Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Maitresse Sophie est une délicieuse complice avec qui je m'amuse beaucoup et qui s'affirme de plus en plus dans son rôle de Maîtresse, aussi bien avec moi qu'avec d'autres.
Il y a quelques semaines, nous avons fait une séance à laquelle nous pensions déjà depuis pas mal de temps.
Elle avait préparé le matériel : une cravache, une tapette en cuir, un bandeau et nous étions dans le cadre idéal pour ça, dans les oubliettes de mon club préféré, tout en arcades en pierres et
en décor noir et cuir.
Nous étions avec Dame Isabelle, une autre amie qui lui servirait d'assistante en quelque sorte.
Il faut bien reconnaître que j'ai bu un peu plus que d'habitude pour me déstresser et me préparer à la suite, sans pour autant être ivre.
Et puis nous sommes descendus. Beaucoup de personnes nous ont suivis.
Elle m'a bandé les yeux à peine arrivées au sous-sol. Puis m'a guidé vers la croix de Saint-André. Elle me disait où poser les pieds. Puis elle m'a déshabillé et attaché avec l'aide de Dame
Isabelle. J'avais les mains et les pieds emprisonnés dans des menottes en cuir fixées par des chaînes aux extrémités de la croix.
Elle m'a donné une règle : je n'avais le droit de rien dire sauf d'exprimer mes sensations douloureuses si nécessaire sur une échelle de 1 à 3. "Deux", c'était très désagréable et "trois", ça
n'était plus supportable et je voulais arrêter.
J'entendais des gens qui chuchotaient autour de moi.
C'est drôle, parce qu'à partir de ce moment là, j'ai perdu la chronologie des événements. Il y a certaines choses dont je me souviens très précisément, mais je n'arrive pas à me souvenir dans
quel ordre elles sont arrivées, ni comment ni pourquoi. J'avais complètement lâché prise, et ne se sont gravées dans ma mémoire que les sensations et les émotions des séquences les plus
surprenantes.
Elle me frappait les fesses et les hanches avec son instrument en cuir qui ressemblait à une raquette et rebondissait cruellement sur ma chair. Elle me faisait ainsi bien sentir que j'étais à sa
disposition. Chaque fois que j'essayais de me tourner pour échapper aux battements, je réalisais que je ne pouvais pas bouger et elle frappait du côté où je m'étais tourné. Jusqu'à ce que je
réalise qu'il ne servait à rien de bouger et que je dise "3".
Et puis, elle a passé la cravache sur mon gland durci, et mes couilles pleines. C'était une vraie cravache, elle était un peu rugueuse et je sentais les fibres entrelacées qui frottaient avec
insistance les parties les plus sensibles de mon sexe. De temps en temps elle l'enlevait et me donnait des petits coups de fouet avec l'extrémité en cuir, contrôlant encore les mouvements de mon
corps. Et j'ai dit "2".
J'avais terriblement envie d'un homme. D'autant plus envie qu'attaché, je ne pouvais rien faire. J'avais envie de sentir la bite et l'excitation d'un homme pour me créer un espace de
liberté.
J'entendais des chuchotements un peu plus loin. Elle s'est éloignée et est revenue avec un homme. Il m'a caressé. J'ai demandé qu'elle me détache pour que je puisse toucher cet homme. Puis j'ai
supplié. Elle m'a encore fouetté, puis a détaché mes mains. Je me suis agenouillé et j'ai commencé à sucer cet homme. Il n'était pas rasé et je sentais son excitation à travers l'odeur qui
montait sur son pubis. Ce n'était pas une odeur particulièrement agréable en soi, mais c'était l'odeur de son excitation qui se communiquait à moi. Je crois que je l'ai longtemps sucé. En tout
cas, je profitais d'échapper à son emprise dans ce plaisir limité, dans cette autorisation à ressentir du plaisir avec ma bouche. Et je jouissais de cette tension entre cette liberté et mon
entrave.
Elle a repoussé cet homme et m'a détaché.
Elle m'a emmené dans une alcôve où elle m'a fait agenouiller sur un lit, elle a attaché mes mains à des cordes suspendues et écarté mes jambes. J'entendais vraiment qu'il y avait des personnes
autour de nous.
Elle a continué à choisir des hommes pour que je les suce ou qu'ils me prennent, à un ou deux. Un dans mon conduit anal, un dans ma bouche. J'avais beaucoup de plaisir. Je me laissais
complètement aller et porter par ces corps et ces mains sur moi et en moi, toujours attaché par les poignets avec juste un peu de marge pour écarter les jambes.
Un homme a enfoncé ses doigts dans mon cul et a commencé à jouer dedans d'une façon qui m'a fait chavirer et m'a fait jouir.
Elle me glissa à l'oreille que j'avais trempé le dessus du lit. Ma queue sur-bandée laissait échapper pas mal de sperme à chaque jouissance.
J'ai dit "3", non pas parce que j'avais mal, mais parce que le plaisir que j'avais pris avait été tellement fort que j'avais besoin de reprendre le contrôle sur mon corps. J'avais envie d'uriner.
Je le lui dis. Elle me dit que c'était normal, et que nous allions continuer quand même. Mais non vraiment, je ne voulais pas.
Alors elle m'a détaché, a écarté les personnes autour de nous et m'a emmené les yeux toujours bandés vers la sortie, me guidant avec ses mains. Je voulais qu'elle enlève le bandeau, mais elle ne
l'a enlevé qu'au moment de remonter l'escalier.
Dans la suite de la soirée, bien sûr j'ai dû recroiser certains de ces hommes. Ils savaient qui j'étais et ce qu'ils m'avaient fait. Pas moi. Je ne voulais surtout pas le savoir.
Pour garder cette impression d'avoir été livré dans le pur désir sans visage et sans forme sociale.
Plus le temps passe, plus j’aime être traité en salope soumise, en vide-couilles d’hommes en rut…
ALors, essaie aussi.. moi, ca me tente de plus en plus...
Quant à l'homonymie, rien à voir évidemment avec notre chère Sophie, qui a toujours prôné le respect et la liberté.
Mais comme ce blog est un formidable espace de liberté, cette histoire y trouve sa place
Merci de tes compliments, qui me touchent beaucoup... je ne suis pourtant pas sure de les meriter !
Le message est passé !
par contre, sucer et me faire sodomiser par des hommes dont je ne verrai jamais le visage là, je dis OUI!!!
Je suis comme toi, la soumission JAMAIS !
Mais j'aime aussi voir qui me prend...
Par contre, j'adorai, au bois de Verières, ne voir que des bites s'agiter à hauteur de mes yeux, sans voir leur propriétaire...
Aimerais-tu tenter cette experience ?
Je ne suis pas si sure que toi !
C'est à dire ? Tu n voudrais pas voir les tetes des hommes ?
je vois ce que ut veux dire; Quand je faisais des séances d'exhib à paris, je ne voulais pas voir les viages des hommes qui se branlaient contre la vitre de la voiture....