Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Chapitre V

 

 

Une fois dans la chambre, Sophie caressa doucement le large torse noir de l'esclave Boubakar en tournant autour de lui. Celui-ci, les mains dans le dos, patientait en reluquant la petite Sophie qui ne put s'empêcher de soupeser le membre de l'éphèbe.

« Ne fais rien, ne bouge pas... »

 

 Souriant coquinement, elle se mit à coulisser sa queue qui doucement, prit de l'ampleur. Le souffle de 'esclave devint aussi plus profond, comme s'il cherchait à se retenir...

 

Sophie arrivait aux épaules de l'esclave, sa main ne pouvait entourer complètement son membre qu'elle continuait de masturber, tout en lui caressant les épaules, le dos, les fesses.

 

La porte s'ouvrit. C'était la petite chinoise, les mains jointes devant elle.

« Markus aimerait savoir si vous avez besoin de quelque chose...

- Oui... toi, viens, viens m'aider... »

 

Celle-ci vint rejoindre Sophie en train de masturber Boubakar. Le grand Noir vit arriver la petite Chinoise pus regarda Sophie, en se mordant les lèvres.

« Madame, madame Poppée, je ne peux...

- Chut.. mais si... »

 

Sophie caressa la Chinoise, en pinçant ses petits mamelons. Celle-ci émit un petit cri et se rapprocha de Sophie. Celle-ci lui caressa la cou, l'épaule tout en branlant Boubakar et ferma les yeux. Sophie prit la main de la Chinoise et l'amena sur le membre de l'esclave.

« Comme ça, occupe-toi de lui. Nous avons besoin d'être deux. »

 

Tandis que la Chinoise regardait Boubakar, Sophie se dirigea derrière le grand noir et lui caressa les fesses. La Chinoise s'agenouilla et se mit à le lécher. Elle était longue et grosse, la queue du Noir et la Chinoise l'emboucha. Boubakar gémit, la bouche de la Chinoise devait être bien chaude. Sophie, de l'autre côté de lui, s'agenouilla aussi, tout en lui caressant les fesses, et se mit à lui lécher l'anus.

 

Tranquillement, avec ses doigts, elle se mit à le titiller, puis elle enfonça un doigt qui entra sans problème Boubakar écarta ses jambes et se tient contre le mur. En avançant son bassin, il faisait sortir le doigt de Sophie, puis en revenant derrière, il se l'enfonçait bien profond. Tout était bien élargi.

« Mais on y entre facilement Boubakar... Pourquoi?

- C'est grâce à l'Empereur..., dit-il en gémissant.

- Qu'on l'appelle !

- Mais je suis déjà là, madame Popée. »

 

Sophie aimait ça, elle souriait. Elle enculait le Noir, son esclave. De son autre main, elle tâta son membre. La Chinoise suça ses doigts, puis Sophie se rendit compte que le membre de Boubakar était très dur. L'Empereur s'approchait de Sophie, à genoux, les doigts dans le cul du Noir.

« Alors, c'est pour ça que vous ne vouliez pas me le donner...

- Laissez-moi le une dernière fois...

- Avec joie, » dit-elle

 

Elle prit la queue de l'Empereur en bouche pour lui donner de la vigueur puis le dirigea vers l'anus de l'esclave. Tenant toujours le membre de Boubakar, elle donna une pause à la Chinoise. Sophie s'allongea sur le dos puis, avec ses jambes, guida le Noir et son membre énorme la pénétrer. La Chinoise ne voulant rester seule, s'asseya sur le visage de Sophie. Et ce fut parti pour la cavalcade. Les douces lèvres de la Chinoise sur le visage. La Chinoise embrassant le Noir. Le noir se faisant enculer par l'Empereur. Et le membre du Noir à l'intérieur de Sophie. Celle-ci perdit la tête.

 

Elle ne savait plus où elle était, elle était partie dans les vapes, lui avait-on donné de la drogue, avait-elle bu plus que de raison, ou bien était-ce simplement toutes ces caresses, tout ces mouvements, toute cette salve, toute cette partie, tout ce tourbillon de sexe et de luxure qui la prenait en elle qui lui faisait perdre la tête ?

 

Olivier, le repas, l'assiette humaine, les fellations, le blond du gymnase, la douche, l'Italien, les Romains, Markus, la Chinoise, les éphèbes, la pipe à l'Empereur, puis son cadeau, puis la baisse intense, très intense...

 

Elle ouvrit les yeux, et un homme voulut pénétrer la Chinoise par derrière, collant son pénis sur le front de Sophie. La Chinoise se souleva du visage de Sophie et s'écarta d'elle. Sophie vit le Noir se crisper le visage, ses muscles bien ferme se tendre, et elle sentit son sperme au fond d'elle. Boubakar se retira de Sophie et elle senti un vide immense. Mais le Noir n'avait pas terminé la partie lui, il devait toujours se sentir plein, parce que celui qui se faisait appeler l'Empereur continuait à l'enculer, de plus en plus fort.

 

Mais Sophie ne vit pas la conclusion de la scène, Olivier vint l'embrasser et lui sourire. Sophie était de retour au pays connu. Elle serra Olivier, l'embrassa. Celui-ci, nu, lui dit :

« Ça va ?

- Oui, un peu étourdie... répondit-elle en souriant.

- Tu viens ? Il y a une salle qui vient d'ouvrir un peu plus loin.

- Je te suis, aide-moi. »

 

Aidé par Olivier, elle se releva, et il semblait à Sophie qu'elle voyait la pièce où elle était pour la première fois. Elle voyait des corps se faire l'amour partout, sans distinction de sexe.

« Sophie, il faut que je te dise. Si tu veux vraiment être la Scandaleuse, celle qui a tout essayé, tout appris, si tu veux vraiment que tous les hommes ne pensent plus qu’à toi, et que tu en fasses perpétuellement tes jouets sexuels, il faut être ferme. Il faut être forte. Ne plus perdre la tête comme ça. Il faut que seuls tes désirs à toi se réalisent. Tu comprends ? »

 

Sophie hocha la tête.

« Oui mais... j'ai tellement joui... j'ai aimé enculer Boubakar, et j'ai amené... euh... l'Empereur, à continuer la performance...

- C'est vrai, mais dans la prochaine salle où nous allons, c'est là que nous verrons si tu tiens vraiment à être la Scandaleuse...

 

Olivier et Sophie marchaient à travers les pièces et l'orgie continuait en tout sens. Une fille, la mascara dégoulinant sur les joues comme si elle s'était fait défoncé la gorge par des bites trop grosses, vint les rejoindre et prit Olivier par les épaules.

« Alors, comme ça, c'est le temps d'y aller?

- Salut Mira. Sophie, je te présente Mira. Elle aussi veut devenir la Scandaleuse... »

 

Mira regarda Sophie en souriant et lui dit, dans le cou :

« T'es belle.

 

Sophie se retourna vers elle et lui mit dans langue dans la bouche.

- Toi aussi, mais nettoie ton visage. »

 

Mira prit un chemise qui traina par terre et s'enleva le maquillage sur ses joues. 

« Je me suis tellement fait prendre ! dit-elle en laissant tomber la chemise.

- Nous arrivons. »

 

Une porte close. Deux filles latines, en lingerie noire, semblaient garder la porte d'entrée, couchées lascivement sur les coussins à côté de la double porte. Lorsqu'elle vit arriver le trio, la première dit :

« Alors Olivier, tu amènes deux nouvelles concubines ?

- Oui.

- Tu es certain qu’elles réussiront ?

- Oui.

- Et toi, es-tu certain de vouloir aller plus loin ?

- Oui. »

 

Les latinos rigolèrent pour on ne sait quoi, et ouvrirent la porte. Sophie respira un grand coup. Qu'est-ce qui pouvait bien l'attendre derrière cette porte ? Que n'avait-elle pas fait, que n'avait-elle pas osé ? La porte était ouverte, et Oliver, Mira et elles entrèrent solennellement.

 

 

Martine

Ven 26 nov 2010 8 commentaires
une belle suite tres excitante
romain57 - le 26/11/2010 à 09h41

Ravie qu'elle t'ait plue...

Sophie de R.
De plus en plus excitante cette histoire où chacun apporte son talent.
J'ai l'impression que si cela continue je me réveillerai un matin en parlant couramment latin.
brunobi - le 28/11/2010 à 13h55

Lol, on ne sait jamais... Et si tu veux encore encore une suite, tu es le bienvenu !

Sophie de R.
on dirait qu'il y a de petits problèmes de mise en page, non?
martine - le 28/11/2010 à 21h27

Exact, j'y avais remédié grace à ton alerte ! Mille excuses à toutes et à tous !

Sophie de R.
Bonne idée, cette histoire, qui nous donne plein de choses differentes, mais toujours excitantes!
Amina - le 29/11/2010 à 12h42

Merci, les participants à mon blog ont beaucoup de talents ! je les en remercie infiniment !

Sophie de R.
Je vais bien tenter d'écrire encore un chapitre, ma chère Sophie,si tu en es d'accord
brunobi - le 02/12/2010 à 16h20

Je t'attends de pied ferme, mon cher ami...

Sophie de R.
ma chère amie, Tu m'attends, dis-tu?

sache que si nous devions un jour nous rencontrer, il n'y aurait pas que mon pied qui serait ferme.
Cette banalité étant dite, si tu me permets d'écrire une suite, il faudrait que j'ai connaissance de ce qui a été fait avant
Bises coquines, belle Mqarquise
brunobi - le 09/12/2010 à 21h01

Cher Bruno, je manque à tous mes devoirs, et je ne t'ai pas encore adressé l'ecrit que tu attends. Je le fais ce soir ou demain matin... Si tu es toujours d'accord !

Sophie de R.
bien entendu, je suis d'accord, j'attends avec impatience ton mail.
Plein de bisouXXXX particulièrement coquins
brunobi - le 20/12/2010 à 08h36

A final, l'avais-tu reçu ????

Sophie de R.
ahhahha suspens, quel teasing... j'ai hate de voir ce qui se passe derriere cette porte
mika - le 24/08/2011 à 22h50