Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Voilà ce qu'il m'est arrivé un jour en faisant le plein de carburant....
 
J'aime être séduisante, un brin sexy, un peu exhib donc.  

Ce jour là (un vendredi), je portais une jupe courte et une veste de tailleur sur un haut noir moulant transparent sans soutif, le décolleté de la veste laissait bien voir un petit peu plus que la naissance de mes seins, sous la jupe des bas noir auto-fixant et pas de string ça m'arrive parfois d'oublier d'en mettre cela me procure un petit plaisir égoïste).

 

En train de faire le plein d'essence je m'aperçois qu'un homme me regarde. Je décide de lui tourner le dos, et je me penche vers le réservoir de ma voiture, les fesses tendues vers lui. Une fois le plein terminé, en allant payer, je remarque qu'il me fixe toujours.

 

De retour, en remontant dans la voiture, je lui donne l'occasion, le temps de quelques secondes, de constater que je porte des bas, mais je ne pense pas qu’il ait pu remarquer l’absence de culotte. Au lieu de partir directement, je stoppe à la station de gonflage. Il ne tarda pas à arriver, me proposant de m’aider à gonfler mes pneus. J’avais ouvert ma veste un peu cintrée pour être plus à l'aise dans mes mouvements, offrant à la vue presque la moitié de mes seins. Accroupie, les cuisses légèrement entrouvertes, je voyais son regard se perdre sur mon buste et entre mes cuisses. Il me demanda si je m’habillais souvent ainsi. 
« En tailleur oui j’aime bien.  
- Non, dit-il, sans culotte.  
- Oui assez souvent pourquoi vous n’aimez pas ? »

  
Dans un mouvement, les pans de ma veste s’écartèrent un peu plus révélant à ses yeux mes seins fort mal dissimulés par mon petit haut en mousseline. On en était à la dernière roue, il posa une main sur ma cuisse et remonta tout en faisant crisser les mailles du bas. Il s’arrêta un instant à la limite de la dentelle du bas et de la peau du haut de mes cuisses.

 

Puis ses doigts s’égarèrent sur le petit triangle noir de ma toison bouclée, avant de descendre vers ma fente. Pour lui faciliter le passage, j’avais écarté un peu plus mes cuisses. Ses doigts jouaient avec mes lèvres, tout en agaçant mon petit bouton qui, d’un coup, venait de se gonfler. Ses caresses me faisaient du bien, mais en entendant des clients de la station s’approcher, il se releva me laissant encore accroupie cuisses écartées.

 

A mon tour, je me redressai, et tout en le remerciant, je remontai dans la voiture, non sans offrir à ses yeux une belle vision de ma chatte humidifiée.

Assise au volant, il vient tout près de moi et pose une main sur mes seins, l’autre prit possession de mon entre jambe et entreprit de me caresser à nouveau tout en me demandant si je voulais bien le rejoindre le soir même dans un hôtel.

 

Tout en lui répondant, je posais ma main au bas de sa braguette, en pressant sa queue et en flattant ses couilles. Je lui fis savoir que c’était tout de suite que je voulais sa bite, et que je trouvais bien plus excitant de baiser dans une voiture qu’à l’hôtel. Il bredouilla que tout de suite, il ne pouvait pas, devant se rendre à son boulot pour un rendez vous très important, que j’étais une salope de l’avoir allumé, et de trouver un prétexte quelconque pour me défiler.

 

Je ne me défile pas, je dis : « c’est tout de suite, on trouve un coin retiré et tu pourras faire à la salope tout ce dont tu as envie, c’est toi qui choisis »

 

Il était vraiment coincé par son boulot, il ne pouvait absolument pas.  Il voulait qu’on se rencontre une autre fois, que je lui laisse mes coordonnées. Comme réponse tout en démarrant ma voiture je lui dis :

« On ne sait jamais le hasard fera nous rencontrer une autre fois, je fais souvent le plein d’essence à cette station. Allez au revoir. »

 

Pour l'instant, je ne l'ai point revu.  

 

Signé Badette :

http://club.doctissimo.fr/nadette-bzs/

Dim 3 avr 2011 6 commentaires
Quel âne. Comment laisser passer une telle occasion.
La jeune femme a du être vraiment déçue.
Insiste ma chérie, mais ne fais pas le plein, revient plus souvent, on sait jamais..
flambeur - le 03/04/2011 à 15h10

Il y a des cons partout.. Il n'a pas eu les couilles d'assumer.. En plus, ce n'est pas si rare, je peux vous l'assurer.

Sophie de R.
Dommage, il ne faut laisser passer aucune bonne occasion!
Olga - le 03/04/2011 à 16h03

Certains hommes n'asument pas qu'on les provoque....

Sophie de R.
Plus tard repensant à cet anecdote, il se dira " bon sang!! quel con j'ai pu être ce jour-là!!".
Et peut-être aura-t-il aussi une pensée émue pour cette belle jeune femme tentante et tentée auprès de qui il se comporta en goujat.
brunobi - le 03/04/2011 à 16h32

Non, je ne pense pas. Il faut etre trop con pour agir ainsi. Il est si facile de retarder un rendez-vous pro, quand on le veut vraiment !

Sophie de R.
moi je suis tres pris par mon boulot mais la j auris pas loupé l occasion quitte a arriver en retard a mon rendez-vous
romain57 - le 03/04/2011 à 16h35

Tu aurais réagis comme il fallait ! le boulot peut ettendre, pas une inconnue qui s'offre à toi !

Sophie de R.
Oui tu as peut-être ma chère Sophie
brunobi - le 03/04/2011 à 22h22

...raison, je presume ? lol... bisouxxxx coquins

Sophie de R.
Effectivement, une telle proposition n'arrive pas tous les jours... IL aurait été bien difficile d'y résister... C'est dans ce genre d'occasion que je me dis qu'il faut que j'achète une voiture ;-)) Bises à toi Sophie :)
Les Squaws - le 03/04/2011 à 23h04

Merci de vos com...  au fait, j'ai recréé un compte, mais je ne peux pas y inviter quiconque, je suis deja "punie"... lol

"sophie de rawensky".. Contactez-moi ! bises libertines à tous les deux....

Sophie de R.