Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Hier jeudi, je suis allée, une fois n’est pas coutume, acheter un plat tout préparé chez le traiteur chinois.
A mon arrivée, je vois le camion de la société qui entretient le réseau électrique dans ma boite. J’ai une pensée fugace pour deux des employés, qui passent souvent dans mon bureau. Un est vraiment top, comme j’aime !
Mais nous échangeons juste les données strictement nécessaires à leur mission. Après tout, je suis cadre sup dans cette société ! Et je préfère autant ne pas mélanger les genres…
Je rentre dans la boutique, et je les vois tout de suite, ils sont trois. Dont celui que j’apprécie, mais sans la tenue réglementaire. Ils me saluent, et une brève conversation s’engage :
« Bonjour Messieurs, vous allez bien ?
- Oui Madame, mais moi, je ne fais plus partie de l’entreprise, me répond celui sans uniforme.
- Ah bon, mais pourquoi donc, vous travailliez bien !
- Oui, merci madame, mais je viens de me mettre à mon compte.
- C’est bien d’avoir l’esprit d’initiative ! Comme cela, je saurai qui demander en cas de panne électrique chez moi ! »
Intérieurement, je pense déjà : « il ne bosse plus pour ma boite… yèèèh…. »
Notre petite conversation se poursuit à deux, car ses collègues partent du restaurant.
« Alors, comment je vous joindrais, au cas où ?
- A ce numéro, madame, me dit-il en me tendant une carte de visite. Il a un sourire d’enfer.
- Je fais du dépannage 24/24, vous pouvez m’appeler quand vous voulez », poursuit-il, plantant ses yeux dans les miens.
Là, je n’ai plus aucun doute : je lui plais autant qu’il me plait !
Mon plat est prêt. Il me demande alors :
« Vous allez le manger où ?
- Dans ma voiture, près de la plage, comme d’habitude.
- C’est vrai, je crois que vous ai déjà vue par là-bas, mais je n’osais pas venir vous parler. Vous êtes un chef…
- Je suis chef au bureau, pas dans la vie dehors !
- Oui, mais moi, je ne suis qu’un ouvrier. Enfin, un artisan, ajoute-t-il en bombant le torse.
- Je vous en félicite. Allez, je vous laisse, j’ai peu de temps », et je quitte la boutique à regret.
Il me suit, et pose alors sa main sur mon bras.
« Ca vous dirait de manger avec de la clim ? Il fait très chaud aujourd’hui…. »
Je ne réponds rien, tant la chaleur qui envahit aussitôt mon bas-ventre est intense.
« Allez, venez, j’habite à cent mètres d’ici… »
Sans pouvoir articuler un mot, j’acquiesce d’un signe de tête.
Je remonte en voiture, il s’assied de l’autre coté « je suis à pied… »
Comme un automate, je mets le contact, et suis ses indications. Je suis liquide, tant depuis quelques minutes j’ai une furieuse envie de baiser. En moins de trois minutes, nous sommes devant un petit immeuble blanc et orange. Nous sortons ensemble de la voiture, et il m’ouvre la porte de l’immeuble. Second étage. Quatre portes, il tourne à gauche.
J’entre, ôte mes chaussures comme c’est la tradition ici, il met la clim à fond.
(Je rappelle à ceux qui ne me connaissent pas que je ne vis pas en France, mais dans une ville côtière du Nordeste du Brésil. Il y fait entre 30 et 32° toute l’année…)
Quand je ne suis pas chez moi, sur mon territoire, je suis un peu désarçonnée. Dans mes multiples aventures avec des inconnus, il est rare que je les suive chez eux... Question de prudence ! Enfin, ils ne viennent pas chez moi non plus, mais je choisis « mes endroits ».
Bref, je pose mon plat chinois sur la table.
Il se met alors devant moi, immobile. Nous restons face à face sans dire un mot, avec moins de vingt centimètres entre nous. Le souffle glacé de la climatisation balaye mon dos. Pendant ce moment qui semble durer une éternité, nous nous fixons droit dans les yeux, presque gravement, sans un mot, sans un geste. Je frissonne, autant de désir que du froid sur moi. C’est pour lui comme un signal :
« Tu as froid ?
- Non, j’ai juste…. »
Impossible de finir ma phrase, il a clos ma bouche de ses lèvres très épaisses. Il entoure mes épaules, je le serre à la taille. Le baiser est intense, passionné, dévorant, nos langues dansent une sarabande infernale… Je pense déjà qu’il doit bien savoir en jouer…
Sans presque m’en rendre compte, je n’ai plus ni chemisier, ni jupe, lui a ôté aussi son polo et son jean.
Nos mains parcourent nos corps pour nous découvrir. Il a la peau douce, ses bras sont musclés et saillants, tout comme j’aime… Un tatouage cerne son biceps. Sa peau noire est si lisse…. Je sens son sexe durcir contre mon ventre. Mon désir s’intensifie encore plus.
Il m’entraine sur la terrasse, et me fait coucher en travers du hamac. Ma jambe extérieure par rapport à lui remonte naturellement sur le bord, pour écarter la toile du hamac. Ainsi, mon string apparait bien en vue… Il en repousse le bord, laissant apparaitre ma courte toison et mon clito bien dur.
Il est resté debout. A hauteur de mes yeux, je vois son boxer déformé par une bosse prometteuse. Je la caresse doucement. Il vibre sous ma main... Il y a encore un moment de quasi immobilité….
Et brusquement, il écarte franchement la dentelle, dévoilant ma chatte trempée. Il a une mine gourmande, et sans plus hésiter, j’abaisse son boxer pour voir enfin l’objet de mon désir. Il jaillit, fier et insolent, raide comme la justice, le gland brillant de sa mouille… Instantanément, j’ai envie de le gober… Mais il me devance, en se penchant sur moi pour manger ma fleur qui n’attendait que ca…
Je sursaute sous la caresse douce et forte à la fois. Je ne m’étais pas trompée ! Sa langue est d’enfer. Il lape mon clito à tous petits coups très rapides. J’enserre sa belle bite entre mes doigts, j’en fais à peine le tour. Mon rêve ! Il ne doit guère mesurer plus de quinze centimètres, mais son diamètre me fait rêver…
Un doigt inquisiteur se glisse dans ma fente, et comme s’il devinait mes pensées, il en insère un second pour m’offrir bien profond à sa vue. Il recule un peu, regarde mon inimité profonde… Je suis en extase : j’aime être ainsi ouverte exhibée. J’imagine que le voisin nous regarde. Mais seul le soleil vient darder mes chairs ouvertes.
Il m’écarte encore plus, je me dilate sous ses mains expertes. Et il le faut, vu son diamètre ! Il enfonce sa langue aussi loin qu’il le peut, son nez venant branler mon clito.
Quel amant ! Je sais déjà que celui-là, je le reverrai ! Il devine mes pensées les plus intimes, mes envies les plus torrides. Il me glisse à l’oreille :
« Tu aimerais que mon pote Gary, tu sais, le petit chabin, vienne te perforer pendant que je te tiendrais ouverte comme ça ?
- Oh oui », ai-je peine à articuler…
Cette simple évocation agit comme un détonateur, et je jouis une première fois, étouffant mes cris dans la toile de coton.
« T’inquiète, me dit-il. A cette heure, il n’y a personne dans l’immeuble ! Tu peux crier tant que tu veux ! »
Pour toute réponse, je me relève un peu, pour enfin emboucher cette belle queue épaisse.
Je la gobe comme je peux, mais le gland pénètre à peine dans ma bouche, tant il est large. Je l’aspire, puis décide de le lécher sur toute la longueur, d’enrouler ma langue autour. II se met à gémir doucement, ce qui me donne du cœur à l’ouvrage…
Je continue une savante fellation sur le méat, la veine bleue (que je devine), le gland, la hampe, les couilles bien pleines. Il ne résiste pas bien longtemps à mon savoir-faire et bientôt, j'ai la bouche et la gorge remplies de sa liqueur, très abondante et chaude.
Je continue le massage buccal jusqu'à tout nettoyer et avaler, ce qui lui permet de reprendre forme. Visiblement, il a la forme, pour rebander aussi vite !
Ses mains parcourent mon corps, se crispent sur ma tête pour enfoncer toute sa hampe de chair dans ma bouche distendue, il est enfin à point.
Il me dit doucement :
« Viens, j’ai envie de te prendre à fond !
- Oui, mais vas-y doucement, tu es si large… »
Il m’aide à m’extraire du hamac, pour rejoindre sa chambre. La position sera plus confortable, pour enfourner son bel engin.
Il m’allonge sur le lit, en travers, me regarde un moment, un sourire coquin au coin de l’œil :
« Toi, tu mérites que l’on soit deux à t’honorer ! »
Je frémis de désir à cette nouvelle évocation d’un trio avec son voisin.
Il s’écroule sur moi, fait glisser son chibre sur mon pubis vierge de toute pilosité et mon ventre, je sens la masse raide et ses poils frotter contre mes chairs.
Il embrasse mes seins, les pétrit sans cesse, il prend ma bouche dans un baiser infernal de sensualité. Puis il se met sur ses avant-bras, écarte de ses épaules mes jambes. Il glisse doucement sur mon bas ventre où je sens passer son membre arrogant jusqu'à l'entrée de ma grotte en feu.
D'un petit mouvement des reins, il place son gland turgescent sur ma chatte en feu, et, d'une poussée lente mais inexorable, introduit son mandrin dans mon con. Je le sens s’étirer sous l'assaut. Il reste en équilibre un instant pour que mon corps s'habitue, puis d'un puissant coup de reins, prend entièrement possession de moi.
Je ne peux que pousser un :
« Oh ! ouiiii » de plaisir intense.
Il agite lentement ses reins afin de s'habituer à mon antre et me lubrifier. Je sens son sexe taper au fond
de mon con et sur mon utérus. J'agite mes reins à mon tour, allant au devant du mâle, l'empalant à fond. Je m'enhardis à glisser mes mains en dessous de ses cuisses et à caresser ses couilles, à
sortir son sexe et à passer son gland sur mon clitoris turgescent et douloureux d'excitation. Je ne peux résister plus longtemps et me livre, à cet amant hors-pair :
« Oui ! Vas-y à fond, bourre-moi, cogne à fond. Crache ton jus ! »
Je mets mes bras autour de son cou et mes jambes autour de ses reins, mes pieds calés sur ses fesses. Mais il veut profiter de moi à fond, il se retire, me retourne et me prend en levrette,
m'arrachant un cri, la pénétration étant encore plus violente et large que sur le dos. Sa main passe devant et caresse mon clitoris, prêt à exploser. Je ne peux résister au traitement et me mets
à jouir violemment, secouée de spasmes que je ne peux contrôler. Je crie tant et plus, sans me soucier de quelque voisin que ce soit…
Il en profite pour me retourner et me reprendre sur le dos avec des grands coups de boutoir, et enfin épancher son plaisir en moi avec de longs jets chauds de sa semence que je sens éclater dans la capote. Il se retire de moi et s'allonge à coté.
Reprenant chacun notre souffle, il me caresse d'une main pour affirmer sa possession. Il ne semble pas vouloir me quitter et je crois qu'il en veut encore.
Mais l’heure tourne, et je dois retourner travailler.. Je me relève, il m’indique la douche. Je me lave rapidement, pendant qu’il en profite pour caresser sous l’eau ma chatte
dévastée par ce membre si épais…
Je ne peux résister à cette caresse, et il le sent bien ! Alors, il se met à genoux, et entreprend de laper mes lèvres encore gonflées. Il ne lui faut que quelques secondes pour m’arracher ma troisième jouissance en moins d’une heure…
C’est presque à genoux que je sors de chez lui, pour retourner travailler.
« Tiens, je n’ai même pas mangé mon repas », me dis-je en reprenant le volant. Mais quelle pause !
Je sais que celui-là, pour une fois, je le reverrai. Pas question de laisser passer une telle bête de sexe !
Rien que du vrai !!! et il est devenu un amant regulier...
Pour le moment, il n'y en a pas à proprement parlé... Nous nous voyons de façon regulière, seuls ou avec mon homme pas loin...
Merci
Rapide à quel point de vue ?
Pourquoi pas.. Je suis au Bresil, dans le Nordeste. Je t'en dirais plus par mail, si tu le souhaites !
j'aurais adoré que tu sois ce voiisn, et que tu nous mates... et même plus !
Tu te devergondes, on dirait... ca me fait très plaisir !
C'est aussi ce que je pense dans ce genre de situation !!! intutile de s'embarasser préalables et d'attentes inutiles !
Tous les deux !!! d'autant que pour une fois, nous avons continué depuis ce jour...
Pas toujours.. il apprécie aussi d'etre plus éloigné, de nous écouter, de sentir frustré...
ne te base pas sur la taile ldu sexe ! Il faut ocmprendre une bonne fois pour toutes que ce n'est pas le plus important, crois-moi ! Et hormis si tu as un micro-penis (moins de 3 cms en erection), tu peux satisfaire n'importe quelle femme. A condition de t'oter ce complexe de la tete...
Emi