Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Il est quinze heures, nous sommes en plein mois de Juillet 2009. Je suis en vacances et je me prélasse à la terrasse d'un café face à une splendide plage proche de Palma de Majorque aux Baléares. Un arbre immense étend ses grandes branches et forme une sorte de dais et tamise ainsi la lumière du soleil. Un tee-shirt et un short sont mes seuls vêtements. Aux pieds, rien. J'adore vivre et marcher les pieds nus. Le contact direct avec le sol a pour moi quelque chose de très sensuel. J'adore.

 

Bravant la chaleur, je tente le suprême effort de mettre en contact mon verre de jus d'orange frais et mes lèvres, quand soudain, une apparition de rêve entre dans mon champ visuel, et arrête mon geste. Il serait extrêmement désobligeant que je boive, alors qu'un spectacle de toute beauté s'offre à moi.

 

De longs cheveux bruns et soyeux encadrent un joli visage aux traits réguliers, que deux yeux vert émeraude illuminent Une bouche aux lèvres qu'un léger rose met en valeur. Un chemisier blanc transparent laisse voir deux seins moyennement volumineux. Une mini-jupe en jean couvre des jambes minces. Et cette vision se déplace grâce à des pieds (elle en deux, vous savez!) aux orteils longs qui flirtent avec le macadam, car la belle est pieds nus elle aussi.

Vous pouvez alors comprendre qu'il aurait été désobligeant de ma part que je boive au lieu de rendre hommage à cette beauté avec un regard admiratif.

 

L'apparition s'installe à une table voisine de la mienne.

 

Elle commande une boisson et fouille un moment dans sac pour enfin en sortir un paquet de cigarettes blondes. Elle en sort une. Sans hésiter je lui tends mon briquet allumé. Geste vieux comme le monde qui est à la fois galant et permet dans le même temps d'engager une conversation sans paraître importun. Cela me donne droit à un «Muchas gracias Senor» prononcé d'une voix rauque que rehausse son sourire. A mon tour, je lui souris et en profite pour me présenter :

« No me llamo Senor, me llamo Bruno, buenos dias! (Je ne m'appelle pas Monsieur, je m'appelle Bruno, bonjour).

- Yo soy Vera, buenos dias. »

 

De ce rapide préambule découle une conversation où j'apprends que Vera travaille dans une agence de publicité à Madrid et qu'elle est venue à Palma pour une semaine. Nous sympathisons d'autant plus vite que mon mauvais espagnol et son mauvais français donnent à notre conversation un côté fort amusant. Nos phrases sont entrecoupées de rires. Et tout le monde sait que le rire détend les corps mais aussi les esprits. Nous décidons très vite de continuer notre conversation ailleurs, à savoir sur la plage.

 

Par malchance, elle a un côté foire aux jambons assez déplaisant. Nous partons donc à la recherche d'un coin tranquille en contemplant tous ces corps allongés en train de rôtir. Je remarque que Vera regarde avec insistance les femmes les plus jolies. Je ne peux m'empêcher de le lui faire remarquer. Ce à quoi elle me dit comme si c'était la chose la plus naturelle du monde, qu'elle est bisexuelle. Je suis ravi d'entendre ça, et lui dis que moi aussi, je le suis, bisexuel.

 

Sa réaction spontanée me surprend car elle me dit :

« Bienvene Compadre ! »

Et me saute au cou, me prend la bouche, puis me dit pour se justifier quelle ne sait pas ce que sera notre avenir proche, mais que je risque d'avoir une surprise. J'ai beau insister, elle ne veut rien me dévoiler. Après tout, comme elle me le dit de sa belle voix rauque : « una sorpresa es una sorpresa  ! Guapo ! »

 

Je me creuse l'esprit en vain, je ne vois pas ce que cela peut être. Il s'agit de sexe, sans aucun doute, mais le sujet est vaste. Bon attendons, nous verrons bien.

 

Nous arrivons en bout de plage, elle se termine par une pointe rocheuse. Je regarde ce qu'il y a derrière et je vois une petite crique où il n'y a qu'un couple. Et elle est moins exposée au soleil. Je prends Vera par la main et l'emmène dans cette petite crique. Nous nous allongeons sur le sable où nous reprenons notre conversation entrecoupée de rires joyeux. Je retire mon tee-shirt et elle son chemisier. Sa poitrine est de taille moyenne et ferme. Les aréoles sont larges et bien plus mates que sa peau, j'aime beaucoup ce contraste, j'y vois de l'érotisme, allez savoir pourquoi. Brusquement, n'y tenant plus je tends la main vers ses seins tout en lui disant :

« Permites, Bonita, es demasiado tentador ? » (Tu permets, ma belle, c'est trop tentant).

 

Je n'attends même pas sa réponse et pose ma main sur un de ses seins. Je ne m'étais pas trompé, il est ferme, la peau est douce. Vera semble sensible car sa peau frissonne et son téton se durcit.

« Excusa yo, Vera, era mas fuerte que yo (excuse-moi, Vera, c'était plus fort que moi) lui dis-je.

- Cual tunante eres Bruno ! » (Quel coquin tu es Bruno)

 

Ce reproche qui n'en est pas un finalement, me met en joie, car elle me laisse présager d'un proche avenir plutôt sympa.

 

Mon réflexe spontané et sa réaction pas forcément pleine de reproche nous fait éclater de rire. Mais nous cessons brusquement et je la prends dans mes bras pour l'embrasser. Non seulement elle ne me repousse pas mais encore elle se couche sur moi et fait danser son corps sur le mien. Je ne sais pas si c'est ce qu'elle cherchait à obtenir, mais je bande plus que dur. Elle s'en rend compte et son sourire me dit qu'elle est assez contente d'elle. Et pour mieux me le faire sentir, elle remue son bassin en l'appuyant contre le mien. Je n'en peux plus. A cet instant je regrette que nous ne soyons pas sur une plage du Cap d'Agde car là au moins nous aurions pu baiser sans que cela choque quelqu'un.

Vera continue son petit jeu jusqu'à ce qu'elle se rende compte que je viens de jouir dans mon short. C'est le moment qu'elle choisit pour s'arrêter, s'écarte de moi et contemplant ma braguette ornée d'une belle tache éclate d'un rire joyeux et moqueur.

 

Visiblement elle est satisfaite de la réussite de son petit jeu. Je ne tarde pas à l'imiter et éclate de rire à mon tour. Comment faire autrement ? Nous venons de passer un moment formidable. Puis je vais au bord de l'eau nettoyer la tache qui orne ma braguette. Je rejoins Vera qui a encore sur le visage le sourire de satisfaction de « sa victoire ».

 

Je m'allonge à ses côtés et nous parlons gentiment en attendant que mon grand pote le soleil ait fait sécher mon short. Cela se fait rapidement. Je propose à Vera que nous allions prendre un verre dans ma chambre d'hôtel. Elle accepte avec plaisir se lève d'un bond et me tend la main pour m'aider à me mettre sur mes deux pieds.

Elle me dit alors :

« buena idea, tengo ganas de beber ...tambien ! » (bonne idée, j'ai envie de boire...aussi).

 

Elle garde ma main dans la sienne et c'est ainsi que nous rejoignons mon hôtel. A la réception je commande une bouteille de boisson fraiche à livrer dans m a chambre et nous montons. J'ai à peine le temps d'ouvrir la baie vitrée et descendre le store pour nous faire un peu d'ombre, que le room-service apporte notre boisson. C'est une bonne chose ainsi nous pouvons Vera et moi nous lancer l'un contre l'autre pour nous faire l'amour.

 

Mais auparavant nous devons nous désaltérer. La chaleur et les émotions aidant nous a mis le gosier à sec. Confortablement installés sur le transat nous sirotons nos verres en silence. Silence vite troublé par Vera qui se lève soudain et me dit :

« Bruno, me voy a ducharme ! » (Je vais me doucher)

 

Et elle se dirige vers la salle de bain en ondulant des hanches d'une manière plus que provocante. Mais très vite, elle m’appelle :

« Bruno ! Ven conmigo ! » (Viens avec moi).

 

Bien entendu je ne me fais pas prier et cours la rejoindre.

 

Quel spectacle superbe ! Elle est sous la douche, nue évidemment et me tourne le dos, le spectacle est ravissant, je me débarrasse de mon short, me colle à elle et l'enlace. Elle penche la tête en arrière pour m'embrasser et esquisse dans le même temps un petit mouvement qui a le don de me faire bander immédiatement. Je tends ma main vers son bas ventre, cela fait quelques heures que j'avais envie de caresser sa chatte. Je l'imagine déjà. Totalement glabre bien sûr, des lèvres fines bien que charnues et un clito un peu proéminent, tout comme j'aime. Mais ce que touche mes doigts n'a rien à voir avec ça, j'ai un léger sursaut ponctué par le rire de Vera qui me dit :

« ! He aqui ! Era esto mi sorpresa ! ? Te gusta ? » (Voilà c'était ça ma surprise ! Ça te plait ?)

 

Vera est une transsexuelle. Son corps splendidement féminin est joliment décoré d'une queue.

Elle se retourne pour me faire face s'éloigne légèrement en écartant les bras, un grand sourire fendant son visage. Je contemple un moment sa queue, elle ne bande pas encore tout à fait elle est longue et fine, le gland recouvert du prépuce semble plus épais que sa verge. Le spectacle est beau. Et pour répondre à sa question, je m'agenouille et prend sa verge en bouche pour la sucer.

 

Aussitôt elle prend des proportions avantageuses et sans atteindre des dimensions propres à révolutionner le monde du sexe, sa queue est assez grande et épaisse pour donner du plaisir. Je la suce goulument, presque sans douceur comme si j'avais peur que ce mirage disparaisse soudain. Je constate que Vera, tout comme moi avait grande envie de jouir, car elle ne tarde pas à me remplir la bouche de son sperme. Je me relève pour l'embrasser. Nos langues se battent. Ce sera à celle des deux qui récupérera le plus de sperme. Jeu jouissif, s'il en est. Puis nous profitons de l'eau qui coule pour nous frotter l'un l'autre et enfin nous sortons de la salle de bain et nous dirigeons le corps mouillé vers la terrasse.

 

Vera est allongée sur le transat. Elle est belle ainsi, le reflet du soleil couchant sur sa peau nue fait briller l'eau de la douche et donne l'impression qu'elle est vêtue de perles. Je jouis du spectacle un moment puis lui prends la main. Vera tourne son visage vers moi en souriant puis me dit :

« Entonces ! Decepcionado o feliz de mi sorpresa ? » (Alors ! Déçu ou heureux de ma surprise ?)

- Yo? Feliz ? No ! Muy feliz ! Adoro a las mujeres a poll a!» (Moi ? Heureux ? Non très heureux, j'adore les femmes à bite).

 

A ces mots, Vera ne se sentant plus de joie ouvre un large bec et avale sa proie. Heu.... je veux dire elle se penche vers mon bas ventre et entame une pipe. (Mon vieux La Fontaine pardonne-moi d'avoir un peu dévoyé ta fable du Corbeau et du Renard). Ma queue se sent bien dans sa bouche. Vera a une langue particulièrement agile qui semble être partout à la fois.

 

Tu la crois te câlinant la hampe et elle est déjà sur mon gland. Ses lèvres ne sont pas en reste non plus qui me caressent la queue de bas en haut. Elle me suce à la fois vite et lentement, une pure merveille, j'aimerais que cela dure une éternité. Pour ralentir mon envie de jouir je me penche vers la bite de Vera pour la sucer. Ainsi dans ce 69 on peut tous les deux faire durer le plaisir, celui d'avoir une belle queue à sucer et celui de se faire sucer dans le même temps.

 

Ça donne une petite idée du paradis ce truc. On joue ainsi un long moment durant lequel nos mains caressent et doigtent l'anus de l'autre puis nous explosons presque simultanément dans la bouche de l’autre, et nous échangeons un long baiser pour partager notre plaisir.

« No conozco mejores tapas para un aperitivo ! » (je ne connais pas de meilleur amuse-gueule pour un apéritif) me dit Vera.

- Est-ce verdad ! » (c’est vrai), lui répondis-je.

 

Et d'un commun accord nous décidons de diner pour reprendre quelques forces. Je commande aussitôt qu'on nous monte un repas.

Ce diner au cours duquel nous avons échangé nos envies et nos goûts en matière de sexe se passa donc le mieux du monde. Une fois terminé, j'entraine Vera sur le lit, car il est grand temps qu'elle est moi passions aux choses sérieuses, car en ce qui me concerne j'ai vraiment grande envie de faire l'amour avec elle. L'ardeur avec laquelle elle se jette sur moi ne me laisse aucun doute, elle aussi en a envie. Allongé sur le lit j'ai la très agréable sensation d'être assailli par plusieurs jolies femmes tant Vera semble se multiplier et avoir encore plus de bras que la déesse indienne dont j'ai oublié le nom. Je sens ses mains partout sur mon corps qui me caressent avec une infinie douceur.

 

Elle m'assaille de la bouche et des mains avec cette délicatesse que l'on ne rencontre que chez une femme lorsqu'elle fait l'amour. Oui, Vera est née homme mais c'est vraiment une erreur de la nature car elle est vraiment femme au fond d'elle-même. Je n'ai plus rien à faire qu'à me laisser envahir par elle. C'est à ce point excitant qu'à chaque instant je crois que je vais exploser de plaisir. Et comme si sa bouche et ses mains ne suffisaient pas, elle a un façon très particulière de remuer son bassin sur mon pubis c'est une sorte de lambada langoureuse et lente.

 

Je n'y tiens plus, il faut que je la prenne, je veux jouir en elle. Je tente de le lui faire comprendre en la doigtant. L'avantage des méditerranéens c'est que nous savons parler avec les mains, aussi Vera comprend aussitôt ce que mes mains lui disent et elle s'empale sur moi et reprend sa danse érotique autour de ma queue. J'ai la sensation qu'elle caresse tour son intérieur en même temps. Extraordinaire ce bien-être je fais des efforts surhumains pour me retenir de jouir pour faire durer ce moment de paradis, mais cela devient de plus en plus difficile.

 

Vera gémit de plus en plus fort et me dit :

« Si, Bruno, si, quiero sentirte gozar en mi !! » (Oui, Bruno, oui, je veux te sentir jouir en moi !)

 

Je me laisse alors aller et me vide dans son ventre. J'avais tellement envie d'elle que j'ai l'impression que mon éjaculation est sans fin. Nous restons ainsi un long moment, moi en elle, et nous nous prenons la bouche comme des affamés. Pur moment de bonheur.

 

Vera se laisse glisser jusqu'à mon entrejambe et entreprend le nettoyage de ma bite. Elle fait cela avec gourmandise et aussi un brin de tendresse, cette fille est visiblement amoureuse des queues. Il est minuit passé et il fait encore très chaud. Je nous sers deux grands verres de Cuba Libre que nous allons boire sur la terrasse. Nous sommes appuyés à la balustrade et tout en sirotant notre boisson nous nous caressons. Vera à la peau très douce, la caresser m'excite et visiblement cela lui fait le même effet car elle bande. J'ai une furieuse envie de me faire prendre par sa jolie bite, je la prend en main,la caresse et dis à Vera :

« Guapa ! Dame por el culo tambien, por favor, enseguida ! » (ma belle! Encule moi aussi s'il te plait, tout de suite).

- Con mucho gusto, mi querido…» (avec plaisir mon chéri)

 

Une petite lumière éclaire suffisamment la terrasse pour que nous soyons vus ,si par hasard il y a des voyeurs quelque part. Personnellement cela ne m'a jamais gêné et Vera ne semble pas du tout embarrassée par cela non plus, alors je pose nos verres sur la table et m'appuie à la balustrade en tendant mes fesses à ma belle copine. Elle est splendide de féminité tout en arborant aussi une virilité fièrement dressée. Ce mélange trouble et pervers m'excite au plus haut point. Elle s'approche de moi, s'accroupit, écarte mes fesses et me fait une feuille de rose de toute beauté, et enfin elle me sodomise avec sa langue. J'en ai des frissons dans tout le corps et j'ai vraiment envie qu'elle me prenne et je le lui demande.

 

Vera, alors, me titille la rosette avec son gland épais, elle le fait lentement et fait durer le plaisir, presque sadique. Dans le même temps elle plaque de légers baisers sur ma colonne vertébrale. Là il devient de plus en plus urgent qu'elle entre en moi, je n'y tiens plus. Vera a du lire dans mes pensées car elle commence à me pénétrer. Elle le fait très très doucement en prenant tout son temps. Enfin elle est toute entière en moi. Qui n'a jamais été sodomisé ne peut pas connaître le plaisir que l'on ressent au moment où un sexe a pris place en soi. Nous tentons, Vera et moi, de déguster ce moment-là, puis je donne un léger coup de reins comme signal de départ. Ma belle copine commence alors sa chevauchée.

Difficile d'expliquer comment elle s'y prend mais on croirait qu'elle me baise avec rage mais aussi avec douceur.

 

C'est une jouissance de chaque instant. Et ce roulement des hanches qui fait caresser mon ventre de sa queue. C'est tellement fort que je bande à nouveau et me branle tout en gémissant. Vera est tout sauf éjaculateur précoce aussi ma sodomie dure fort longtemps. Les voyeurs éventuels ont de quoi se rincer l'œil. Moi j'ai de plus en plus envie qu'elle jouisse alors j'accélère le mouvement et enfin, enfin, Vera explose dans mon ventre en de longs jets. J'ai toujours adoré sentir le sperme couler en moi, c'est un pur plaisir. Vera reste en moi, se colle contre mon dos et nous restons ainsi jouissant de notre jouissance et du plaisir de la nuit chaude qui nous enveloppe…

 

La musique entrainante d'un orchestre de rue me sort de ma douce tropeur... et de mon rêve...

 

Il est 15 heures, nous sommes en plein mois de Juillet. Je suis en vacances, et je me prélasse à la terrasse d'un café face à une splendide plage proche de Palma de Majorque aux Baléares. Un arbre immense étend ses grandes branches et forme une sorte de dais et tamise ainsi la lumière du soleil. Bravant la chaleur, je tente le suprême effort de mettre en contact mon verre de jus d'orange frais et mes lèvres quand soudain une apparition de rêve entre dans mon champ visuel et arrête mon geste. Il serait extrêmement désobligeant que je boive alors qu'un spectacle de toute beauté s'offre à moi.

 

Je viens de voir passer devant moi de longs cheveux bruns qui encadrent un visage aux traits réguliers éclairé d'une paire d'yeux vert émeraude. Des pieds nus, une tenue légère composée d'un mini short en jean et d'un chemisier assez fin. La silhouette androgyne est très attirante cela réveille en moi ce grand désir de renouveler cette belle aventure que j'ai vécu il y a quelques années avec Claude ma belle .transsexuelle.


Ce souvenir est si fort que je bande. Ma tenue vestimentaire n'est pas idéale pour masquer mon érection, d'autant que mon short est assez léger, et que mon slip n'est pas prêt d'être acheté. Mais je m'en fous complètement. Impudique et sans gêne, je me dis que c'est une réaction humaine et naturelle et que celle ou celui qui s'en apercevra saura au moins que chez moi « tout » fonctionne et, qui sait, sera peut-être tenté par une aventure.

Alors, je continue à me désaltérer et jouir du chaud soleil d'été en attendant l'éventuelle drague d'une amatrice ou d'un amateur. Et je me demande si ces deux anglais, visiblement homosexuels, qui me regardent plus que très souvent, ne vont pas essayer de se rapprocher de moi. Surtout qu'à leur petit sourire, j'ai vu qu'ils avaient remarqué que je bandais au passage de l'androgyne. Enfin comme le disent si bien dans leur langue, que je ne parle pas :

« Wait and See ! »

 

Ven 22 avr 2011 5 commentaires
Les trans ont tout ce qu'il faut pour satisfaire un homme ou une femme. J'adore!
Olga - le 22/04/2011 à 10h10

J'aurais du essayer la semaine denrière, et une foule d'imprevus a tout fait capoter ! je suis en rage !

Sophie de R.
Le récit de Bruno est chaud, comme la chaleur du sud.
Superbe histoire, comme seul toi s'est les écrire.
michel - le 22/04/2011 à 14h43

Tu as mille fois raison.. Bruno sait à merveille raconter ses aventures libertines.. je les adore !

Sophie de R.
tu me ferais presque rougir, Michel. Merci
brunobi - le 22/04/2011 à 18h30

Ces compliments sont plus que mérités !

Sophie de R.
Humm j'adore aussi, ça me fait réver ! Un jour peut-être j'irai à Palma de M . . .
Christophe soumis - le 23/04/2011 à 08h45

Je te souhaite de pouvoir réaliser toutes tes envies !

Sophie de R.
un beau recit tres chaud tu a eu de la chance de tomber sur Claude
romain57 - le 24/04/2011 à 09h02

Je crois qu'ils ont eu tous les deux de la chance de se trouver !

Sophie de R.