Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Mon épouse Sophie*, moi, Viviane une amie d’enfance, et son mari Jean, nous nous voyons souvent. Il règne entre nous une grande complicité. Tout les quatre sommes bisexuels,
nous aimons nous regarder baiser entre personnes de mêmes sexes ou de voir nos compagnes prises par d’autres hommes. Jean et moi sommes soumis aux volontés de nos épouses.
Déjà, quand on était gosse, Viviane me faisait baiser mon pantalon devant ses copines pour qu’elles voient à quoi ressemble un sexe masculin (internet n’existait pas à l’époque). J’aimais ces
petites séances du jeudi après-midi, où elle et ses amies me touchaient le sexe, les testicules. Bref, des jeux de mômes.
Elle a toujours exercé une forte ascendance sur moi. Cela a continué par la suite.
Quand nous étions à la fac, Viviane a eu l’occasion de fréquenter intimement des hommes mûrs.
Durant nos études, nous partagions le même appartement. Après une rencontre, Viviane changeait de sous vêtements. A son insu, je récupérai dans la corbeille de linge à laver son slip, le fond
duquel était recouvert de sperme de son amant séché ou à peine pour me masturber avec.
A partir du jour où elle s’en est rendue compte, elle a pris pour habitude de me donner ses petites culottes qui avaient servies. En échange, elle m’ordonnait de me mettre nu, de me passer sur le
visage sa petite culotte et de lécher le fond en me masturbant devant elle. Quand j’avais éjaculé dans celle-ci, elle me demandait de la porter. Cela m’excitait terriblement de faire ce qu’elle
me demandait. Elle a rapidement pris conscience du plaisir que cela me procurait. Par la suite, elle devint plus exigeante dans ses demandes.
Désormais, après chaque rapport sexuel quand elle rentrait, je devais me mettre nu et m’allonger sur le sol. Elle se mettait à califourchon au dessus de mon visage et posais son sexe sur ma
bouche pour que je le lèche. Elle me regardait me masturber pendant que je lui faisais un cunnilingus.
J’avais terriblement envie qu’elle prenne mon sexe dans sa bouche pour me sucer. Plusieurs fois je lui ai demandé qu’elle le fasse. Tout au plus, elle me malaxait les couilles en me disant que je
devais me contenter de ce qu’elle m’offrait et parfois elle me suçait. Pour augmenter ma frustration, elle me racontait dans les moindres détails sa rencontre. Ce qui m’excitait encore plus.
Pour m’humilier et accroître d’avantage sa domination sur moi, de temps en temps Viviane me payait une passe avec une prostituée qu’elle choisissait toujours pour moi.
Généralement, son choix se portait sur une femme mûre fin de quarantaine, début cinquantaine à la poitrine opulente et aux hanches larges. Jamais une fille de mon âge. En donnant une
gratification conséquente, Viviane pouvait monter avec nous. Elle nous regardait sans jamais participer. Viviane sa jupe relevé sur son ventre, son slip baissé sur les chevilles et les jambes
largement ouvertes se masturbait en nous regardant.
Le plus souvent, Viviane préférait que je la pénètre par derrière. Après avoir éjaculé dans son cul, elle m’imposait de lécher mon sperme qui s’en écoulait. C’est elle qui m’a donné l’habitude de
toujours nettoyer avec la langue l’orifice corporel de ma partenaire dans lequel j’ai joui.
Très friande d’annilingus, elle me faisait mettre à genoux derrière elle, me présentait ses fesses pour que je passe longuement ma langue dans son sillon anal, pendant qu’elle se masturbait.
Pour me récompenser, debout tout les deux, je me plaçais derrière elle. Je glissais mon sexe entre ses cuisses serrées. Ma bitte arrivait un peu plus à mi hauteur de ses cuisses mais bien en
dessous de son sexe car plus grande que moi.. Elle commençait un mouvement d’avant en arrière pour me faire éjaculer pendant que je lui caressais les seins.
C’est ainsi au fil du temps qu’une relation entre nous s’est construite, de dominant à dominer.
Viviane ne m’a jamais demandé d’avoir des relations avec des hommes, bien qu’elle y ait pensé quelques fois. Pour parfaire mon éducation de soumis, c’est seulement mon épouse Sophie qui
m’imposera des rapports sexuels avec des hommes. Je ne fus pas surpris d’apprendre que Viviane était l’instigatrice de mon éducation bisexuelle.
Voilà comment Viviane a commencé à me dominer. Après mon mariage, elle a continué avec l’accord de mon épouse qu’elle a initié à la domination.
L’un des phantasmes de Viviane, qui se réalisera plus tard, était de nous faire baiser en même temps et alternativement par le même homme. Ce partenaire la pénétrerait, puis ressortirait sa bitte
pour me la mettre dans le cul ainsi de suite. C’est son mari Jean qui nous baisera tout les deux en même temps quelques années plus tard. Viviane et moi nous nous accouplons souvent devant lui
pendant qu’il baise mon épouse. Aujourd’hui, Jean et moi avons des fréquentes relations homosexuelles entre nous et avec d’autres hommes que Viviane et ma femme encouragent.
Quand nous recevons Viviane et son mari Jean, ma femme me demande de m’exhiber devant eux. Cela l’excite beaucoup de me montrer à d’autres dans les positions humiliantes qu’elle me fait
prendre.
Je dois me présenter à eux nu, de dos. Je suis à genoux sur le tapis du salon. Je me penche en avant, jambes écartées, pour exhiber mon cul tout en écartant mes fesses avec les mains pour que
l’on voie bien mon anus élargi par les sodomies. Mon sexe est au repos dans la ceinture de chasteté que mon épouse m’a mise, et mes parties génitales pendent entre mes cuisses.
Tout en me regardant dans cette position où je suis offert, Viviane, son mari et mon épouse ne manquent pas de faire des commentaires.
Viviane trouve que je ne suis pas encore suffisamment ouvert par derrière pour pouvoir accueillir deux sexes masculins de belles tailles en même temps. Ma femme partage ce fantasme avec elle, de
doubles sodomies pour moi. Elle lui fait remarquer que mes couilles pendent plus bas qu’avant entre mes cuisses depuis qu’elle me fait porter un ballstrecher. Jean suggère que je devrais porter
plus souvent des bas, des sous-vêtements féminins….
Mon épouse et Viviane glissent chacune une main sous la jupe de l’autre pour se caresser le haut de l’entre cuisses, tout en se donnant des baisers sur la bouche. Tandis que Jean est en train de
faire un cunnilingus à ma femme.
Ensuite, Viviane demande à son mari de me sodomiser. Préalablement, je dois le sucer. Ensuite, dès que je sens le gland de son sexe se presser contre mon anus pour me pénétrer et qu’il enfonce en
moi toute la longueur de sa bitte, je commence à vouloir entrer en érection. Mais je ne le peux pas car mon sexe est emprisonné par la ceinture de chasteté.
Une fois que Jean a fini d’éjaculer dans mon cul, Viviane demande à ma femme de me mettre un bouchon anal pour que je garde le sperme de son mari en moi.
Puis Viviane s’approche de moi, me regarde avec un air satisfait et vicieux en caressant mes couilles pleines. Elle constate avec plaisir que ma queue remplit toute la cage de chasteté
transparente, excitation provoquée par la sodomie. Un filet de sperme pend au bout de mon gland car je n’ai pas pu éjaculer.
Ensuite Viviane qui porte des bas et un porte-jarretelles, se couche sur le ventre les jambes écartées. Ma femme me retire ma cage de chasteté mais laisse en place le bouchon anal dans mes
fesses. Elle m’invite à m’allonger en contre bas par dessus Viviane pour que je frotte ma queue contre son mollet. Les bras tendus, je me tiens au dessus d’une de ses jambes. Pendant de longues
minutes, je frotte mon sexe et mes parties génitales contre le bas qui recouvre sa jambe. Mon visage est placé légèrement en dessous de ses fesses. Je peux voir la fente de sa chatte. Je finis
par éjaculer sur son bas. Viviane me demande ensuite de lécher mon sperme.
Tandis que ma femme qui nous regarde se fait lécher le sexe par Jean.
Mon épouse qui a fait mon éducation de soumis bi (se reporter au récit : Comment ma femme m’a
appris à me faire saillir par des hommes) est ravie que je demande aux femmes que je veux prendre de m’enfoncer dans le cul plusieurs de leurs doigts pour que je puisse bander. Il m’est donc
impossible de dissimuler ma bisexualité.
Beaucoup d’entre elles trouvent très excitant d’avoir des rapports intimes avec un homme qui se fait mettre comme une femme. Un peu comme si le fait de me faire sodomiser et faire des fellations,
me place dans une position de partage avec elles.
Certaines veulent me voir me faire prendre par un homme avant que nous nous accouplions.
Elles me font prendre la position du missionnaire, jambes écartées, genoux remontés au niveau des épaules, fesses relevées. Elles aiment prendre dans la main la bitte de mon partenaire pour la
diriger tout contre mon anus et la regarder s’enfoncer dans mon cul et me limer.
D’autres veulent que je me mette en levrette. Mes partenaires masculins me chevauchent en se mettant à califourchon au dessus de mes fesses, jambes écartées en se penchant au dessus de mon dos,
en prenant appui sur mes hanches avec leurs mains.
En se plaçant derrière, cette position offre l’avantage de bien voir la bitte s’enfoncer dans le cul de celui qui se fait sodomiser.
Quand je sors faire des courses avec Sophie, elle aime me dire, lorsque nous croisons des hommes, ceux qui m’ont déjà sailli, ou qui ont l’habitude de le faire. Certains sont mariés. Comme
quoi…
Parfois nos épouses nous imposent à moi et Jean de longues périodes d’abstinence hétérosexuelle. Durant lesquelles elles nous permettent seulement d’avoir des relations sexuelles avec des hommes,
à condition que celles-ci se passent devant elles et leurs amies, qu’elles invitent pour l’occasion.
Si les hommes aiment voir des femmes faire l’amour ensemble, les femmes adorent voir des rapports homosexuels entre hommes.
Pour nous exhiber devant leurs amies, Sophie nous demande à Jean et à moi de nous mettre debout face à face, de nous rouler des pelles, de frotter nos sexes l’un contre l’autre, de nous caresser
le cul, les couilles, de nous sucer les seins….
En doigtant Jean, je constate que son anus est plus ouvert que le mien car Viviane lui fait pratiquer la double sodomie.
Puis, c’est au tour de Viviane qui nous demande de nous allonger par terre en position de soixante neuf pour nous faire mutuellement une fellation. Nous éjaculons dans la bouche de l’un et de
l’autre et à la demande des femmes présentes nous avalons nos spermes.
Plus tard, Viviane fait entrer dans la pièce un homme nu corpulent, le visage recouvert d’une cagoule. Elle lui demande comme à moi de nous allonger sur le tapis tête bêche face à face. Mon
visage se retrouve face au bas ventre de cet homme. Il a de grosses couilles. Il décalotte avec sa main le gland turgescent de son sexe imposant en diamètre. Il le passe sur mes lèvres et glisse
sa bite dans ma bouche. Puis, elle m’ordonne de le sucer jusqu’à qu’il éjacule et d’avaler son foutre.
Dans mon apprentissage de la bisexualité, mon épouse m’a dressé à me faire prendre même quand je n’en avais pas envie. Pour se faire, elle m’a confié quelque temps à l’un des amis de Viviane, un
dominant particulièrement vicieux et imaginatif, spécialisé dans l’éducation des hommes soumis que des femmes ou des hommes lui confient.
Il m’a fait saillir par plusieurs de ses soumis de tous âges, devant mon épouse et Viviane et d’autres personnes. Allongé de côté sur un matelas, ils se sont succédés les uns derrière les autres.
Je devais relever une jambe pour que l’on voie bien les bites de ces hommes me pénétrer. J’ai dû me soumettre à plusieurs séances de ce genre.
Sophie et Viviane adorent que Jean et moi les regardions faire l’amour avec d’autres hommes. Nous nous allongeons nus dans le lit à côté d’elles pendant que leurs amants les baisent Nous aimons,
l’un comme l’autre, voir nos épouses prises par d’autres hommes et jouir devant nous pendant que nous nous masturbons.
Philémon
*rien à voir, avec moi, hélas….
Merci à toi, de me donner ce récit... Il reprend tous mes fantasmes !
A mon avis c'est la meilleure des "configurations"... Si vous avez envie d'en parler plus en détail..
Bienvenue à vous sur mon blog !
Tu as tout à fait rasion ! et tu as toujours appliqué ce principe à la lettre !
Je le pense aussi.. Mais je crois qu'il faut aussi savoir "provoquer" ces situations...
Parce que je n'en n'ai pas.... et que j'avue que passer de plus longues heures encore à m'occuper du blog en cherchant desphotos sur le net, qui soient jolies, libres de droit, etc, je n'en n'ai ni le temps, ni le courage !
L'ecriture, et la ré-écriture, des textes me prend deja un temps fou...
Eh oui, et je t'admire d'avoir su les vivre comme tu voulais. meme si au final, il y a eu des debordements. Je crois que c'est là le principal danger, et qu'il faut rester maitre de son corps. Ce n'est pas toujous simple à faire...
Ce se fera à son rythme, doucement.... Il fuadra attendre l'été pour que l'on puisse vriament etre tranquilles...
Bisouxxx ma belle
Jacqueline
Merci jacqueline, et c'est pourquoi nous avancerons très doucement..
Ce devrait être tout le temps comme cela !!!
Je pense tout comme toi...