Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Il ya plus de quatre ans que j’ai des relations sexuelles avec mon oncle Farid. J’ai besoin de sexe souvent, et quand j’en ai envie, je le prends comme je peux, avec qui je peux. Mon oncle ne refuse jamais que je le suce, et tout ça, le plus souvent dans un silence total. Personne ne doit savoir ce qui se passe entre nous…
Depuis longtemps déjà, je le suçais souvent… C’était venu par hasard, et j’adore ça.
Mais en 2006, je dois me marier avec un cuisinier grec de quarante ans. Il m’avait demandée et mariage, et j’avais accepté, après de longues discussions. Je voulais pourtant en parler aussi avec ma famille. Je fis donc ma valise, pour aller voir à la campagne mon oncle Farid.
Arrivée à la ferme, il m’accueillit très bien, et fut satisfait de savoir mon prochain mariage. Il connaissait bien cet homme.
Mais moi, je ne sais pas pourquoi, je voulais autre chose… J’avais très envie de sexe ! Mais en Tunisie, c’est plutôt mal vu !
Alors, je lui dis que je veux lui expliquer quelque chose, et que je souhaite qu’il me suive aux écuries.
Ma grand-mère, et donc sa mère, est chez une voisine. C’est donc le bon moment pour être seuls. Je prends un drap et un grand tapis. Nous allons dans l’écurie, il fait bon, il ya douze chevaux. Je me mets à genoux, je défais le pantalon de l’oncle Farid. Sans un mot, je sors sa queue qui bande déjà bien… Je le suce à fond, comme il aime…
Avant qu’il ne jouisse, je sors sa queue de ma bouche, et je lui dis:
« C’est le moment que j’attendais depuis longtemps…
- Quoi ? Je ne comprends pas, me répondit-il.
- Mon oncle, je te donne ma virginité. C’était pour toi seul que je la conservais, et tu vas la prendre.
- Ah non Fati, ça, je ne peux pas !
- Si, mon oncle, fais-le sans discussion, s’il te plait ! »
Sans lui laisser le temps de répondre, je me déshabille entièrement, et défait sa chemise et son pantalon. Je m’accroche à son cou, nous sommes nus tous les deux, collés l’un à l’autre.
Sa grosse bite, qui avait un moment molli, redevient dure comme un bâton. Je suis impressionnée, car jamais je ne l’avais vue aussi dure avant ce jour-là !
Je descends doucement vers sa bite, et à nouveau, je l’embrasse et la pompe à fond. Elle me remplit la bouche, elle m’étouffe presque. Que c’est bon….
Oncle Farid gémit doucement : « Ah Fati, c’est bon, c’est bon comme tu me suces… »
Comme j’ai la bouche pleine, je ne peux lui répondre… je me contente de sortir son gros vit de ma gorge, et je m’allonge sur le drap. Je suis sur le dos, les cuisse écartées, J’offre à ses yeux vicieux ma belle chatte vierge.
Il tente encore de protester :
« Non Fati, je ne peux pas, c’est pour ton mari…
- Si, tu vas me pénétrer avec ta grosse bite, Oncle Farid. C’est pour ça que je suis venue te voir, toi, et pas un autre de mes oncles ! »
Il ne me répond pas. Je ferme les yeux, et le tire de toutes mes forces vers moi. Je prends son gros zob solide comme un pieu, et je le pose contre ma chatte.
« Pousse, mon oncle, pousse ! Ne crains rien, je e donne ma virginité »
Et enfin, il fait pénétrer sa bite dans toute sa longueur au fond de ma matrice.
« Ahhhhhhhh ! » Je crie, et un tourbillon m’entraine vers le ciel.
Il souffle fort :
« C’est ça que tu veux, Fati ? C’est toi, la responsable de tout ca…. »
Je ne réponds rien, et je saisis la racine de sa grosse bite, pour le faire coulisser à fond. Quand il est bien ancré en moi, je lui dis :
« Viens doucement, mon oncle, c’est formidable… C’est toi, mon homme. Même si je suis mariée avec le grec, tu seras toujours mon homme préféré… »
Après quelques minutes de divine pénétration, je le sors de mon con, et je le mets dans ma bouche. Je suis gourmande, j’aime sucer sa bite. Je le fais depuis quatre ans, et je devins vraiment experte en la matière ! Elle gonfle encore plus que lros de mes précédentes fellations…
« Ah Fati, vas-y doucement, ou je vais jouir.
- Non, je veux te voir jouir… »
Et il joui dans un grand cri, impressionnant dans le silence total qui régnait. Son jus est délicieux, j’avale tout…
Mon oncle pousse ma tête pour me forcer à le gober en entier.
Je tente de protester
« Aie, tu me fais mal, mon oncle !
- Non Fati, c’est parce que tu me cherches ! »
Il finit par me lâcher, et nous nous couchons l’un contre l’autre, sans dire un mot. Je regarde autour de moi, car les chevaux se mettent à hennir. L’un deux, tout prés de moi, commence à bander ! Elle est immense, elle tape contre son ventre.
Je dis à mon oncle :
« Tu as vu la bite du cheval ?
- Oui, il nous a vus, il doit être excité. Mais il sait garder les secrets !
- Tu crois ?
- Oui, mais Fati, voudrais-tu toucher cette queue énorme ? »
Tout d’abord, je souris sottement. Puis j’accepte, comme hypnotisée. Je me lève et je m’approche de l’animal. Je pose ma main sur la bite monstrueuse.
« Elle est très dure, bien sure…. Et elle est bien plus longue que la tienne, dis-je en riant.
- Allez vas-y, prends le bien par devant. N’aie pas peur Fati, c’est un cheval très gentil.
- C’est bizarre cette énorme bite d’un cheval de trois ans…
- Allez, Fati, embrasse-le, fais-lui plaisir.. ; »
Je reste sidérée qu’il me demande ça. Mais dans mon désir de tout faire pour lui procurer du plaisir, j’embrasse l’énorme pieu chevalin.
C’est doux chaud, enooooooooorme... Plus de cinq fois, je fais glisser mes lèvres sur la bite monstrueuse, sous l’œil excité de mon oncle. J’aime de plus en plus ce contact hors norme, hors règles… Je mouille à nouveau comme une dingue.
« Mon oncle, tu veux encore me baiser ? Je le suce, et toi, tu me baises ? Tu veux bien ?
- Mais Fati, tu es folle ou quoi ? répond-t-il, bien peu convaincant…
- Non, c’est juste pour mon plaisir, aide-moi à me faire plaisir, s‘il te plait !
- Ok, mais vite, si jamais on nous surprenait… »
Il s’approche de moi, me cambre, pour que je lui offre ma chatte bien en vue. Mais je me rends compte avec joie que c’est mon cul qu’il veut !
« Vas-y, dévierge mon cul aussi… »
Je veux tout lui donner, absolument tout !
Il se frotte contre ma chatte pour se lubrifier, et vient ensuite pousser contre ma rosette. Il me masse avec son gland, pour me dilater petit à petit.
« Vas-u doucement, mon oncle…
- Ok Fati, je fais attention. Continue avec le cheval… »
Alors, je prends la grosse queue entre mes mains, et je la dirige vers mes lèvres, pour tenter d’avaler au moins le bout. Il est énorme, et je n’en n’avale que très peu.
Mais d’un coup, mon oncle me sodomise. Il me détruit le cul à grands coups de bite, qui me fait avaler plus loin celle du cheval.
J’ai mal, d’abord, puis je commence à prendre du plaisir à cette situation salace…
Sue suis-je en train de faire, à la veille de mon mariage ? Dépucelée, enculée, et suçant une bite de cheval… C’en est fini de ma virginté !
Mon oncle me parle par saccades :
« Tu n’es qu’une pute, une pite qui se fait enculer et qui pompe un cheval. Tu n’es qu’une salope, je te baiserai tout le temps comme ça. Tu es à MOI ! »
Je prends un plaisir extrême à ses paroles, je ne suis plus moi-même, juste une salope qui se fait défoncer le cul dans une écurie… je jouis pour la première fois, dans un grand cri.
Et presqu’en même temps, mon oncle et le cheval jouissent. Farid m’inonde les intestins de son bon foutre, le cheval m’asperge le visage de sa semence fétide.
Mon oncle saisit les hanches, pour accentuer ses mouvements, s’enfoncer à fond dans mon cul.
« Plus fort, mon oncle, plus fort, défonce-moi à fond !
-prends ca, sa lope !
-Oh ouiiiiiiiiiiiiii baise mon cul, déchire-moi !!!!! »
Il finit par se relâcher, et sort de mon conduit anal. Je me sens béante, le sperme coule sur mes cuisses. Je n’ai pas lâché la bite du cheval, toujours bandée… Elle me plait trop…
Farid prend la parole, après un moment :
« Tu as pris du plaisir, hein Fati ?
- Oui, mon oncle, on recommence quand tu veux… »
Je l’embrasse, attrape les vêtements, et je file avers le hammam pour pendre une douche chaude et me laver de tout ce sperme gluant.
Après avoir vécu cette histoire inoubliable, je me suis mariée avec le grec. Nous sommes partis en voyages de noces en Grèce. Après, je suis allée passer un mois dans la famille de mon oncle Farid. Et devinez à quoi nous avons passés tous nos moments libres ???
Fati te repondra, je l'espère...
L'adultère ce n'est pas bien car il repose sur le mensonge. Le moins qu'on puisse dire est que mon compatriote, le mari de Fati, n'a pas fini d'être cocu. LOL
Dommage qu'il ne soit pas candauliste!
Fati a beaucoup de courage, et je l'admire d'oser briser le tabou de la sexualité, et mieux encore, de la sexualité "hors-normes"...
Oh oui, et je sais qu'elle continue, tout du moins, avec son oncle...
Merci à toi... j'espère que Fati nous racontera encore ses merveilleuses histoires si licencieuses...
Chacun ses gouts, mais elle est très courageuse de raconter cela, ocmpte-tenu de sa culture...
Heureuse que tu puisses trouver ici ton bonheur.. regarde les coms des autres histoires, tu trouveras peut-etre des personnes avec qui entrer en contact !
Ils se sont trouvés, c'est tant mieux pour eux !
Il y a comme ça des moments où les choses semblent nous échapper et l'on découvre une autre facette de la vie;
J'espère qu'elle est heureuse et bien honorée avec son Grec
bise
Alain26
Elle l'est, et elle a trouvé un bon équilibre entre ses deux hommes !