Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Je suis arrivé à Roissy deux heures d'avance, et l'embarquement sera certainement retardé. Je décide d'aller diner au restaurant rapide sur la mezzanine du Hall 4. Avant de m'asseoir devant le comptoir, je fais un détour par les toilettes.

Tiens, il n'y a pas de dame pipi ! Très souvent dans ce cas, il est possible de faire des rencontres intéressantes. Je me surprends à espérer ! Il faut dire que je suis à Paris depuis plusieurs jours, et que la drague n'a pas bien fonctionné. J'y ai pourtant mis du mien : saunas, sex-shops, bar, métro et même dans la rue, j'ai tout essaye. Rien ou presque !

J'entre donc chez les hommes, et je vois un mec devant un urinoir. De dos, il me parait pas mal du tout. Je choisis de me placer juste à coté de lui. Je me dis que si ca ne marche pas, j'aurais au moins vu sa bite, car depuis longtemps, je ne me gène plus pour regarder pisser les mecs dans les urinoirs. Certains n'apprécient pas et me jettent des regards décourageants. Mais assez souvent, j'assiste à un spectacle que j'apprécie, et quelque fois ca se termine dans une cabine.

La, le mec à coté ne s'est pas contenté d'ouvrir sa braguette. Il a défait aussi la ceinture et tout sorti, même ses couilles.

Bon présage. Je fais la même chose et tout en massant ma queue qui commence à réagir, je mate mon voisin. Celui-ci, tout en semblant m'ignorer, commence lui aussi à jouer avec son sexe. Nos regards se croisent enfin. Il est pas mal du tout. Il me sourit, puis referme son pantalon.

Je pense qu'on va hélas en rester la.

Dommage.

 

Mais au lieu de sortir, il entre dans un WC et ferme la porte sans la verrouiller. Si ce n'est pas une invitation, ca y ressemble fort. Je rince mes mains au lavabo, puis j'ouvre la porte du WC et il est la, debout, il m'attend.

 

Aussitôt, nous nous déshabillons et chacun s'occupe du sexe de l'autre. J'ai pris sa queue à pleine main et le caresse doucement. Je la sens se raidir. Et sa taille devient plus qu'honorable. Moi, je bande aussi sous ses caresses.

« Tu es pressé ? me dit-il.

— J'ai presque une heure devant moi, lui dis-je.

— Moi aussi. On va pouvoir s'amuser un peu. »

 

A l'extérieur, on entend les bruits des mecs qui entrent dans les toilettes. Ca m'excite et lui aussi. Je suis maintenant assis sur la cuvette lui est devant moi et j'avale au plus profond sa grosse queue. Que c'est bon ! Je l'entends qui respire de plus en plus bruyamment. On doit certainement l'entendre de l'extérieur. Tant pis.

 

Il se retire, on échangé nos places, et maintenant, c'est lui qui avale ma bite. J'adore et le lui montre.

Ce jeu a duré un bon moment. Puis mon compagnon occasionnel fouille dans une de ses poches et en sort une boite de préservatifs.

« Tiens, il veut aller plus loin », pensai-je ravie de la bonne aubaine !

 

Va-t-il mettre la capote sur ma queue ou sur la sienne ? Les deux solutions me plaisent. Il la déroule sur sa queue. Je vais donc m'en prendre plein le cul... Je suis de plus en plus excité.

Il me prend par la taille et me fait pivoter. Je me penche en avant, les mains posées sur la cuvette, les jambes écartées au maximum lui présentant mon cul déjà presque dilaté.

 

Décidément, il a tout prévu car il déchire un sachet de gel dont il m'enduit la rondelle. Enfin, il m'introduit un, puis plusieurs de ses doigts bien au fond de mon cul. Je suis aux anges et mon cul s'ouvre grand pour recevoir son pieu qu'il a déjà enduit de gel.

 

Soudain, je sens entre mes fesses écartées son engin qui cherche le passage et ne tarde pas à le trouver. Enfin ! Que c'est bon, il est au plus profond de mon corps. Je fais des efforts pour ne pas jouir trop vite. Je veux que ca dure longtemps. La sensation de plaisir que me procurent les va-et-vient de ce sexe ne doit pas s'arrêter. Pourvu qu'il ne jouisse pas maintenant.

 

Je râle de plaisir et lui aussi. Il a pris ma queue et mes couilles dans ses mains et me branle tout en continuant ses coups de butoir qui claquent sur mes fesses. J'en peu plus de bonheur. Soudain il se redresse, Il jouit. Je sens les jets puissants de sperme qui emplissent la capote. Je me laisse aller et à mon tour, j'atteins le plaisir suprême en vidant ma semence dans sa main qui continue de me branler. Il s'est retire mais j'ai la sensation qu'il est encore en moi. C'est comme ca à chaque fois, et j'adore ce moment aussi. Voila, c'est fini. Quel pied !

 

Nous nous rhabillons puis nous écoutons l'extérieur car il serait préférable que les toilettes soient désertes lorsque nous sortirons. Il semble qu'il n'y ait personne, nous sortons l'un après l'autre. En fait, il y a un mec devant un urinoir. Il a certainement tout suivi de l'extérieur. Je suis un peu gêné, mais je crois, au regard qu'il nous jette, qu'il a bien aimé lui aussi.

 

Je regarde l'heure et m'aperçois que je n'ai plus le temps d'aller diner. Mon compagnon d'un moment est toujours la.

« Tu prends quel avion ?

— Le prochain pour Madrid.

— C'est vrai ? Moi aussi. On voyage ensemble si tu veux ?

— OK. »

 

Nous sommes restes assis à coté l'un de l'autre, avons parlé de nous, puis échangé nos téléphones en se promettant de se revoir chez l'un ou l'autre très bientôt. Nous avons même réussi à nous branler l’un après l’autre sous une couverture…

 

J'ai souvent pesté contre les retards des avions, mais pas cette fois.

 

Lun 18 oct 2010 4 commentaires
Merci de nous offrir ce texte très excitant, meme pour la femme que je suis !
Sophie de R. - le 18/10/2010 à 12h55
Très excitant ton récit, j'avais l'impression d'y être.
Messieurs prenez en de la graine. Lorsque vous allez pissez ne fixez pas le mur devant vous mais regardez la queue du voisin. Parfois ça fonctionne
brunobi - le 18/10/2010 à 14h33

Tu as toujours de bons conseils, mon ami...

Sophie de R.
Mauriac, ayant accompagné De Gaulle à l´opéra (et celui-ci, comme d´accoutumé c´était endormi), à la pause ils s´en furent au chiottes.
Devant l´urinoir, François lui dit "quelle belle pièce mon général"
Et l´autre de lui répondre "regardez devant vous, François !".

Le niveau était autrement plus élevé que celui de la France d´aujourd´hui (enfin, si je puis dire).
;-)
thierry - le 19/10/2010 à 13h55

Jolie anecdote ! Tu as raison, le niveau etait plus élevé !

Sophie de R.
belle histoire une belle rencontre et je suis sur qu il se son vue plus tard
romain57 - le 20/10/2010 à 09h24

Je n'en doute pas un seul instant ! Et s'ils l'ont fait, ils ont eu bien raison !

Sophie de R.