Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

 

L'auteur de ce texte m'a envoyé deux nouvelle sparties de son hisroire. je me fais une joie de vous les offrir ! Partie 5

 

L'été était bien loin et l'automne déjà tirait vers sa fin. Nathalie avait fait sa rentrée universitaire à Rouen, et jouissait d'une autonomie nouvelle.

 

Mais l'automne ne s'était pas terminé si bien que cela pour autant. Peu avant de quitter le domicile familial, il avait semblé à Nathalie avoir été surprise par sa propre mère dans une position scabreuse avec Articho.

 

C'était quelques jours après avoir emmené son chien en forêt, Nathalie était épuisée nerveusement par cet épisode, et notamment par ce vieux voyeur qui s'était masturbé devant elle. Elle s'était mise en tête qu'en ramassant sa semence mêlée à la terre et en se l'appliquant sur son minou, elle avait peut être attrapé le sida ou au moins une MST.

 

Mais l'image de ce vieil homme, de son sexe marqué par les années ne la quittait pas non plus, et cela l'excitait terriblement aussi... Bref, Articho était venu la réveiller de bonne heure, et sa truffe alla gentillement trouver son entrejambe. Le chien avait le museau posé sur son minou, et Nathalie baissa puis remonta aussitôt son pyjama, exposant brièvement son blond pubis, en lui disant : « soit patient ! »

 

C'est à ce moment là, que saisie d'effroi, elle entendit sa porte se claquer et des pas s'éloigner. Qui de son frère ou de ses parents cela pouvait-il être ? Qu'est-ce qui a été vu ? Blême et mal à l'aise, Nathalie trouva sa mère particulièrement fermée et froide. La journée s'écoula dans une gêne visiblement partagée, lorsque Nathalie demanda à son frère de la déposer à la gare. Elle se sentait profondément humiliée par ce qui s'était passé, et se demandait comment ce malaise pourrait-il un jour être dissipé. Cela lui paraissait insurmontable, et Nathalie constatait avec tristesse que ses folies, qu'elle considérait comme passagères, avaient à jamais bouleversé sa vie.

 

Nathalie s'était éteinte et se contentait de suivre ses cours, sans voir grand monde, même si de nombreux amis havrais s'étaient également déplacés à Rouen pour leur scolarité. Sa libido s'était elle aussi trouvée asphyxiée par la découverte par sa mère de sa déviance. Les semaines passèrent.

 

Ses deux cours du vendredi avaient été annulés par ses professeurs, et Nathalie décida de prendre le train pour le Havre en début de matinée au lieu d'arriver dans la soirée. Lorsqu'elle fut sur le point de sonner à la porte d'entrée, elle entendit d'étranges sanglots remonter du sous sol.

 

Par l'entrebâillement d'une porte, ce qu'elle trouva la glaça : sa mère était affalée, nue contre le mur en brique de la cave, les jambes écartées, et Articho la besognant activement. De ses mains, elle semblait vouloir le repousser, mais sans y parvenir.

 

C'était la première fois que Nathalie voyait sa mère nue, et elle la trouvait extrêmement belle. Elle était grande et mince encore pour ses quarante-trois ans, son sexe était couvert d'un pubis bien plus brun que le sien, élégamment échancré.

 

C'est un véritable combat qu'elle semblait mener, non contre le chien, mais contre elle-même. Elle gémissait des « non, non, non ne me fais pas ça ! », des sanglots la submergeaient, mais Articho était à peine entravé dans son léchage implacable de l'intimité de sa maitresse.

Tout à coup, les premiers signes de plaisir vinrent se mêler aux larmes de détresse de cette femme en perdition. Elle n'essayait plus que faiblement, symboliquement de repousser le chien, et son regard se perdait au loin vers le côté, inerte.

 

L'orgasme lui vint sous des hoquets de dépit...

 

Nathalie fixa un moment sa mère hagarde et tremblante, et s'apprêtait à partir lorsque cette dernière telle un automate, un pantin désarticulé, se retourna sur ses genoux et présenta sa croupe au chien. Nathalie n'en croyait pas ses yeux...

 

Articho, qui avait déjà une certaine expérience, se jeta sur elle pour la monter, la faisant tomber vers l'avant. Son pénis déjà sorti venait taper un peu partout ses fesses, le bas de son dos puis, par le plus grand des hasards, s'enfonça d'un coup dans le vagin. Nathalie n'avait jamais vu un tel déchainement de la part de son chien qui pilonnait sauvagement l'intimité de sa mère. Ses pattes avant lui déchiraient les côtes, les pattes arrières griffaient quant-à elle profondément ses mollets. Ce n'étaient plus des sanglots mais de véritables cris de douleurs qu'expulsait sa mère, elle criait au secours, totalement désemparée par une situation qu'elle ne contrôlait plus du tout.

 

Elle poussait de grands cris, des râles, on ne savait pas trop si le plaisir était présent ou non...

 

Mais soudainement, la mère fut prise de panique en sentant une énorme boule se former en elle... le nœud !

« Elle devait tout ignorer du nœud », pensa Nathalie.

 

Le chien balançait de tous les côtés déséquilibrant sa mère qui tomba vers la droite toujours liée à son sexe. Elle était totalement paniquée... C'en était trop pour Nathalie qui partit aussitôt reprendre un bus pour le centre ville, et attendre que le calvaire de sa mère se passe.

 

Elle se sentait tellement coupable ! Jamais sa mère n'aurait eu cette idée si elle ne l'avait surprise. La pauvre, elle a dû lutter contre ce fantasme contre nature des semaines entières avant de céder. Nathalie pensa même que sa mère s'était sacrifiée pour se salir encore plus qu'elle, et se mettre à son niveau... Nathalie avait le cœur brisé en repensant à la brutalité de la scène : ses expériences à elle étaient si pleine de douceur et de complicité avec Articho. Pourquoi ?

 

Nathalie était encore loin d'imaginer que la journée n’était pas finie. Lorsqu'elle arriva avec Donatienne, elle vit une voiture garée dans l'allée et constata que ses parents recevaient un ami pour l'apéritif. Elle devint blême en reconnaissant l'homme du train.

 « Nathalie, je te présente Alain de Rénal qui est avocat dans un cabinet parisien. Il reçoit plusieurs collègues chez lui ce soir. Il te propose de passer pendant le diner et comme ça, ils pourront te donner des conseils pour tes choix futurs ? »

 

Rénale eut un sourire de satisfaction en voyant Nathalie. Son père savait-il seulement qu'il envoyait sa fille dans la gueule du loup ? L'apéritif fut court, et l'ambiance un peu étrange. A la fin, Rénal proposa à Nathalie de l'emmener dans sa voiture. Donatienne se joignit à eux, car après, elles devaient toutes les deux retrouver des amies.

 

En montant, Nathalie savait déjà qu'il se passerait quelque chose, mais ce n'était pas pour lui déplaire... Rénal était un homme dans la force de l'âge, séduisant, tempes grisonnantes, assez grand et rassurant. Restait à savoir comment réagirait Donatienne.

 « Ca a été une sacrée surprise dis donc, de te retrouver là... mais j'en suis fort heureux !

- Ca pour une surprise, c'est une surprise, soupira Nathalie qui le trouvait un peu rasant. »

 

Cela dit, la situation n'était pas pour lui déplaire, et puis elle le trouvait rassurant, paternel... elle qui se sentait si fragile.

 

Pseudo : tres_curieux

Mail : vidadelavida@gmail.com

Mar 31 aoû 2010 3 commentaires
Merci Sophie, de continuer la publication. je retrouve avec plaisir cette histoire zoo si bien écrite.
Amandine - le 31/08/2010 à 23h45

Tu as raison, cette suite est très exictante, et la suite sera... surprenante !

Sophie de R.
les aventures Zoo de Nathalie sont passionnantes. elles se passent encore une fois dans un milieu social où il est de bon ton de préserver les apparences tout en se livrant à ces "turpitudes" qui font tant plaisir.
Il me tarde de lire la suite et de retrouver la maman avec son vice et ses vertus.
brunobi - le 01/09/2010 à 09h42

La suite viendra dans quelques jours !

Bon courage à toi...

Sophie de R.
j adore cette histoire tres prennante merci
romain57 - le 04/09/2010 à 08h30

La usite et une nouvelle fin provisoire va arriver bientot...

Sophie de R.