre l'apéritif. Nous nous empressons de lui obéir, tandis que Marie nous sert nos verres de Whisky-Coca dans lesquels dansent des glaçons.

 

Valy s'est assise sur un transat, elle le fait sans les précautions pudiques que prennent les femmes quand elles veulent s'assoir, et cela pour plusieurs raisons. D'abord, elle n'a aucune pudeur sans être vulgaire, ensuite, elle vit toujours nue, elle se sent à l'aise ainsi, et enfin, elle et moi sommes là pour une partie de cul. Marie en lui tendant son verre voit la chatte de ma belle amie. Elle marque un léger temps d'arrêt, laisse Valy prendre son verre et lui déclare avec un sourire dans la voix :

« Mais dis-donc, ma chérie, tu vas dans le monde cul nu ? Et tu n'as pas honte ? »

 

Valy la regarde avec dans les yeux des lueurs de coquinerie :

« Ben non, Pourquoi ?

- Tu mérites un gage pour cette impudeur ! » lui dit Marie en s'accroupissant devant elle.

Elle écarte les cuisses de Valy et se penche vers cette chatte si tentante, et elle ajoute : « Je vais te la bouffer tout de suite, ce sera ton gage. Et puis sache qu'ici tu peux agir comme tu l'entends, tout est permis !

- Tout ? Vraiment ?

- Oui, oui ! » lui répond Marie, avec dans l'œil tout le vice dont elle est capable.

 

Marie se met à laper la chatte de Valy. Elle remonte doucement vers le clito en lui mordillant légèrement les lèvres. Déjà, Valy commence à gémir, elle est très « bouffe-moi la chatte, ça me fait prendre un pied d'enfer».

 

Et quand Marie arrive au petit bouton, Valy commence à chanter la Marseillaise en Créole, tant elle jouit. Marie continue à s'occuper de cette chatte devenue toute liquide. Valy me jette un regard, et me fait comprendre qu'elle veut se laisser aller. Je ne sais pas de quoi elle parle, mais je lui fais signe de le faire. Elle n'en peut plus, elle ne se contrôle plus, et elle se met à pisser.

 

Marie aime les jeux Uros, aussi accueille-t-elle ce liquide chaud avec plaisir. Valy est arrivée au bout de son plaisir, il faut qu'elle récupère un peu. Marie lui accorde cette faveur et s'approche de moi. Elle me prend la bouche et me fait avaler une gorgée de la pisse de Valy. Elle est délicieusement sucrée.

« Ah ! Jolie salope tu m'avais caché que tu aimais ça toi aussi, et elle est très agréable ! » dis-je à Valy qui me réponds avec un sourire qui laisse entendre qu'elle a encore des surprises à m'offrir.

 

Elle m'avouera plus tard également que c'était la seconde fois seulement qu'elle baisait à plusieurs, et qu'elle avait été impatiente que ça se fasse.

Marie se remet à lécher la chatte de Valy, Elle voulait déguster le mélange de mouille et de pipi de sa victime. Celle-ci refait surface et prenant Marie par les cheveux, l’incite :

« Vas-y baise-moi avec ta langue, j'aime ça !»

 

Marie s'y emploie avec énergie. Je connais les qualités de lécheuse de Marie. Lorsqu’elle me sodomise avec sa langue, elle me fait vite grimper aux rideaux. Valy va m'en dire des nouvelles. Effectivement, elle monte en température. C'est lent et progressif, mais elle éprouve de plus en plus de plaisir. Elle vient en quelques minutes de se faire gouiner de la belle manière et elle explose, elle envoie son bassin d'avant en arrière dans des mouvements rapides en criant son plaisir. Marie a toutes les peines du monde à continuer son petit jeu. Elle est comme ça Marie, quand elle fait jouir quelqu'un elle ne s'arrête pas. Bien au contraire, elle persiste même si on lui demande d'arrêter.

 

Enfin, elle s'arrête, mais elle est en feu, il faut absolument qu'on s'occupe d'elle. Thierry, pour l'instant, est trop occupé avec son barbecue, bien que si on juge par la bosse de son short la séance des deux femmes l'a émoustillé. Valy et moi nous nous sacrifions donc pour nous occuper de Marie. J'avais parlé d'elle à Valy et lui avait expliqué que Marie n'avait pas de zone érogène particulière, non, son corps entier était érogène.

 

Cela a ravi ma petite camarade, ainsi elle pouvait pratiquer son jeu favori, faire jouir son ou sa partenaire par des caresses sur toutes les parties du corps. Caresses qu'elle fait avec sa bouche, ses mains son corps.

 

Aussi, elle entraine Marie sur la pelouse, la déshabille, se dénude aussi et s'accroupit prés de sa victime consentante. Comme elle vient de jouir abondamment, elle utilise son humidité pour que la peau de ses mains soit plus douce. Elle masse les pieds de Marie, ou plutôt, elle les caresse délicatement, en insistant là où c'est bon. Et ça marche, car Marie commence à émettre des gémissements.

 

Valy remonte doucement le long du corps, frôle la chatte sans s'y arrêter ce qui fait gémir un peu plus Marie. Ses mains caressent son ventre et sa taille, provoquant des frissons à Marie qui cambre ses reins, elle est pleine du désir de se faire prendre et le crie à Valy. Celle-ci sourit, elle est heureuse car elle réussit à donner du plaisir à une femme grâce à son talent. Enfin, elle s'allonge sur Marie et commence une longue reptation sur son corps avec le sien. Pour moi, c'est un spectacle de toute beauté que deux femmes qui s'aiment.

 

Ces deux jolies salopes m'ont particulièrement excité, je m'agenouille prés d'elles pour que Marie me suce. Elle s'empresse de me prendre en bouche, car faire une pipe a toujours été une gourmandise pour elle. Au même moment, Thierry nous avertit que tout est prêt pour manger, et que ça ne se réchauffe pas. Il met les plats sur la table et s'approche de nous. J'attrape son short et le tire vers moi. Je sors sa queue pour la sucer. Je ne sais pas ce qu'il nous a préparé, mais on s'en moque. Au besoin, on mangera froid. Pour l'instant, la seule chose qui compte, c'est baiser.

 

La séance des deux femmes a été un superbe aphrodisiaque. Thierry n'insiste plus pour son repas, et se laisse aller dans ma bouche. Sa bite est bien dure. J'aime son engin, il est long, pas très épais, mais bien droit. Son gland bien plus large que la hampe fait comme un champignon et comme il est circoncis c'est encore plus beau à voir. Et quand il m'encule, je sens bien son gland rentrer, c'est super comme sensation.

 

Thierry tout comme moi est hyper excité. Ma pipe ne lui suffit pas. Aussi je me couche sur le dos sur la pelouse, car comme d'habitude quand je me fais enculer, j'aime voir celui ou celle qui me le fait. Valy savait que j'étais bi, puisqu'on en avait parlé, mais elle ne m'avait jamais vu en action. Elle est à genoux à côté de Marie, et essaie de lui fister la chatte.

 

Elle voit la belle queue de Thierry me ramoner. Ca l'excite et le fait savoir en nous criant :

« Oui! Vas-y ! Thierry encule-le ! Vas-y ! A fond ! Je suis sûr qu'il aime ça ! »

 

Et elle cesse de s'occuper de Marie pour s'approcher de Thierry. Elle glisse deux de ses doigts dans son cul, son gémissement nous avertit qu'il adore ça. Marie, quant à elle, vient s'accroupir sur mon visage pour que je la broute. J'adore bouffer sa chatte car Marie est une femme fontaine, et je ne vais pas tarder à la boire. J'adore ses éjaculations, elles ont un petit goût légèrement acide qui me plait beaucoup.

 

Notre petit jeu dure un long moment.. Le temps que Thierry jouisse, ce qu'il ne fait jamais très rapidement pour le plus grand plaisir de ses partenaires. Marie, lui et moi avons une absolue confiance les uns envers les autres. Nous nous protégeons avec tout le monde sans exception. Ce qui nous autorise à baiser tous les trois ensembles sans capote. Cela nous permet de goûter au plaisir de sentir le sperme gicler en nous. Thierry donc éjacule en moi. Il se retire doucement, comme à regret.

 

Valy s'empare de sa bite et la nettoie méticuleusement avec sa langue. Marie me fait mettre à quatre pattes, écarte mes fesses, et récupère le sperme de son mari qui sort de mon ventre. C'est une grande gourmande que rien ne rebute.

 

Enfin, nous nous mettons à table pour reprendre des forces. Thierry nous a fait des brochettes. Elles sont pimentées comme j'aime. Une fois terminé, on débarrasse la table. pendant que Marie va chercher une bouteille de champagne. Valy s'allonge nue sur la table, Thierry en profite pour la brouter, il est le seul à ne pas avoir dégusté ma jolie copine. Marie arrive enfin. Elle débouche la bouteille, aussitôt fait, Valy, toujours allongée sur le dos, lève haut ses jambes pour que sa chatte soit bien à l'horizontale et elle dit à Marie :

« Verse le champagne dans ma chatte et vous allez le boire en moi ! »

 

Marie s'exécute. Le champagne frais pétille dans le vagin de Valy ce qui la fait glousser de plaisir. Chacun son tour nous buvons Valy. La mouille de ma petite copine donne un goût particulier au champagne. Je ne suis pas sûr qu'un sommelier lui donnerait une bonne note, mais je peux vous dire que pour nous, il est extraordinairement bon.

 

Cette façon très particulière de boire le champagne nous a mis à tous le feu dans les reins et les superbes cons affamés de nos deux amies attendent nos bites. Valy se précipite sur celle de Thierry. D'abord parce qu'elle n'y a pas encore gouté, mais aussi parce qu'elle a pu constater son endurance quand il m'enculait. C'est d'ailleurs dans son cul qu'elle demande de l'avoir, car elle a une passion pour la sodomie.

 

Elle demande à Thierry de s'asseoir sur une chaise, et lui faisant face, elle s'empale sur la belle queue bien raide qui l'attend. Valy fait un collier de ses bras autour du cou de Thierry, prend appui sur les barreaux de la chaise avec ses talons et entame son enculade. Sans être dominatrice, elle adore prendre les initiatives et diriger les opérations. Elle a une manière bien à elle de se faire enculer. Elle n'aime pas qu'on s'introduise doucement en elle.

 

Elle apprécie l'entrée brusque et presque forcée d'une queue dans son ventre. Et même si, comme celle de Thierry elle n'est pas très épaisse, la douleur ressentie quand ça rentre en elle est déjà une source de plaisir pour Valy. Thierry est surpris de la voir se laisser tomber sur sa queue et encore plus quand il l'entend crier :

« Oh! Putain, ça fait mal mais qu'est-ce que c'est bon ! »

 

Valy commence à monter et descendre sur son empal bien droit. Mais elle le fait en variant la cadence d'une manière désordonnée. Parfois elle fait sortir complètement la queue et s'empale à nouveau. Elle crie et gémit sans cesse en remuant la tête de droite à gauche. Le mouvement et les plaintes s'accélèrent, et elle a son premier orgasme. Il sera suivi de deux autres encore, avant que Thierry lui dise qu'il n'en peut plus, et qu'il va jouir.

 

Valy se dégage immédiatement et retire vite la capote de la queue de Thierry. Elle embouche la queue pour recueillir son bon jus. Mon camarade est non seulement endurant, mais il a aussi de belles éjaculations. Valy se régale à prendre ce liquide crémeux dans la bouche. En brave et partageuse camarade qu'elle est, elle nous embrasse tous pour nous le faire déguster aussi.

 

Marie et moi étions assis l'un contre l'autre, et nous excitions mutuellement tout en regardant Valy nous faire son show. Nous avions envie de baiser nous aussi mais comment résister au spectacle de Valy prenant du plaisir ? Cette fille n'était pas vulgairement vicieuse, non elle aime jouir et faire jouir. Pour elle le plaisir était aussi naturel que respirer Et durant les quelques années où nous nous sommes retrouvés pour des « transports en commun », Valy fut un spectacle. Je vous raconterai une soirée passée dans un sauna de province, où elle donna pleine mesure de son talent

 

Marie donc, bien chauffée par la vue de son mari enculant Valy se jeta sur ma queue et l'emboucha si loin qu'elle me fit une gorge profonde. Je ne voulais pas qu'elle me suce je voulais la prendre, elle aussi d'ailleurs qui se mit à autre pattes sur la pelouse et me dit : « Bruno, mon ptit chou, encule-moi ! Vite ! J'en peux plus moi ! »

 

Comment résister à un ordre pareil ? J'ignore si vous le pouvez mais moi je ne peux pas. Je me place derrière elle, ses mains écartent ses fesses. Je mets mon gland sur son anus pour le titiller, elle adore ça et dans ses bons jours ça peut même lui donner un orgasme Et c'est ce qui arrive cette fois-ci. Qon anus se dilate, 'en profite pour la pénétrer.

 

Contrairement à Valy, Marie aime la pénétration en douceur. Elle adore qu'on fasse de lents va-et-vient se plus en plus longs jusqu'à ce qu'enfin mes couilles claquent ses fesses. A ce moment là je peux agir comme j'aime. À savoir varier souvent le rythme, sortir mon sexe entièrement et la pénétrer vite et brusquement. Pendant ce temps, tout en chantant son plaisir Marie ondule des reins pour que ma queue caresse ses parois internes. Cette femme est extraordinaire, où qu'on caresse ou pénètre, on peut être sûr qu'elle va aimer. Et ce qui est valorisant pour notre orgueil de mâle, c'est l'intensité de ses cris de plaisirs qui se termine par un rugissement impressionnant quand elle arrive à l'orgasme. Une petite anecdote amusante, un jour qu'elle, son mari et moi passions une soirée dans un sauna, nous nous étions installés au coin bar pour nous relaxer, quand soudain Marie dit à son mari qu'elle va faire un tour dans le sauna. Un petit quart d'heure plus tard on entend un rugissement qui surprend les personnes qui étaient dans ce coin bar. Thierry les rassura en leur disant calmement :

«Non ! C'est rien c'est ma femme qui jouit ! »

 

Tout le monde fut étonné, et moi, j'ai éclaté de rire. C'était ça Marie.

 

Marie et moi avons baisé un long moment. Thierry avait besoin de récupérer après deux sodomies dont une exceptionnelle avec Valy. Aussi est-il parti prendre une douche. Valy quant à elle, voyant Thierry quitter la scène, lui avait demandé s'il avait un gode-ceinture. Comme c'était le cas, Thierry le lui donna. Ma jolie salope s'acharna avec cette instrument, le lubrifia et se plaçant derrière moi me pénétra d'un coup en poussant un

« Ahh ! Oui !!! » montrant le plaisir qu'elle avait de m'enculer.

 

Et elle ajoute :

« Depuis la première fois qu'on a baisé tous les deux j'avais envie de t'enculer ! »

 

Et voyant le plaisir qu'elle me donnait, ajouta :

« Et crois-moi, ce n'est pas la dernière ! »

 

Et effectivement, durant tout le temps où nous avons joué ensemble, j'ai eu droit à de nombreuses sodomies de sa part, avec des godes et autres objets qu'elle pouvait avoir chez elle.

 

Le fait qu'elle m'encule alors que j'en faisais autant, a accéléré la montée de ma jouissance. Je n'ai pu m'empêcher d'exploser dans le ventre de Marie, qui en profita pour nous jouer son Grand Air comme une Diva de l'Opéra. Je me suis bien gardé de me retirer de son cul pendant que Valy me sodomisait. Ca prolongeait l'orgasme de Marie, ça me faisait jouir du cul, et Valy était tellement à son affaire qu'elle ne tarda pas à avoir un petit orgasme.

 

Enfinn nous sommes séparés et avons récupéré doucement, allongés dans l'herbe, à regarder les étoiles. Puis nous sommes allés nous doucher, et Valy et moi avons repris la route pour Paris, car le lendemain dimanche, nous étions de garde et nous devions être très tôt à nos bureaux.

 

Valy fut ravie de notre soirée, tout comme moi. Nous avons été complètement d'accord pour faire d'autres rencontres de ce genre. Je lui propose de venir avec moi le samedi suivant dans un sauna à trois cents kilomètres au sud de Paris, où elle sut se faire remarquer par son endurance et sa faim de plaisir.

 

 

Dim 22 aoû 2010 9 commentaires
Tu as une sacré veine, Bruno, d'avoir rencontrer cette petite merveille ! Que ne suis-je aussi ambulancier...
Alain - le 23/08/2010 à 17h11

Change de métier... La vie sourit aux audacieux !

Sophie de R.
Bruno, je te kiffe grave . t'es un mec genaial et j'ai envie d'etre à la place de cette valy. Quel bol, putain, je suis jalouse !
Amandine - le 23/08/2010 à 21h02

Tu n'es pas la seule,  vouloir etre à la place de Valy... ou avec elle !

Sophie de R.
belle suite une bonne journée ou tout ce melange qu elle chance
romain57 - le 24/08/2010 à 07h21

Et tu vas voir, ce n'est pas fini !

Sophie de R.
Merci Amandine de ton enthousiasme.
Je te fais un gros câlin bien coquin.
brunobi - le 25/08/2010 à 11h17

La veinarde...  ;-)

Sophie de R.
Elle est bone, la meuf.. tu me dis où j peux la trouvé ?
Steeve - le 27/08/2010 à 16h24
Steeve, la "meuf"comme tu l'appelles, s'est rangée des voitures, elle est mariée et consacre tous ses talents avec son mari et joue avec ses " enfants"
Sophie, ma jolie gourmande, je te fais un gros câlin très coquin et quelques baisers..............Là!!!
brunobi - le 27/08/2010 à 16h51

Merci Bruno.. Désolée de ne pas avoir pu t'appeler comme promis.. J'espère que tu as fait un bon voyage !

Sophie de R.
merci Sophie.
Je suis bien arrivé, 12h de train pour faire 400 km. Au 21° siècle en France.
Heureusement que j'ai trouvé de quoi rire.
encore quelques coquineries bien coquines pour toi, Belle sophie
brunobi - le 27/08/2010 à 18h09

Tu aurais mieux fait de faire 9 heures d'avion pour venir me voir !!!

Bisouxxx coquins-calins à toi aussi...

Sophie de R.
Tu as 1000fois raison. Monsieur mon banquier n'aurait peut-être pas été sensible au fait que c'était pour présenter mes hommages à Ma belle Marquise.
Langue érotique et câline
brunobi - le 27/08/2010 à 22h56

Il est sur que le billet coute un peu plus cher.. Mais bon, tu fais 8 000 kms, pas 400 !

Sophie de R.
C'est vrai que vu sous cet angle j'aurais bien mieux fairt de prendre l'avion moi.
brunobi - le 28/08/2010 à 20h19